La charge des Cavallegeri d'Alessandria

Le 17 octobre 1942, le régiment Cavalleggeri d'Alessandria mène la dernière charge de l'histoire de la cavalerie italienne contre des formations partisanes à Poloj, en Croatie. Le colonel Antonio Ajmone Cat qui commande le régiment lance son unité en entier, soit 5 escadrons, étendard déployé avec son chef de corps en tête au cri de "viva Alessandria !". Les cavalleggeri réussissent à passer trois positions consécutives pour rejoindre la localité de Perjasica. 67 cavaliers perdent la vie dont le capitaine Petroni, commandant le 1er escadron. Mais les cavalleggeri ont évité l'encerclement et la destruction de la division "Lombardia" et du 81e bat. CCNN.
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Les italiens avais qui devant eux,des villageois a peine armé de vielles petoire,sur tout les fronts,l'armée italienne a ramassé une derouillée,et chaque fois elle fut secourue par les Allemands,en Afrique du nord,en Grece,en Albanie,en Abyssinie etc......en trois semaines elle fut rejetée a la mer en Afrique du nord par les Anglais si Rommel ne serai pas intervenu ,s'en etais terminé de la fameuse armée du duce.

C'est une analyse très pertinente. A la limite de l'italophobie que tu vomis sur tous les forums où je poste des sujets. S'ils ne t'intéressent pas abstiens toi de venir polluer les miens.
ALEX

x1940 a écrit:Les italiens avais qui devant eux,des villageois a peine armé de vielles petoire,sur tout les fronts,l'armée italienne a ramassé une derouillée,et chaque fois elle fut secourue par les Allemands,en Afrique du nord,en Grece,en Albanie,en Abyssinie etc......en trois semaines elle fut rejetée a la mer en Afrique du nord par les Anglais si Rommel ne serai pas intervenu ,s'en etais terminé de la fameuse armée du duce.

Bonjour. Nous essayons sur ce forum, autant que faire se peut, d'assurer des interventions constructives, interprétatives, et informatives, à la fois structurées et documentées... Prière d'en prendre compte et acte. Un petit effort sur l'orthographe serait également le bienvenu.

À bon entendeur
Eddy Marz

les villageois en question, étaient deux brigades titistes puissament armées, mais pas avec des tromblons de la guerre contre les Ottomans, armés par les Anglais et les armes de l´ex-armée royale yougoslave. Ces villageois pratiquaient les pires torures : soldats enuclés, eventrés... Les Italien avec Roatta qui avait dans un Mémoire appelé C3 expliqué la manière de lutter, pratiquaient sans discernement des représailles sur des villages, prenant des otages, exécutés à chaque attaque de bandes partisanes.
Le général Robotti s´était écrié : on ne tue poas assez ici !
Roatta : il faut rendre non dent pour dent mais tete pour dent.
ALEX