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historique de l'Abwehr

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historique de l'Abwehr Empty historique de l'Abwehr

Message  st.ex. 3/11/2017, 01:24

Bonjour, Alors là, ben je vais m'attaquer à la bête noir de chez noir, en raison, que ici pour l'Abwehr, qui était l'unité d'espionnage et de contre espionnage de l'armée Allemande. Et ou des sources que j'avaient déjà utiliser dans le passé, eurent énumérer, les noms des agents et autres documents, provenant tous de l'abwehr, beaucoup ont été détruit avant la capitulation allemande.

(Mais, mais, et encore mais, néanmoins quelques auteurs, ont écris des livres sur l'abwehr.

Telle un cas, en tant qu'exemple:
l'affaire du Kapitän zu See "Capitaine de vaisseau" Patzig Konrad.
chef de l'Abwehr à partir de Juin 1932, jusqu’à janvier 1935 ou il a décidé de sortir du service de renseignement et a eu une nouvelle affectation dans la Kriegsmarine en tant que Commandant du centre de commandement Nordsee (Mer du Nord)....
Ainsi ici la honteuse source, oui honteuse, en raison, que la personne qui a publier, a uniquement utiliser une et unique source:
Dermot Bradley (Hrsg.), Hans H. Hildebrand, Ernest Henriot: Deutschlands Admirale 1849–1945. Die militärischen Werdegänge der See-, Ingenieur-, Sanitäts-, Waffen- und Verwaltungsoffiziere im Admiralsrang. Band 3: P–Z. Biblio Verlag. Osnabrück 1990. ISBN 3-7648-1700-3. S. 12–13.

Mais ici sa source de littérature,elle est complètement à coté de la plaque, Puisque Konrad Patzig, il dirigeait l'Abwehr. alors comment peuvent t'il avoir eu des infos sur les raisons qui la poussé pour quitté la direction de l'Abwehr, en se basant juste sur les Amiraux Allemands entre 1849-1945.

Donc quelques unes de mes premières sources, eurent tous énumérer cette histoire pour l'historique de commandement de l'Abwehr.
Mais la vérité en est tout autrement, juste en raison, que pour connaitre la vérité réel, il fallait auparavant savoir, que l'Abwehr, sous Konrad Patzig, avait autorisé le survol des territoires étranger. et comme cela a été effectuer encore sous le traité de Versailles.

en bref, je vous laisse lire la raison du changement du chef de l'abwehr.

Rowehl « les changements » Chef de l’abwehr.

Après son arrivée au pouvoir, Hitler a été forcé de prendre en compte à ce moment-là, la triste des réalités de l'Europe. Depuis que L'Allemagne a presque ouvertement violé les termes du Traité de Versailles, il avait besoin de temps pour assurer des relations pacifiques avec ses voisins immédiats. Parmi eux une place particulière obtenu la Pologne, qui alors a déjà reçu une partie du Traité de Versailles, les anciennes terres allemandes - province de Poznan, la quasi-totalité de la Prusse occidentale, la Poméranie et la partie de la Prusse orientale. Regarder le gain et la militarisation de l'Allemagne, les autorités polonaises ont été sérieusement inquiets que rapidement elle pourrait perdre ces territoires, et en particulier la soi-disant Corridor de Dantzig. Les deux parties veulent se protéger et donc sans attendre le 26 Janvier, 1934 ils ont signé un pacte de non-agression mutuelle.

Toutefois, en établissant une "relations de bon voisinage" avec la Pologne, cela n'a pas affecté l'activité de Rowehl. Sur les instructions du chef de l'Abwehr de l’époque, le capitaine zur See (Capitaine de vaisseau) Conrad Patzig il a continué à survoler le territoire polonais, il a photographié le renforcement des fortifications et des ports. Son autre objectif était la ligne Maginot que seuls les Français ont construit le long de la frontière allemande.

Soudainement, en Octobre 1934 après un vol de reconnaissance Rowehl appris à connaitre le ministre de la Reichswehr le généraloberst Werner von Blomberg. Hitler l'a nommé au poste immédiatement après son arrivée au pouvoir le 30 Janvier 1933 von Blomberg était un homme intelligent, mais avait du caractère instable et était extrêmement sensible aux influences extérieures. Ainsi, en 1928, un programme secret de coopération avec l'Armée rouge, ou il a visité lui-même l'Union soviétique et, selon ses propres termes, il était «presque un bolchevik." Ensuite, il lui devenu facile de pouvoir sympathiser avec les nazis.

Von Blomberg était un partisan de la grande et puissante Reichswehr. Mais avec tout cela, il se méfiait beaucoup des ambitions agressives de la politique étrangère d’Hitler. Alors, quand il a appris que Patzig n’as pas mis en demeure ses opérations de reconnaissance aérienne contre la Pologne et la France, un scandale a éclaté. Le ministre et le chef de la Reichswehr et l'Abwehr avaient déjà en plein désaccords sur la reconnaissance aérienne, qui soi-disant interdit à Hitler lui-même. Se sentir en reste, von Blomberg accuse Patzig qu’avec ses actions il était entrain de "torpillé" les intentions pacifiques du Führer.

Le ministre a également cherché à savoir qui et du pourquoi travaillé la tâche de l’Abwehr pour les reconnaissances des territoires polonais et français. Depuis, von Blomberg ne montras pas la moindre compréhension de l'importance des photographies aériennes produites, que le chef de l'Abwehr lui fit voir et en suivi une dispute avec lui, essayant de prouver de grandes perspectives d'une telle méthode de reconnaissance. En réponse Blomberg crias et expulsa Patzig de son bureau.

Patzig as essayé de trouver le soutien du commandant de l'armée le général Werner von Fritsch qui, en fait, a donné l'ordre pour combattre contre cette reconnaissance malheureuse. Arbitrage militaire de haut rang, qui est également soutenue par le major-général Walter von Reichenau, qui dirigea le département dans le ministère de la Reichswehr, rien ne pouvait changer. Blomberg a été catégorique, estimant que "cet homme était mal noté pour le Parti", et finalement Patzig à la fin de Décembre 1934 perdu son emploi. En outre, il convient de noter que ce dernier n'avait pas non plus immédiatement de relation avec la Gestapo - la police secrète de l’Etat (Geheime Staatpolizei (Gestapo(*)), créé par les nazis en Avril 1933 ont peut supposer qu'il avait une dent contre un de ses employés, et qui s’est assurer que les informations sur les vols de Rowehl sont tombé entre les bonne mains de von Blomberg.
Alors es ce que cette variante ne vas pas mieux?
(*) Il y Existait la Gestapo et la Gestapa
Le service de la Gestapa était subalterne à la Gestapo.
La dénomination de Gestapo = QG à Berlin.

Donc, renvoyé par un bon coup au ... de von Blomberg.
et là ont comprend aussi, que dans l'abwehr, sa sécurité n'était pas entièrement clos.

Ainsi, rien que pour trouvé des informations véridique, ici ce sujet, ne pourra en rien être satisfaisant, il restera quelques part, toujours une version qui a été rajouté ou signé par l'auteur, qui n'avait pas de document certifiant que cela lia avec l'Abwehr.

Mais ici je ne vais pas intégré les missions que l'abwehr a autorisé ou commandé, oh non, je souhaite insérer dans ce sujet, rien que l'histoire du département de l'Abwehr.
Oui, bien sûr, parfois, pour certaines missions, comme ont vas le voir, avec autant la toute première mission d'opération avec l'unité "Ebbinghaus", mais une nouvelle fois, ici l'histoire appartient au récit de l'opération, et non au sujet historique de l'abwehr.
c'est ainsi, que je vais a chaque fois créer des sujets dans la catégorie des opération, et suivant si l'opération, a été effectuer sur le sol d'Afrique, ou sur le sol théâtre de l'est ou de l'ouest. etc... ont aura de suite le réel théâtre d'opération, et si c'est pour l'histoire de Rowehl, ben cela ira dans la luftwaffe..

donc je vous laisse une fois lire cette première partie.

Bien, alors ici, le point d'honneur de suite, en ce qui concerne l'unité "Ebbinghaus".

Ont peut voir d'après le récit sur l'affaire du col du Jablonka, que avant le hauptmann von hippel a créer la ZbV 800. (l'unité commando pour l'abwehr).
les petites unités, malgré qu'elles ont reçus un entrainement de l'abwehr, cela ne resta pas plus que des civiles, qui pouvaient effectuer quelques travaux.

Ainsi, pour Ebbinghaus, ont retrouve .
Freikorps Ebbinghaus = Kampftruppe Ebbinghaus = Organisation Ebbinghaus = Bataillon Ebbinghaus.

Mais, mais, comme ont la vue, pour l'affaire du col du Jablonka, l'unité pour l'abwehr était dénommé K.O. Jablunka(**). (sans nom de l'officier qui commandait l'unité).
Et Ebbinghaus, il commandait ou?
dans la région de Katowice. (donc tout prêt de la ville Allemande de Gleisewitz. (opération des SS).

Ainsi si ont creuse encore et encore, ont arrive a ce lien avec l'armée allemande.

"Rudolf Ernst Wiesner"
puisque von Hippel, lui il entre seulement en action, au mois de Novembre 1939, avec la création des Commandos.
Ainsi ici, Rudolf Ernst Wiesner, lui son travail consistait uniquement à créer des unités paramilitaires.

et lorsque il avait une fois créer sa plus grande unité de rassemblement. qui était :
"Partei Jungdeutsche in Polen" (Parti des jeunes Allemand en Pologne) en 1935, ce parti disposait de 50 000 jeunes.

Mais c'est encore lui, qui vas créer au mois de Mars 1939, les entrainements des unités paramilitaires. Tandis que dans les autres villes, de la province de Silésie eux vont créer, les unités de milice d'organisation de Sabotage qui elles furent dénommé: "Freikorps Ebbinghaus" ou Freikorps Bielitz qui comptait un effectif de 214 personnes.
Et au mois de Mai, changement. Sur l'initiative de Wiesner, fut créer le "Freikorps der Gewerkschaft Deutscher Arbeiter" ou a Bielitz fut créer le "Ortsgruppe Bielitz" et Plus de la moitié des personnes qui ont rejoind les corps francs étaient membres du JdP. Les tâches des corps francs avant la guerre était de rassembler des armes et de faire des entrainement militaire et l'organisation d'actions provocatrices.

Organisation des Freikorp en Pologne était sous le commandement du Hautpmann Fleck et Funk, qui eux était des subalterne de l'OKW opérant à partir de Breslau= Wroclaw.

A Breslau, L'abwehr, détenait aussi son bureau.

Donc, l'unité Ebbinghaus changea une multitude de fois de nom, avant de sortir au grand jour....

et pour mon second (**) Alors K.O.Jablunka c'est la dénomination, qui a été utilisé dans les journaux de l'abwehr, K.O. = Kampf Organisation (soit organisation de combat).

Je pense que pour cette première partie, vous arrivez à me suivre, dans ce labyrinthe.

st.ex.
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Message  st.ex. 3/11/2017, 02:07

Bien, alors commençons donc à éplucher l'historique de la création de l'Abwehr, pour mieux connaitre sa structure.

Résidence de l’Abwehr "Bâtiment sur la jetée de mer Tirpitz (Tirpitz Ufer)"
La Naissance

Le traité de Versailles, signé le 28 Juin 1919 a officiellement mis fin à la Première Guerre mondiale, il a de même limité le nombre à cent mille hommes, pour l’armée allemande, il a aboli le service militaire obligatoire, limité le nombre et le tonnage de la flotte, une interdiction sur la création d'unités blindées et aériennes. L'Allemagne a perdu le droit de possédé un état-major et de la reconnaissance agressif. Le rêve de la vengeance, la direction de la Reichswehr, les officiers de l'ancien état major Général de l’armée du Kaiser et du service du renseignement III-b, à la fin de l’année 1919 ils ont commencé le processus de combiner le renseignement des unités militaires individuelles en une seule organisation, et qui a été constituée en 1921 et intégré sous la direction du Ministère de la Défense et a été dénommé "Abwehr der Heerestatistischen Abteilung des Truppenamtes" (Abwehr – le Département statique de la Heer, du bureau des troupes). Le nom a été choisi comme une concession aux exigences du traité de Versailles, mais dès le début, il a été conçu comme une agence de renseignement de l'Abwehr en pleine puissance, dont les fonctions incluaient dans son intégralité l'espionnage, et de contre-espionnage. Dirigé par le nouveau service de sécurité, le Major Frédéric Gempp, et de l'ancien chef adjoint du service de renseignement Impérial Walter Nikolai. Nicolai lui-même, est officiellement en retraite, mais secrètement il conseille Gempp. A ses débuts l'Abwehr était plutôt une petite organisation, composée de trois officiers, sept officiers de réserve et le soutient de plusieurs états major. Mais après l'augmentation de l'Etat et de la réorganisation en 1925 l'agence de renseignement de l'armée a acquis une structure classique.

Division Abwehr-1 (Major Grimeis) engagée dans le renseignement, dispose des bureaux régionaux à Berlin, Dresde, Stuttgart, Munich, Münster, Königsberg et Stettin, avec une vision sur la France, la Pologne, l'Angleterre, la Tchécoslovaquie et l'URSS.

Division Abwehr-2 était responsable de l'interception radio, l'utilisation du chiffrage et de l'analyse du cryptage.

Les fonctions de l'Abwehr-3 (Major Giemer) étaient dans les mesures de contre-espionnage, l'introduction de services de renseignement étrangers et la lutte contre les opposants politiques du régime dans l'armée. Le QG de l'Abwehr était situés à Berlin, sur le Tirpitz-Ufer, 72-76.

Ainsi, avec cette structure, eut fonctionner a ses début l'Abwehr.

Depuis les chefs pour l'Abwehr ont été sélectionnés à partir d'anciens officiers de l'état-major général et de l'ancien service de renseignement III-b, la position politique de l'armée pour son service secret était loin de filé droit suivant la politique officielle qui fut déclaré par la république de Weimar. Le Major Gunter Schwantz, succéda en Juin 1927 à Gempp, qui lui a tenté d'éliminer le frottement causé entre le département militaire de l'Abwehr et le service de renseignement de la Marine. Finalement, cela a conduit en 1928 à l'unification des deux services de renseignement, sous la direction de Schwantz et à la fin de l'année 1929, au poste de chef de l'Abwehr a été nommé le lieutenant-colonel Ferdinand von Bredow, ou les conflits entre l'Abwehr et les officiers de la flotte ont continué, puis lors de la prochaine réforme du ministère de la guerre avec le consentement de l'amiral en chef Raeder Au poste de direction de l'Abwehr le 2 Juin, 1932, arriva un représentant de la Reichsmarine, le capitaine de Frégate Konrad Patzig.

Les objectifs de l'Abwehr sous Patzig

K. Patzig a rapidement éteint le conflit. Il a clairement différencié les tâches de l'Abwehr pour effectuer les missions d'information. Tous les pays ont été divisés en trois groupes. Parmi les objectifs vitaux fut attribués à la France, l'Angleterre, la Pologne, la Tchécoslovaquie et l'URSS.
Et comme objectifs secondaires ont été défini la Belgique, la Suisse, la Roumanie, la Yougoslavie et les Etats-Unis. A l'Autriche, le Japon, la Bulgarie et la Hongrie ont été attribués des missions d'information limitée, en raison que avec ses pays ce fut pour des raisons diplomatiques. Et il existait des cas particuliers qui ont été transmis pour la Chine et l'Italie. La Chine a fait évoluer son réseau de renseignement, en suivant les conseille efficace des conseillers allemands des agents de l'état major de tchang kai chek. Et avec le service de renseignement italien "SIM" qui a aider à l'arrestation en Allemagne du capitaine Roux et de la liquidation en réponse à celles du réseau d'agents allemands en Lombardie ou ont été ajustés des relations d'échange d'informations sous entière confiance. La création de nouveaux bureaux régionaux à Breslau, Wiesbaden, Cologne et Fribourg. Comme un exemple de succès des actions de l'Abwehr en cette période, il convient à noter les opérations suivantes. En 1925, le département de Koenigsberg a recruté des employées du ministère de la guerre Polonais, et qui eu ont eu accès aux documents classifiés. Depuis plusieurs années, les photographies des documents, sur Film ont été transféré aux employés de l'Abwehr à Dantzig.

En 1927, les services de l'Abwehr ont suggéré le capitaine de l'armée tchécoslovaque, qui avait servis dans le ministère de la Défense. La raison pour sa trahison, il avait une grande passion pour les femmes. Le capitaine a donné aux Allemands les documents originaux des plans de l'organisation et de la mobilisation de l'armée Tchécoslovaque. Plus tard, en raison de sa propre négligence (ou il a oublié une mallette à l'aéroport) ou les agents de contre-espionnage tchécoslovaque l'on arrêté et ou il fut condamné à 15 ans de prison.

Pendant long temps ils ont collaboré avec l'Abwehr, tel le Major à la retraite Urlutsiano, qui a servi dans le ministère de la Guerre en Roumanie, et qui a fourni du matériel aux Allemands en Roumanie, la Hongrie et l'URSS. A Belgrade, avec le service de renseignement allemand a travaillé l'ancien colonel Durnovo Wrangel, qui était dirigeant d'une des entreprises allemandes. Et qui avait largement utilisé des dits petits agents généraux, qui ont été recrutés parmi la population frontalière.
En ce qui concerne le renseignement militaire de l'Union soviétique, celle-ci a été basée sur les possibilités offertes par l'accord germano-soviétique sur la coopération militaire signé à Versailles pour contourner les restrictions. Jusqu'à 1933-1934, les officiers allemands se sont rendus sur les terrains d'expérimentation militaire soviétique, pour l'entrainement des unités tactiques des chars, la formation des essais de nouveaux types d'avions, la guerre chimique. Pour eux, il a été organisé une visite des usines militaires soviétiques, des cours à l'état-major général, etc. Seulement avec l'arrivée au pouvoir d'Hitler en Allemagne, cette pratique a été progressivement abandonnée.
Dans le même temps, entre 1932-1933, l'Abwehr a signé un accord sur la coopération et l'échange d'informations avec le service de renseignement en Lituanie. L'accord a été dirigée contre l'URSS et la Pologne. Avec succès se sont déroulé des opérations de l'Abwehr, en particulier dans le domaine du contre-espionnage à la fin des années 20 - début des années 30-s étaient le temps des grosses brèches. Ou une affaire remonte à la surface en particulier, c'est l'affaire du capitaine Sosnowski. Employé du service de renseignement militaire polonais Jerzy Sosnowski en 1926 sous le couvert, de la riche aristocratie polonaise, le Baron von Sosnowski se rendit à Berlin, où il a organisé rapidement un réseau d'agents qui se son vite mis à agir efficacement. Et les agents étaient en majorité des femmes, les deux anciennes amantes du capitaine. Le réseau Sosnowski se composait de la secrétaire du ministère de la Guerre Benita von Falkenhaun, un officier du même ministère de la guerre Irene von Jena, et d'une autre employée du même ministère Renata von Nattsmer. Avec leur aide, Sosnowski réussit à extraire et envoyé à la Pologne une énorme quantité de documents secrets, y compris "le déploiement du Plan opérationnel de troupes sur les frontières contre la Pologne et de la France," les détails de l'accord secret germano-soviétique sur la formation de la Reichswehr. Seulement en Février 1934, grâce à la trahison de l'un des agents, le service de contre espionnage de l'Abwehr réussi à éliminer réseau Sosnowski.

Et pour la structure pour l’avant 1928 elle était groupée sous cette forme:

Gruppe Abwehr der Abteilung T3 (Groupe de L’abwehr de la Section T3)
• Erkundung (Renseignement/Reconnaissance)
• Chiffrier- und Horchdienst (Chiffrage et Surveillance Radio)
• Spionageabwehr (Contre-espionnage)
Ainsi, en 1928. A la date du 1 Avril, 1928 le ministre de la Reichswehr Groener a ordonné sur la proposition de Schleicher, la fusion du groupe de l’Abwehr avec le service secret de la Marine et a augmenté le nouveau service en unité Abteilung (Section). En même temps il avait interdit, a tout autre service de pratiquer de la concurrence avec les activités de l’Abwehr. L’unité Abwehr des années 1920 était une unité trop petite, pour pouvoir s’acquitter de leurs tâches qui leurs furent attribuées. L’abwehr, pouvais uniquement être vu sous Conrad Patzig en tant que Service secret viable.

Et pour la marine, le service se dénommait B-Dienst.
Ont retrouve aussi des traces, que après 1919 ils ont continuer.
B-Dienst = Beobachtung Dienst = Service de Surveillance.

Et enfin l'Abwehr avec sa structure arrive à celle ci.
Zentralabteilung(Abteilung de l'administration) Elle avait la tâche suivante : L'organisation et la gestion avec les groupes suivants:
ZO : Officier du Personnelle
ZK : Direction des Fichiers et le ZKV « Direction des Fichiers des V-Leute (Agent de confiance- plutôt les informateurs puisque "V" = Veräter soit traitre)
ZB : Autorisation pour les déclaration de la politique étrangère
ZR : Affaire Juridique
ZF : Finance et liaison avec le commandement de la sécurité des devises
Z Reg et Z Arch. : Enregistrement et gestion du matérielle ainsi que l'archivage

Amt Ausland/Abwehr « Le Bureau Ausland / Abwehr » (A étrangères /Abw.) était directement subordonné au chef du commandement suprême de la Wehrmacht (OKW)et a été divisé en cinq sections:

Pour le Amt Ausland/Abwehr (ici il faut comprendre, que le personnel subordonné à l'OKW, n'était pas les diplomates soit Ambassadeur et les consul, puisque eux, était subordonné au ministère des affaires étrangère. Mais ici il s'agit, du personnel Militaire, soit les attachés militaires et le personnel militaires servant dans les ambassades et les consuls, sur les sols étrangés.

Pfffffff alors là, j'ai perdu du temps, pour rien et encore rien.
A partir de 1928, fut l'année ou la Dénomination Abwehr fut donné pour le service de renseignement qui auparavant avait la dénomination « T3 ».

Abteilung/Amtsgruppe Ausland « Section/ Groupe du Bureau des Affaires étrangère »
Les Tâches: (Politique des affaires étrangère et de la politique du service de la défense, service de la presse, et publication à la presse, publication littéraire et de la radiodiffusion; connexion aux attachés militaires de la Wehrmacht allemands se trouvant sur le sol étranger et ainsi que à ceux des étranger se trouvant à Berlin et les missions militaires allemandes, les questions juridiques internationales sur la guerre, et pour les rapports de situation) avec leurs groupes subalterne:
Ausland I « Affaire étrangère I »: Politique-militaire et information sur la direction de la Wehrmacht,
Ausland II « Affaires étrangères II »: questions politique sur les affaires étrangère, et communiqués de presse,
Ausland III « Affaires étrangères III »: questions sur le droit du peuple,
Ausland IV « Affaires étrangères IV »: fourniture des navires de guerre et des forceurs de blocus (barrage),
Chef de groupe: Bureau des adjudants (adjoint), personnel, logements, véhicules.

Abwehr I (tâches: Procuration affaire militaires, armement et les informations capital des nouvelles importantes de l'étranger, et le développement d’organisation de publication et de réseau d'agents avec leurs directions et leurs emplacement, boîtes aux lettres, radio et les liaisons avec les agents courrier se trouvant à l'étranger), répartis dans les groupes suivants:

Donc méfiez vous, ici les Allemands ont toujours utiliser les chiffre Romains pour leurs départements.

I Z: Administration et le chef de bureau,
I H (HEER): espionnage contre les armées étrangères avec des sous-groupes IH West (Ouest) et IH-(Est) Renseignement provenant de l'Ouest et de l'Est,
I M (Marine): Espionnage contre les marines étrangères,
I L (Luftwaffe): - Espionnage contre les forces aériennes étrangères,
I T (Technic) L (Luft = Aérien) w (Waffe = Arme): l'espionnage contre l'ingénierie aéronautique de létranger,
I Wi (Wirrtschaft = Economie): Espionnage contre l'économie étrangère,
I G: laboratoires, et autres… faux documents, encres invisibles, et laboratoire photo,
I i. : radiocommunications, en particulier la transmission, le réseau des agents radio, le transport,
I T (Technik = Technologie): Espionnage contre la technologie étrangère,
I K (Kriegs) O (Organisationen) « Organe Guerrière = Paramilitaire »: connexion avec les organes de guerre. dans les pays neutres).

Abwehr II(Tâches: le sabotage, la protection active contre le sabotage, formation et préparation pour les opérations de commandos) avec les groupes suivants:
II A: Chef du bureau exécutif,
II West « Ouest » (subdivisée en plus entre l’hémisphère Nord et Sud)
II-Ost « Est » (également subdivisé en plus entre l’hémisphère Nord et Sud),
II Sud-Ost « Sud-Est »,
II Ubersee « Au-delà des mers Comme les USA ou la Chine»,
II Technik « Technologie »,
dans l’abteilung Abwehr II fut subordonné: les commandos de reconnaissance du Front et –de leurs troupes ainsi que leurs unités subalterne les formations de la division Brandebourg zbV 800 et de leurs unités prédécesseurs.

et enfin l'Abteilung III
Abwehr III(Tâches: la protection de l’abwehr dans les forces de la Wehrmacht, mais aussi dans le cercle civiles, contre l'espionnage et de trahison, infiltration des services de renseignement hostiles) avec les groupes subalterne suivants:
III A: Chef de groupe adjudant,
III C: Protection des affaire militaire et la confidentialité du service de Contre espionage; Sécurité des autorités civiles, avec laquelle la Wehrmacht est en liaison; Liaison au RSHA; Bureau des passeports de l’OKW, ainsi du service subalterne III C 1- autorités, III C 2 Secteur civils restant, sans économie,
III D: la tromperie contre l'ennemi, Agents doubles (soi-dénommé matière de jeu.)
III F: contre-espionnage contre les services de renseignement étrangers, en particulier se trouvant sur le sol étranger (KO)
III F fu: Enquête sur les transmission radio,
III G: Opinion sur la trahison,
III K: Service d’écoute Radio (A partir du début de la guerre, le service est devenu subalterne de l’état major de la Werhmacht)
III Kgf: L’Abwehr dans les camps de prisonniers de guerre,
III N: Liaison avec la presse; Protection de ses propres émissions radio, téléphone et réseau télégraphique,
III U: Operation d’évaluation interne, résultat de contre-espionnage; instruction de l’abwehr,
W III: Groupe de dirigeant de la Wehrmacht avec leurs sous-groupes,
III H – l’Abwehr dans la (heer) l'armée, notamment la protection et la préservation du secret du morale.
III L – Abwehr dans la Luftwaffe et
III M : Abwehr dans la Marine, pour le personnel servant sur le front (1ère ligne) les officiers de l’Abwehr ont été subalternés au Ic,
III Wi /Rü: Service de contre-espionnage dans son propre service d’économie et de l’armement.
Le service subordonné pour cette tâche étant le Geheime Feldpolizei (Police secrète) de l’'armée, est qui enquêtait sur le cercles des commandants militaires, ce service a été subordonné jusqu’au début de 1942, à l’Abwehr Abteilung III. Puis leurs enquêteurs ont été incorporés en grande partie dans le service de la Sicherheitspolizei « SiPo » (Police de la sécurité) « unité du RSHA Reich Sicherheit Haupt Amt de Reinhard Heydrichs»

Mais là il y’a beaucoup de service intégré, qui ont été uniquement été créé après 1933, avec la venu au pouvoir d’Hitler, puisque la Luftwaffe, est réellement devenu active que en 1935.
Puisque auparavant, Goering a eu le Luftfahrtminiterium, soit le ministère de l’aviation civile.

Et pour la suite, pour éclaircir ce brouillis, nous allons voir, que après la venu au pouvoir d’Hitler en 1933, lui-même a ordonné l’élargissement de l’effectif à +150 hommes dans les bureaux de l’Abwehr.

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Message  st.ex. 3/11/2017, 02:45

historique de l'Abwehr 10132810
Bien ici nous avons deux photos de gauche à Droite.
Oberst Ferdinand von Bredow, Commandant de l'Abwehr dans la période de 1929, juste avant l'arrivée de Patzig.
et Wilhelm Canaris.

historique de l'Abwehr 10132811

Ici une photo d'un des bâtiments d'une AST et celle de l'Abwehr de Königsberg. (AST = Abwehrstelle = soit Poste de l'Abwehr)
en russe est écrit:
Le bâtiment de l'abberstelle "Königsberg" sur la Kranzerallee (aujourd'hui rue A. Nevsky (Kaliningrad)).

historique de l'Abwehr 10132812
Alors lui!
Inspecteur de la police de sécurité et du SD à Königsberg Konstantin Canaris
Et oui, le lien avec l'amiral = son neveu.
qui lui a travers son oncle a obtenu un poste a Königsberg. Il a été Inspecteur de police et en liaison avec le SD. (Sicherheit Dienst de Heydrich), mais, mais, es ce que ce poste d'inspecteur, était avant l'aide de son oncle, oui, en raison, que j'avais déjà lu à travers une autre source, que le neveu de l'amiral, a obtenu le poste de leiter der abwehrstelle a Königsberg (soit directeur du dit service subalterne de renseignement).

Bien continuons, et élargissons nos connaissances.
Et étudions un peu en vitesse, une autre source, pour mieux comprendre, l’avant des années 1930, en raison, que L’auteur Julius Mader, lui avant 1930, ses informations, sont vraiment minimes. Et maintenant si je vous énumère Gempp. Cela va devenir plus intéressant en tant que Source non ?.

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Message  st.ex. 3/11/2017, 04:00

Alors pour bien comprendre le livre.
Je vais juste une fois, vous traduire la préface, qui elle parlera d'elle même.

Il y a une quinzaine d'années, l'auteur a eu la chance de faire la connaissance d'un homme intéressant: Potemkine Ivan Ivanovitch et, comme cela arrive souvent, il l'a connu par hasard. Un jour d'été chaud, l'auteur de ces lignes, avec son ami, est allé à la mer à Baltique pour bronzer et nager. À son arrivée dans la ville, un ami lui a demandé de rendre visite à un de ses parents pendant une courte période pour lui remettre de petits cadeaux. L'ami a appelé son parent "grand-père", mentionnant son âge très respectable. Selon lui, cela ne prendra pas beaucoup de temps et que dans une demi-heure, nous allons déjà barboter dans les eaux de la mer Baltique.
Tout s'est passé, comme prévu, seulement la supposée «demi-heure» est passé inaperçue dans une longue conversation qui s'est terminée le lendemain matin. L'auteur a regretté à plusieurs reprises de ne pas disposer d'un appareil d'enregistrement près de sa main, ce qui lui aurait permit, d'avoir les détails, enregistrer des histoires exclusivement intéressantes d'Ivan Ivanovitch.

Il s'est avéré que Ivan Ivanovitch a commencé son service dans les organes du NKVD de l'URSS dans la lointaine période de l'année 1937 au Komsomol.  Et il se rapeellait des anciens dossier, Ivan énuméra cet épisode de sa biographie, lorsque il sortit de l'école du NKVD de Kharkov, il a été envoyé à la pratique dans l'un des départements de la Lubjanka. Après c'être présenté au patron, qui d'une manière ou d'une autre a décrit fusement ses tâches futures, qui consistait d'abord à analysé des vieux dossier, il a reçu une boîte en carton avec des clefs du Coffre fort. Ivan Ivanovitch devait faire un «inventaire» du patrimoine laissé par ses prédécesseurs sous la forme d'un grand nombre de documents officiels conservés dans les coffres fort du département. Le travail était simple, mais laborieux.
Ayant reçu les instructions appropriées, Ivan Ivanovitch entra dans le bureau qui lui était assigné. La première chose qui a attiré son attention était des fleurs séchées dans des pots et une épaisse couche de poussière sur les tables. Sur le cintre pendaient des manteaux et des casquettes d'anciens propriétaires de coffres-forts et de tables.

Il se posa beaucoup de questions sur l'institution comme la Lubyanka, mais il ne fallait surtout pas les poser, et sachant cela, Ivan Ivanovitch écoutait plus qu'il ne parlait. Au fil du temps, il se familiarisa avec une partie de la section restante des agents de sécurité, il a découvert que les propriétaires de paletots et casquettes ont été arrêtés, et ces arrestations ont eu lieu sur le schéma simple: un employé appelé au téléphone par son chef, et plus tard il n'est plus revenu dans son bureau. Plus tard, Ivan Ivanovich, il est devenu clair que le transfert de masse des jeunes employés est due à la persécution qui a commencé dans les services de sécurité quand un nombre important d'agents de sécurité ont été liquidés, des collègues en raison d'un certain nombre de Nettoyages.
Le travail d'Ivan était le fait qu'il jeta un regard rapide sur le contenu des affaires, dont la production a déjà pris fin, ou en relation avec la condamnation des accusés, ou pour d'autres raisons.

………
Ivan Ivanovich se souvient des histoires de certains des prisonniers en raison de leur caractère inhabituel et atypique. Par exemple, il a dû gérer un dossier de l'un des employés du ministère du renseignement militaire de la Wehrmacht, en captivité, il a servi de traducteur dans le département du renseignement (IC*) Division d'infanterie, qui avant la guerre avait déjà visité lors des interrogatoires du KGB. Appelons-le "Fritz"………

(*)Alors ici le service Ic = service de renseignement subordonné directement à l'armée. Telle la 18ème Armée avait son service Ic, qui était sous le patronyme du chef de l'état major de l'armée (abrégé Ia).

Donc je sursaute le reste, jusqu'au premier chapitre.
En raison, que Fritz Gempp, ancien commandant de l'Abwehr, lui a été prisonnier de guerre chez les Russes, et c'est lui qui énumère ce qui vas suivre, témoignage, qu'il a effectué à la Lubjanka après qu'il était prisonnier de guerre. Et ou Ivan, était l'un d'entre eux, qui avait noté l'interrogatoire.

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Message  Narduccio 3/11/2017, 10:16

Vous savez que pour vos types de monologues un blog personnel serait plus indiqué ?

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Message  st.ex. 3/11/2017, 10:55

En fait, je survole juste rapidement, la partie sur le dénommé "Fritz"

Lors du premier interrogatoire, Fritz avait clairement nommé un article du code pénale Russe, sur lequel il a été reconnu coupable en 1937, ou il avait témoigner que leurs services a pratiquer de la reconnaissance pour récolter plein de renseignement. Il s'est avérer que dans les années 1930, que Fritz avait passer les test de recrutement par l'ambassade soviétique de Berlin, dans son domaine ou il a été expert. Ou par la suite en tant qu'expert il a été envoyé pour participé à la construction d'une aciérie dans l'oural.
Mais avant son départ, deux policiers lui avait rendu visite à son appartement, ou après qu'ils ont eu une discutions, il a été recruté par eux, dans l'intérêt du service de renseignement Allemands.
Ses tâches était basique, il lui fallait recueillir des renseignement, sur les capacité de production de l'usine qui allait être construire etc. Alors qu'il avait rendu visite a des parents pendant ses vacances Fritz a été soumis à interrogatoire de renseignement par ses recruteurs, qui eux également lui avait répondu a ses propres questions, qu'il avait poser ... Il lui fut transmit un mot de passe oral, avec lequel un résident de l'URSS s'adressera à lui, dont les tâches similaire lui avait été demandées.
Quelle fut la surprise de Fritz lorsque, un jour après son retour de vacances en URSS, il fut arrêté par des officiers du NKVD et escorté dans une prison locale. Il était d'autant plus surpris que lors de la confrontation avec son collègue de chantier, ce dernier avait nommé le mot de passe précédemment élaboré par les policiers et le pseudonyme de son agent. Plus tard, il est devenu clair que le collègue de Fritz était un résident des services de renseignements allemands et, après une «conversation sérieuse» avec les Tchékistes, il a témoigné de ses activités et des activités des résidents en Union soviétique.
Après le procès il effectua un bref séjour à la prison soviétique, Fritz a été renvoyé en Allemagne, où il se retrouva dans des conditions semblables d'emprisonnement. Cette fois ci, pendant plusieurs mois, il a été interrogé par des agents de la Gestapo qui étaient intéressés par la raison de son échec. aux interrogations ont également participé des officiers de l'Abwehr, qui eux était plus intéressés par les questions purement problématique.
Après avoir terminé l'enquête, au cours de laquelle Fritz a montré sa loyauté envers les autorités allemandes, il a été invité à suivre une formation de renseignement supplémentaire pour poursuivre les travaux dans l'Ouest. La formation a eu lieu dans une sale entouré d'un petit groupe dans une des banlieues calmes de Berlin, où des «scouts (éclaireurs)» nouvellement formés ont passé un cours d'un nouveau métier pour eux. Pendant trois mois, l'état major de la Gestapo et de l'Abwehr a formé les recrût aux bases, du cryptage, de la préparation de produits chimiques pour l'écriture de lettres codé et d'autres «sciences» sans lesquelles l'éclaireur ne peut se passer.

Après avoir terminé ses études, Fritz a été laissé seul pendant un certain temps. Immédiatement avant le début de la campagne de Pologne, il a été rédigé pour servir en tant que soldat dans l'une des unités de la Wehrmacht. Et après un certain temps, il a été transféré au poste d'interprète dans le l'abteilung de renseignement de l'une des divisions d'infanterie, où il a servi jusqu'à sa captivité par les troupes soviétiques en 1945.

L'une des questions importantes auxquelles devait faire face le contre-espionnage soviétique à Koenigsberg était de découvrir le sort des archives et des fichiers des agences de renseignement et de contre-espionnage allemands situées sur le territoire de la Prusse-Orientale. Le fait est que des groupes spéciaux de contre-espionnage soviétique, agissant côte à côte des troupes Soviétique qui avançaient et ayant des tâches de capturer ces matériaux exceptionnellement importants, les ont partiellement remplies. Mais la majeure partie de la documentation opérationnelle n'a pas été trouvée "poursuite". Il était donc nécessaire de re-effectuer leur recherche après la fin des hostilités.
La plupart des personnes interrogées ne possédaient pas cette information, se limitant à des références à leurs ordres exécutés personnellement, selon lesquelles les documents opérationnels et d'archives devaient être détruits. Aucun document important sur les activités des organes spéciaux allemands n'a été trouvé. « La pêche miraculeuse » s'est limitée à une partie d'un fichier de carte contenue dans la prison intérieure de la Gestapo et un grand nombre de dossiers de l'état major de la police secrète, qui eux était peu de valeur, mais qui pour restaurer les certificats nécessaires périodiquement accessibles en cas d'exécution des demandes d'autres organismes de sécurité.
Avec la rigueur allemande en matière de telles informations reflète dans les moindres détails de la biographie des services de police de la sécurité, dont la majorité, des documents trouvé se référait aux mutations, et qui ont participé aux « actions spécifiques » sur le front de l'Est. Sous de telles actions signifiait la lutte contre le mouvement partisan et la participation à la «solution finale de la question juive» dans les divers Einsatzkommando et Einsatzgruppen de la police de sécurité et du SD.
Une autre tentative infructueuse était de trouver des documents opérationnels de la Gestapo a été liée au contenu du coffre-fort de cette organisme. La destruction suite aux bombardement du bâtiment du Polizeipresidium (direction de la police) où se trouvait l'état major de la Gestapo à Königsberg, dans des caves et au rez de chaussée, il y avait des tas engloutis depuis les étages supérieurs après un incendie tout se trouvait mélanger avec le sable et de béton entre les murs. Leurs contenus sont relativement bien conservés, mais, à de rares exceptions près, il manque des documents intéressants d'un point de vue opérationnel. Dans plusieurs coffres, nous avons trouvé des bouts de documents avec des extrémités résistantes à l'usure et à la déchirure ...

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Message  st.ex. 3/11/2017, 11:00

Mais Narduccio, pourquoi Monologue?
Il existe plein de personne, qui ne sont pas forcément au courants de ses histoires.
Et qui sait, d'ici quelques semaines, peut être une autre personne, suivant mes traduction du livre, disposera d'autre informations, et souhaitera aussi les partager sur le forum.

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Message  Narduccio 3/11/2017, 12:02

Mais dans ce cas, faites un effort en ce qui concerne l'écriture. On a le plus grand mal à comprendre votre charabia ... Vous utilisez un traducteur en ligne ?

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Message  st.ex. 4/11/2017, 06:53

Narduccio a écrit:Mais dans ce cas, faites un effort en ce qui concerne l'écriture. On a le plus grand mal à comprendre votre charabia ... Vous utilisez un traducteur en ligne ?

cité moi un paragraphe que vous n'avez pas compris le sens!

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Message  Narduccio 4/11/2017, 08:04

st.ex. a écrit:
Narduccio a écrit:Mais dans ce cas, faites un effort en ce qui concerne l'écriture. On a le plus grand mal à comprendre votre charabia ... Vous utilisez un traducteur en ligne ?

cité moi un paragraphe que vous n'avez pas compris le sens!


Quelques phrases suffiront :
Lors du premier interrogatoire, Fritz avait clairement nommé un article du code pénale Russe, sur lequel il a été reconnu coupable en 1937, ou il avait témoigner que leurs services a pratiquer de la reconnaissance pour récolter plein de renseignement. Il s'est avérer que dans les années 1930, que Fritz avait passer les test de recrutement par l'ambassade soviétique de Berlin, dans son domaine ou il a été expert. Ou par la suite en tant qu'expert il a été envoyé pour participé à la construction d'une aciérie dans l'oural.

Alors, en français, on devrait écrire : Lors du premier interrogatoire ... mais de qui et par qui ? Bon, présumons qu'il s'agit de ce nommé Fritz, mais est-il l'interrogé ou l'interrogateur. Bref, il nomme un article du code pénal russe. "Sur lequel il a été reconnu coupable en 1937" On n'est pas reconnu coupable sur un article du code pénal. A la limite, on peut dire "sur la base duquel il a été reconnu coupable". Bref, admettons qui a été condamné car il n'a pas respecté le Code pénal russe. Alors, le reste de la phrase, c'est un tel charabia "ou il avait témoigner que leurs services a pratiquer de la reconnaissance pour récolter plein de renseignement." Un enfant de 8 ans écrirait peut-être dans ce style, mais j'ai cru comprendre que vous aviez nettement plus de cet age. On devine que quelqu'un à témoigné et que suite a cela il a dû faire de la reconnaissance ? Était-il aviateur ? Et qu'il a fait des vols de reconnaissance, car je ne comprends pas le sens du reste. Mais voilà qu'il semblerait en fait qu'il a participé à des tests de recrutement à l'ambassade soviétique de Berlin. Apparemment pour y être recruté en tant qu'expert. Et voici que l'on envoie cet expert participer à la construction d'une acièrie dans l'Oural. Serait-il un expert dans la construction des aciéries ?

Désolé, vous faites tellement d'erreurs que vos textes ne sont pas compréhensibles. On doit les décrypter et il y a une très grande place pour des interprétations. Vous arrivez sans doute à vous comprendre, mais vous devez être le seul. Si vous ne faites pas un effort, nous serons dans l'obligation de supprimer tous les messages dont le sens nous échappe

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Message  st.ex. 4/11/2017, 11:01

re bonjour Narduccio! Alors la mon cher administrateur, je me permet de vous dire, que vous avez soulevez un lièvre.

En raison que les questions que vous posez ici, elle ne sont pas mentionné dans le livre.
Et comme vous avez dû le comprendre, l'ancien officier du NKVD, avait dénommé "Fritz" pour ne pas utilisé le réel nom.
Donc ici, pour pouvoir avoir des infos subsidiaire. Désolé, moi je n'ai pas d'accès au site internet de la Lubjanka. Et même si j'avais un accès, trouvé ces informations, en étant au courant, que l'ancien officier du NKVD, avait mentionné un faux nom, retrouvé donc une personne accusé, et qui faisait partie des Allemands interrogé pour les raisons d'espionnage etc....
En clair c'est vraiment rechercher l'épingle dans une botte de foin.

Apparemment pour y être recruté en tant qu'expert. Et voici que l'on envoie cet expert participer à la construction d'une acièrie dans l'Oural. Serait-il un expert dans la construction des aciéries ?
Apparemment, c'est ce que j'ai pu en conclure, suivant les informations qui ont été écrit juste à présent.
Et ici à la suite, il est mentionné, que il a été intégré en tant que Soldat dans la Wehrmacht, tout naturellement, en tant que Soldat, et non en tant qu'un officier, ou un sous-officier, et il est juste mentionné une division d'infanterie (sans numéro d'identification de la sois disante division d'infanterie).
Donc ici, pour le moment ont peut en déduire, comme ils parle de Königsberg, aujourd'hui Kaliningrad.
Ainsi l'unité division faisait partie de la Heeresgruppe Nord.
http://www.lexikon-der-wehrmacht.de/Gliederungen/Heeresgruppen/HeeresgruppeNord.htm

Ici dans le groupe d'armée "Nord" du GFM von Leeb. pour le 20 Juin 1941.
3 Armées dont le 4ème Groupe de Panzer.
dans la 18ème Armée ont trouve une première division d'infanterie qui est la 291ème.
Et après, en plus si ont entre dans les subordinations des Armées.
Dans le XXVIème corps d'armée. il en disposait de deux.
la 61ème D.I. et la 217ème D.I.
et pour le Ier Corps d'armée, ont y trouve 3 D.I.
soit la 1ère la 11ème et la 22ème D.I.

donc ont peut en déduire, si le dénommé "Fritz" avait fait partie de la 18ème Armée.
Ici donc 6 Divisions d'infanterie possible.

je suis bien d'accord, que j'ai des améliorations encore a effectuer sur les dénominations que j'utilise.

Et je pense que vous serez aussi d'accord avec moi, que lorsque ont effectue une traduction, et que ont cite l'auteur et le titre du livre à la fin, le traducteur, lui n'a pas le droit, d'inventer pour modifier un paragraphe, ou de donnez sa propre vision, sur les données qui ont été transmises dans le livre, toujours pour modifier les paragraphes existants.

Et sans attendre le livre est:
Oleg Vladimirovich Cherenin
Shpionskij Kjonigsberg
Operacii specsluzhb Germanii, Pol'shi i SSSR v Vostochnoj Prussii
1924–1942

Soit le titre traduit = (Les Espions de Königsberg
Opération spéciales des Allemands en Pologne, URSS à travers la Prusse de l'Est, entre 1924 et 1942.)

Et en tant que une autre source, qui parfois je trouve des réponses à mes questions.
j'utilise ce site internet. (c'est aussi rechercher l'aiguille dans la botte de foin, mais c'est déjà classé)
http://wwii.germandocsinrussia.org/de/nodes/1-bestand-500

(Les documents ici, sont les photocopies des originaux, qui ont été trouvé et capturé par les russes après la seconde guerre mondiale, donc soit les documents sont écrit en Allemands, soit écrit en Russe, telle pour l'exemple, il existe même les documents manuscrit de Keitel, et là si ont ne sait pas déchiffrez la lecture manuscrite, mieux vaut laissez tombé).

exemple concret d'un télégramme que Hitler a signée le 20 septembre 1939, et qui était destinée a tous les groupe d'armée.
http://wwii.germandocsinrussia.org/de/nodes/2168-akte-30-telegramme-des-oberkommandos-der-wehrmacht-an-die-heeresgruppenkommandos-nord-s-d#page/5/mode/inspect/zoom/5

Donc si maintenant je traduirait ce texte, je n'ai pas le droit, d'intégré d'autre mention, qui proviendrait d'un autre livre, ou d'une autre source.

Ainsi le lecteur, il faudra qu'il comprennent le sens, qui a été écrit ici, avec les données qui ont été intégrée.

Mais comme ont se trouve sur un forum, ah que oui, je pense que vous serez d'accord, que ont à le droit de discuté et autres sur le sujet. En raison que si ont ne souhaite pas vouloir discuté, c'est comme si ont connaitrait déjà toutes les réponses.

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Message  Prosper Vandenbroucke 4/11/2017, 11:51

Il n'est aucunement question de d'interdire de discuter(car certes nous sommes sur un forum) il est simplement question de la compréhension des textes que tu mets en ligne et en cela je rejoins l'administrateur
Traductions (automatiques ou par toi) force est de constater que ces textes sont souvent incompréhensibles. Je sais que personne n'est infaillible (en commençant par moi), mais bon Dieu, un petit effort en matière d’orthographe ne fait de mal à personne. (Je suis néerlandophone d'origine)
Désolé mais c'est ainsi.
Bien cordialement
Prosper clin doeil gri
Prosper Vandenbroucke
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http://www.freebelgians.be/news/news.php

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Message  Narduccio 4/11/2017, 17:15

Prosper Vandenbroucke a écrit:(Je suis néerlandophone d'origine)

Ma première langue a été l'italien que parlaient mes parents... Mais, ma mère a tenu très tôt que nous parlions un français correct.

Revenons à nos moutons.

@ St.ex, ce que vous ne semblez pas vouloir comprendre c'est que nous sommes sur un forum de discussions. A la base, un forum de discussions, c'est fait pour ... discuter. Chose pratiquement impossible avec vos monologues car ils ouvrent à la voie à toutes les interprétations. On en comprend pas le sens. Et quand je vous signale que je ne comprends pas ce qu'il y a écrit, vous me répondez que je soulève "un lièvre" ... J'espère que le livre que vous citez est mieux écrit que vos textes, car ils sont incompréhensibles. Il me parait donc évident que vous n'y trouverez pas les réponses à la question principale : allez-vous vous décider à respecter nos membres en écrivant quelque chose de compréhensible par tous  , oui ou non.

Si c'est oui, modifiez vos textes de manières à ce qu'on puisse en sensir le sens. Si vous ne faites pas cet effort minime, nous serons dans l'obligation de nous passer de vos services...

De plus, vous semblez nous traduire de larges passages d'un livre paru à l'étranger. Avez-vous, en respect des lois sur les droits de copie, l'autorisation de son auteur pour procéder à une traduction ? Sur ce forum, nous veillons au respect des lois en vigueur ...

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