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Message  Kalendeer 14/12/2008, 16:00

Bon, ça fait plusieurs semaines que j'hésite à les poster, en plus je savais pas trop où les mettre mais bon...
Voilà plusieurs fois que je vous demandais des informations pour certains de mes écrits (mes romans), et je me disais que ce serait peut être bien de voir à quoi ça me sert beret pour l'instant il n'y a qu'un seul roman de commencé, mais j'ai fais quelques nouvelles.
Evidemment, vous n'êtes pas obligés de lire, c'est si vous avez un peu de temps à tuer ou que vous vous ennuyez ^^

La première nouvelle date du mois de Juin et a été écrite pour la revue en ligne d'une maison d'édition. Je vous préviens, c'est culcul ^^" (mais vous pouvez vous arrêter au premier message sur les deux puisque la nouvelle a deux fins).
Celles déjà écrites : un truc sur Rommel, un autre sur les prisonniers de guerre allemands en GB. Y'a aussi un truc vaseux sur la première guerre mondiale.

Sommaire des nouvelles postées :

Contes de Fées


Dernière édition par Kalendeer le 14/12/2008, 16:02, édité 2 fois
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Message  Kalendeer 14/12/2008, 16:00

Contes de Fées

J'avais vingt ans en quarante deux, une dent cassée sur le côté droit de la mâchoire en souvenir d'un coup de crosse dans la joue, et je partais pour la France. Je portais l'uniforme gris de la Wehrmacht, mes cheveux châtain coupés court, comme les millions d'autres soldats que comptait le Troisième Reich.

Je posais le pied sur le sol de France avec l'esprit joyeux de ceux qui s'attendent à des vacances. Le nom de "Frankreich" rimait, dans mon esprit, avec "vin", "femmes" et "Tour Eiffel". Je débarquai pourtant loin de Paris. Le groupe dont je faisais partie, et dans lequel j'étais ce que vous appelleriez un lieutenant, se rendait au Puy en Velay pour l'occupation de la Zone Sud.

Comme nombre d'officiers et de sous officiers, on me logea chez l'habitant. J'avais, chaque matin, presque une demi-heure de route pour joindre mon lieu de travail. Mes hôtes vivaient sur le versant d'une vallée vellave dans une vaste ferme du dix-huitième qu'on léguait de parents à enfants depuis deux siècles.
Je me heurtai vite à la froideur d'une population locale farouche, fière de son terroir. Un pays où, heureusement, maquisards et terroristes n'étaient pas si nombreux, ou trouvaient des cibles plus intéressantes qu'un petit lieutenant de Weimar. La grande bâtisse accueillait le père, Fabrice Goujot, son épouse et ses parents, deux commis en été pour faire paître les vaches et, en hiver, les quelques voyageurs qui passaient dans la région. Ils avaient, enfin, une enfant du nom de Louise qui, à mon arrivée, ne dépassait pas cinq années d'âge.

La petite Louise passait le plus clair de son temps à la maison. En hiver, les routes enneigées la retenaient souvent loin de l'école, et son père affirmait qu'avant six ans, nul besoin n'était qu'il se dérange à l'emmener à vingt cinq kilomètres de là pour étudier, car le village n'avait pas d'établissement primaire.
Il arrivait que même la moto fournie par l'armée ne puisse tracer un chemin sur le verglas des chemins locaux, et nous nous trouvions alors tous les deux, autour de la table ronde de la cuisine, près du poêle et de sa chaleur.

Elle était blonde, le visage orné de belles joues rondes et dépourvu de l'hostilité qu'affichaient ceux de ses parents. Je la devinai rapidement esseulée dans toute cette neige et, me trouvant d'un coup le plus jeune de la maisonnée et sans se soucier de mon uniforme, elle voyait en moi un compagnon de jeu autrement plus dynamique que son vieux grand père, et moins grognon qu'une grand mère qui ne quittait jamais son tricot. Son pays natal avait déjà peu de secrets pour elle, dans les limites d'un terrain qui étaient, au Sud, une barrière entre deux prés, la grande route qui allait vers le Puy à l'Est et, au Nord et à l'Ouest, la lisière d'une grande forêt de sapins.

Quand le printemps revint et que les premiers brins d'herbe percèrent la couche neigeuse, Louise m'entraîna dans son royaume des pré alpes. Elle me prenait par la main, indifférente aux colères de son père s'il l'avait vu faire, et me guidait vers des îlots de beauté, petites clairières, en bordure même des bois où l'eau pur des montagnes jaillissait à nos pieds.

"Là," me dit-elle la première fois qu'elle me mena dans son château de fée, "c'est la maison d'un esprit de la forêt. Il protège les enfants contre le méchant loup."

Je ris et lui raconta des contes de mon pays, où un loup au poil noir dévorait une petite blonde à la cape rouge et sa grand-mère…

"Frankreich", en ce temps, voulait dire "lumière sur le sol forestier", "musique de l'eau sur les pierres" et, plus que tout, "Louise, princesse des fées".
Elle me grondait lorsque je l'appelais ainsi.

"Allons, Monsieur Hans, il faut pas dire cela. La reine des fées n'aimerait pas du tout," disait-elle avec le plus grand sérieux, les lèvres incurvées en une moue désapprobatrice. Je faisais mine de me plier à son avis et souriait de ses superstitions enfantines.

L'été vint et, avec lui, les fleurs sur les pâtures, le chant de tous les oiseaux qui n'étaient pas encore sortis de l'hiver. Le père Goujot découvrit les excursions que nous menions, cria à en faire trembler l'eau de vie dans sa bouteille. Je jurai de laisser sa fille; je ne mentai pas : c'est elle qui ne me lâchait pas.

Plus loin à chaque fois et malgré mes protestations, elle me prenait par la main et me tirait sur des sentiers. Mes bras étaient plus forts que les siens, mais son sourire me désarmait. Je n'avais jamais eu de volonté face aux enfants. Et quand enfin nous nous étendions sur l'épais tapis d'humus des bois, ou sur l'herbe rare d'une clairière, elle racontait comme les fées donnaient des gouttes d'arc en ciel aux bourgeons, et que c'est ainsi que les fleurs prenaient toutes leurs couleurs.

Les contes de Louise étaient pour moi comme des mirages. Gracieux pour l'esprit, des calices de fraîcheur pour l'âme d'un soldat qui, loin d'elle, arrachait la vie d'une torsion du doigt. Mais je ne leur accordais aucune foi scientifique, n'acceptais de leur donner qu'une dimension imaginaire. Le vent sifflait des mots et je n'entendais que le souffle de l'air contre les tuiles d'ardoise. Une source un instant faisait un visage d'écume; je n'y voyais qu'un hasard éphémère.

Je m'éveillai un soir, secoué de cauchemars où le sang jaillissait d'un crâne qui explose, des cris à la gloire de la patrie déchiraient l'espace et une danseuse de cabaret fumait un cigare aux relents violacés. Le cœur me battait les côtes, la sueur gelait mes épaules et mon torse, en ce jour de début d'hiver où les premières neiges, tombées la veilles, faisaient des fleurs de givre contre ma fenêtre.

J'allumai ma lampe de chevet, un objet désuet au pétrole qui puait en brûlant. La clarté aussitôt peignit sur les murs d'horribles traits sombres, transfigura chaque meuble en monstre féerique. Je me sentais comme égaré dans les restes d'un rêve, pâteux de sommeil et la paupière encore lourde, la peau frémissante de froid. Transi, je me levai, enfilai une veste et descendai à la cuisine.
Les Goujot gardaient toujours quelques briques à chauffer dans le four à bois qui, en cette saison, était allumé toutes les nuits. Je cherchais les gants de tissu matelassé pour en tirer une de la tiède fournaise quand mon regard trouva, entre les carreaux de verre et les volets plaqués contre la fenêtre, deux billes vertes qui renvoyaient comme des miroirs la lueur de ma lampe.

Je clignai des yeux et approchais l'objet. La vitre prit une couleur dorée, là où le givre accrochait les rayons, mais il ne restait rien des yeux de chat que j'avais aperçus. Le vent sifflait contre les lattes des volets, bien fermés et si serrés que nulle créature n'aurait pu se faufiler.
Avais-je imaginé l'incident ?

Je retournais à ma chambre à pas silencieux, une marche, deux marches, passer par-dessus la quatrième qui grinçait et glisser avec légèreté devant la porte du père Goujot. La pierre chaude, contre mon cœur, apaisait mes tremblements.

Je trouvai la pièce comme je l'avais laissée, déposai et éteignai la lanterne, puis plaçai à l'aveuglette la brique entre les draps. Un volet qui claque me fit sursauter et là, au plafond, brillaient, parallèles, les rais d'une lumière qui passait par-dessus les battants, comme lorsque, au noël de l'année précédente, les Goujot avaient placé de multiples bougies sur les rebords de leurs fenêtres.

J'allai à l'ouverture et défaisais le loquet. La lucarne ouverte d'abord, puis le volet de bois qui m'échappa des mains, tiré par le vent. Il faisait noir et gris et blanc, une lueur dans le lointain éclairant les flocons du blizzard. La tempête rabattit des cristaux contre mes yeux et jusque sur le plancher, si bien que je clignais furieusement des paupières. Mais là bas, tout près de ce que je me souvenais être le chemin vers les bois, voletait toujours l'étrange lumière et, en un éclat, le miroitement de deux yeux de chat…

Je fermai avec précipitation la lucarne, saisissai mon uniforme d'hiver et l'enfilai avec maladresse. De l'autre main, je piochai dans un tiroir mon pistolet de poing. Mes bottes claquèrent furieusement sur la quatrième marche et j'étais certain, en enfilant la clef dans la porte de la cuisine, qu'un juron sonore s'était échappé de la chambre des Goujot.

Mais j'étais déjà parti. Mes bottes s'enfoncèrent dans la poudreuse et je me retrouvai rapidement à patauger. Mes semelles glissaient sur un sol gelé et une neige trop fraîche. Malgré ma capuche fourrée et mon cache nez, j'eus bientôt la moitié du visage gelé par un froid inattendu. Je continuais néanmoins, droit vers la lueur qui guidait ma route, chutant tous les dix mètres et bientôt aussi blanc que le paysage alentour.

Je tint ce rythme jusqu'à ce que les premiers arbres ne changent l'épais tapis de neige en une simple poussière glacée sur l'humus. Le vent débarrassait à présent mes épaules et les plis de ma veste d'un peu de la poudreuse qui s'y était accumulée, sifflait entre les branches, adversaire menaçant qui me jetait son souffle à la figure dès lors que je voulais regarder derrière moi.

Devant moi la lueur allait toujours avec, de temps à autre, les yeux qui se tournaient pour m'observer. La peur accéléra mon souffle lorsque je remarquai à quel point ces lumières étaient étrangement visibles dans la tourmente. La pompe sanguine qu'était mon cœur, elle, craignait les bourrasques dans mon dos.
J'avançais, poussé par une volonté qui n'était pas la mienne.

En quelques minutes ou quelques heures, j'étais complètement perdu, incapable même de dire dans quelle direction je me dirigeais. Je suivais aveuglément la lueur, les bras ballants, mon pistolet perdu depuis longtemps. Je ne savais plus quand je l'avais laissé tomber; peut être était-ce lorsque j'avais trébuché contre une racine et opposé mes deux mains à une énième chute.

Vint un moment où je me retrouvai seul dans la pénombre du Velay, sans plus de lumière ni d'yeux de chat pour me guider. La lueur s'était comme éteinte entre deux troncs centenaires ; j'étais seul. Je haletai de panique, tournai autour de moi-même mais ne reconnaissais rien, ne voyais plus rien de net, et souffrais du froid poignant qui, déjà, glaçait mes jambes du pied au mollet et rendait mes bottes rigides comme des chaussures neuves.

Je paniquai alors et sentit des larmes brûlantes échapper de mes yeux pour se changer en perles de glace au coin de mes joues. Je hoquetai et me laissai tomber à genou, frappé de désespoir et songeant, ironique, que c'était peut être là un des tours de la reine des fées de Louise, venue me punir d'avoir dit de l'enfant qu'elle était de leur sang royal.
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Message  Kalendeer 14/12/2008, 16:01

Je me trouvais je ne savais comment prostré contre un arbre, entre deux énormes racines. La folie engourdissait mes sens et je m'entendais répéter une inlassable prière, dirigée vers l'héroïne des fantaisies d'une enfant, ma raison envolée avec le vent… "Je vous en prie, je vous en prie, je ne le ferais plus ! Reine des fées, votre majesté, pardonnez moi !"
Et je psalmodiais ainsi, sanglotant et mourant de froid, en un mélange bâtard d'allemand et de français. Ainsi il me sembla que je m'endormais, ou passais un long moment à agir machinalement dans le froid et dans la neige.
Je m'éveillai bien plus tard lorsque la langue chaude d'un chien de troupeau toucha mon front. Des cris parvinrent à mes oreilles, des aboiements, et je bougeai des membres ankylosés, des lèvres bleuies sous une écharpe dure comme du bois. Les pattes griffues du chien râpèrent contre la toile de mon pantalon, on me saisit sous les aisselles pour me tirer d'un trou bourré de neige, le tout sous un tonnerre d'exclamations.

"C'est un miracle !" entendis-je dire, sans reconnaître la voix. "C'est un miracle, il vit encore !"

On me ramena à la ferme. La cuisine, chaude et accueillante, était pleine de voisins venus soutenir la battue. Rares étaient les locaux à aimer les occupants; plus rares encore ceux qui voulaient que l'on vienne massacrer la moitié du village parce qu'un sous officier s'était bêtement perdu en pleine nuit.

Des mains inconnues m'avaient déshabillé et je me retrouvais enroulé de plusieurs couvertures, près du poêle. J'avais découvert avec ravissement que je ne souffrais de rien : aucune engelure n'avait attaqué ma peau et le médecin-vétérinaire improvisé du village m'avait trouvé une tension normale.

Louise passa, dans les jours qui suivirent, de longs moments avec moi. Elle me disait comme la reine des fées avait dû guider les chiens vers moi et me protéger du froid, car j'en avais appelé à sa protection.

"Mais toi, tu ne devras plus jamais suivre les feux follets," me dit-elle. "Ils sont méchants. Ils t'auraient perdu jusqu'à la mort, et t'auraient fait porter une lanterne jusqu'à la fin du monde !"

Je ne la contrariai pas; je pense même que j'y croyais.

On m'envoya ensuite en Bretagne, comme nombre des troupes de l'intérieur. Je mettais longtemps avant d'arriver, car les trains déraillaient souvent et, parfois, nous dûmes aller à pied là où l'on avait endommagé la route.
En arrivant à Brest, je demandai s'il existait des fées dans cette région, car Louise avait insisté, les yeux pleins de larmes, pour que j'en appelle à la reine de ces terres. On crut que je plaisantais et l'on me traita d'enfant, de fou, et je n'obtins aucune réponse.

Vint Juin. Un éclat d'obus me taillada la pommette gauche, profondément, et cela fut la fin de la guerre pour moi. Je passais des semaines dans un camp de prisonniers tenu par des américains et fut finalement relâché en 45.

Je vis à Stuttgart, en cette année de 1961, et travaille comme postier dans un quartier populaire. J'ai laissé tomber dans un caniveau le colis d'une vieille dame et me baisse pour le ramasser. Son état me rappelle facilement celui de ma figure: un coin enfoncé en tombant contre le pavé, le papier kraft assombrit par l'eau et constellé de tâches comme un cheval amérindien. Je soupire, l'époussette de la main, et pense aux excuses que je vais servir à la vieille dame, qui insiste toujours pour m'offrir des gâteaux secs.

Un rire touche mes oreilles, je relève mon visage à la pommette creusée d'une longue et large cicatrice, détruite comme une maison bombardée. Je vois alors, sous mes yeux, des boucles blondes, les yeux de la Goujot et le nez du père du même nom, une robe à la mode française et de petites chaussures d'été. Pas de bas, pas de chaussette en cet hiver, et pas un tremblement de froid.

"Ah, voilà !" me dit-on en français. "Elle avait raison, la reine des fées, quand elle me disait que c'est ici que tu étais !"

Elle rit, me prend le paquet des mains, l'époussette sans le voir et me regarde. Les fées avaient-elles sauvé ce colis d'une noyade en eaux saumâtres ? L'hypothèse formulée par la jeune fille est à fois lointaine et familière à mes oreilles. L'idée me parait incongrue et je m'esclaffe, regarde de nouveau l'être blond devant moi, alors que le nom "Louise !" vient à mon esprit et à mes lèvres. Je m'étonne de la retrouver, cette petite Louise si innocente, aux contes candides et aux mains douces, qui m'enroule dans ses bras et pleure qu'elle est si heureuse de me revoir. Nous nous étions écrits, un peu, après la guerre, et puis plus rien pendant un moment. Je ne sais plus qui a oublié de répondre.

Louise rit. Elle parle beaucoup, au dessus du café que je lui offre, sur une terrasse. Elle a vingt-cinq ans, elle est enceinte d'un homme marié et finit par se mettre à pleurer. Elle ne parle plus de fées quand elle est sérieuse; seulement quand elle n'a que cela pour que sa voix ne tremble pas.

Louise me regarde avec un espoir qui n'a rien d'enfantin. Je devine qu'elle ne m'a pas retrouvé pour rien. Elle va droit au but.

J'ai trente neuf ans en soixante et un, une dent cassée sur le côté droit, la joue gauche marquée d'épaisses et disgracieuses cicatrices, et j'épouse une magnifique française de quinze ans ma cadette. Je porte un uniforme de postier de Stuttgart tout simple et mes tempes grisonnent, comme celles de milliers d'autres soldats qui, en quarante deux, foulaient le sol de France.
Le nom "Frankreich" sonne, dans mon esprit, comme les contes de fées que nous raconterons à nos enfants.
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Message  le ronin 14/12/2008, 16:16

Bonjour, très beaux textes Kalendeer , tu as l'écriture en toi , ton histoire est bien captivante, on croirait lire un texte d'un auteur réputé . Voilà une voie pour toi pour le cas où , tu es douée .

Amicalement , le ronin.


...La voie du guerrier conduit à la solitude ....


Semper fidelis.
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