Martin Gray
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Martin Gray
j'ai découvert l'univers de la shoah il y à quinze ans en lisant "au nom de tous les miens", de Martin Gray, certains déportés auraient mis en doute la véracité du récit, écrit par Max Gallo,ce témoignage vous semble t il crédible?
Invité- Invité
Re: Martin Gray
merci pour vos réponses, aux différentes questions posées.
concernant Martin Gray, je pense qu'i faut prendre ses pseudos récits avec prudence, Gitta Sereny a mis en cause sa présence en camp de concentration, il s'est mal défendu en mettant en cause Gallo;
ne ferait il pas partie de ces profiteurs qui exploitent la mémoire et la souffrance des déportés?
concernant Martin Gray, je pense qu'i faut prendre ses pseudos récits avec prudence, Gitta Sereny a mis en cause sa présence en camp de concentration, il s'est mal défendu en mettant en cause Gallo;
ne ferait il pas partie de ces profiteurs qui exploitent la mémoire et la souffrance des déportés?
Invité- Invité
Une question pénible
Comme elchico je me pose exactement la même question. Mais aussi celle de savoir qui, de Max Gallo ou de Martin Gray a réellement "composé" la trame de ce récit d'apparence autobiographique (mais où certains éléments apparaissent pourtant trafiqués - comme l'âge de Martin Gray diminué de 4 ans...) ?. D'avoir ainsi pu introduire dans ce qui est présenté comme un témoignage véridique ne serait-ce qu'une faible part d'invention littéraire, c'est tout ce qui y est évoqué qui en devient objet de doute. Et cela me parait bien grave et moralement troublant en ce qui concerne ces deux auteurs associés, aussi couverts de gloire soient-ils chacun pour sa part.
Dans un style certes plus difficile d'accès mais pour moi bien autrement crédible sur le sujet, je recommanderais plutôt le livre touffus de Daniel Mendelsohn "les Disparus". Un livre au succès mérité et qui rend vie et hommage aux disparus assassinés de sa famille. Et là ce n'est pas le doute qui nous saisit mais le respect pour la dizaine d'années de recherche qu'à nécessité son écriture.
Dans un style certes plus difficile d'accès mais pour moi bien autrement crédible sur le sujet, je recommanderais plutôt le livre touffus de Daniel Mendelsohn "les Disparus". Un livre au succès mérité et qui rend vie et hommage aux disparus assassinés de sa famille. Et là ce n'est pas le doute qui nous saisit mais le respect pour la dizaine d'années de recherche qu'à nécessité son écriture.
Yves92- Soldat 1ère classe
- Nombre de messages : 7
Age : 48
Localisation : Montrouge
Date d'inscription : 14/04/2010
Re: Martin Gray
j'ai lu le livre et j'ai vu le film de robert enrico , c'est une fiction , mais dans la réalité , à treblinka dans les premiers mois du camp , il y a eu des évasions similaires à celle " supposée " de martin gray. vrai pas vrai ? sacrée vie quand même !
sergent rousselot- Caporal
- Nombre de messages : 14
Age : 77
Localisation : 77
Date d'inscription : 18/05/2010
verite sur Monsieur Martin Gray
Bonsoir,
Je tiens d’abord féliciter les créateurs de ce forum sur la seconde guerre mondiale, en raison de la qualité des information que l’on trouve.
J’ ai personnellement connue Martin Gray en 1985. Et suis resté en contacte avec lui, jusqu’à sa mort le 27 avril 2016.
Yves92 le Dim 18 Avr 2010, 21:21, concernant son âge, voici l’explication .
Quand il a écrit Au Nom de Tous les Miens en 1971, sa date de naissance officielle était le 27 avril 1925.
Là, il faut faire un très bref retour dans l’histoire.
Dans les années 20, Varsovie et la Pologne était en pleine guerre d’indépendance, et l’ état civil était mal tenu .
Et en raison des différents pogromes , occupation de la Pologne par les Russes , les enfants étaient régulièrement cachés pour éviter les persécutions ou rajeunies pour ne pas être considérés être nés Russes.
Dans les années 90 , l’oncle de Martin Gray est mort, le fameux oncle Feld , dont il parle dans son livre.
Suite a cela, Martin en rangeant des papiers , a découvert qu’il avait été rajeunit de 3 ans et donc était né le 27 avril 1922, pour les raisons que je viens d’expliquer.
Le livre Au Nom de Tous les Miens et les autres parus avant les années 90 n’ont pas été modifiés, donc pas de rectificatif.
J’apporterais plus tard la preuve de la période trouble qui a précédé la première république Polonaise dans les années 20 .
Bref, Martin Gray a réussi a apporter la prévue de l’erreur dans son acte de naissance , d’où la modification sur son site officiel.
Je suis moi-même d’origine polonaise et , j’ai toujours entendu des fausses dates de naissances pour ne pas être nés Russes .
De plus, le père de mon beau-frère a été vieillit pour la même raison.
Ce grand Monsieur avait sur sa poitrine une e toile de David fait au couteau par les nazis, et il a été Sonderkommando a Auschwitz et a survécu.
Voila
Ephraïm et Esther Sender
Je tiens d’abord féliciter les créateurs de ce forum sur la seconde guerre mondiale, en raison de la qualité des information que l’on trouve.
J’ ai personnellement connue Martin Gray en 1985. Et suis resté en contacte avec lui, jusqu’à sa mort le 27 avril 2016.
Yves92 le Dim 18 Avr 2010, 21:21, concernant son âge, voici l’explication .
Quand il a écrit Au Nom de Tous les Miens en 1971, sa date de naissance officielle était le 27 avril 1925.
Là, il faut faire un très bref retour dans l’histoire.
Dans les années 20, Varsovie et la Pologne était en pleine guerre d’indépendance, et l’ état civil était mal tenu .
Et en raison des différents pogromes , occupation de la Pologne par les Russes , les enfants étaient régulièrement cachés pour éviter les persécutions ou rajeunies pour ne pas être considérés être nés Russes.
Dans les années 90 , l’oncle de Martin Gray est mort, le fameux oncle Feld , dont il parle dans son livre.
Suite a cela, Martin en rangeant des papiers , a découvert qu’il avait été rajeunit de 3 ans et donc était né le 27 avril 1922, pour les raisons que je viens d’expliquer.
Le livre Au Nom de Tous les Miens et les autres parus avant les années 90 n’ont pas été modifiés, donc pas de rectificatif.
J’apporterais plus tard la preuve de la période trouble qui a précédé la première république Polonaise dans les années 20 .
Bref, Martin Gray a réussi a apporter la prévue de l’erreur dans son acte de naissance , d’où la modification sur son site officiel.
Je suis moi-même d’origine polonaise et , j’ai toujours entendu des fausses dates de naissances pour ne pas être nés Russes .
De plus, le père de mon beau-frère a été vieillit pour la même raison.
Ce grand Monsieur avait sur sa poitrine une e toile de David fait au couteau par les nazis, et il a été Sonderkommando a Auschwitz et a survécu.
Voila
Ephraïm et Esther Sender
Ephalesther- Soldat 1ère classe
- Nombre de messages : 3
Age : 66
Localisation : Israel
Date d'inscription : 31/01/2019
Re: Martin Gray
Je crois que pour bien comprendre les raisons qui avaient amenées les Juifs polonais, dans la période de l'entre-deux guerres à modifier leur état civil il est indispensable de faire un retour sur l'histoire du pays et tout particulièrement sur la perte de son indépendance lors des trois partages de la Pologne en 1772, 1793 et 1795 qui avaient conduits à la perte complète de souveraineté durant tout le XIXème siècle, la Pologne n'ayant été reconstituée qu'à la suite du traité de Versailles en 1919. Pour les Polonais un corrolaire de la perte de leur indépendance était la perte du contrôle de leur peuplement. Les Polonais ayant auprès des trois puissances partageantes (Prusse, puis Allemagne après 1871, Empire Russe et Autriche (Autriche-Hongrie après 1867)) une mauvaise réputation de réfracataires à leur annexion, toujours disposés à des troubles et à des révoltes il était tentant d'implanter sur leur territoire des populations jugées comme plus loyales vis à vis des nouveaux souverains ou au moins passives. Ainsi après 1870 Bismarck implanta dans la province de Posen (aujourd'hui Poznan) tombé dans l'escarcelle prussienne lors du premier partage un tiers de population allemande, alors que la province était entièrement polonaise à l'origine. De même la Russie transféra des populations juives, indésirables dans les autres parties de l'Empire, en Pologne. En Galicie et Lodomérie autrichiennes, qui comptait 10 à 15% de population juive, cette dernière, germanisée comptait parmi les sujets les plus loyaux de l'Empire, contrairement aux Polonais et Ukrainiens majoritaires. L'écrivain Joseph Roth (1894-1939) comptait parmi les chantres de l'Empire austro-hongrois. Evidemment cette situation avait conduite, en plus d'un antisémitisme traditionnel à une aversion nationale entre Polonais et Juifs.
Lors de la reconstitution de la Pologne en 1919 le pays qui se définissait comme un état national polonais était de fait un état multinational dont les Polonais ne composaient que les 2/3 de la population. Le tiers restant était dégradé au rang de "minorités nationales" indésirables, prétextes au morcellement du pays, dont il fallait dans toute la mesure du possible se débarrasser. Sur les 28 Millions d'habitants seuls 18 Millions étaient "Polonais" le reste se composait de 4 Millions d'Ukrainiens, près de 3 Millions de Juifs, plus d'un Million d'Allemands, 1 Million de Russes Blancs, quelques dizaines de milliers de Lithuaniens etc. Bien que le pays eut pris des engagements de défense des droits des minorités à Versailles, ces engagements furent d'abord mal appliqués, plus du tout appliqués après 1926 lorsque le pays sombra dans un régime dictatorial, puis dénoncés au début des années 30. Dans la situation de ces minorités celle des Juifs était la plus précaire, dans la mesure où ils ne disposaient contrairement aux autres pas d'un état de rattachement, susceptible d'élever des protestations internationales. Ainsi tous les prétextes furent bons aux yeux des autorités polonaises, par exemple une naissance au mauvais moment, pour contester la nationalité polonaise à un Juif. C'est aussi ce contexte qui explique le problème des dates de naissances de Martin Gray.
Il est à noter que quelques années plus tard, cette politique polonaise a joué également un rôle dans l'enchaînement des évènements qui conduirent à la "nuit de cristal" en novembre 1938 en Allemagne. Sous l'empire de Guilaume II, puis sous la république de Weimar quelques dizaines de milliers de Juifs polonais s'étaient établis en Allemagne. Au début de 1938 la Pologne édicta une loi permettant aux consulats polonais à l'étranger d'annuler la nationalité polonaise des ressortissants implantés depuis plus de cinq ans à l'étranger. Evidemment la loi ne visait pas les Nobles Polonais catholiques dilapidant leur fortune dans les casinos de la Côte d'Azur, mais les Juifs polonais à l'étranger! A l'annonce de cette loi, les Nazis en prirent immédiatement prétexte pour expulser avant la date butoir tous les Juifs polonais vivant en Allemagne à cette date vers la Pologne, qui refusa de les laisser rentrer. Ces personnes devaient donc végéter dans des camps de fortune à la frontière germano-polonaise. Le fils d'une famille d'expulsés Herschel Grynszpan (1921-entre 1942 et 1945) réfugié à Paris, tenta dans une démarche auprès du diplomate Ernst von Rath, d'obtenir un droit de séjour pour ses parents en Allemagne. Devant le refus de Von Rath, Grynszpan abattit ce dernier au revolver, son geste servit alors de prétexte aux Nazis pour déclancher "La nuit de Cristal".
Il est à noter que, jusqu'à cette date, malgré la prise de pouvoir nazie en 1933 et les lois discriminatoires de Nuremberg en 1935, la majorité de ces Juifs polonais avait choisie de rester en Allemagne, ce qui en dit tout de même long sur le climat sévissant à la même époque en Pologne!
L'attitude de la population polonaise vis à vis des Juifs durant la seconde guerre mondiale fut également sujette à caution. Ainsi après le début de la guerre germano-soviétique le 22 juin 1941 300 Juifs vivants à Jedwabne, ville polonaise rattachée à l'Union Soviétique en 1939 furent massacrés dans un Pogrome par leurs voisins polonais qui les soupçonnaient de collaboration avec les Soviétiques. Les troupes de la Wehrmacht furent accueillies en libérateurs par les Polonais.
De même après la libération une quarantaine de survivants juifs de l'holocauste furent massacrés à Kielce, le 4 juillet 1946, à la suite d'une rumeur de crime rituel.
Après guerre un antisémitisme subsista en Pologne nonobstant le fait (ou peut-être en raison du fait) que certains des dirigeants communistes d'après guerre comme le responsable de l'économie (et de sa collectivisation forcée) Hilary Minc (1905-1974) et le responsable de la sécurité d'état et donc de la police politique stalinienne Jakub Berman (1901-1984) aient été eux-mêmes d'origine juive. Le rejet qu'ils inspiraient était transmis par amalgame sur l'ensemble des Juifs polonais survivants.
Lorsque d'ailleurs un groupe de communistes "nationaux" d'origine catholique autour de Gomulka et de son successeur Edward Gierek pris le pouvoir à la fin des années 1960 la guerre israélo-arabe de 1967 où le bloc de l'Est avait pris partie pour les états arabes vaincus, servi de prétexte au déclanchement d'une épuration "antisioniste" les Juifs polonais étant soupçonnés de sympathies israéliennes. Surtout le ministre de l'intérieur Miczislaw Moczar organisa des comités ouvriers demandant l'épuration du parti des "Sionistes", Prés de 13.000 Juifs polonais survivants furent ainsi conduits à quitter la Pologne.
Il est à noter que, tout récemment le gouvernement conservateur polonais a promulgué une loi mémorielle criminalisant l'attribution à la Pologne des crimes "nazis". Il n'est donc absolument pas exclu que je m'exposerais au regard de ces développement à des poursuites judiciaires en Pologne! Pour des faits qui sont absolument vérifiables!
Lors de la reconstitution de la Pologne en 1919 le pays qui se définissait comme un état national polonais était de fait un état multinational dont les Polonais ne composaient que les 2/3 de la population. Le tiers restant était dégradé au rang de "minorités nationales" indésirables, prétextes au morcellement du pays, dont il fallait dans toute la mesure du possible se débarrasser. Sur les 28 Millions d'habitants seuls 18 Millions étaient "Polonais" le reste se composait de 4 Millions d'Ukrainiens, près de 3 Millions de Juifs, plus d'un Million d'Allemands, 1 Million de Russes Blancs, quelques dizaines de milliers de Lithuaniens etc. Bien que le pays eut pris des engagements de défense des droits des minorités à Versailles, ces engagements furent d'abord mal appliqués, plus du tout appliqués après 1926 lorsque le pays sombra dans un régime dictatorial, puis dénoncés au début des années 30. Dans la situation de ces minorités celle des Juifs était la plus précaire, dans la mesure où ils ne disposaient contrairement aux autres pas d'un état de rattachement, susceptible d'élever des protestations internationales. Ainsi tous les prétextes furent bons aux yeux des autorités polonaises, par exemple une naissance au mauvais moment, pour contester la nationalité polonaise à un Juif. C'est aussi ce contexte qui explique le problème des dates de naissances de Martin Gray.
Il est à noter que quelques années plus tard, cette politique polonaise a joué également un rôle dans l'enchaînement des évènements qui conduirent à la "nuit de cristal" en novembre 1938 en Allemagne. Sous l'empire de Guilaume II, puis sous la république de Weimar quelques dizaines de milliers de Juifs polonais s'étaient établis en Allemagne. Au début de 1938 la Pologne édicta une loi permettant aux consulats polonais à l'étranger d'annuler la nationalité polonaise des ressortissants implantés depuis plus de cinq ans à l'étranger. Evidemment la loi ne visait pas les Nobles Polonais catholiques dilapidant leur fortune dans les casinos de la Côte d'Azur, mais les Juifs polonais à l'étranger! A l'annonce de cette loi, les Nazis en prirent immédiatement prétexte pour expulser avant la date butoir tous les Juifs polonais vivant en Allemagne à cette date vers la Pologne, qui refusa de les laisser rentrer. Ces personnes devaient donc végéter dans des camps de fortune à la frontière germano-polonaise. Le fils d'une famille d'expulsés Herschel Grynszpan (1921-entre 1942 et 1945) réfugié à Paris, tenta dans une démarche auprès du diplomate Ernst von Rath, d'obtenir un droit de séjour pour ses parents en Allemagne. Devant le refus de Von Rath, Grynszpan abattit ce dernier au revolver, son geste servit alors de prétexte aux Nazis pour déclancher "La nuit de Cristal".
Il est à noter que, jusqu'à cette date, malgré la prise de pouvoir nazie en 1933 et les lois discriminatoires de Nuremberg en 1935, la majorité de ces Juifs polonais avait choisie de rester en Allemagne, ce qui en dit tout de même long sur le climat sévissant à la même époque en Pologne!
L'attitude de la population polonaise vis à vis des Juifs durant la seconde guerre mondiale fut également sujette à caution. Ainsi après le début de la guerre germano-soviétique le 22 juin 1941 300 Juifs vivants à Jedwabne, ville polonaise rattachée à l'Union Soviétique en 1939 furent massacrés dans un Pogrome par leurs voisins polonais qui les soupçonnaient de collaboration avec les Soviétiques. Les troupes de la Wehrmacht furent accueillies en libérateurs par les Polonais.
De même après la libération une quarantaine de survivants juifs de l'holocauste furent massacrés à Kielce, le 4 juillet 1946, à la suite d'une rumeur de crime rituel.
Après guerre un antisémitisme subsista en Pologne nonobstant le fait (ou peut-être en raison du fait) que certains des dirigeants communistes d'après guerre comme le responsable de l'économie (et de sa collectivisation forcée) Hilary Minc (1905-1974) et le responsable de la sécurité d'état et donc de la police politique stalinienne Jakub Berman (1901-1984) aient été eux-mêmes d'origine juive. Le rejet qu'ils inspiraient était transmis par amalgame sur l'ensemble des Juifs polonais survivants.
Lorsque d'ailleurs un groupe de communistes "nationaux" d'origine catholique autour de Gomulka et de son successeur Edward Gierek pris le pouvoir à la fin des années 1960 la guerre israélo-arabe de 1967 où le bloc de l'Est avait pris partie pour les états arabes vaincus, servi de prétexte au déclanchement d'une épuration "antisioniste" les Juifs polonais étant soupçonnés de sympathies israéliennes. Surtout le ministre de l'intérieur Miczislaw Moczar organisa des comités ouvriers demandant l'épuration du parti des "Sionistes", Prés de 13.000 Juifs polonais survivants furent ainsi conduits à quitter la Pologne.
Il est à noter que, tout récemment le gouvernement conservateur polonais a promulgué une loi mémorielle criminalisant l'attribution à la Pologne des crimes "nazis". Il n'est donc absolument pas exclu que je m'exposerais au regard de ces développement à des poursuites judiciaires en Pologne! Pour des faits qui sont absolument vérifiables!
MEIERS- Sous-lieutenant
- Nombre de messages : 190
Age : 63
Localisation : suisse
Date d'inscription : 10/12/2013
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