pas banni mais de retour

J'ai participé quelques temps à ce forum puis l'ai quitté, faute de temps!
Je me représente, frédéric varga, 57 piges, je suis le patron des moyens généraux du Musée de l'Armée/Invalides/Paris.
La 2°GM n'est pas ma prédilection, je suis plus XVIII°, guerre en dentelles, que blitzkrieg mais ma curiosité historique n'ai pas "raciste".
Amitiés à tous

PS1 Si vous venez, en semaine, au M.A., contactez moi avant  

PS2 Sur un autre site, (voisin), j'ai fait faire des expertises d'armes et tenues par mes amis experts du M.A. pour des membres du site.
PLUS JAMAIS .........  

Szervusz Fred
Heureux d'avoir de tes nouvelles,
Alex

Bonjour Fred,
Content de te revoir ici.
Bien amicalement
Prosper 

Bonjour,

Bien heureux de vous connaitre. 
Il en fut un qui fit une réelle guerre en dentelles, ce fameux Chevalier auprès de la tsarine Élisabeth.  Au fait, Charles ou Geneviève ?
Cordialement

Albert

A toutes et à tous, bonjour.
J' écris moins souvent mais je fréquente toujours le forum vert.
Mon message s' adresse à fredhongrie. Dans les années 70 jusqu' au début des années 80, j' ai visité un nombre incalculable de fois le Musée des Invalides. Alors qu' il était encore dissocié de celui de la Libération. Coté Est, après la salle des drapeaux, il y avait une salle de cinéma en descendant une ou deux marches. Je ne compte plus les fois où j' y suis allé, car les film en noir et blanc passaient en boucle. C' était surtout pour y voir une séquence tournée fin des années 30 au Levant. Passaient des R35 avec les chefs de chars assis sur le volet de tourelle, parmi eux, j' y avais reconnu mon père, il était en short avec son béret noir. Il y avait la salle des plans reliefs. Dans les galerie du haut, à l' angle Sud-Ouest il y avait la statue dédiée aux troupes du Levant. J' ai trouvé dommage que des officiers ne le savaient pas avant de prendre une initiative après les évènements du Liban des années 80. Le soir il y avait un spectacle son et lumières dédié à Napoléon intitulé "Ombres de gloire", j' avais sympathisé avec le monsieur qui l' organisait ; il souffrait de coliques néphrétiques.
J' y suis retourné dans les années 2000, mais tout a été remanié.
Dans le musée de la Libération, une grande plaque avec les noms des Compagnons. Un homme se déplaçait souvent dans le couloir de gauche, il était reconnaissable car il avait une jambe artificielle. J' ai appris bien trop tard qu' il était monsieur Floch, tankiste qui a perdu sa jambe dans les combats avec les troupes vichystes en juin 1941 ; si je l' avais su, j' aurai, sans aucune hésitation été le saluer.