" Inconnu à cette adresse " de Kressmann TAYLOR
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Ivy mike
Erwin von Botryche
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Re: " Inconnu à cette adresse " de Kressmann TAYLOR
D'apres celui que j'ai, 7,47 Euros en librairie a Toulouse. Introuvable a Bangkokbigbasketeur a écrit:Daniel m'a pris de court , je le voulais aussi ce livre .
Invité- Général de Division
- Nombre de messages : 7342
Date d'inscription : 16/07/2006
Re: " Inconnu à cette adresse " de Kressmann TAYLOR
On peut faire la chaîne, quand Daniel l'a fini, il le dédicace, te l'envoie et tu fais de même et ainsi de suite et une fois que le livre a fait le tour des gens qu'il intéresse sur le forum et qui ne l'on pas déjà, les administrateurs le gardent comme souvenirs de nous tous, n'est ce pas une jolie preuve de notre engagement à dire plus jamais ça, nous sommes là, nous veillons et nous le faisons intelligemment p24 Même si cela n’a une portée que pour nous même…
Re: " Inconnu à cette adresse " de Kressmann TAYLOR
Bonjour,
Le livre est court, 60 pages, c'est une nouvelle en fait.
Il se lit très bien, très prenant, difficile de s'interrompre quand on a commence.
Kressmann Taylor l'a écrit en 1938, et y démontre une compréhension de la capacité de broyage des âmes de la machine nazie assez ahurissante pour l’époque.
C'est une nouvelle, donc il y a une intrigue, des rebondissements et un dénouement inattendu. Je vous donne quelques détails mais pas le noeud de l'intrigue, cela ruinerait la lecture des éventuels acheteurs futurs.
Martin Schulse, un allemand, et Max Eisenstein, un Juif américain d'origine allemande, vivent en Californie ou ils sont associes dans un lucratif commerce d'oeuvres d'art et de tableaux.
Ils sont également amis, grand amis, frères presque, et Max, célibataire, est le chouchou de la famille Schulse.
En 1932, Martin décide de rentrer en Allemagne, il souhaite que ses enfants aient une éducation allemande. Mais il reste associe avec Max et se charge de fournir la galerie en oeuvres européennes.
Les 2 amis échangent donc une correspondance nourrie et pleine de l’amitié sincère qui les lie.
Puis, en 1933, les Nazis prennent le pouvoir. Insidieusement, la correspondance change de ton. Max s’inquiète, s'angoisse des "rumeurs" qui courent quant au traitement inflige aux Juifs allemands. Les réponses de Martin montrent que le poison nazi est à l'oeuvre. L’amitié s'y dilue.
Mais Max a une soeur, donc juive également, qui vit à Vienne et commence à avoir du succès dans sa carrière théâtrale. Griselle a été, un temps, la maîtresse de Martin qui a réussit avec difficulté a ne pas y voir sombrer son mariage.
Griselle décroche un contrat pour aller jouer un rôle important a Berlin.
La machine infernale est en route.
Et, a la fin, on en sort avec, au moins, les poils du cou hérissés.
Un ouvrage romanesque donc, mais tellement dans le ton, tellement véridique si non véritable que l'on regrette qu'il n'ait pas été diffusé a 200 millions d'exemplaires en 1938.
Le livre est court, 60 pages, c'est une nouvelle en fait.
Il se lit très bien, très prenant, difficile de s'interrompre quand on a commence.
Kressmann Taylor l'a écrit en 1938, et y démontre une compréhension de la capacité de broyage des âmes de la machine nazie assez ahurissante pour l’époque.
C'est une nouvelle, donc il y a une intrigue, des rebondissements et un dénouement inattendu. Je vous donne quelques détails mais pas le noeud de l'intrigue, cela ruinerait la lecture des éventuels acheteurs futurs.
Martin Schulse, un allemand, et Max Eisenstein, un Juif américain d'origine allemande, vivent en Californie ou ils sont associes dans un lucratif commerce d'oeuvres d'art et de tableaux.
Ils sont également amis, grand amis, frères presque, et Max, célibataire, est le chouchou de la famille Schulse.
En 1932, Martin décide de rentrer en Allemagne, il souhaite que ses enfants aient une éducation allemande. Mais il reste associe avec Max et se charge de fournir la galerie en oeuvres européennes.
Les 2 amis échangent donc une correspondance nourrie et pleine de l’amitié sincère qui les lie.
Puis, en 1933, les Nazis prennent le pouvoir. Insidieusement, la correspondance change de ton. Max s’inquiète, s'angoisse des "rumeurs" qui courent quant au traitement inflige aux Juifs allemands. Les réponses de Martin montrent que le poison nazi est à l'oeuvre. L’amitié s'y dilue.
Mais Max a une soeur, donc juive également, qui vit à Vienne et commence à avoir du succès dans sa carrière théâtrale. Griselle a été, un temps, la maîtresse de Martin qui a réussit avec difficulté a ne pas y voir sombrer son mariage.
Griselle décroche un contrat pour aller jouer un rôle important a Berlin.
La machine infernale est en route.
Et, a la fin, on en sort avec, au moins, les poils du cou hérissés.
Un ouvrage romanesque donc, mais tellement dans le ton, tellement véridique si non véritable que l'on regrette qu'il n'ait pas été diffusé a 200 millions d'exemplaires en 1938.
Invité- Général de Division
- Nombre de messages : 7342
Date d'inscription : 16/07/2006
Re: " Inconnu à cette adresse " de Kressmann TAYLOR
J'ai adorer lire ce livre comme tu la dit c'est très dure de s'arrêter de la lire
Erwin
Je l'ai 2 fois , si tu veux je veux bien de l'envoyer sa me gène pas tu tout , envoye moi en Mp si tu veux ;)Daniel m'a pris de court , je le voulais aussi ce livre .
Erwin
Re: " Inconnu à cette adresse " de Kressmann TAYLOR
Daniel Laurent a écrit:Bonjour,
Le livre est court, 60 pages, c'est une nouvelle en fait.
Il se lit très bien, très prenant, difficile de s'interrompre quand on a commence.
Kressmann Taylor l'a écrit en 1938, et y démontre une compréhension de la capacité de broyage des âmes de la machine nazie assez ahurissante pour l’époque.
C'est une nouvelle, donc il y a une intrigue, des rebondissements et un dénouement inattendu. Je vous donne quelques détails mais pas le noeud de l'intrigue, cela ruinerait la lecture des éventuels acheteurs futurs.
Martin Schulse, un allemand, et Max Eisenstein, un Juif américain d'origine allemande, vivent en Californie ou ils sont associes dans un lucratif commerce d'oeuvres d'art et de tableaux.
Ils sont également amis, grand amis, frères presque, et Max, célibataire, est le chouchou de la famille Schulse.
En 1932, Martin décide de rentrer en Allemagne, il souhaite que ses enfants aient une éducation allemande. Mais il reste associe avec Max et se charge de fournir la galerie en oeuvres européennes.
Les 2 amis échangent donc une correspondance nourrie et pleine de l’amitié sincère qui les lie.
Puis, en 1933, les Nazis prennent le pouvoir. Insidieusement, la correspondance change de ton. Max s’inquiète, s'angoisse des "rumeurs" qui courent quant au traitement inflige aux Juifs allemands. Les réponses de Martin montrent que le poison nazi est à l'oeuvre. L’amitié s'y dilue.
Mais Max a une soeur, donc juive également, qui vit à Vienne et commence à avoir du succès dans sa carrière théâtrale. Griselle a été, un temps, la maîtresse de Martin qui a réussit avec difficulté a ne pas y voir sombrer son mariage.
Griselle décroche un contrat pour aller jouer un rôle important a Berlin.
La machine infernale est en route.
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Un ouvrage romanesque donc, mais tellement dans le ton, tellement véridique si non véritable que l'on regrette qu'il n'ait pas été diffusé a 200 millions d'exemplaires en 1938.
J'aime toujours autant tes analyses Daniel, merci!!! p24
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