Poésie .

Ö toi prédateur de la nature.
Arrogant et fière de ta stature.
Tu n’as que faire des âmes pures.
Et tu te vautres dans la souillure.

Vient à passer une belle créature.
Et te voilà chercher la fêlure.
De ma gêne, tu n’en as cure.
Car tout est bon pour ta pâture.

De par toutes les masures.
Les vierges redoutent ta luxure.
Car du stupre, tu as fait ta culture.
Et tu ne crains l’heure de ta sépulture.

Auteur de tant de forfaitures.
Un jour, viendra ton imposture.
Car l'amazone à la fière allure.
S'élance sur sa monture.
Et de toi, fera sa plus belle capture.

c'est de toi ?

betacam a écrit:c'est de toi ?

- Oui , aprés une petite soirée de déprime , . A+ .

Bigbasketeur tu as du dans une autre vie faire partie du Regiment des Artists Rifles

Ming a écrit:Bigbasketeur tu as du dans une autre vie faire partie du Regiment des Artists Rifles

- Peut etre oui , surement ... .






- P.S : Ming , tu peux noter BigB pour m'appeler , c'est plus court et je comprend que c'est moi , tout le monde fait comme ca , . A+ .

Bonjour,
C'est plus BigB maintenant, c'est BigP (Big Poete)

J'aime bien, Big, merci.

Daniel Laurent a écrit:Bonjour,
C'est plus BigB maintenant, c'est BigP (Big Poete)

J'aime bien, Big, merci.

- BiBP ( BigBasketeurPoéte ) , A+ .

Telle une graine que l'on sème
C'est mon âme que tu emmènes
Lorsque l'on arrose cette terre
Ma mélancolie s'envole et se perd
Le temps fait grandir ses racines
Et fait pousser de longues épines
Je m'y froote, je m'y pique
Mon être est en panique
Son poison me sera mortel
Si trop longtemps je suis loin d'elle
Je reste alors à ses côtés
Qu'a t-elle donc fait pour m'ensorceler?
Je la vois cette fleur
Qui me comble de bonheur
C'est toi, cette belle rose
A qui je dédie cette prose

Je suis l’ours polaire
Je vis sur la banquise
Je ne veux plus me taire,
Parlons avec franchise.

C’est vrai que ma fourrure
Me protège du froid
Que j’aimais l’aventure
Que j’étais bien le roi.
Je nageais, je pêchais,
J’étais heureux et beau
D’un blanc pur, aux poils frais
Chef sur la glace et l’eau.


Mais le réchauffement
De la planète entière
En plus malheureusement
Du trou de l’atmosphère:
De la couche d’ozone
Diminuent mon espace:
Les craquements détonnent,
Les fractures dans la glace
M’isolent dans mon coin:
Exigu territoire
Dérivant vers la fin:
Le Sud et ses déboires.

Certains se sont noyés
Quand leur terre a fondu
Ne pouvant retourner
Au grand Nord loin, perdu.
D’autres se sont battu
A mort pour persister,
Pour manger le vaincu
Pour vivre et espérer.

Pollution de la mer,
Des phoques et des poissons
La chaîne alimentaire
Est bourrée de poisons
Tels des produits chimiques
Qui affectent nos corps
Dans ce moment critique
Comment rêver encore?

Jôôôôli!

Bon bah je crois que je vais aller remettre mon bain de mer à plus tard hein parce que là ça m'a légèrement calmé...

Alors là Chapeau bas MONSIEUR .... Je reste moi-même sans mot... et sans voix (ce qui est très rare)
ça me donne l'idée d'une joute poétique .... Je vais m'y remettre aussi, car les textes que j'ai créé sont plus "romantique" dirons nous ...


RESPECTS MONSIEUR BIGBP VERO

VERONIQUE a écrit:Alors là Chapeau bas MONSIEUR .... Je reste moi-même sans mot... et sans voix (ce qui est très rare)
ça me donne l'idée d'une joute poétique .... Je vais m'y remettre aussi, car les textes que j'ai créé sont plus "romantique" dirons nous ...


RESPECTS MONSIEUR BIGBP VERO

- Tes textes sont plus romantique ??? Attend , j'en aie un de romantique :

Rencontre avec la beauté


Je ne vous ferais pas de vers seuls, ombragés
Maladroitement, je ne sais que vous parler
Au petit matin vos yeux me sourient encore
Votre bouquet se repend et habille mon corps


Je suis un poète affamé au cœur des ondes
Votre regard, trop loin, nourrit pourtant ma peine
Et de votre frimousse mes pensées s’inondent
Vous ignorer ne serait que pure mis en scène


On s’endort soufflant sous le soleil meurtrier
Et la pluie dont chaque goutte recouvre votre corps
Capturant ainsi l’ivresse que j’offre à vos pieds


Prenez chacun de mes vers de vos bras qu’adore
Le poète rassasié qui de vos mains se plait
Sachant cultiver l’art vous ne pourriez vous tromper

Par un beau dimanche d'automne,
Lorsque le soleil répand ses couleurs
Sur les feuillages mordorés,qui donnent
A la nature ses habits de splendeur....
Vous les verrez,peut-être , assis sous un aune !

Elle,belle jeune fille aux cheveux longs,
Prunelles noire-ébène ,étoiles scintillantes
Qui éclairent un regard un peu polisson,
Propre à déclencher l'amour en tourmente !

Lui, grand bel homme au regard clair,
Déterminé er propageant la confiance,
Parle de sa vie,de son amie la nature
Qu'il protège comme sa belle, avec élégance !

Vous les verrez le long d'une sente
Sous les voûtes colorées des arbres,
Le long d'une clairière en pente
Où les châtaigniers restent de marbre..

Peut-être seront-ils enlacés sous les sorbiers
Ecoutant en silence les merles chanter?
Apercevant le ciel , aux nuages familiers
Et les feuilles à l'envers, en train de danser ...

Dans leurs yeux mélangés: tout est bonheur !
Une volonté de vivre...de découvrir le monde,
Sur leur visage , quelque chose de songeur..
Preuve qu'en amour l'esprit vagabonde ...

Je ne puis, en effet lutter, et je m'incline devant tant de talents ....

CORDIALEMENT VERO

Big, j'ai déjà entendu ça quelque part... p24

motpulk a écrit:Big, j'ai déjà entendu ça quelque part... p24

comment ça ??? Ce nest plus de toi BIG ???

PERPLEXEMENT VERO (et déçue, si tel est le cas !!)

Attention, Big n'a pas dis que c'était de lui.
Et puis moi je l'aime bien Big (même s'il est beaucoup plus balaize que moi p24 )

La société des éditions poétiques Ming vous prête son concours. Va falloir songer à créer un recueuil je crois

motpulk a écrit:Attention, Big n'a pas dis que c'était de lui.
Et puis moi je l'aime bien Big (même s'il est beaucoup plus balaize que moi p24 )

Non je suis d'accord avec toi, mais puisque le premier l'était, j'ai pensé que .... Et lorsque l'on cite quelqu'un d'autre, je pense que la politesse veut que l'on indique ses sources, ça s'appelle la propriété intelectuelle non ??
Donc j'encourage BIG à répondre et à citer ses sources... J'affûte ma plume ;) et je te remercie cependant de nous faire profiter d'aussi jolis vers ... Sans rancune je te proposerai sûrement bientôt les miens ...

CORDIALEMENT VERO

Bonjour VERO
Moi aussi j'aime la poesie, jai hatte de te lire

A bientot
PEGASE 1959

Ming a écrit:Bon bah je crois que je vais aller remettre mon bain de mer à plus tard hein parce que là ça m'a légèrement calmé...

Rencontre avec la beauté


Je ne vous ferais pas de vers seuls, ombragés
Maladroitement, je ne sais que vous parler
Au petit matin vos yeux me sourient encore
Votre bouquet se repend et habille mon corps


Je suis un poète affamé au cœur des ondes
Votre regard, trop loin, nourrit pourtant ma peine
Et de votre frimousse mes pensées s’inondent
Vous ignorer ne serait que pure mis en scène


On s’endort soufflant sous le soleil meurtrier
Et la pluie dont chaque goutte recouvre votre corps
Capturant ainsi l’ivresse que j’offre à vos pieds


Prenez chacun de mes vers de vos bras qu’adore
Le poète rassasié qui de vos mains se plait
Sachant cultiver l’art vous ne pourriez vous tromper


- En effet , celui la n'est pas de moi , c'est un copain qui me l'a dictée , je n'ai donc pas de source a cité , enfin si , je m'excuse , je cite donc ma source , Ma source : mon copain .

Par un beau dimanche d'automne,
Lorsque le soleil répand ses couleurs
Sur les feuillages mordorés,qui donnent
A la nature ses habits de splendeur....
Vous les verrez,peut-être , assis sous un aune !

Elle,belle jeune fille aux cheveux longs,
Prunelles noire-ébène ,étoiles scintillantes
Qui éclairent un regard un peu polisson,
Propre à déclencher l'amour en tourmente !

Lui, grand bel homme au regard clair,
Déterminé er propageant la confiance,
Parle de sa vie,de son amie la nature
Qu'il protège comme sa belle, avec élégance !

Vous les verrez le long d'une sente
Sous les voûtes colorées des arbres,
Le long d'une clairière en pente
Où les châtaigniers restent de marbre..

Peut-être seront-ils enlacés sous les sorbiers
Ecoutant en silence les merles chanter?
Apercevant le ciel , aux nuages familiers
Et les feuilles à l'envers, en train de danser ...

Dans leurs yeux mélangés: tout est bonheur !
Une volonté de vivre...de découvrir le monde,
Sur leur visage , quelque chose de songeur..
Preuve qu'en amour l'esprit vagabonde ...


- Par contre , celui la est , en effet sortie de mon petit esprit fécon .
- Véronique a dit , je te cite Véro : "Je ne puis, en effet lutter, et je m'incline devant tant de talents ...." , je vais de répondre que Mr Bigbasketeur t'accorde le joie de t'incliner devant lui , .




- P.S : je croie que je vais me faire des amies la non ???? A+ est encore désolé , pas pue me retenir , A+ .

Bon, puisque BigB sort le barrage d'artillerie poétique, je vous propose court mais intense, la quintessence absolue de la rime :

grosse, grosse vache
tes bouses tachent
tes bouses tachent
ta moustache

Oh flamands roses,
dormez en paix
animaux roses,
vos pets sentent la rose

(copyright Hugot)

Nan ne me félicitez pas, ce n'est pas de moi.