ST LO apres bombardement
5 participants
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Re: ST LO apres bombardement
merci belle photo ...
les autres venez maider j' en peux plus ... je dois meubler a chaque nouveau post du peti pere patton ...
je suis en manque d' imagination ...
mais sa quoi elle n' a pas été beaucoup détruite ...
voici le havre ...
voila bon se n' est pas un coucour de la vilel la plus detruite mais le havre a été durement touché ...
tchô et que dieu vous garde ...
les autres venez maider j' en peux plus ... je dois meubler a chaque nouveau post du peti pere patton ...
je suis en manque d' imagination ...
mais sa quoi elle n' a pas été beaucoup détruite ...
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aymer506th- Général de Brigade
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Date d'inscription : 02/02/2006
Re: ST LO apres bombardement
j'avais vue je sais plus ou , un bled en normandie qui avait été détruis à 98% , c'était impressionant
Charlemagne- Police militaire (Modérateur)
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Re: ST LO apres bombardement
charlemagne47 a écrit:j'avais vue je sais plus ou , un bled en normandie qui avait été détruis à 98% , c'était impressionant
98 !!! fatche !!!
mais il y a un village comme sa en normandie qui a été reconstruit a l' indentique ... mais la 98%
tchô et que dieu vous garde ...
aymer506th- Général de Brigade
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Re: ST LO apres bombardement
98% ca laisse quoi? un cabanon de jardin?
cedtomcat- Général de Division
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Localisation : cergy
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Re: ST LO apres bombardement
c'est dommage que j'ai plus ce magazine (putain de déménagement) mais c'est vrais que ç'est assé surprenant
Charlemagne- Police militaire (Modérateur)
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Re: ST LO apres bombardement
Dresde, en Allemagne, fut le pire bombardement, j'ai lu là-dessus et les Alliés ont pas raté leur coup:
Invité- Invité
Re: ST LO apres bombardement
c'est claire, d'ailleur moi franchement je pense que ce bombardement est un crime de guerre , je rappel que Dresde était déclaré ville ouverte
Charlemagne- Police militaire (Modérateur)
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Re: ST LO apres bombardement
sa veut dire quoi une ville ouverte ???
tchô et que dieu vous garde ...
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aymer506th- Général de Brigade
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Date d'inscription : 02/02/2006
Re: ST LO apres bombardement
ça veut dire qu'il n'y a pas d'unité militaire dans la ville, ce qui veut dire que c'est pas la peine de la détruire
Charlemagne- Police militaire (Modérateur)
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Re: ST LO apres bombardement
a ok merci bien
en effet si cette ville fut une vilel ouverte je comprend pourquoi se fut un crime de guerre ...
tchô et que dieu vous garde ...
en effet si cette ville fut une vilel ouverte je comprend pourquoi se fut un crime de guerre ...
tchô et que dieu vous garde ...
aymer506th- Général de Brigade
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Date d'inscription : 02/02/2006
Re: ST LO apres bombardement
en fait, ils ont attaqué Dresde à cause des usines, si je me souvient bien.
Invité- Invité
Re: ST LO apres bombardement
non il y avait trés peu d'industrie à Dresde,en tout cas il n'y en avait pas qui participé à l'effort de guerre allemand
Charlemagne- Police militaire (Modérateur)
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Date d'inscription : 11/02/2006
Le Chateau des Commines (St Lô)
En 1944, la ville de Saint Lô fut presque complètement détruite.
La ville a été nommée dans l'ordre national de la légion d'honneur au grade de chevalier par le Président de la République Vincent Auriol. Cette nomination comportait l'attribution de la croix de guerre avec palme. Saint-Lô fût l'image de l'abnégation réfléchie et restera par le souvenir de ses nombreux morts et de ses otages tragiquement tués dans leur prison, l'exemple du sacrifice commun pour le triomphe d'un même idéal.
La ville a subit dans la nuit du 6 au 7 Juin 1944 un bombardement tellement massif que ses habitants ont pu se considérer comme citoyens de la capitale des ruines. (V. Auriol). La ville fut totalement libérée le 25 juillet 1944.
Le premier bombardement eut lieu le 6 juin à 19 h 55 touchant plusieurs établissements et services publics (Banque de France, Prison, mairie, gendarmerie, archives, Bon Sauveur) ainsi que le bas de la rue Dagobert, la rue de la Marne et la rue Havin.
7.000 hommes furent tués ou blessés pour délivrer la ville.
Habitant St Lô, j'essaierais si ça vous intéresse de poster des photos de St Lô après les bombardements de 1944 en les comparant avec des photos des mêmes endroits aujourd'hui.
LE CHATEAU DES COMMINES
(Source : http://www.flickr.com/photos/photosnormandie/1588388550/)
Photo ci-dessous, un GI est camouflé à un carrefour.
C'est le portail du Château de Commines*, résidence et Quartier-Général du LXXXIV AK du général allemand Erich Marcks, qui se trouve toujours avec le bunker sur la Route de Carentan (RN 174) en direction de Saint-Georges-Montcocq. Cet endroit n'a pas subi les bombardements des 6 et 7 juin 1944.
C'est probable que le soldat américain appartienne à la 35th Inf. Div., qui a pénétré dans Saint-Lô par Saint-Georges-Montcocq.
*Arthur de Commines de Marcilly a fait bâtir cette villa bourgeoise, appelé plus communément " le château " à la fin du XIXe siècle. Son fils, Henri et ses six enfants y habitent au moment de la Seconde Guerre Mondiale. Elle est réquisitionnée par l'état major allemand en 1941 : " en trois jours, nous avons dû libérer les lieux, explique Isabelle de Royer, petite-fille d'Arthur de Commines. Les Allemands ont construit un blockhaus (terminé en 1942) dans le parc et installé leurs bureaux, ce qui l'a rendue totalement inhabitable ".
Le Chateau aujourd'hui (photos personnelles) :
Aujourd'hui : le Chateau a été transformé en 14 logements (du studio au F5) mais je n'ai pas remarqué la présence du bunker.
La ville a été nommée dans l'ordre national de la légion d'honneur au grade de chevalier par le Président de la République Vincent Auriol. Cette nomination comportait l'attribution de la croix de guerre avec palme. Saint-Lô fût l'image de l'abnégation réfléchie et restera par le souvenir de ses nombreux morts et de ses otages tragiquement tués dans leur prison, l'exemple du sacrifice commun pour le triomphe d'un même idéal.
La ville a subit dans la nuit du 6 au 7 Juin 1944 un bombardement tellement massif que ses habitants ont pu se considérer comme citoyens de la capitale des ruines. (V. Auriol). La ville fut totalement libérée le 25 juillet 1944.
Le premier bombardement eut lieu le 6 juin à 19 h 55 touchant plusieurs établissements et services publics (Banque de France, Prison, mairie, gendarmerie, archives, Bon Sauveur) ainsi que le bas de la rue Dagobert, la rue de la Marne et la rue Havin.
7.000 hommes furent tués ou blessés pour délivrer la ville.
Habitant St Lô, j'essaierais si ça vous intéresse de poster des photos de St Lô après les bombardements de 1944 en les comparant avec des photos des mêmes endroits aujourd'hui.
LE CHATEAU DES COMMINES
(Source : http://www.flickr.com/photos/photosnormandie/1588388550/)
Photo ci-dessous, un GI est camouflé à un carrefour.
C'est le portail du Château de Commines*, résidence et Quartier-Général du LXXXIV AK du général allemand Erich Marcks, qui se trouve toujours avec le bunker sur la Route de Carentan (RN 174) en direction de Saint-Georges-Montcocq. Cet endroit n'a pas subi les bombardements des 6 et 7 juin 1944.
C'est probable que le soldat américain appartienne à la 35th Inf. Div., qui a pénétré dans Saint-Lô par Saint-Georges-Montcocq.
*Arthur de Commines de Marcilly a fait bâtir cette villa bourgeoise, appelé plus communément " le château " à la fin du XIXe siècle. Son fils, Henri et ses six enfants y habitent au moment de la Seconde Guerre Mondiale. Elle est réquisitionnée par l'état major allemand en 1941 : " en trois jours, nous avons dû libérer les lieux, explique Isabelle de Royer, petite-fille d'Arthur de Commines. Les Allemands ont construit un blockhaus (terminé en 1942) dans le parc et installé leurs bureaux, ce qui l'a rendue totalement inhabitable ".
Le Chateau aujourd'hui (photos personnelles) :
Aujourd'hui : le Chateau a été transformé en 14 logements (du studio au F5) mais je n'ai pas remarqué la présence du bunker.
Article Ouest France (Magali Shaal - 8 octobre 2001)
Commines : la nouvelle vie du château
La bâtisse du XIXe siècle transformée en quatorze logements
Bientôt, quatorze logements, du studio au F5, vont fleurir dans le château de Commines, route de Carentan. Un nouvel
épisode pour cette bâtisse bourgeoise datant de la fin XIXe siècle. Le patrimoine architectural de la ville martyre est rare.
C'est pourquoi, à Saint-Lô, peut-être plus qu'ailleurs, on s'attache à savoir ce que deviennent ces vieilles demeures qui
ont subsisté malgré la guerre.
Arthur de Commines de Marcilly a fait bâtir cette villa bourgeoise, appelé plus communément « le château » à la fin du
XIXe siècle. Son fils, Henri et ses six enfants y habitent au moment de la Seconde Guerre mondiale. Elle est réquisitionnée
par l'état major allemand en 1941 : « en trois jours, nous avons dû libérer les lieux, explique Isabelle de Royer,
petite-fille d'Arthur de Commines. Les Allemands ont construit des blockhaus dans le parc et installé leurs bureaux, ce qui
l'a rendue totalement inhabitable ». Les Commines décident donc de se défaire du bien familial à la fin de la guerre.
L'office national des anciens combattants et victimes de guerre occupent les lieux jusqu'en 1963. Le département achète
la bâtisse et le parc et y installe le SDIS (service départemental d'incendie et de secours) jusqu'à ce que la ville la rachète au début de la mandature de Bernard Dupuis. Le château devient alors lieu pour la vie associative locale. La vétusté des locaux, le budget des travaux d'entretien et de rénovation de plus en plus gargantuesque ont conduit la municipalité, à vendre le château en décembre 1999. Le Vicking-cox club, installée dans les garages, est la dernière association à libérer les lieux en avril 2000.
Il est alors vendu à la société civile (SCI) Les Commines à l'automne de la même année.
« Il y a deux ans, j'étais à la recherche d'une maison à restaurer, mais pour y habiter moi-même, explique le nouveau propriétaire. La mairie m'avait fait visiter différents biens, dont le château, que je trouvais beaucoup trop grand. » Mais, l'idée fait son chemin, " j'ai finalement posé ma candidature pour l'achat. J'ai été retenu. » Les travaux débutent au début de l'année 2001, pour un montant de 3 millions de francs (457 347 €) « bien plus que le prix d'achat du château », signale la SCI Les Commines. Les travaux s'achèvent actuellement. Les premières locations devraient être proposées d'ici la fin du mois : 14 logements du studio au F5.
L'Eglise Notre Dame
L'EGLISE NOTRE DAME :
Ci-dessus, Place Notre Dame un jour de marché (Archives Départementales de la Manche, 6Fi5021921) et "La laitière Normande" d'Arthur Le Duc (Archives Départementales de la Manche 6Fi50211420)
(NB : ces documents sont issus d'une thèse en cours :" La mise en valeur du patrimoine culturel par les nouvelles technologies" par Marie-Pierre Besnard disponible ici : http://www.unicaen.fr/services/puc/ecrire/preprints/preprint0102008.pdf)
Ci-dessus, un char américain dans une rue parsemée de décombres à Saint-Lô.
Localisation : Le char se trouve au bout de la Rue du Neufbourg proche de la petite Place du Soleil Levant. La continuation de la Rue du Neufbourg à l'autre côté de la Place était la Rue Carnot (avec l'église Notre-Dame au fond), les ruines derrière les arbres à gauche : la prison (NB : la Rue Carnot et la Place du Soleil Levant n'existent plus à Saint-Lô)
Cette photo a été prise le 18 juillet 1944 en fin d'après-midi à l'entrée des troupes US dans Saint Lô. En effet quand les premiers américains entrent dans Saint Lô, le 18 après-midi, l'église Notre-Dame a encore ses deux flèches, la tour nord s'effondre peu après. Quant à la tour sud elle perd sa flèche par bombardement dans la nuit du 18 au 19 juillet 1944.
(Source photo : http://www.flickr.com/photos/photosnormandie/2085681795/)
Ci-dessus : Place Notre Dame en août 1944 (Source photo : http://www.flickr.com/photos/photosnormandie/845030517/)
Après les terribles bombardements du mois de juin et juillet 1944, cet édifice, de style gothique flamboyant, faisait figure de ruine, mais beaucoup de patience et d’habilité ont permis de rétablir la plus grande partie de ce qui gisait à terre, et l’œuvre des architectes du Moyen-âge revit à nouveau. Mais, c'est amputée de ses flèches qu'elle surplombe désormais la "Capitale des Ruines".
Ci-dessus, Place Notre Dame un jour de marché (Archives Départementales de la Manche, 6Fi5021921) et "La laitière Normande" d'Arthur Le Duc (Archives Départementales de la Manche 6Fi50211420)
(NB : ces documents sont issus d'une thèse en cours :" La mise en valeur du patrimoine culturel par les nouvelles technologies" par Marie-Pierre Besnard disponible ici : http://www.unicaen.fr/services/puc/ecrire/preprints/preprint0102008.pdf)
Ci-dessus, un char américain dans une rue parsemée de décombres à Saint-Lô.
Localisation : Le char se trouve au bout de la Rue du Neufbourg proche de la petite Place du Soleil Levant. La continuation de la Rue du Neufbourg à l'autre côté de la Place était la Rue Carnot (avec l'église Notre-Dame au fond), les ruines derrière les arbres à gauche : la prison (NB : la Rue Carnot et la Place du Soleil Levant n'existent plus à Saint-Lô)
Cette photo a été prise le 18 juillet 1944 en fin d'après-midi à l'entrée des troupes US dans Saint Lô. En effet quand les premiers américains entrent dans Saint Lô, le 18 après-midi, l'église Notre-Dame a encore ses deux flèches, la tour nord s'effondre peu après. Quant à la tour sud elle perd sa flèche par bombardement dans la nuit du 18 au 19 juillet 1944.
(Source photo : http://www.flickr.com/photos/photosnormandie/2085681795/)
Ci-dessus : Place Notre Dame en août 1944 (Source photo : http://www.flickr.com/photos/photosnormandie/845030517/)
Après les terribles bombardements du mois de juin et juillet 1944, cet édifice, de style gothique flamboyant, faisait figure de ruine, mais beaucoup de patience et d’habilité ont permis de rétablir la plus grande partie de ce qui gisait à terre, et l’œuvre des architectes du Moyen-âge revit à nouveau. Mais, c'est amputée de ses flèches qu'elle surplombe désormais la "Capitale des Ruines".
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