Accueil
Rechercher
Dernières images
S'enregistrer
ConnexionHerr Meyer
+3
Ivy mike
Tex Hill
generalwolf
7 participants
Page 1 sur 1
Herr Meyer
generalwolf 23/12/2007, 14:56
Selon la légende, Hermann Goering, Reichmaréchal et commandant de l'armée de l'air allemande aurait déclaré.
"si un seul avion anglais arrive a survoler l'allemagne, je veux bien que lon m'appel Meyer" (nom a consonnance juive)
Je ne sais pas si quelqu'un c'est risqué à l'appeler Meyer mais toujours est il que la suite vous la connaissez.
C'est une anecdote du film "la bataille d'Angleterre" que j'ai retrouvée dans divers livres, je ne sais absolument pas si c'est vrai ...
Toujours est t'il qu'a une époque ou la glorieuse Wermacht était maitresse de l'europe et que l'orgueuilleuse Luftwaffe prétendait ne faire qu'une bouchée de la poignée de pilotes de la RAF, un raid de bombardier britanniques toucha Berlin en pleine bataille d'angleterre.
"si un seul avion anglais arrive a survoler l'allemagne, je veux bien que lon m'appel Meyer" (nom a consonnance juive)
Je ne sais pas si quelqu'un c'est risqué à l'appeler Meyer mais toujours est il que la suite vous la connaissez.
C'est une anecdote du film "la bataille d'Angleterre" que j'ai retrouvée dans divers livres, je ne sais absolument pas si c'est vrai ...
Toujours est t'il qu'a une époque ou la glorieuse Wermacht était maitresse de l'europe et que l'orgueuilleuse Luftwaffe prétendait ne faire qu'une bouchée de la poignée de pilotes de la RAF, un raid de bombardier britanniques toucha Berlin en pleine bataille d'angleterre.
generalwolf- Général de Brigade
- Nombre de messages : 712
Age : 46
Localisation : la ferté bernard (72) breton expatrié
Date d'inscription : 16/06/2007
Re: Herr Meyer
Tex Hill 24/12/2007, 00:35
C'est pas une légende, c'est tout à fait vrai.
On a écrit également qu'en 44 ou 45, alors qu'il traversait une ville d'Allemagne, Goering fut surpris par un bombardement et se réfugia avec son chauffeur dans l'abri le plus proche qu'il partagea avec une demie-douzaine de civils.
Comme c'était alors l'usage de se présenter en pareille circonstance, il déclara : "vous m'avez reconnu, moi c'est Meier !"
On a écrit également qu'en 44 ou 45, alors qu'il traversait une ville d'Allemagne, Goering fut surpris par un bombardement et se réfugia avec son chauffeur dans l'abri le plus proche qu'il partagea avec une demie-douzaine de civils.
Comme c'était alors l'usage de se présenter en pareille circonstance, il déclara : "vous m'avez reconnu, moi c'est Meier !"
Tex Hill- Adjudant
- Nombre de messages : 68
Date d'inscription : 04/11/2007
Re: Herr Meyer
generalwolf 24/12/2007, 00:42
cette histoire est vraie Tex ?????ou n'est ce qu'une légende de plus????
si tel est le cas c'est superbe
generalwolf- Général de Brigade
- Nombre de messages : 712
Age : 46
Localisation : la ferté bernard (72) breton expatrié
Date d'inscription : 16/06/2007
Re: Herr Meyer
Tex Hill 24/12/2007, 00:43
Pour la deuxième, c'est pas prouvé !
Autre anecdocte à propos de Meier tirée du livre d’Albert Speer "Au Cœur du Troisième Reich", Librairie Arthème Fayard, Paris 1971.
Speer était architecte du parti, puis ministre de l’armement. Il fut l’un des rares à s’opposer ouvertement aux ordres de Hitler, notamment à ceux qui exigeaient la destruction totale de toutes les infrastructures économiques allemandes devant l’avance alliée en 1945. Jugé à Nuremberg, il écopa de 20 ans de prison à Spandau, essentiellement pour avoir cautionné l’exploitation des déportés dans ses usines d’armement, dans des conditions tristement célèbres comme à Dora Mittlebau.
A la même époque, je fus témoin d’une scène orageuse entre Göring et Adolf Galland, le général de la chasse allemande. Ce jour-là, Galland avait annoncé à Hitler que plusieurs chasseurs américains, qui escortaient des formations de bombardiers, avaient été abattus non loin d’Aix-la-Chapelle. Il avait ajouté qu’à son avis nous allions être exposés à un grave danger si les Américains réussissaient dans un avenir proche à doter leurs avions de chasse de réservoirs supplémentaires plus grands : la chasse américaine pourrait alors escorter les formations de bombardiers beaucoup plus loin à l’intérieur du territoire allemand. Göring, à qui Hitler avait fait part des inquiétudes de Galland, se disposait à partir pour la lande de Rominten. Au moment où il allait monter dans son train spécial, Galland arriva pour prendre congé de lui :
- « Qu’est-ce qui vous prend », lui demanda Göring d’un ton hargneux, « de raconter au Führer que des chasseurs américains ont survolé le territoire du Reich ? »
- « Monsieur le Reichsmarschall, bientôt ils iront encore plus loin », répliqua Galland, parfaitement calme.
Göring s’emporta : « Enfin, Galland, ça n’a pas de sens, comment pouvez-vous raconter de pareilles inventions, c’est une histoire à dormir debout ! »
Galland hocha la tête : « C’est la réalité, Monsieur le Reichsmarschall. » Avec sa casquette légèrement inclinée, son long cigare entre les dents, il avait une attitude volontairement désinvolte : « Des chasseurs américains ont été abattus près d’Aix-la-Chapelle. Cela ne fait aucun doute ! »
Göring, obstiné, ne voulait pas céder : « Ce n’est pas vrai, Galland, c’est tout bonnement impossible. »
Galland rétorqua avec une pointe d’ironie : « Vous pouvez toujours faire faire des recherches pour savoir si des chasseurs américains ne sont pas tombés à côté d’Aix-la-Chapelle, Monsieur le Reichsmarschall. »
Göring essaya de se montrer conciliant : « Allons, Galland, dites-vous bien ceci : moi aussi je suis un pilote expérimenté. Je sais ce qui est possible et ce qui ne l’est pas. Avouez-le : vous vous êtes trompé ».
Pour toute réponse Galland hocha la tête en signe de dénégation, jusqu’à ce que Göring déclare : « Il n’y a qu’une possibilité, c’est qu’ils avaient été touchés beaucoup plus loin à l’ouest. Je veux dire que s’ils volaient très haut, au moment où ils ont été touchés, ils ont pu parcourir une bonne distance en vol plané. »
Impassible, Galland demanda : « Vers l’est, Monsieur le Reichsmarschall ? Moi, si je suis touché… »
Cette fois Göring usa d’autorité pour clore la discussion : « Monsieur Galland, je vous ordonne formellement d’admettre que les chasseurs américains ne sont pas arrivés jusqu’à Aix-la-Chapelle ».
Le général tenta une dernière fois de le contredire : « Pourtant ils y étaient, Monsieur le Reichsmarschall. »
Alors, Göring explosa : « Je vous ordonne formellement d’admettre qu’ils n’y étaient pas. Avez-vous compris ? Les chasseurs américains ne sont pas venus jusqu’à Aix-la-Chapelle, c’est compris ? Je raconterai cela au Führer ! » Et Göring planta là le général Galland et partit. Il se retourna encore une fois menaçant : « C’est un ordre ».
Avec un sourire inoubliable, Galland répondit : « A vos ordres, Monsieur le Reichsmarchall ! »
Speer était architecte du parti, puis ministre de l’armement. Il fut l’un des rares à s’opposer ouvertement aux ordres de Hitler, notamment à ceux qui exigeaient la destruction totale de toutes les infrastructures économiques allemandes devant l’avance alliée en 1945. Jugé à Nuremberg, il écopa de 20 ans de prison à Spandau, essentiellement pour avoir cautionné l’exploitation des déportés dans ses usines d’armement, dans des conditions tristement célèbres comme à Dora Mittlebau.
A la même époque, je fus témoin d’une scène orageuse entre Göring et Adolf Galland, le général de la chasse allemande. Ce jour-là, Galland avait annoncé à Hitler que plusieurs chasseurs américains, qui escortaient des formations de bombardiers, avaient été abattus non loin d’Aix-la-Chapelle. Il avait ajouté qu’à son avis nous allions être exposés à un grave danger si les Américains réussissaient dans un avenir proche à doter leurs avions de chasse de réservoirs supplémentaires plus grands : la chasse américaine pourrait alors escorter les formations de bombardiers beaucoup plus loin à l’intérieur du territoire allemand. Göring, à qui Hitler avait fait part des inquiétudes de Galland, se disposait à partir pour la lande de Rominten. Au moment où il allait monter dans son train spécial, Galland arriva pour prendre congé de lui :
- « Qu’est-ce qui vous prend », lui demanda Göring d’un ton hargneux, « de raconter au Führer que des chasseurs américains ont survolé le territoire du Reich ? »
- « Monsieur le Reichsmarschall, bientôt ils iront encore plus loin », répliqua Galland, parfaitement calme.
Göring s’emporta : « Enfin, Galland, ça n’a pas de sens, comment pouvez-vous raconter de pareilles inventions, c’est une histoire à dormir debout ! »
Galland hocha la tête : « C’est la réalité, Monsieur le Reichsmarschall. » Avec sa casquette légèrement inclinée, son long cigare entre les dents, il avait une attitude volontairement désinvolte : « Des chasseurs américains ont été abattus près d’Aix-la-Chapelle. Cela ne fait aucun doute ! »
Göring, obstiné, ne voulait pas céder : « Ce n’est pas vrai, Galland, c’est tout bonnement impossible. »
Galland rétorqua avec une pointe d’ironie : « Vous pouvez toujours faire faire des recherches pour savoir si des chasseurs américains ne sont pas tombés à côté d’Aix-la-Chapelle, Monsieur le Reichsmarschall. »
Göring essaya de se montrer conciliant : « Allons, Galland, dites-vous bien ceci : moi aussi je suis un pilote expérimenté. Je sais ce qui est possible et ce qui ne l’est pas. Avouez-le : vous vous êtes trompé ».
Pour toute réponse Galland hocha la tête en signe de dénégation, jusqu’à ce que Göring déclare : « Il n’y a qu’une possibilité, c’est qu’ils avaient été touchés beaucoup plus loin à l’ouest. Je veux dire que s’ils volaient très haut, au moment où ils ont été touchés, ils ont pu parcourir une bonne distance en vol plané. »
Impassible, Galland demanda : « Vers l’est, Monsieur le Reichsmarschall ? Moi, si je suis touché… »
Cette fois Göring usa d’autorité pour clore la discussion : « Monsieur Galland, je vous ordonne formellement d’admettre que les chasseurs américains ne sont pas arrivés jusqu’à Aix-la-Chapelle ».
Le général tenta une dernière fois de le contredire : « Pourtant ils y étaient, Monsieur le Reichsmarschall. »
Alors, Göring explosa : « Je vous ordonne formellement d’admettre qu’ils n’y étaient pas. Avez-vous compris ? Les chasseurs américains ne sont pas venus jusqu’à Aix-la-Chapelle, c’est compris ? Je raconterai cela au Führer ! » Et Göring planta là le général Galland et partit. Il se retourna encore une fois menaçant : « C’est un ordre ».
Avec un sourire inoubliable, Galland répondit : « A vos ordres, Monsieur le Reichsmarchall ! »
Tex Hill- Adjudant
- Nombre de messages : 68
Date d'inscription : 04/11/2007
Re: Herr Meyer
generalwolf 24/12/2007, 00:46
soit dit en passent certain pilotes de la luftwaffe ne l'appelaient plus que "le gros erman " en rigolant franchement
source : mes amis de la maison de retraite de la légion
source : mes amis de la maison de retraite de la légion
generalwolf- Général de Brigade
- Nombre de messages : 712
Age : 46
Localisation : la ferté bernard (72) breton expatrié
Date d'inscription : 16/06/2007
Re: Herr Meyer
Tex Hill 24/12/2007, 01:02
Goering était un incapable. Bien qu'il fut un très bon pilote de chasse au cours de la WW1, il a ensuite sombré dans la drogue et il a cessé de s'intéresser à sa Luftwaffe dès 41 pour se consacrer à son activité favorite : le pillage des ouvres d'art....
A un tel point que les pilotes de la Luftwaffe (qu'il avait l'habitude de taxer de lacheté) en eurent assez vite ras le bol du gros. Ceci conduisit, début janvier 45, à la fronde des Kommodoren menée principalement par Günther Lützow et Hannes Trautloft.
A un tel point que les pilotes de la Luftwaffe (qu'il avait l'habitude de taxer de lacheté) en eurent assez vite ras le bol du gros. Ceci conduisit, début janvier 45, à la fronde des Kommodoren menée principalement par Günther Lützow et Hannes Trautloft.
Tex Hill- Adjudant
- Nombre de messages : 68
Date d'inscription : 04/11/2007
Re: Herr Meyer
generalwolf 24/12/2007, 01:20
un grand pilote le remplaça : Ritter Von Greim
le gros Hermann selon le livre de skorzeny fut méprisé
par des pilotes allemands...
quel est le membre du forum qui cita la réponse
"une escadrille de spitfire"
a la demande de goering a galland?
cette anectode est citée dans le film "la bataille d'angleterre"
le gros Hermann selon le livre de skorzeny fut méprisé
par des pilotes allemands...
quel est le membre du forum qui cita la réponse
"une escadrille de spitfire"
a la demande de goering a galland?
cette anectode est citée dans le film "la bataille d'angleterre"
generalwolf- Général de Brigade
- Nombre de messages : 712
Age : 46
Localisation : la ferté bernard (72) breton expatrié
Date d'inscription : 16/06/2007
Re: Herr Meyer
Ivy mike 24/12/2007, 11:10
Taratata ! Les premiers à avoir bombardé Berlin sont les Français en juin 40 !
Je ne retrouve plus ma source mais c'était un bombardier qui avait eu pour mission symbolique d'aller lacher une petite cargaison de bombe sur Berlin pour prouver que nous etions capable d'un certain nombre de choses...
Ivy
Je ne retrouve plus ma source mais c'était un bombardier qui avait eu pour mission symbolique d'aller lacher une petite cargaison de bombe sur Berlin pour prouver que nous etions capable d'un certain nombre de choses...
Ivy
_________________
___________________________________________
TOGETHER WE CAN ACTUALLY MAKE A DIFFERENCE
www.ifaw.org
International Fund for Animal Welfare
Le monde animal a besoin de nous !
Ivy mike- Général (Administrateur)
- Nombre de messages : 9350
Date d'inscription : 16/06/2005
Re: Herr Meyer
Ming 24/12/2007, 12:45
Ivy nous précise cela parce que c'est l'honneur de la Royale qui est en jeu !
C'est dans la nuit du 7 au 8 juin 1940 que l'Aéronavale française a bombardé Berlin, avec le commandant Daillière aux commandes du Farman 223.4 de la B5, baptisé Jules Verne. L'appareil avait décollé de Mérignac, fit la route par la Manche, traversa le Danemark et la Baltique avant d'attaquer par le nord. Cependant le doute subsiste quand au fait qu'il ait bombardé Berlin parce que les archives allemandes ne font pas mention d'un bombardement cette nuit là... Mais Daillière était un aviateur hors du commun, qui aurait très bien pu être embauché à l'Aéropostale à droite de Mermoz. Daillière était un aviateur à qui l'on avait déjà confié, avec un autre
grand personnage de l'aviation (Guillaumet) la recherche du Graf Spee qui écumait alors l'atlantique Sud. Clostermann a d'ailleurs été pris en photo ou l'on le voit avec les deux personnes précédemment citées. Cette photo a été prise à Rio de Janeiro, Clostermann étant alors journaliste aéronautique et résidant au Brésil.
Toujours est-il que le Jules Verne s'est posé à Orly après un vol de 13h30, et le moins qu'on puisse dire c'est que les marins n'ont pas manqué de courage. Par ailleurs, en dehors de Berlin, Aix la Chapelle fut également visée.
Cette histoire est racontée dans "le Jules Verne, avion corsaire (lol)" (Lol puisque la Royale fut équipée par la suite de Vought Corsair, c'est donc un raccourci historique qui ne manque pas de sel... de mer !)
C'est dans la nuit du 7 au 8 juin 1940 que l'Aéronavale française a bombardé Berlin, avec le commandant Daillière aux commandes du Farman 223.4 de la B5, baptisé Jules Verne. L'appareil avait décollé de Mérignac, fit la route par la Manche, traversa le Danemark et la Baltique avant d'attaquer par le nord. Cependant le doute subsiste quand au fait qu'il ait bombardé Berlin parce que les archives allemandes ne font pas mention d'un bombardement cette nuit là... Mais Daillière était un aviateur hors du commun, qui aurait très bien pu être embauché à l'Aéropostale à droite de Mermoz. Daillière était un aviateur à qui l'on avait déjà confié, avec un autre
grand personnage de l'aviation (Guillaumet) la recherche du Graf Spee qui écumait alors l'atlantique Sud. Clostermann a d'ailleurs été pris en photo ou l'on le voit avec les deux personnes précédemment citées. Cette photo a été prise à Rio de Janeiro, Clostermann étant alors journaliste aéronautique et résidant au Brésil.
Toujours est-il que le Jules Verne s'est posé à Orly après un vol de 13h30, et le moins qu'on puisse dire c'est que les marins n'ont pas manqué de courage. Par ailleurs, en dehors de Berlin, Aix la Chapelle fut également visée.
Cette histoire est racontée dans "le Jules Verne, avion corsaire (lol)" (Lol puisque la Royale fut équipée par la suite de Vought Corsair, c'est donc un raccourci historique qui ne manque pas de sel... de mer !)
_________________
Patrie, Courage, Foi. Regarde Saint Michel et saute rassuré.
Wenn de net wellcht metkommen, los es stehn !
Membre du club des survivants du péril thaïlandais, du canon de 88 sulfateur de l'infâme colonel Olrik (rebus: oui russe, non russe, liquide, vomi)
Membre du service de protection de Sa Majesté Impériale, la bien touffue et heureuse nordique.
Ming- Général (Administrateur)
- Nombre de messages : 5781
Age : 52
Localisation : MingLouffie occidentale
Date d'inscription : 04/10/2007
Re: Herr Meyer
Ivy mike 24/12/2007, 13:34
Salut,
Merci pour les precisions Ming !
Il est vrai que c'est un exploit assez osé !
Ivy
Merci pour les precisions Ming !
Il est vrai que c'est un exploit assez osé !
Ivy
_________________
___________________________________________
TOGETHER WE CAN ACTUALLY MAKE A DIFFERENCE
www.ifaw.org
International Fund for Animal Welfare
Le monde animal a besoin de nous !
Ivy mike- Général (Administrateur)
- Nombre de messages : 9350
Date d'inscription : 16/06/2005
raca- Major
- Nombre de messages : 137
Age : 82
Date d'inscription : 28/11/2007
Re: Herr Meyer
B17 24/12/2007, 17:35
generalwolf a écrit:un grand pilote le remplaça : Ritter Von Greim
le gros Hermann selon le livre de skorzeny fut méprisé
par des pilotes allemands...
quel est le membre du forum qui cita la réponse
"une escadrille de spitfire"
a la demande de goering a galland?
cette anectode est citée dans le film "la bataille d'angleterre"
Goering discutait avec Galland et Mölders de leurs souhaits concernant la Luftwaffe. Mölders demanda des moteurs plus puissants pour les Bf109 et Galland demanda une escadrille de Spitfire!
Battle of Britain:
Goering: Föhn? Falke? (nom de 2 pilotes)
Falke: Jawohl, herr Reischmarshall! Geben mir ein Squadron von Spitfire!
http://fr.youtube.com/watch?v=hjz8pAGRvsg&feature=related
"Cassé", comme dirait l'autre!
B17- Général de Division
- Nombre de messages : 1022
Age : 30
Localisation : Franche Comté
Date d'inscription : 18/06/2007
LeSieur- Général de Division
- Nombre de messages : 2598
Age : 30
Localisation : Trois-Rivieres, Canada
Date d'inscription : 13/06/2007
Sujets similaires» Herr Kanar
» Kurt-Meyer
» Herr kaleu
» L'occupation allemande en France, de Ahlrich Meyer
» Panzer: Alles in Ordnung Herr Hauptmann!
» Kurt-Meyer
» Herr kaleu
» L'occupation allemande en France, de Ahlrich Meyer
» Panzer: Alles in Ordnung Herr Hauptmann!
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum|
|
|