Landing Vehicule Tracked
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Landing Vehicule Tracked
Ce vehicule fut concu par John A. Roebling dès 1937. 250 exemplaires furent construits.En juillet 1941, le premier LVT 1 sort d'usine.Ce vehicule est tres pratique pour transporter troupes et materiel sur terre comme sur mer.
Spécifications techniques du LVT A1
Motorisation Continental W-670, 7 cyl., essence, refroidit par air, 250 ch. à 2 400 tr/min
Vitesse maximale 40 km/h sur route, 11 km/h sur l'eau
Autonomie 201 km sur route, 100 km sur l'eau
Équipage 3 hommes (plus 24 passagers)
Masse 14,6 tonnes
Longueur 7,95 m
Hauteur 3,01 m
Largeur 3,25 m
Blindage 13 mm
Armement Un canon M3 de 37 mm, une mitrailleuse Browning .50 (12,7 mm) et deux mitrailleuses Browning .30 (7,62 mm)
http://www.secondeguerre.net/articles/vehicules/us/ta/ve_landingvehtra.html
Re: Landing Vehicule Tracked
merci bien pour le post ...
mais il ne devait pas etreterrible car si il fut construit que a 250 exemplaires ...
quelqu' un aurait des info' a ce sujet ???
tchô et que dieu vous garde ...
mais il ne devait pas etreterrible car si il fut construit que a 250 exemplaires ...
quelqu' un aurait des info' a ce sujet ???
tchô et que dieu vous garde ...
aymer506th- Général de Brigade
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Re: Landing Vehicule Tracked
aymer506th a écrit:mais il ne devait pas etreterrible car si il fut construit que a 250 exemplaires ...
c'est quand meme un vehicule specialisé donc une faible production est normale. le crocodile est un tres bon char lance flamme mais il as pas été construit a des milliers d'exemplaire...
cedtomcat- Général de Division
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Re: Landing Vehicule Tracked
Merci p'tit père PATTON
Moi il m'as l'air plutôt pas mal ce vehicule, tu te rend compte les avantages que ça pouvait avoir un truc comme ça pour des opérations de débarquement, ça donne beaucoup plus d'autonomie sur terre et sur mer aux troupes
Par contre, fallait bien le graisser sinon...
Moi il m'as l'air plutôt pas mal ce vehicule, tu te rend compte les avantages que ça pouvait avoir un truc comme ça pour des opérations de débarquement, ça donne beaucoup plus d'autonomie sur terre et sur mer aux troupes
Par contre, fallait bien le graisser sinon...
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Ivy mike- Général (Administrateur)
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Re: Landing Vehicule Tracked
oui mais attention, la il parle de la version LVT A1 donc il faut ajouter toute les autres versions dont notament le LVT 4
Charlemagne- Police militaire (Modérateur)
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Re: Landing Vehicule Tracked
Ce qui fait qu'il y en a plus que 250, c'est ça ?
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Re: Landing Vehicule Tracked
LVT 4 1948 (date de mise en service dans l'Armée Française)
En septembre 1939, le général Moses, présidant le comité des équipements de L'U.S. Marine Corps, rencontra un certain Donald Roebling Jr., natif de Clearwater en Floride, qui avait réalisé et perfectionné entre 1935 et 1937 un véhicule amphibie léger en aluminium appelé "Alligator". D'après son inventeur, cet engin devait permettre de résoudre le problème des opérations de secours dans les marécages de Floride, inaccessibles aux embarcations comme aux véhicules à roues.
A l'issue de cette entrevue, Roebling accepta de remodeler son invention à des fins militaires avant janvier 1940. Mais ce fut en novembre seulement que la marine américaine reçut les crédits lui permettant l’achat d'une première tranche de 200 «tracteurs» en acier, à faire fabriquer par les ateliers de Dunedin (Floride). de la Food Machinery Corporation de San Jose (Californie), ateliers déjà à l'avant-garde du secteur bien particulier des engins amphibies.
Au printemps de 1941, un petit détachement de Marines fut affecté à Dunedin pour y créer le premier centre d'instruction des pilotes et des mécaniciens. La première version de ces "tracteurs" fut appelée Landing Vehicle Tracked : engin de débarquement chenillé.
La compagnie A du 1er bataillon de tracteurs amphibies du Marine Corps ne fut pourtant officiellement créée qu'en décembre 1941, après l'entrée en guerre des États-Unis.
La cadence de production augmenta régulièrement, de sorte que les premières expérimentations purent être conduites sur le terrain dès le début de 1942. Notons qu'à cette époque l'Alligator était considéré comme un simple élément de soutien logistique, destiné à transporter personnels et matériels depuis les bâtiments jusqu'à terre. Mais, dès la première offensive américaine à Guadalcanal (7 août 1942), le "tracteur" démontra en outre son aptitude à jouer un rôle tactique efficace dans une opération de débarquement sur des plages organisées défensivement, et particulièrement sur les îles du Pacifique protégées de barrières de corail que ni les bâtiments, ni les chaloupes de débarquement ne pouvaient franchir.
C'est ainsi que l'Alligator devint le principal moyen de débarquement de l'infanterie, et l'ancêtre d'une dynastie d'amphibies sans cesse plus perfectionnés, malgré la médiocre fiabilité des premiers modèles. Confrontés aux conditions d'emploi sévères du Pacifique Sud où l'usure était rapide, les premières versions de ces engins montrèrent une tendance à décheniller en virage et les coussinets des galets s'usaient très vite sous l'effet du sable et de la salinité.
Les études faites pour éliminer ces défauts ainsi que quelques autres aboutirent à la conception d'un engin de dimensions plus grandes, mis au point par le Naval Office en coopération avec la F.M.C. Surnommé "Water Buffalo" (Buffle des marais), plus puissant et plus efficace. Ce dernier était équipé d'un moteur en étoile Continental de 250 CV à 7 cylindres. Il actionnait le train de roulement par l'intermédiaire d'un arbre de transmission très long qui aboutissait à la boite de vitesses avant (à commande manuelle), et de là à un différentiel contrôlé, puis aux barbotins. Le compartiment formant soute était situé au centre, derrière la cabine de pilotage. Par la suite, cette disposition fut modifiée en positionnant le moteur à l'arrière du poste de pilotage, ce qui permit d'éliminer l'encombrant arbre de transmission, et d'effectuer le chargement et le déchargement de l'amphibie sur une rampe arrière, avec possibilité de transport de véhicules légers (véhicules de reconnaissance, chenillettes, engins blindés d'ouverture de piste aérotransportables, etc.). Cette version reçut le nom de LVT 4 et fut la plus répandue de toutes avec 8 438 exemplaires construits contre 1 225 LVT 1 et 3 143 LVT 3.
La propulsion sur l'eau des LVT était assurée par le mouvement des chenilles, lesquelles étaient équipées, sur toutes les versions, à l'exception de la première, de sortes de nervures en W.
La technique
Le LVT.4 Mk.4 était un engin amphibie de transport, muni d'un léger blindage de protection pour l'équipage (6 hommes dont les pilotes installés dans une cabine fermée à l'avant, avec deux trappes dans le toit munies de portes sur charnières latérales) et des 25 passagers.
Les panneaux latéraux avaient été surélevés pour permettre une navigation plus sûre par mer agitée, et dans certains cas, un armement propre lui avait été donné sous forme d'une mitrailleuse Browning de 7,62 mm sous casemate sphérique installée à droite du poste de pilotage. Sur ce modèle la visibilité demeurait assurée même lorsque les écoutilles étaient fermées. grâce à quatre fentes de visée protégées. A l'avant. l'engin était équipé d'un robuste pare-chocs constitué d'un tube métallique.
Son groupe motopropulseur (GMP) comprenait un Continental refroidi par air, comme celui du LVT 2 à embrayage à cinq disques à sec et boite de vitesses synchronisée à engrenages toujours en prise, à cinq rapports AV plus la marche AR.
Le changement de direction se faisait par freinage sur les demi-axes, par deux leviers de commande. Les chenilles étaient faites de 73 patins d'acier qui roulaient sur deux rouleaux de soutien caoutchoutés à la partie centrale supérieure, une poulie de renvoi l'arrière, un barbotin à l'avant, plus onze galets de roulement caoutchoutés. Chaque suspension était indépendante, chaque galet se trouvant monté sur son bras, dont le pivot était formé d'un tube creux monté sur un autre plus petit solidaire du châssis. L'intervalle entre ces deux tubes était rempli d'une épaisseur de caoutchouc vulcanisé qui faisait fonction de ressort de rappel.
L'armement comprenait en général quatre mitrailleuses Browning sur affût circulait, deux de 12.7 mm et deux de 7,62 mm.
Le LVT 4 a été utilisé par l'Armée Française en Indochine et au cours de l'opération Mousquetaire à Suez en 1956.
source: http://www.chars-francais.net/archives/lvt4.htm
En septembre 1939, le général Moses, présidant le comité des équipements de L'U.S. Marine Corps, rencontra un certain Donald Roebling Jr., natif de Clearwater en Floride, qui avait réalisé et perfectionné entre 1935 et 1937 un véhicule amphibie léger en aluminium appelé "Alligator". D'après son inventeur, cet engin devait permettre de résoudre le problème des opérations de secours dans les marécages de Floride, inaccessibles aux embarcations comme aux véhicules à roues.
A l'issue de cette entrevue, Roebling accepta de remodeler son invention à des fins militaires avant janvier 1940. Mais ce fut en novembre seulement que la marine américaine reçut les crédits lui permettant l’achat d'une première tranche de 200 «tracteurs» en acier, à faire fabriquer par les ateliers de Dunedin (Floride). de la Food Machinery Corporation de San Jose (Californie), ateliers déjà à l'avant-garde du secteur bien particulier des engins amphibies.
Au printemps de 1941, un petit détachement de Marines fut affecté à Dunedin pour y créer le premier centre d'instruction des pilotes et des mécaniciens. La première version de ces "tracteurs" fut appelée Landing Vehicle Tracked : engin de débarquement chenillé.
La compagnie A du 1er bataillon de tracteurs amphibies du Marine Corps ne fut pourtant officiellement créée qu'en décembre 1941, après l'entrée en guerre des États-Unis.
La cadence de production augmenta régulièrement, de sorte que les premières expérimentations purent être conduites sur le terrain dès le début de 1942. Notons qu'à cette époque l'Alligator était considéré comme un simple élément de soutien logistique, destiné à transporter personnels et matériels depuis les bâtiments jusqu'à terre. Mais, dès la première offensive américaine à Guadalcanal (7 août 1942), le "tracteur" démontra en outre son aptitude à jouer un rôle tactique efficace dans une opération de débarquement sur des plages organisées défensivement, et particulièrement sur les îles du Pacifique protégées de barrières de corail que ni les bâtiments, ni les chaloupes de débarquement ne pouvaient franchir.
C'est ainsi que l'Alligator devint le principal moyen de débarquement de l'infanterie, et l'ancêtre d'une dynastie d'amphibies sans cesse plus perfectionnés, malgré la médiocre fiabilité des premiers modèles. Confrontés aux conditions d'emploi sévères du Pacifique Sud où l'usure était rapide, les premières versions de ces engins montrèrent une tendance à décheniller en virage et les coussinets des galets s'usaient très vite sous l'effet du sable et de la salinité.
Les études faites pour éliminer ces défauts ainsi que quelques autres aboutirent à la conception d'un engin de dimensions plus grandes, mis au point par le Naval Office en coopération avec la F.M.C. Surnommé "Water Buffalo" (Buffle des marais), plus puissant et plus efficace. Ce dernier était équipé d'un moteur en étoile Continental de 250 CV à 7 cylindres. Il actionnait le train de roulement par l'intermédiaire d'un arbre de transmission très long qui aboutissait à la boite de vitesses avant (à commande manuelle), et de là à un différentiel contrôlé, puis aux barbotins. Le compartiment formant soute était situé au centre, derrière la cabine de pilotage. Par la suite, cette disposition fut modifiée en positionnant le moteur à l'arrière du poste de pilotage, ce qui permit d'éliminer l'encombrant arbre de transmission, et d'effectuer le chargement et le déchargement de l'amphibie sur une rampe arrière, avec possibilité de transport de véhicules légers (véhicules de reconnaissance, chenillettes, engins blindés d'ouverture de piste aérotransportables, etc.). Cette version reçut le nom de LVT 4 et fut la plus répandue de toutes avec 8 438 exemplaires construits contre 1 225 LVT 1 et 3 143 LVT 3.
La propulsion sur l'eau des LVT était assurée par le mouvement des chenilles, lesquelles étaient équipées, sur toutes les versions, à l'exception de la première, de sortes de nervures en W.
La technique
Le LVT.4 Mk.4 était un engin amphibie de transport, muni d'un léger blindage de protection pour l'équipage (6 hommes dont les pilotes installés dans une cabine fermée à l'avant, avec deux trappes dans le toit munies de portes sur charnières latérales) et des 25 passagers.
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Le changement de direction se faisait par freinage sur les demi-axes, par deux leviers de commande. Les chenilles étaient faites de 73 patins d'acier qui roulaient sur deux rouleaux de soutien caoutchoutés à la partie centrale supérieure, une poulie de renvoi l'arrière, un barbotin à l'avant, plus onze galets de roulement caoutchoutés. Chaque suspension était indépendante, chaque galet se trouvant monté sur son bras, dont le pivot était formé d'un tube creux monté sur un autre plus petit solidaire du châssis. L'intervalle entre ces deux tubes était rempli d'une épaisseur de caoutchouc vulcanisé qui faisait fonction de ressort de rappel.
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Re: Landing Vehicule Tracked
Que veut tu qu'on reponde à ça ? Tout est dit, merci beaucoup
Comme dans les blindés somme toute !charlemagne47 a écrit:Le changement de direction se faisait par freinage sur les demi-axes, par deux leviers de commande.
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Re: Landing Vehicule Tracked
ben c'est comme tout les véhicules à chenilles (enfin je pense)
Charlemagne- Police militaire (Modérateur)
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Re: Landing Vehicule Tracked
Oui il me semble que c'est exact
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