L'Ouest en guerre(période de 1940 à 1942)
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L'Ouest en guerre(période de 1940 à 1942)
Bonjour à tous
Je me lance dans la rédaction(du moins j'essaye) de comment c'est dérouler la guerre dans l'ouest de la France. En racomptant les différentes opérations(pas toutes car pour cela il faudrait un livre) mais celles que je juge importantes, ainsi que des témoignages pour illustrer mes propos
Voila ce que ca donne pour la période de 1940 à 1942(c'est un esai que chacun poura completer à sa guise) :
L’Ouest en guerre(1940-1942)
Un mois après avoir attaqué la France, l’armée allemande
triomphante fait route vers la manche et l’Atlantique.
La luftwaffe bombarde les gares, les carrefours, les routes
ou les troupes alliés essayent, avec les civils de fuirent. De Gaule nommé
sous-secrétaire d’état à la guerre le 5 Juin propose un repli vers des lignes
de défense dans la presqu’île du Cotentin. Puis il se rend à Londres pour
convaincre Churchill de renvoyer des troupes. Mais les chars allemands vont trop
vites. Commandé par le Général Rommel, ils sont en Normandie le 8 Juin et avec
la 7e Panzers, va attaqué Cherbourg et Brest au plus vite sur ordre
direct de Hitler. La vitesse sera dès maintenant primordiale.
Pour éviter de donner nos richesses à l’Allemagne, les
stocks d’Or de la banque de France ainsi que l’or Belge et Polonais quittent
Lorient le 18 pour Casablanca.
Tout le monde essaye de fuir. Le Jean-Bart tout juste fini quitte St Nazaire. Le Courbet part de Cherbourg avec 1300 hommes. Les navires partent
par dizaines vers l’Afrique Du Nord ou l’Angleterre.
Les Allemands progressent toujours plus vite, ils sont le 18
à Caen et Rennes, le 19 à Cherbourg, Nantes et Brest et le 21 à Lorient. Mais
il reste certaines poches de résistances ou l’on se bat comme à Montebourg,
Martinvast, Guidel, et surtout Saumur ou les 500 cadets de l’école de cavalerie
tiennent tête pendant deux jours, les 19 et 20 juin à l’artillerie, les paras
et l’aviation Allemande.
Acte malheureusement inutile et désespéré. Le 16 juin, Paul
Raynaud, actuel chef du gouvernement démissionne. Le Maréchal Pétain le
remplace et fait aussitôt savoir qu’il demande l’armistice. Dès le lendemain à
Londres, De Gaule appelle à la radio les Français à continuer la lutte.
L’armistice rentre en vigueur le 25.
« La patronne de l’hôtel de l’Océan avait posé le poste de TSF sr le rebord de la fenêtre et on
a entendu l’appel d’un général que l’on ne connaissait pas (Le général de
Gaule). Mais ça a suffit pour nous donner l’envie de rallier l’Angleterre. Ca
bombardait de partout et on observait des gros incendies sur tout le continent.
Les Allemands étaient à Brest. Notre père avait fait 14-18 et les
fusiliers-marins qui les avaient combattus nous disaient que c’était des
barbares. C’est grâce aux anciens qu’on est partit, il était temps. Nous avions
un oncle à bord d’un bateau qui nous a crié de monter. Il y’avait de la place.
Nous étions 52 pour un équipage habituel de 4 hommes ! »
Jean et Pascal Milliner, à l’île de Sein
Cette invasion éclaire a fait des victimes. Plus de 800
morts, et autant de blessés et disparus.
Le 17 juin, la luftwaffe mitraille des trains de réfugiés et
de soldats. On dénombre 3.000 victimes dans le Lancastria, bateau Anglais
coulé devant St Nazaire. Plus de 200 dans un chalutier qui saute sur une
mine à la sortie de Lorient le 19 juin.
De son coté le Maréchal Pétain devient chef d’Etat le 11
Juillet. Il dissout la République. Et
par les lois d’octobre 1940 et juin 1941, exclu les Juifs de la Fonction Publique
puis des professions libérales.
Un véritable phénomène de résistance civile à l’occupant se
manifeste dans les régions qui font face à l’Angleterre.
Le nouvel état Français collabore. Mais la population ne
reste pas muette devant l’occupant.
Elle passe par des démonstrations publiques. Le 11 novembre,
les lycéens et étudiants manifestent à Rouen, Brest, St-Brieuc, Nates, Caen ou plusieurs centaines chantent la Marseillaise devant les monuments aux morts qui se trouve a 20 mètres de la Kommandantur
De Gaule lance aussi plusieurs appels. Rester chez soi le 1er Janvier, sortir en masse le 11 mai, tracer des V sur les murs au printemps, s’habiller en Bleu-Blanc-Rouge le 14 juillet…
L’Ouest a une certaine solidarité envers les Juifs. Les familles recueillent et cachent des enfants.
Certains jeunes vont jusqu'à réaliser des actes insensés. Le 29 avril 1941, deux ouvriers, aviateurs civils, Denys Boudard et Jean Hébert volent un avion allemand sur l’aérodrome de Carpiquet et réussissent à rejoindre l’Angleterre. Un exploit qui comptera dans la bataille de la propagande.
« On est entré sur l’aérodrome par un petit sentier peu surveillé sous une pluie fine, idéale : Il y’avait un peu d’action. On avait mis des combinaisons noires.
On a filé pour s’abriter dans le hangar du Bucker Jugmann(avion allemand), un biplace qu’on avait repéré depuis pas mal de temps .Le temps de repéré les tuyau, de trouver l’arrivée d’essence et Jean a pris les commandes. On avait tiré à pile ou face. Moi, j’ai brassé l’hélice et le moteur a démarré dans un tel vacarme qu’on a cru que tout le monde allait accourir…On allait mettre les gaz quand deux manœuvres sont venus poser une brouette juste dans l’axe de l’avion. Heureusement c’était des français ! Je leur est dit de dégager. On s’est engagé sur la piste. La Flak Allemande n’a pas bronché. On redoutait la DCA anglaise. On a filé au ras de l’eau pour échapper aux hurricanes de la RAF et à midi on survolait la rue principale de Bournemouth.
Les sirènes hurlaient
et on a continué pleins gaz au nord. A l’horizon on a aperçu un avion qui
atterrissait, on l’a suivit et on s’est posé tranquillement sur la piste. Les
militaires qui jouaient aux criquets se sont rués dans les abris quand on est
arrivés et quand on est sortit de l’avion, on a vite été entourés de fusils.
Mais on a pu s’expliquer avec le sergent Pilchard qui parlait français. Nous
sommes passés à la BBC et nous avons été présentés à Churchill et à De gaulle. Jean est mort en mission en 1943. Moi j’ai participé au 6 juin et j’ai été le premier a me poser sur l’aéroport de Carpiquet libéré. »
Denys Boudard
Hitler n’a pu envahir l’Angleterre et a lancé ses Panzers à la conquête de l’URSS. Churchill contre-attaque en lançant des raids meurtriers
Le 28 février 1942 un raid sur le nouveau radar de Bruneval est un succès.
Un mois plus tard, une flottille Britannique composé d’un destroyer et de 16 vedettes et torpilleurs s’engagent dans l’estuaire de la Loire. Sa mission : détruire le porte écluse Joubert à St Nazaire, la seule façade atlantique capable d’accueillir des cuirassés géants.
Sous un feu intense des batteries, le Campbletown s’enfonce de 10 mètres dans la porte écluse. Les marins sabordent le navire et mettent en route le mécanisme d’explosion à retardement.
Pendant ce temps les commandos débarquent sur chaque rive et détruisent tout ce qu’ils trouvent. 4 heures plus tard, ils tentent de réembarquer mais les allemands sont partout. Sur les 611 Britanniques engagés, 164 sont tués, 228 faits prisonniers. Une poignée a pu s’échapper dans la ville. 7vedettes sont détruites.
Les pertes sont lourdes mais l’opération est un succès, en fin de matinée, alors que les allemands visitent le navire, il explose rendant le porte écluse inutilisable et faisant près de 400 morts. Deux jours après, deux torpilles que personne n’a vu explosent endommageant a leur tour les entrées Sud et Est du port. Fous furieux, les allemands vont en ville tirer au hasard sur les fenêtres et les portes, lançant des grenades, persuadé que des commandos britanniques y sont cachées. Tout cela faisant 18 morts et 26 blessés.
« Le 30 mars vers 20h (lors de la vengeance des allemands à cause de l’opération sur la porte écluse) la fusillade est devenue plus violente. Des marins et des soldats allemands tiraient de tous les cotés. J’ai recommandé à ma femme de se baisser par mesure de prudence. C’est à cet instant précis qu’ils ont tirés des balles sur notre cabane. Mon fils Bernard qui se tenait accroupi près de sa mère a été atteint par deux projectiles. L’un lui a complètement arraché le bras gauche, l’autre lui a déchiqueté la face. J’ai essayé de sortir aller chercher du secours mais la fusillade a duré toute la nuit. Je n’ai pu obtenir d’aide que le lendemain à 7h00. Transporté à l’hôpital à 8h30, mon petit Bernard est décédé à 11h00. »
Amédée Pelven, rue Albert-Thomas
Source: L'Ouest en guerre aux éditions Ouest-France
Edit: je m'excuse pour la mise en page mais en transférant mon texte du word sur le forum, cela a fait de espaces bizares
Je me lance dans la rédaction(du moins j'essaye) de comment c'est dérouler la guerre dans l'ouest de la France. En racomptant les différentes opérations(pas toutes car pour cela il faudrait un livre) mais celles que je juge importantes, ainsi que des témoignages pour illustrer mes propos
Voila ce que ca donne pour la période de 1940 à 1942(c'est un esai que chacun poura completer à sa guise) :
L’Ouest en guerre(1940-1942)
Un mois après avoir attaqué la France, l’armée allemande
triomphante fait route vers la manche et l’Atlantique.
La luftwaffe bombarde les gares, les carrefours, les routes
ou les troupes alliés essayent, avec les civils de fuirent. De Gaule nommé
sous-secrétaire d’état à la guerre le 5 Juin propose un repli vers des lignes
de défense dans la presqu’île du Cotentin. Puis il se rend à Londres pour
convaincre Churchill de renvoyer des troupes. Mais les chars allemands vont trop
vites. Commandé par le Général Rommel, ils sont en Normandie le 8 Juin et avec
la 7e Panzers, va attaqué Cherbourg et Brest au plus vite sur ordre
direct de Hitler. La vitesse sera dès maintenant primordiale.
Pour éviter de donner nos richesses à l’Allemagne, les
stocks d’Or de la banque de France ainsi que l’or Belge et Polonais quittent
Lorient le 18 pour Casablanca.
Tout le monde essaye de fuir. Le Jean-Bart tout juste fini quitte St Nazaire. Le Courbet part de Cherbourg avec 1300 hommes. Les navires partent
par dizaines vers l’Afrique Du Nord ou l’Angleterre.
Les Allemands progressent toujours plus vite, ils sont le 18
à Caen et Rennes, le 19 à Cherbourg, Nantes et Brest et le 21 à Lorient. Mais
il reste certaines poches de résistances ou l’on se bat comme à Montebourg,
Martinvast, Guidel, et surtout Saumur ou les 500 cadets de l’école de cavalerie
tiennent tête pendant deux jours, les 19 et 20 juin à l’artillerie, les paras
et l’aviation Allemande.
Acte malheureusement inutile et désespéré. Le 16 juin, Paul
Raynaud, actuel chef du gouvernement démissionne. Le Maréchal Pétain le
remplace et fait aussitôt savoir qu’il demande l’armistice. Dès le lendemain à
Londres, De Gaule appelle à la radio les Français à continuer la lutte.
L’armistice rentre en vigueur le 25.
« La patronne de l’hôtel de l’Océan avait posé le poste de TSF sr le rebord de la fenêtre et on
a entendu l’appel d’un général que l’on ne connaissait pas (Le général de
Gaule). Mais ça a suffit pour nous donner l’envie de rallier l’Angleterre. Ca
bombardait de partout et on observait des gros incendies sur tout le continent.
Les Allemands étaient à Brest. Notre père avait fait 14-18 et les
fusiliers-marins qui les avaient combattus nous disaient que c’était des
barbares. C’est grâce aux anciens qu’on est partit, il était temps. Nous avions
un oncle à bord d’un bateau qui nous a crié de monter. Il y’avait de la place.
Nous étions 52 pour un équipage habituel de 4 hommes ! »
Jean et Pascal Milliner, à l’île de Sein
Cette invasion éclaire a fait des victimes. Plus de 800
morts, et autant de blessés et disparus.
Le 17 juin, la luftwaffe mitraille des trains de réfugiés et
de soldats. On dénombre 3.000 victimes dans le Lancastria, bateau Anglais
coulé devant St Nazaire. Plus de 200 dans un chalutier qui saute sur une
mine à la sortie de Lorient le 19 juin.
De son coté le Maréchal Pétain devient chef d’Etat le 11
Juillet. Il dissout la République. Et
par les lois d’octobre 1940 et juin 1941, exclu les Juifs de la Fonction Publique
puis des professions libérales.
Un véritable phénomène de résistance civile à l’occupant se
manifeste dans les régions qui font face à l’Angleterre.
Le nouvel état Français collabore. Mais la population ne
reste pas muette devant l’occupant.
Elle passe par des démonstrations publiques. Le 11 novembre,
les lycéens et étudiants manifestent à Rouen, Brest, St-Brieuc, Nates, Caen ou plusieurs centaines chantent la Marseillaise devant les monuments aux morts qui se trouve a 20 mètres de la Kommandantur
De Gaule lance aussi plusieurs appels. Rester chez soi le 1er Janvier, sortir en masse le 11 mai, tracer des V sur les murs au printemps, s’habiller en Bleu-Blanc-Rouge le 14 juillet…
L’Ouest a une certaine solidarité envers les Juifs. Les familles recueillent et cachent des enfants.
Certains jeunes vont jusqu'à réaliser des actes insensés. Le 29 avril 1941, deux ouvriers, aviateurs civils, Denys Boudard et Jean Hébert volent un avion allemand sur l’aérodrome de Carpiquet et réussissent à rejoindre l’Angleterre. Un exploit qui comptera dans la bataille de la propagande.
« On est entré sur l’aérodrome par un petit sentier peu surveillé sous une pluie fine, idéale : Il y’avait un peu d’action. On avait mis des combinaisons noires.
On a filé pour s’abriter dans le hangar du Bucker Jugmann(avion allemand), un biplace qu’on avait repéré depuis pas mal de temps .Le temps de repéré les tuyau, de trouver l’arrivée d’essence et Jean a pris les commandes. On avait tiré à pile ou face. Moi, j’ai brassé l’hélice et le moteur a démarré dans un tel vacarme qu’on a cru que tout le monde allait accourir…On allait mettre les gaz quand deux manœuvres sont venus poser une brouette juste dans l’axe de l’avion. Heureusement c’était des français ! Je leur est dit de dégager. On s’est engagé sur la piste. La Flak Allemande n’a pas bronché. On redoutait la DCA anglaise. On a filé au ras de l’eau pour échapper aux hurricanes de la RAF et à midi on survolait la rue principale de Bournemouth.
Les sirènes hurlaient
et on a continué pleins gaz au nord. A l’horizon on a aperçu un avion qui
atterrissait, on l’a suivit et on s’est posé tranquillement sur la piste. Les
militaires qui jouaient aux criquets se sont rués dans les abris quand on est
arrivés et quand on est sortit de l’avion, on a vite été entourés de fusils.
Mais on a pu s’expliquer avec le sergent Pilchard qui parlait français. Nous
sommes passés à la BBC et nous avons été présentés à Churchill et à De gaulle. Jean est mort en mission en 1943. Moi j’ai participé au 6 juin et j’ai été le premier a me poser sur l’aéroport de Carpiquet libéré. »
Denys Boudard
Hitler n’a pu envahir l’Angleterre et a lancé ses Panzers à la conquête de l’URSS. Churchill contre-attaque en lançant des raids meurtriers
Le 28 février 1942 un raid sur le nouveau radar de Bruneval est un succès.
Un mois plus tard, une flottille Britannique composé d’un destroyer et de 16 vedettes et torpilleurs s’engagent dans l’estuaire de la Loire. Sa mission : détruire le porte écluse Joubert à St Nazaire, la seule façade atlantique capable d’accueillir des cuirassés géants.
Sous un feu intense des batteries, le Campbletown s’enfonce de 10 mètres dans la porte écluse. Les marins sabordent le navire et mettent en route le mécanisme d’explosion à retardement.
Pendant ce temps les commandos débarquent sur chaque rive et détruisent tout ce qu’ils trouvent. 4 heures plus tard, ils tentent de réembarquer mais les allemands sont partout. Sur les 611 Britanniques engagés, 164 sont tués, 228 faits prisonniers. Une poignée a pu s’échapper dans la ville. 7vedettes sont détruites.
Les pertes sont lourdes mais l’opération est un succès, en fin de matinée, alors que les allemands visitent le navire, il explose rendant le porte écluse inutilisable et faisant près de 400 morts. Deux jours après, deux torpilles que personne n’a vu explosent endommageant a leur tour les entrées Sud et Est du port. Fous furieux, les allemands vont en ville tirer au hasard sur les fenêtres et les portes, lançant des grenades, persuadé que des commandos britanniques y sont cachées. Tout cela faisant 18 morts et 26 blessés.
« Le 30 mars vers 20h (lors de la vengeance des allemands à cause de l’opération sur la porte écluse) la fusillade est devenue plus violente. Des marins et des soldats allemands tiraient de tous les cotés. J’ai recommandé à ma femme de se baisser par mesure de prudence. C’est à cet instant précis qu’ils ont tirés des balles sur notre cabane. Mon fils Bernard qui se tenait accroupi près de sa mère a été atteint par deux projectiles. L’un lui a complètement arraché le bras gauche, l’autre lui a déchiqueté la face. J’ai essayé de sortir aller chercher du secours mais la fusillade a duré toute la nuit. Je n’ai pu obtenir d’aide que le lendemain à 7h00. Transporté à l’hôpital à 8h30, mon petit Bernard est décédé à 11h00. »
Amédée Pelven, rue Albert-Thomas
Source: L'Ouest en guerre aux éditions Ouest-France
Edit: je m'excuse pour la mise en page mais en transférant mon texte du word sur le forum, cela a fait de espaces bizares
Re: L'Ouest en guerre(période de 1940 à 1942)
Merci Glider pour ce récit concis est intéressant! Les témoignages donnent de la vie et ça c'est franchement sympa!
_________________
tayp'- Police militaire (Modérateur)
- Nombre de messages : 4020
Age : 33
Localisation : Paris
Date d'inscription : 20/11/2006
Re: L'Ouest en guerre(période de 1940 à 1942)
Ce n'est pas mal du tout pour un premier essais Grand Planeur !
Le raid sur la grande forme-écluse de St-Nazaire à été une victoire des commandos britanniques, mêmes s'ils ont laissés beaucoups de morts. A noter que le HMS Campbelltown etait un ancien destroyer américain, l'USS Buchanan, cédé par les américains sur insistance de Churchill en échange de bases dans les colonies et dominions anglais. L'histoire de cet accord connu sous le nom de "Destroyers for Bases Agreement" mérite d'être racontée.
En tout cas, bravo pour ton premier travail !
Le raid sur la grande forme-écluse de St-Nazaire à été une victoire des commandos britanniques, mêmes s'ils ont laissés beaucoups de morts. A noter que le HMS Campbelltown etait un ancien destroyer américain, l'USS Buchanan, cédé par les américains sur insistance de Churchill en échange de bases dans les colonies et dominions anglais. L'histoire de cet accord connu sous le nom de "Destroyers for Bases Agreement" mérite d'être racontée.
En tout cas, bravo pour ton premier travail !
Invité- Invité
Re: L'Ouest en guerre(période de 1940 à 1942)
Merci Jean louis
La suite vient la semaine prochaine ;) Et la y'a de quoi dire( 1944...)
La suite vient la semaine prochaine ;) Et la y'a de quoi dire( 1944...)
Re: L'Ouest en guerre(période de 1940 à 1942)
Très intéressant, merci Glider !
1944 ... t'en aura des trucs à dire !
Goliath
1944 ... t'en aura des trucs à dire !
Goliath
Re: L'Ouest en guerre(période de 1940 à 1942)
Bonjour Glider82,
C'est très bien ce que tu fais. Outre l'information des membres de ce forum sur "l'Ouest en guerre", ça te sera sans doute très utile pour tes études... ;)
Un petit conseil toutefois (ne le prends surtout pas mal…), pourrais-tu, dans tes prochains articles, parler davantage des conditions de vie de la population de l'Ouest de la France durant la guerre, et pas uniquement des faits militaires ?… Tu devrais pouvoir trouver des éléments pour cela dans le livre qui te sert de référence.
Roger le Cantalien.
C'est très bien ce que tu fais. Outre l'information des membres de ce forum sur "l'Ouest en guerre", ça te sera sans doute très utile pour tes études... ;)
Un petit conseil toutefois (ne le prends surtout pas mal…), pourrais-tu, dans tes prochains articles, parler davantage des conditions de vie de la population de l'Ouest de la France durant la guerre, et pas uniquement des faits militaires ?… Tu devrais pouvoir trouver des éléments pour cela dans le livre qui te sert de référence.
Roger le Cantalien.
roger15- Commandant
- Nombre de messages : 297
Age : 75
Localisation : Maurs-la-Jolie (Sud-Ouest du Cantal)
Date d'inscription : 04/05/2008
Re: L'Ouest en guerre(période de 1940 à 1942)
Mais bien sur! Aucun souçi, ce livre receuil de témoignagesroger15 a écrit:
Un petit conseil toutefois (ne le prends surtout pas mal…), pourrais-tu, dans tes prochains articles, parler davantage des conditions de vie de la population de l'Ouest de la France durant la guerre, et pas uniquement des faits militaires ?
Roger le Cantalien.
Pour la période 1944 vous allez être servis!
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