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Die Panzertruppen in Zusammenwirken mit den anderen Waffen

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Message  st.ex. 21/2/2009, 13:24

Et oui derrière se titre allemand se cache, un grand maître des blindés!

Et comme je vient de retrouver quelques paragraphes, je vous en fairais par, dès que j'aurais fini de traduire quelques paragraphes.

il ne faut tout de même pas rêver, on ne trouveras jamais l'intégralité du livre, à moins que ici en france, il existe encore des éditeurs qui ont l'orginal de 1938, dont ces futures paragraphes, en font partie.
Il doit bien encore existé, on poura les compté sur les doigts de la main, les éditeurs francais, qui dispose encore des planches pour l'édité.

Et mon but n'est nullement de faire de la concurence, puisque je ne dispose pas de la version complête du livre.
Et je ne connais pas le nombre de pages total que devait contenir ce livre, mais ici, il s'agjit de 41 à 42 pages, et il prend tout naturellement des example sur la guerre 14/18, où il évoqueras quelques bataille et quelques nombres pour les stats.

Alors si vous êtes des adeptes inconditionels des blindés, et sur sa tactique, je pense que vous allez apprécié.
Et oust, je vous laisse rechercher avec google, si vous n'avez pas encore trouver le nom de l'auteur....

Et je vous traduit tout de même de suite, le titre: Les troupes blindés en coordonination avec les autres troupes. (C'est du moins dans ce sens que vas le titre)

st.ex.
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Message  st.ex. 21/2/2009, 16:42

ok on démarre avec la première partie traduide.

Guderian

L'Interactions
Des blindés
Avec les autres TROUPES.

Annotations:

L'auteur, un général de l'armée allemande, c'est basé en analysant l'utilisation des chars au cours de la 1ère Guerre mondiale année 1914-1918. Et en poursuivant cette analyse, il constate la nécessité d'organiser des bataillions de blindés, et de les utilisés massivement dans les opérations des armées modernes. Pour le réaliser, il examine en détail la question de la coopération avec d'autres unités dans la bataille.


2)

Préface:

En partant de l'analyse des caractéristiques de combat dans les différentes unités, et de l'état de l'équipement militaires, l'auteur, le générale de l'armée allemande Guderian, constate que, au stade actuel du développement de la science militaire, l'interaction avec les autres unités est une condition préalable pour arrivé à la victoire, aucune unités ne peut résoudre à effectuer toutes les tâches indépendamment, tel celle qui apparaissent auparavant sur le champ de bataille. Cependant, cette interaction doit être flexibles, qui correspondent aux conditions particulières de l'environnement de combat. En conséquent les forces blindés, dès que les conditions de la bataille le permette, elles doivent être employées massivement: non coude au coude avec l'infanterie, mais comme une branche autonome de l'unité.

Selon l'auteur, ont aura à demander aux chars de pénétrer avec un maximum de rapidité, les lignes de défenses de l'ennemi, de détruire ou de supprimer celle ci, créant ainsi les conditions de succès pour son infanterie. Dans le cas d'inaccessibilité d'employer les chars dans la zone de défense, la percé devras être effectuer par l'infanterie, qui elle sera appuyées par l'artillerie et l'aviations. Interaction constante entre l'infanterie, l'artillerie et les chars, permet de mieux assurée une meilleure régulation au sein des unités motorisé. Cela ne signifie en aucun cas, que l'ensemble de l'armée doit être transformées en unité blindé motorisé: ce dernier est seulement un moyen de choc mobile effectuer par l'armée, et leur nombres devrait être compatible avec leurs objectifs et les forces de l'ennemi.

4)

Considérations générales

Dans un avenir proche, on ne pourra pas envisager un affrontement militaire sans la participation de la force aérienne et des forces blindées. Déjà en 1919, le général français Buat, sous sa fraîche impression d'expérience au combat, il écrivait:
"Sur les deux éléments de la tactique, - le feu et le mouvement – uniquement la machine possèdera toujours un seul de ses éléments, à savoir la puissance de feu. Ce dernier a été valable à ce point, que, même ou presque si tous les mouvements sur le champ de bataille sont stoppés. Le cheval sur les champs de bataille a été complètement retiré. Et les soldats ont été obligés de s'enterrer. Et qui eux ne pouvaient uniquement bouger que lorsque, toutes les pièces d'artillerie de l'ennemi ont été détruites ou qu'elles cessèrent leurs tirs. Maintenant, avec l'apparition des automobiles sur le champ de bataille, le mouvement dans la bataille détient un sens réel. Les compagnies d'infanterie allaient bientôt se transformer en tant que compagnie motorisé, ce qui ne signifie évidemment pas que l'infanterie, en tant que telle, doit absolument cesser d'exister. L'arme automatique, elle qui était destinés auparavant à tuer l'infanterie, à céder sa place en tant que armes automatiques pour détruire des chars. "

Le blindage, était entraîné par la force motrice du moteur, une excellente protection pour les soldats et les armes. La notion blindage et puissance de feu, sont les caractéristiques essentielles des nouveaux moyens d'attaque des forces terrestres.

L'exubérance des jeunes vers ses deux types d'armes – tel l'aviation et les forces blindées - depuis la fin de la première Guerre mondiale, a sensiblement accru leur importance tactique. . Leur influence dans les activités opérationnelles et tactiques et on ne pourra plus s'en passé de devoir les intégrés dans nos plans, ce qui se fait ressentir de plus en plus et plus encore. Les anciens types d'armes, elle, il va sans dire doivent être introduite à leurs cotés.

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Message  st.ex. 22/2/2009, 02:28

Bon voyons maintenant Cambrai.

Cambrai, le 20 Novembre 1917.

Le plan d'attaque de Cambrai a été créé sur le principe de la vitesse, le plan détenait une concentration importante de char et qui entrèrent au combat suivant les caractéristiques du champ de bataille. Des mesures préparatoires ont été prises, tel (le rapatriement vers les gares ferroviaire, de tout le matériel et munitions qui était nécessaire) et le déplacement des chars vers le champ de bataille, à été soigneusement tenu au secret (voir camouflé), pour avoir l'effet de surprise. Ne disposant pas de la longue préparation d'artillerie classique, après un court et puissant tir de l'artillerie, les chars ont commencé l'attaque sur toute la longueur du front simultanément, et l'infanterie a suivi en effectuant la seconde vague d'assaut. Cette attaque d'infanterie en coopération avec les chars, sous le couvert d'écran de fumée, et du soutien tir de barrage de l'artillerie. Ce soutien de l'artillerie était nécessaire, et il était complètement possible en raison de la lenteur des chars à l'époque. Pour détenir la maîtrise de l'attaque, il a fallut que l'adversaire appelle à la rescousse le corps de cavalerie, qui était composé de cinq divisions. L'attaque de l'infanterie et des chars a été un succès magistrale et qui sortait de toutes les attentes. Mais les points fortifiés, comme par exemple, de Flesquière, s'est révélée être un bon point de résistance et a été tenus par les Allemands. Mais la cavalerie, vice versa se révéla dans l'incapacité de suivre à cheval, la tactique des chars lors de l'attaque. Seulement une faible quantité de ce corps, était arrivé à rejoindre le front, et uniquement dans l'après midi, ces unités là rejoignirent les premières ligne et entrèrent de suite dans la bataille. Le succès escompté de l'attaque et de la percée, n'a pas suivi, et l'efficacité de l'infanterie et des chars au combat a été stoppée.

Sur les 400 chars, qui ont été intégré dans la bataille, des tirs d'artillerie ennemi en ont détruit 49.

Après le 20 Novembre, les grandes offensives ont été intégrées dans des combats insignifiants, impliquant de lourdes pertes. Ce type de combat à des effets particulièrement néfastes sur les blindés, harassant aussi bien le matériel que le personnel. Les nouvelles Divisions d'infanteries qui sont arrivé sur le front, ne détenait aucun entraînement sur la coopération des blindés et l'infanterie, la plupart des chars n'ont plus été utilisés en grande quantité, mais uniquement encore par de petits groupes, et l'élément de la rapidité na plus été utilisé, où souvent ils ont employées les chars à l'assaut des villages où vers des zones forestières, où ils perdirent tout leurs atouts.
Le 30 novembre, la contre-attaque allemande a capturé une partie des positions, que les Britanniques détenait depuis le 20 Novembre. Et pour réussir, les allemands ont intégré 100 chars britanniques sur le champ de bataille, chars qui avaient été endommagé dans une bataille précédente, et de ce fait l'ancienne section anglaise tomba entre les mains des Allemands. 30 de ces chars ont été rapidement modifiées et, en 1918, ils constituèrent la base de la force blindée allemande.

Le Brillant succès de la contre-attaque allemande qui s'est déroulé à Cambrai, à complètement fait oublier l'importance de la victoire des Britanniques du 20 Novembre. La Division d'infanterie allemande, qui a été attaqué par des chars, a été presque ou complètement été anéanti et quelques uns ont survécue et ont été capturés. D'après l'expérience et l'observation de ce qui est arrivé dans la bataille de Cambrai, les allemands n'on jamais été motivé, pour utilisé cette technique. Il n'est pas surprenant d'entendre le vainqueur proclamé, que le 30 Novembre pendant la contre attaque allemandes de Cambrai. Les forces qui ont combattu dans ce secteur étaient uniquement un petit groupe de chars Britannique - 73 sur 378. Estime que pour gagner du moral, il est parfois utile de laisser se reposer les unités. Et à son tour le haut commandement allemand Rétorque: Nos unités ne sont pas obligées d'attaquer sans répit, pour que après ils sont obligés d'avoir du repos.
Les informations sur le niveau de l'équipement des positions de défense et obstacles anti-chars, nous ont indiqué comment combattre les chars, et a été bien évidement distribuer. Toutefois, la pénurie de main-d'œuvre et des matériaux de construction, cette pénurie est extrêmement gênante pour mettre en place les défenses. Pour combattre les chars, a été conçus un canon antichar de 13 mm. Cela furent construit en une série limité, parce que la construction des armes canon lourd, n'était pas possible de le faire avant le printemps 1918. Et le nombre par batterie dans un régiment d'infanterie, a été malheureusement, été réduites au nombre total de 10 canons de campagne.

Ce n'est pas encore entièrement terminer, donc demain la suite.

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Message  st.ex. 23/2/2009, 01:13

Bon, voilà à présent je vous mets encore la suite et fin de la synthèse, que le général gudérian a pu se faire de la bataille de Cambrai, puis commenceras la synthèse de la bataille de soissons juillet 1918.

Tracté par des camions ordinaires, et qui n'était nullement doté de caractéristiques d'arme de défense antichar, le modus operandi des troupes de défense, était assez vieux: Il existait une profonde séparation entre les unités d'infanterie et l'artillerie, la planification des tirs, était dépendant des avant poste d'observation et du positionnement des batteries, qui ne disposait pas suffisamment de distance de tir directe, que les défenses antichars aurait besoin d'avoir. Mais la chose principale, est arrivée juste un peu après - La production en masse des chars qui ont fait leurs preuves, du fait que ils pouvaient être utilisé à la fois pour les attaques et pour la défense.

Le jour de la bataille de Cambrai, à été le jour d'anniversaire du nouvel type d'arme. Qui dans plusieurs heures sera couronné de succès, son volume sera égal, au volume qui a été utilisé dans les Flandres, où ce volume n'a pas été utilisé du fait que les combats ont duré 4 longs mois. Le Corps britanniques, sous le commandant Julian Byng, a brillamment effectué la tâche qui lui avait été confié, et comme ceci a permis d'inclure des chars dans la formation de leur personnel. Chars "Mark IV" modèles 1917. ; Qui détenait une vitesse maximum de 24 kilomètre par heures et une vitesse moyennes de mouvement de 3 à 4 kilomètres par heure, et qui pouvait uniquement mener une seule attaque, et cela dans le cadre tactique qui avait été étroitement réglé auparavant. Le succès de l'opération tactique de l'automne 1917 est principalement dût à l'aide des chars, qui eux ont très bien effectué leurs travaux, et à quoi ils étaient destinés. En conséquence, ceci aurais aussi pu ce faire, après que l'artillerie auraient effectuer un tir de préparation prolongé, et pour l'effet de surprise, l'assaut aurait du être mener pars les chars suivit par l'infanterie, cette dernière elle aurait eut pour objectif d'anéantir la défense allemande, et pour remporter la victoire ils aurait pût se faire aidé par des groupes spéciaux, qui auraient été plus rapide, et qui auraient eut pour but, d'être une seconde vague d'assaut.

Dans les combats de Cambrai, la cavalerie britannique ne pouvait pas accomplir cette tâche. Pour de tel tâche il aurait été nécessaire d'employer les unités motorisées; et eux, ils devraient encore être créé et entraîner pour des cas identiques. Toutefois, haut commandement britannique à l'époque a estimé que ce sujet n'était pas au jour.

En attendant le développement de la technologie qui pousserait vers l'augmentation de la vitesse de manoeuvre et de la distance parcouru. Les chars lourd du type Mark "V" ; modèle 1918. Possédait déjà une vitesse moyenne de 7.7 km par heure et avait une autonomie de 72 kilomètres, le char moyen ; " Whippet" ; ayant une vitesse moyenne 12 km par heure et une autonomie de 100 kilomètres.

Les forces blindées ennemi dans les actions défensives. Les lois fondamentales de la valeur militaire disent également en faveur des forces blindées. Friedrich Wilhelm II lui-même l'avait enseigné : " ; La personne qui désire protéger tout simultanément, elle ne protégera rien du tout". L'utilisation des forces blindées par les Anglais au printemps 1918, eux ils n'ont pas respecter cette règle fondamentale. Bien avant ce moment là, quand il était possible d'avoir une image claire et net de l'offensive allemande dur la largeur du front, le haut commandement Anglais a distribué les treize bataillons de chars disponibles en tant que unité de réserve de l'armée et du corps, et cela sur la totalité du front, et ceci sur une distance de plus de 100 kilomètres, entre Peronne et Bethune. Ce qui a donné un résultat de la subdivision du groupe de char, et tout naturellement lors des assauts où ils étaient engagés par petits groupes, ils n'ont rarement eut le succès escompté.

Il s'agissait de petites unités séparées, qui avaient des tâches de rôle secondaires, tandis que si ils les auraient utilisé dans la direction principales de l'attaque d'Amiens qui sans aucun doute aurait apporté un plus grand profit.

Au cours de l'attaque allemande, les Français ont retenu leurs forces blindées généralement à l'arrière du front. C'est seulement après l'offensive allemande du mois de Mai, dans la direction du Chemin-des-Dames, que les Français introduirons de petites unités de chars, en vue d'empêcher le passage des Allemands sur la Marne, et ainsi que à les empêcher de pénétrer dans la forêt de Villers -Cotterêts, et aussi pour repousser l'attaque allemande de Noyon. Le délai que les forces blindées ont eut pour venir de l'arrière du front, les Français en payerons le prix fort.

st.ex.
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Message  st.ex. 23/2/2009, 16:23

la suite!!!

La bataille de Soissons du 18 juillet 1918

L'offensive allemande des deux côtés de Reims du 15 juillet 1918, c'est effectué d'après les vieilles règles, c'est-à-dire, avec une courte préparation de tir l'artillerie, qui n'a servit à rien. L'adversaire, a été averti de l'offensive par quelques signes préliminaire, est il s'est replier à l'arrière des lignes. Le général demande à la 7èmes Armée impériale, d'attaquer en direction du sud-ouest, emplacement où c'était regroupé un trop gros nombre d'unité ennemie.
Seulement une offensive immédiate et qui aurait été mené à l'endroit approprié, tel par exemple les Flandres, aurait put faciliter la situation. Avant qu'il puisse renforcer les lignes, les Français pendant leur contre attaque. Ont utiliser leurs chars particuliers. Le 18 juillet la 10ème et la 6ème Armée française avec 500 chars avance vers la Marne et lance son offensive contre le flanc occidental de la 7èmes Armée impériale. Sur les seize bataillons de cars qui ont été engagé, la 10ème armée, en avait obtenu neuf. Et la 6ème elle en avait obtenu sept bataillons. La 10ème a engagé six bataillons de chars en première ligne, et trois bataillons de chars de réserve qui eux était des chars rapide Renault. En outre, la 10ème armée reçue pour le développement de sons succès des corps de cavalerie en renfort (supporté par trois……………

..... (pages 9 - 14 sautée) .... "Manquante où volontairement non ajouté".

15)

…..a perdu 2903 hommes – soit un total d'environ 13,2% de son personnel militaire. Et en plus ont peut comptabilisé la perte de matériel:

a) Chars détruit par les tirs d'artillerie et de mortier: 301 chars du type "Schneider" et "Saint-Chamont et 356 chars de Renault;
b) Par des mines anti-personnel: 3 chars "Schneider et 13 chars Renault;
c) Par les armes de l'infanterie: 3 chars "Schneider", 1 char "Renault";
d) Pour des raisons inconnues: 1 char "Schneider, 70 chars " Renault ".

Soit un total de 748 chars, c'est-à-dire, 17,2% du nombre total. Les chars du type plus âgé étaient en générale plus petit et plus rapide, les meilleurs chars étaient les Renault. Les chars du type "Schneider" et "SAINT CHAMOND" ont subi 29% de pertes dans leurs compositions, tandis que "Renault" - seulement 13,3%.

Le plus grand stock (Préparatif de Bataille) nécessité de munitions par char:

Pour les chars "Schneider" - 39 obus de 75 mm et 3840 cartouches pour mitrailleuses;
Chars Saint-Chaumont - 75 obus de 75 mm. et 2690 cartouches pour mitrailleuses;
Chars Renault - 88 obus de 37 mm ou 1344 cartouche Mitrailleuse.

En général, seulement la moitié de cette réserve avait été utilisée.

En 1919, il y avait:

Au Royaume-Uni - 7000 chars lourds;
France - de 8000 à 10000 chars légers;
États-Unis - 10000 chars légers.

Face à eux, en Allemagne, elle disposait uniquement de 800 chars légers.

Développement d'après-guerre

La guerre se terminant en Novembre 1918, la fin de la guerre n'a pas arrêter pour autant la volonté des amis et des ennemis, de vouloir stoppé le développement des blindés. Le traité de Versailles a été rompu, et c'était les modestes débuts de l'Allemagne pour créer des chars pour ses unités. Et ses adversaires eux ils se sont mis de plus en plus à développer ce type d'armes, qui leurs avait contribuées à l'accès de leurs victoires sur les champs de bataille.

En Angleterre

Les Britanniques avaient les vues suivantes sur le développement de leurs chars. La guerre future, évidemment, elle se produira dans des conditions différentes que elle s'est terminée en 1918, et doit être effectué différemment.

Les chars seront techniquement améliorés, surtout, ils seront plus rapides, et ils auront une plus grande autonomie. Avec de telles propriétés et le fait de vouloir l'incorporer avec leurs anciennes tactiques, ceci sera de plus en plus difficile à réaliser. Ils n'ont pas été en mesure de vouloir réduire la vitesse en faveur du travail de coopération avec l'infanterie, comme dans ce cas, dans ce cas précis, cet entêtement leurs coûteras obligatoirement des victimes de la défense. Par conséquent, il est nécessaire de prendre en compte le développement futur de la défense antichars et de la défense aérienne, et de les intégrés sur les champ de bataille pour avoir un succès, qui n'a pas été résolu au cours de la dernière guerre.

Les Britanniques ont détruit beaucoup de leurs vieux chars de combat, où en laissant quelques petites formations pour l'entraînement, uniquement les modèles les plus récents, modèle (1918), et a procédé à la construction d'une nouvelle gamme, conformément aux plan des éléments de considérations que je viens d'énumérer ci-dessus.

Ces nouveaux types de chars ont un blindage, qui ne protège uniquement contre l'armement de l'infanterie, armes de petit calibre, et qui est tout a fait similaire au plan de la rapidité de l'engin. Ce qui diffère les uns des autres, ce sont leurs armements, et leurs poids et tailles. Les petits chars ( tankette "Morris Martel" et le "Carden-Loyd"), avec un seul homme d'équipage en tant que mitrailleur et pilote, et qui ont été les prédécesseurs d'un certain nombre de nouvelles constructions. Les chars "Carden-Loyd, a été bien conçu, est particulièrement répandue même à l'étranger. Il est destiné à agir contre les objectifs infanterie et pour les services de reconnaissance, et pour couvrir les services de communications. Il a été intégré dans les unités de blindés qui ont un certain rôle, lié à l'infanterie. Mais comme on ne peut pas, simultanément effectuer les tâches de conducteur, de soldat et d'observateurs, ce type de char est bientôt obsolète. Et il ne correspond nullement aux exigences, qui sont nécessaire dans les combats, par exemple, il ne peut pas interagir avec les unités de l'infanterie, c'est pourquoi qu'il a été inutile. Dans le processus de l'évolution au cours de ses dernières années à partir de ses tankette en Angleterre, a été développé ce qu'on peut appelé ou classé en tant que char de la catégorie léger, dont le dernier en date détient trois hommes d'équipage, et il est entièrement opérationnel et pèse 8 tonnes.

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Message  st.ex. 23/2/2009, 18:24

bon voici les dernier paragraphes traduit, pour cette journée.
bonne lecture et à demain.
beret


Après vient l'infanterie, qui elle pour sa défense, a besoin d'être équipé soit par des armes lourdes du style mitrailleuse lourde, ou de canons de faible calibre, et le même équipement était nécessaire aux chars de cette catégorie. Le modèle léger lui est équipé d'une mitrailleuse lourde ou par des canons de faible calibre. Telles les chars Vickers, Mark "I" et "IA". "II" et "IIA" qui constituent désormais la base des unités blindées Anglaise.

Pour les chars de la catégorie moyenne, eux ils sont armé à la base d'un canon de 47- mm et dispose jusqu'à 4 mitrailleuses. Leurs poids s'approche des – 14 T., la dernière génération pèse elle – 16 T.

Et on continue avec les chars de la catégorie lourds.
L'artillerie de la division des blindés, elle consiste principalement de l'artillerie de soutien des blindés, et les autres chars, dispose eux d'un support d'artillerie automotrice.

La division blindé de base à été formé, contenant tout cette liste de véhicules de combats que je vient de cité, où il faut encore ajouté les petites unités du génie, et quelques véhicules blindé de reconnaissance. La discussion animée concernant la formation de base, à longtemps auparavant été débattu en Angleterre, d'autres petite unités toujours mécanisées ainsi que les état major des divisions, eux nécessite aussi la présence de chars.

Les expériences à grande échelle, entreprises avec la brigade motorisée d'infanterie et les unités d'artillerie ont donné de bons résultats, jusqu'à la tentative de remplacer la cavalerie par des régiments de reconnaissance blindée. L'armée britannique en temps de paix dans la vision de la motorisation et de la mécanisation, ainsi par rapport avec les données d'avant, nos yeux nous ont appris qu'elle a progressé. Cependant, dans ce cas précis, l'attitude et l'organisation de l'unité de combat de base - division - ils n'y sont pas arrivés, apparemment même ils ne devrait même pas réussir à trouver une solution finale et valable.

Pendant les manœuvres de l'année 1934. La division blindés était formé à partir d'une brigade blindés (4 bataillions) et d'une brigade d'infanterie motorisé (4 bataillions), avec en plus les dites petites unités de reconnaissances, d'artillerie et ceux du génie. Malgré son nombre inférieur par rapport à une division d'infanterie classique, elle détient un potentiel plus large en matière de combat. En 1937 ils ont à nouveau régénéré la division de la cavalerie, et l'on intitulé en tant que Division mécanisé mobile. Ils l'ont nommé ainsi du fait, que dans les formations de division mobile mécanisée, ils pouvaient incorporé dans la division: deux brigade mécanisé de la cavalerie et un régiment de reconnaissance blindé, qui chaque un de ses deux unités principale, disposait d'un régiment d'infanterie cavalerie motorisé et un régiment de chars léger de cavalerie et en plus de leurs unités respectif que j'ai cité précédemment (4 bataillions brigade blindé, l'artillerie et les autres troupes qui avait un rôle secondaire).

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Message  st.ex. 24/2/2009, 01:18

allez oust, je vous donne encore les deux dernier paragraphes, qui se rapporte aux mangeur de pouding, vue que par la suite, il vas parler sur nous "les mangeurs de cuisses de grenouille"!! mort de rir gri (un met succulant, ils ne peuvent vraiment pas nous comprendres, tant qu'ils n'auront pas gouté)

L'infanterie (de base) anglaise avait aussi été récemment modernisée. Ses unités de combats ont été complètement motorisées. Les chevaux qui a l'origine était destiné à l'état major, ont été substitués par des automobiles ou par des motos, la brigade d'infanterie est composer de trois bataillons d'infanterie, et chacun de ses bataillions dispose de 52 mitrailleuses légères et de 4 mortiers mobile (dans le sens qu'ils sont faciillement transportable). Les bataillons mitrailleuse divisionnaire sont reformés dans les unités mécanisé et ils auront deux compagnies de mitrailleuses détenant 16 mitrailleuses lourdes dans la compagnie (mitrailleuse qui se trouve sur des auto blindé à faible blindage) ; En remplacement des 16 canons antichar que la compagnie antichar devais contenir, elle détiendra uniquement 12, depuis l'introduction fusils antichar (boys), celui-ci permet de diminuer le nombre de canon antichars. Dans la composition du bataillon modernisé Mitrailleuse, ils comptent inclurent une compagnie de reconnaissance mécanisée, qui eux sont équipé de véhicules légèrement blindés. Chaque division devrait en principe obtenir deux de ses bataillons.

Chaque division Anglaise dans un proche future, devrait avoir une compagnie de transport, qui peuvent transporter jusqu'à une brigade, telle pour les transférer vers les autres unités.

La division d'artillerie au complet, et motorisé. Et cela vas de soit, que cela compte pour n'importe quel unité ou elle est affecté, aussi bien dans les mécanisés, que les restantes, telle les non motorisé ou dans la cavalerie.

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Message  st.ex. 24/2/2009, 23:12

et voilà une fois le début, j'aimerais bien traduire plus, mais comme ce sont des paragraphes incomplet, donc uniquement les lignes principales issues des phrases et stats du livre. et là, la comprehension du sens des phrases et plus dure, du fait, que il n'existe pas vraiment de point ou je peut prendre référence.
Donc désolé pour la lenteur.

Chez les Français:

En France après la fin de la guerre, le développement des blindés s'est effectué sur des routes complètement différentes. Son puissant voisin d'autre fois, sa puissante force a été anéanti en mille morceaux, contre cet ennemi anéanti, son armement restant de la guerre précédente, lui suffisait largement, dans le cas d'une nouvelle agression. De son matériel provenant de la fin de la guerre, il lui restait 2000-3000 chars de cette même période, et il devait aussi encore détenir la tactique de bataille identique, tactique que ces unités ont maîtrisé pendant les derniers mois de la guerre. Les chars étaient du type Renault Ft17 et Ft18, et qui détenait une vitesse de 8 km/h, c'était donc le char de référence de l'infanterie. En terme de transfert rapide de ses grandes unités, eux ils ont utiliser en moyen de transport les voitures. Ainsi les unités blindées française sont rester l'organe de l'infanterie, sa base, depuis les derniers combats de 1918, prouvent que si l'infanterie n'a pas de support de chars, généralement elle ne va pas pratiquer un assaut.
Un développement logique à ceci donne, en prenant en compte les conditions de vitesses modestes des chars, et qu'ils étaient en coopération étroite avec l'infanterie lors des attaques, et qu'ils détenait aussi une part de succès lors des percés des points fortifié, ils ont décidés de restreindre l'épaisseur de blindage, et en contre partie, d'armé le char avec des canons de plus forte puissance. Telle que l'on peut en apercevoir en France avec leurs monstres qui ont un poids de 70-74 tonnes allant jusqu'à 90 tonne. Et que ce blindage de ces géant à l'avant et de 50mm sur la tourelle et sur les cotés 35mm, sur le dessus 30mm ; et qui détient une vitesse entre 12-18 km/h, son armement consiste soit un canon 155mm ou 1-2 canons de 75mm et 4-11 mitrailleuses servit par 12 hommes d'équipages.
(Alors là, 70 tonnes je pense qu'il parle du fcm2c, mais pour le 90 tonnes, là?? Et même pour celui qui est équipé du canon de 155mm, je pense plutôt qu'il fait allusion au canon de 105mm qui était monté sur le fcm1a).

Tout naturellement effectuer des manoeuvres rapides avec de tel colosse, il est impossible de le faire. Ils étaient et ils resteront donc l'arme de guerre des positions (retranchement), appropriée au mieux aux opérations systématiques lentes. Cette position n'a pas satisfait longtemps les militaires et les politiciens Français, suite à cela, leurs vues était pour augmenter progressivement l'efficacité au combat et allez dans le sens de l'esprit des Allemands. La technologie par son développement a contribué au changement des concepts opérationnels et tactiques, et à partir de ce dernier, ils étaient forcés d'aller vers vue de re-planifier en totalité la reconstruction de leurs véhicules de combat. Les chars Renault " ; Modèles années 1926/27" ; (il fait sûrement allusion au prototype renault de ce temps là) a déjà possédé une vitesse de fonctionnement de 16 kilomètres par heure, le char modèle NC1 et NC2 "1927 et 1931" ; 20 kilomètres par heure. Par la suite, ils ont alors influencé leurs construction sur les chars anglais du modèle " ; Carden- Loyd ;". Où ils sortirent de leurs conception le ; " UE "; et après lui le " ; " AMR ; ils ont eu une vitesse de 30 km/h, et sur les routes – jusqu'à 37 kilomètres par heure une vitesse semblable possède leurs nouveau char moyen de 30 tonnes.

La mobilité opérationnelle croissante des unités blindées française, et également leur rapidité de mouvements sur les champs de bataille, ont constamment conduit vers l'idée de leurs données une plus grande indépendance dans leurs actions. Les brigades blindées étaient des premières grandes unités à être formés. En 1937 pour la première fois, ils ont fais des essais sur l'étude de faire participer une division blindée lourde.

Entre temps la motorisation a enveloppé leurs anciennes unités de troupes. Les unités substantielle de la cavalerie, portant le nom de ; Dragon Porté ; ils leurs ont donné des Auto chenillés, et ainsi que des camions qui ont une vitesse plus élevé, soit avec 2 ou 3 axes de la marque "Berlier". Et après longuement du attendre, la 4ème division de cavalerie, à partir de 1934 la 4ème division de cavalerie de (Reims) a été complètement motorisée. Et bientôt elle va être divisée en quatre légers bataillons motorisés. Après elle, en 1936 c'était la 5ème division de cavalerie qui a suivie. La réorganisation d'une division de cavalerie additionnelle (est déjà en cours). Les deux divisions de cavaleries restantes, jusqu'à présent elles ont été motorisées à un tiers de leurs effectifs. Lors des manœuvres de 1935, aux coté des 4 bataillions de la division motorisée, ont participé la 3ème d'Amien et la 12ème Division d'infanterie de Chalon sur marne, ces deux là ont été complètement motorisées. En outre, toujours en 1935, la 15ème Division d'infanterie de Dijon elle aussi à participer aux manœuvres. Ces nombres, malgré les lourds soupirs du ministre Fabry, pour leurs lourdes dépenses, mais le développement s'active à grand pas.

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Message  st.ex. 25/2/2009, 03:04

bon maintenant cette partie est tout de même, mieux passé que c'elle d'avant.

Après la fin des manoeuvres de 1935 le journal "Temps (jacques chastenet)" a écrit : " ; Jamais depuis la guerre, on a rassembler un nombre de troupes aussi importante pour des tests de compréhension. La raison de cette contrainte jusqu'à aujourd'hui, ont a pris en considérations la politique, le sujet est encore d'actualité, alors les profits et pertes son finalement la circonstance, provenant de quelques unité militaires qui s'étaient insuffisamment familiarisées avec la technique motorisées et mécanisées, et qu'elles pouvait enfin participer à cette grande et instructive expérience durant ses manœuvres. En outre, il était nécessaire de prévoir, que les divisions actives participantes pourraient être rassurées qu'ils allaient avoir à leurs dispositions tout le matériel nécessaire, en outre, sans compter que ces derniers mois, ils ont reçut le matériel au goutte à goutte. Actuellement les conditions de la politique extérieur sont comme si la raison du retard émanait du retrait de la politique de base, et en matière de protection de notre terre natale, la politique est limité ou a été condamnée. Et en outre, il est possible de considérer que l'entraînement que les différentes unités ont reçu est presque fini. Par conséquent ils sont bien effectués les manoeuvres que l'ont leurs avait organisé, il est nécessaire de supposer, qu'ils ont produit l'impression de complète et incontestable sûreté du territoire nationale. La première conclusion pratique, que je peut extraire à partir de ses manoeuvres, elle est que, l'armée française est retourné au principe de la mobilité de l'armement et, qui est encore meilleure, à la méthode dites " mains libres "beaucoup trop indépendante"".

Les unités de reconnaissance blindée:

Le rôle de la reconnaissance est d'informer le commandement, par ses informations de base, pour que celui-ci adopte des solutions. C'elle ci sont réalisée par différents organes ; dont tel que la reconnaissance aérienne, la reconnaissance au sol, la reconnaissance du services des transmission (le téléphone, transmission par radio vers l'avant), le service secret et la reconnaissance en d'autre terme. Ces différentes méthodes de reconnaissance on besoins parfois de matériel supplémentaire. Et plus nous divisons la reconnaissance, plus ont s'aperçoit ou on comprend son but, son but est opérationnel, tactique et pouvoir combattre. La reconnaissance opérationnelle est nécessaire au haut commandement et elle est principalement mené par l'aviation ; cependant, ce dernier ne peut pas sans aide extérieure arrivé à établir le contact, ils occupes la région avec l'ennemi ou pas ; les bon camouflages pour l'ennemi sont, la nuit, le brouillard, le mauvais temps, les grands espaces montagneux et de la forêt et les grands espaces dans les campagnes, tous que je vient d'énumérer peuvent considérablement gêner la reconnaissance ou même la rendre complètement inutilisable. La reconnaissance aérienne n'a pas besoin de pratiquer une observation constante de l'ennemi et d'être toujours proche d'elle, par conséquent malgré l'avantage qu'il soit un avions de reconnaissance, celui ci détient de petite lacune de vulnérabilité envers la défense de l'ennemi, leur vitesses et leurs grande distance d'action à mené, la reconnaissance aérienne doit obligatoirement être augmentée par un contrôle au sol.
Cette dernière a expressément besoins, d'être rapide, agile et pouvoir facilement se camouflé dans son long champs d'action, et pouvoir transmettre facilement ses rapports. Celle-ci doit nécessairement avoir un contact visuel et par la suite le rapporté, et le tout bien entendu sans se faire remarqué. Ils améliorent et peuvent accomplir les tâches qui leurs sons confiée, moins ils sont et ils sons camouflé. Leurs tâches, point de vue puissance de combat, elle est égale suivant la tache que ont leurs confie, en d'autre terme elles est égale à celle de l'ennemi. Si ont leurs affecte une tâches particulièrement rude, alors en conséquence ils détiendront le matériel militaire temporaire et nécessaire pour cette mission.

La reconnaissance véhicules blindé lourd, eux sont les exécuteurs de la reconnaissance terrestre (phase primaire). Dans beaucoup d'armée pour ces unités, l'armée leurs adapte des véhicules à 4 roue motrices, qui est idéal pour leurs usages d'action, mais ils sont principalement chers. Mais à l'arriver après les avoirs modifié, ils deviennent vites des véhicules tout terrain. Le progrès technique dans la vision de pouvoir roulé en dehors des routes vers un village, pendant ces dernières années il y'a eut un progrès phénoménale ; ce progrès technologique promet beaucoup. Tel que la vitesse maximum que l'ont arrive à effectuer est de 70 à 100 km/h, le rayon d'action de ses engins peut atteindre les 200 à 300 km, leurs armements se composent de mitrailleuse et d'un canon antichar de 20mm ou de d'un canons 37mm. Leur blindage est restreint, et il en rapport avec la rapidité de pouvoir se protégé des armes d'infanterie de petit calibre.
Plusieurs véhicules de reconnaissance blindée forme un détachement de reconnaissance blindé. La composition de la force, et en rapport avec la tâche qui leurs est confié, et la composition et la qualité des véhicules peut changé par rapport à leurs tâche. Dans certain cas la force peut être attaché aux services du génie, service de pointage motorisé ou aux unités de mitrailleuse lourdes. Les tâches du détachement blindé sont d'effectuer avec une habilité constante, des missions dans la nuit, des combats au corps à corps avec l'ennemi et de rapporter par radio leurs observations.
Le détachement de reconnaissance dispose usuellement dans sa composition, 2 à 3 compagnie de reconnaissance, et qui dans la majorité des cas, sont composé de véhicules de reconnaissance lourds et léger. Et en accord avec les règles qui leurs ont été donnés, ils doivent dans un premier temps, quitté les routes principale, puis de s'enfoncé dans les terres, sur la base d'obtenir des résultat, de renforcer et prolonger la reconnaissance dans les directions qui leurs ont été assignées. Pour une amélioration semblable les véhicules qui font partie de la reconnaissance ont l'obligation d'être muni du cache lumière spéciale tout naturellement ceci compte aussi pour les tankette que les motos des pointeurs motorisé, pour le cas échéant de pouvoir entrer en contact avec l'ennemi en mode combat.

Les résultats de la reconnaissance ont une valeur pour le commandement, si et uniquement si ils ont réussis à temps d'atteindre leurs objectifs, par conséquent l'approvisionnement des unités dites reconnaissance transmission, ont l'obligation de s'approvisionner par des moyens de transmission, pour pouvoir effectuer leurs tâches complètement en autonomie. Pour ces fins ils utilisent soit la radio ou le radiotéléphone. La distance dans le sens de la transmission est influencée par le choix de la tactique du détachement de reconnaissance. Depuis que n'importe qui peut écouter toutes les transmissions par radio à partir d'un émetteur fixe, depuis il est nécessaire aussi longtemps que possible de s'abstenir de communiquer, jusqu'au contact avec l'ennemi, et de limité les transmissions vers des autres moyens de transmission comme, par exemple, de téléphoner, aux motos et aux avions. Les unités de reconnaissance, dans la majorité des cas dispose de véhicule blindé, organisent les moyens pour transmettre les données aux centres des messages. Et ils s'inquiètent des changements journaliers et ils doivent être suffisamment et richement être fournis avec des véhicules blindés de reconnaissance pour la réserve, afin d'avoir les possibilités d'agrandir son unité de reconnaissance ou pour commencer une action vers un nouvel objectif qui vient soudainement d'être modifié.

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Message  st.ex. 20/3/2009, 01:17

Donc, là j'ai tout juste terminer la partie qui se rapporte a la reconnaissance blindé.

Pour effectuer de petites missions de combat et de protection le centres des messages transmet au service reconnaissance des blindés le nombre nécessaire de pointeur sur motos ou le nombre de camions, canon, mortiers, génie ou de pièce anti-chars qu'ils auront besoin pour la mission. Avec qui l'unité de reconnaissance s'attend à entrer en contact avec l'ennemi, l'unité ou le détachement de reconnaissance blindé détient dans la plupart des cas, le rôle d'action offensive, c'est pour ce rôle aussi que ont leurs a adapté le blindage et l'armement qu'ils dispose . Certes, ils ne seront pas au cours de la recherche reconnaissance pour la bataille, distrait de son problème direct, mais aussi ils ne doivent pas s'écarter de lui, surtout si il existe la possibilité d'occasionner un dommage direct à l'ennemi. Cette méthode de base d'action des forces conjointes, ne doit cependant cette méthode, ne doit en aucun cas nuire, ou d'occasionner un déficit à armes, qui elle sont spécifiquement réservé aux missions de combat. Ainsi, par exemple, ils peuvent se révéler utile dans une mission de poursuite, pour couvrir la retraite, pour donner à l'ennemi une fausse vue de la représentation du plan réel, pour sécurisé le flanc ou l'arrière.

Le rôle des formations de reconnaissance blindés, ils font à la fois une reconnaissance opérationnel et tactique: la première étant pour les armées et pour les fronts, la dernière étant pour la divisions blindées et pour les autres unités d'infanterie mot. par exemple, la divisions infanterie mot.. Leurs unités possèdent la capacité d'être constamment "aux contact" avec l'ennemi. Par conséquent, dans certain cas la reconnaissance aérienne a besoin d'une reconnaissance complémentaire au sol, par exemple pendant la nuit, ou par temps de brouillard, ou avec une mauvaise météo qui empêcheraient de pratiquer une reconnaissance aérienne ou dans les zones montagneuses et les régions forestières. Parfois, au contraire, lors de la reconnaissance pour les forces blindés, celle-ci elle a besoin elle-même de nouvelle reconnaissance et qui soit effectuer plus rapidement et sur un long trajet, c'est là que ils vont effectuer en supplément une reconnaissance aérienne. Les éléments du contrôle et la reconnaissance ces deux branches de services distinct doivent établir de manière approfondie leurs opération conjointe.

La reconnaissance tactique pour la division d'infanterie et pour les corps, elle est effectuée en étroite coopération, sur une échelle plus vaste et sur une profondeur moins importante. Parce que celle-ci elle est effectuée par les unités de la reconnaissance à cheval. Les unités subordonnées de celle-ci, qui sont motorisé, elles sont apparemment inopportunes à effectuer cette tâche.

Toujours pour avancer de plus en plus rapidement, et pour élargir les manœuvres contemporaines, l'armée va bientôt exiger d'aller encore plus vite, ceci compte aussi, pour les organes du service reconnaissance des divisions d'infanterie.

Les formations de la reconnaissance blindée, sont les premiers qui seront en proche contact avec l'ennemi. Et leurs informations que eux nous livrent ou qui peuvent nous transmettre, obtient identiquement comme les informations sur les opérations militaires de l'ennemi, elle obtient non seulement le premier rôle, mais peut-être l'information la plus cruciale, et la plus précieuse des informations. En effet, nul ne peut prévoir, comment vont se dérouler les circonstances d'une bataille, sans qu'il n'y ait eut un premier contact avec l'ennemi. Les vues sur le champs de bataille, que ses différentes unités individuel de la reconnaissance de l'interconnexion peuvent nous apporté est donc primordiale, afin qui soit porté, par tout les commandants et de leurs unités, et ils sont aux courants les uns comme les autres, l'énorme rôle que joue la reconnaissance blindés et leurs utilité dans les organes de leurs formations, et ainsi que le rôle des agents qui eux leurs rôle détient un tout autre caractère. C'est pourquoi, même en temps de paix, les formations de la reconnaissance doivent être organisées en tant que telle, comme si ils seraient organisés identiquement dans les combats.

Et là demain je vous met, la suite qui se rapporte au rôle que joue les troupes blindés dans une bataille.
en tout 6 longues pages (format A4, pas au format du livre, qui parle sur ce sujet).

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Message  st.ex. 20/3/2009, 11:31

Bon comme promit je vous met à jours avec le début de la section qui se réferre aux blindés sur le champs de bataille.

Les troupes blindés sur le champs de bataille.

Il est avantageux de ramener la masse globale des forces blindées aux forces militaires classique et à leurs unités subordonnées. Le rôle des unités blindées sur un champs de bataille ont la tâche, d'apparaître soudainement tout en étant en formation, d'indiquée le secteur qui pourra contribuer au succès décisif de la bataille. Elles combinent trois atouts en même temps, celui de posséder une puissance de feu tout en étant mobile et celui d'avoir une protection d'un blindage, du moins leurs blindage et efficace contre les armes de petit calibre que l'infanterie dispose. Elles sont donc l'arme exceptionnelle de l'attaque, ce qui les différentie des autres forces terrestres, également l'un de ses attraits c'est de posséder la capacité de combattre avec une (puissance de feu de nouvelle génération) et celui de sa mobilité. Les attraits principaux des blindées d'après-guerre - c'est leur rapidité, qui elle c'est considérablement accrue en comparaison avec ceux datant de la guerre mondiale, ce qui rend impossible d'être poursuivie par les unités classiques anciennes, ou que cela prend un bon bout de temps de suivre les blindés lors d'une attaque. Son blindage, combiné avec sa puissance de feu, son mécanisme de vision, leurs instruments d'observation et en corrélation parfaite avec celle de la reconnaissance des unités blindées, ses moyens ont été considérablement améliorés. Mais également des moyens subsidiaires allant dans le sens de la protection des défenses antichar ont été simultanément été renforcés. Les ennemis principaux des chars - ce sont les chars hostiles, et puis les canons antichars, qui contraignent parfois à utiliser complètement tous les moyens d'attaque, force provenant de leur propre puissance de feu et de leurs capacités de pouvoir rapidement effectuer des mouvements à l'encontre des chars qui se trouve en face d'eux. À ceci c'est joint une série d'obstacle antichar, particulièrement minimale, mais qui baisse ou qui stoppe la liberté de mouvement des chars.

En corrélation avec la création du nouveaux matériel pour les formations blindés, les conditions techniques et tactiques des blindées de la nouvelle génération sont a considérés.

Afin de vous donner une image claire, ci-dessous sera décrit les caractéristiques des différents types de chars.

a) Les chars légers sont armés avec un canon de calibre partant de 20 jusqu'à 60 millimètres; de plusieurs mitrailleuses ; de plusieurs armes automatiques et de grenades à main, en rapport avec l'autodéfense en mode corps à corps ; et ainsi que des appareillages de fumigène qui sont livrés depuis un certain temps. Le faible blindage protège contre les balles perforantes : naturellement leurs défenses est renforcée dans les pièces maîtresse du char et sur la tourelle. La vitesse moyenne de marche pendant la journée est de 20 kilomètres par heure, en mode combat et en obscurité ou tout autre mauvais temps qui décrois leurs vitesses de mobilité, leurs vitesses est réduite à 12-16 km/heure. Le poids maximum de ces machines atteint 18 Tonnes, et les chars légers sont l'arme principale de l'attaque. Ils agissent tout en étant armé légèrement et en étant blindé, ou avec leurs mitrailleuses – qui leurs sont livré avec.

b) pour les tâches d'une reconnaissance locale, et ainsi pour la protection et du transfert des rapports, ici ont emploient des chars beaucoup plus légers (ou par des véhicules à faible blindage "tankette"), ils pèse en générale entre 4 à 7 tonne, uniquement armée de mitrailleuses. Ces véhicules de combat, sans compter que ses tâches qui leurs ont été indiquées, ils peuvent entrer sur un champs de bataille en tant que protection des blindés plus puissants, et être utilisés avec succès, aussi, pour la bataille l'un de ses atouts. Ces leurs petites tailles (et qui dispose de l'atout), d'avoir une vitesse élevée tout en étant agile, mais du fait de leurs faible blindage font qu'ils sont vulnérable au armes antichar des ennemis, tout particulièrement dangereux lorsqu'ils sont à porté des canon antichar. Leurs faibles coûts de production permettent leurs productions en série. En agissant massivement, ils deviennent une arme parfaite, et qui ne peut pas être négligé.

c) Les chars moyens sont armés de canon de calibre partant de 75 à 100mm. Leurs vitesses de marche est semblables à ceux des types chars légers. Ils servent en tant qu'appui des chars légers, et dans le combat contre les cibles à longue portée, leurs rôles et de combattre longuement, à l'assaut des villages, contre les fortifications sur les champs de bataille, et contre les canons de défense ennemi.

d) Les Chars lourds sont armés de plusieurs mitrailleuses, et d'arme légères et leur canon est de calibres plus élevés partant en générale à 100 millimètres. En règle générale, ils sont spécialement fortement blindés (en France, par exemple, jusqu'à 50 millimètres) et sont prévus pour l'attaque des positions a forte densité de défense et contre les forteresses. Leur poids, atteint 90 tonnes, exige dans certain cas pour leurs transport par le chemin de fer des adaptations spéciales.

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Message  st.ex. 21/3/2009, 12:07

allez zou la suite avec encore une nouvelle page, le temps que je traduit une autre.

Les chars du type moyen et lourds, à partir des canons de calibre 100 millimètres et plus grand, dispose d'un éventail complet pour la défense tel les obus fumigènes pour aveugler les postes d'observation hostiles, ou les batteries, et tout naturellement pour aveugler leurs ennemis principaux – le canon antichar.

L'organisation en tant que formations blindées, est destinée à la guerre de mouvement, en entrant les trois premiers types de chars dans des proportions différente. Est selon leur utilité dans les situation de combat, il peut y avoir plus de chars léger ou, tout aux contraires plus de chars moyens. Des groupes spéciaux sont formés à base de chars lourds pour s'occuper des positions et point fortifier. Ce qui est un peut étrange c'est l'organisation entre léger, moyens et lourds, et ainsi les mélangées se distingues (en nombre de bataillons). Deux ou trois bataillons forment un régiment blindé, plusieurs régiments une brigade.

En observant l'histoire: Chez les russes à chaque temps ont pouvait remarqué dans leurs organisations, que plusieurs bataillon constituait des brigades, et que plusieurs brigades des corps ou division (ancienne composition). De plusieurs divisions des corps (nouvelle composition).

Les ordres pour le contrôle sur les formations blindées s'effectue à partir de la radio, et à partir de petites groupes (force) de compagnie, qui ont été séparés d'eux, tout spécialement pour leurs transmettre les ordres par communication tout en ayant un champ visuelle sur l'ensemble du champ de bataille. Jusqu'ici la radio doit rester silencieuse (les raisons ont déjà été développer avant dans l'autre section), le commandement de la formation en coopération avec la reconnaissance peut être soutenue à l'aide du téléphone, automobiles et pars des avions.

L'état major est richement fourni en automobiles blindées contenant des postes de radio pour transmettre les rapports à l'organe exécutif et aussi de pelotons de motos armées de mitrailleuses pour le transfert des rapports.

La gestion des sections de blindées à l'aide des avions a été proposé à maintes reprises, ce qui assez étrange, la raison est que cela dépend de détenir la maîtrise de la suprématie aérienne dur la région du combat et exige de pouvoir transmettre librement les messages par radio, et également que l'avion est de type spécial. Ce qui n'est pas encore le cas actuel.

Nous supposons que tous les chars de commandement, du commandant de brigade au commandant de peloton, sont fournis avec des récepteurs radio et des émetteurs radio, et les autres doivent uniquement contenir des récepteurs radio. Nous prenons compte en tant que base la vitesse de mouvement moyen de 20 kilomètres par heure et la vitesse de combat de 16 kilomètres par heure considérant que les conditions météo et les conditions du terrain sont favorables.

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Message  st.ex. 21/3/2009, 14:15

allez pour ce début d'après midi voilà le reste.

Nous allons essayer, dans les dites conditions, vous représenter l'image d'une opérations d'attaque provenant d'une brigade blindée. Il doit cependant vous être complètement clair que l'attaque des forces blindées, est seulement ou alors sera couronné par un succès complet, si elle interagit avec toutes les autres forces qui sont employées sur une large échelle.

La formation du type brigade de chars est la plus petite unité de combat, telle elle peut être employée pour l'accomplir des objectifs indépendant. Nous nous rappelons encore que les unités de chars luttent en mouvement et pendant leurs attaques ils unifient leurs puissances de feu tout en roulant et en étant sous la protection de leur blindage.

Nous devons garder à l'esprit, que la tâche primaire des chars est la neutralisation de l'ennemi. Plus précisément elle considérera une action pratique du feu, la destruction de l'ennemi par leur arme – et l'élément principal, et la suppression, la défaite écrasante sont normaux, et les résultat secondaire, sont tel que la destruction des approvisionnements et la défense de l'ennemi. Le succès de l'action de l'arme des chars dépend :

a) De la qualité de l'arme et de leurs munitions ; dès le départ en terme de mouvement l'arme doit posséder une vitesse et une cadence de tir initiales élevées ; on doit pouvoir observer des balles traçante ;

b) Est primordial la qualité du mécanisme de visé, une bonne optique de visé et une bonne vitesse de pivotement et ainsi que celle pour les mécanismes pour les engrenages ;

c) A partir de la construction des chenilles, l'élément principal – et le système de d'amortissement du char, choix avantageux de ce dernier de sorte qu'il ne donne pas des choc rigides, mais assez souple et étant assez élastique et large pour grimper sur des terrains montagneux;

d) A propos du relief du secteur, et de la terre qui couvre : les terrains inégale cause des fluctuations sur la machine, et cette concentration rend instable les différents mécanismes; les pentes raides peuvent parfois être une raison majeur ou dans de longs secteurs non habité ; une végétation dense, par exemple du semis, les buissons etc…, et également dans les agglomérations tous ce que je vient de citer augmente tous la diminution du champ de vision, et du champ de tir en lui même ;

e) A partir du degré d'entraînement pilotes et poste de tir des véhicules de combat : ils dispose d'un entraînement constant pour connaître par cœur l'utilisation des mécanismes de visé et les mécanismes de focalisation, la connaissance précise du maniement de l'arme et ainsi détenir la compétence nécessaire pour l'employer dans les cas extrême, avec des alternances et des poussées en puissance de du moteur, ou un tir soumis à des contraintes - ceci sont les qualités, que doivent posséder les équipages des chars ; pendant qu'ils font feu le conducteur du char doit essayer de conduire le char spécialement en douceur, également, donc sans accoue et ainsi coopérer autant que possible avec la personne qui tire.

Pendant le mouvement du char, la distance de tir des mitrailleuses elle, elle commence réellement à être efficace à partir de 400 m et moins, et avec le canon – c'est à partir de 1000 m et moins. Le règlements français complète ceci en disant : " Les chars peuvent utiliser leurs armes sur de petite distances mais avec une très grande précision et dans le règlement anglais est ajoutés : " Mais il n'est pas simplement nécessaire de connaître exactement non seulement la limite, que les chars doivent atteindre, mais également cela doit indiquer et supprimer le champs d'action que l'infanterie aurait besoin de parcourir pour attaquer et rendre un char inopérant, à l'aide de leurs mitrailleuses et de leurs armes à mains … " ; Il est possible d'ajouter à ceci : " et continuer".

A partir d'une position fixe, il va de soi, il est possible de conduire un tir efficace qui se rapporte à la distance maximale des mécanismes de vision. Si la situation de la bataille et les conditions des actions unilatérales de la formation de blindé elles sont réuni, ceci permet, ou devrait être tout naturellement, la position de tir fixe par rapport à une position de tir en mouvement. Tout particulièrement et fréquemment les tirs émanent à partir des positions camouflé ou à l'abri, elle sont conduite par des unités de char qui ont été assigné en tant que support, pour aidé d'autres chars, qui eux se trouvent sur le champs de bataille. Cependant, dans la zone de tir de l'arme légère de d'infanterie et de l'artillerie, et ainsi aussi avec la probabilité d'entrer en contact avec les chars ennemi, il est plus fréquent ou il est plus nécessaire de tirer en mouvement. Ainsi, dans les unités de char lors de leurs entraînements, ont leur apprend à tirer tout en étant en mouvement, ceci est la base du système de leur instruction en matière de compétence sur le maniement de l'arme.

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