humour 2

Plus facile à piger que les échiquiers...

Psychopompos a écrit:La blague peut ne pas être évidente pour le "atheist chess". En fait, la pièce que la langue française appelle "fou" est nommée "bishop" ("évêque") en anglais.

De plus le roi conserve sa croix ...

Toutes les inventions de McGyver, épisode par épisode, c'est par là :
http://fathom.info/macrecipes/

Ah ceux-là... Ils en ont une bonne.

Je lance le bal

dracir a écrit:

Pareillement. Quelle ambiance au tribunal !

Je vous met met au défi d'écouter cette video de plus de 3h30 en entier (record d'environ 2h pour moi)

Pour certains c'est utile pour réviser, pour travailler ... Pour moi ça réduit juste le cerveau en bouillie et n'arrive rien à faire après. Ce chat qui chie des arcs en ciel va vous poursuivre partout.
C'est sans risque d'accoutumance mais terriblement dangereux pour sa santée mentale.

apré 8 minute jé 1 forte envi de prendr 1 arme é dallé buté dé jen o azar dan la ru

Blague à part, c'est vraiment ronge-tête ce truc !

J'ai tenu 3 minutes... et maintenant je sens qu'il va me falloir 3h de Sabaton intensif dans les tympans pour me sortir ce chat des oreilles!

Psychopompos a écrit:apré 8 minute jé 1 forte envi de prendr 1 arme é dallé buté dé jen o azar dan la ru

Blague à part, c'est vraiment ronge-tête ce truc !

Moi c aprai 53 sekond !!!!!!

A mé moi osi o débu je tené pa lonten mé apré on sabitu tkt lol xd ptdr tmtc kikoo besthàà

Ahhhhh mais qu'est ce que j'ai dit ! Non, ne retenez pas ça !

1 minutes 56 et je n'en peu plus

Sinon une petite vidéo assez drôle

Pour la video du chat 9 secondes ...

Celle ci-dessus, le gars une tête d'un Néron dans une dramaturgie classique. Mais je pense que c'est un fake car on ne transperce pas un écran plat comme ça.

Un singe rentre dans un bar et demande au barman
-Vous avez des bananes ?
-Non on n'a pas de bananes.
-Vous avez des bananes ?
-Non on n'en n'a pas.
...
-Vous avez des bananes ?
-Non, t'es sourd ou quoi !! Si tu me demandes encore si j'ai des bananes je te cloue la langue au comptoir !!!!
-Vous avez des clous ?
-Non.
-Vous avez des bananes ?

Sur un autre forum militaire où je sévis, il était question de morsures de serpents et leurs dangers.

Ayant pris pas mal de temps pour rédiger mon expérience je la partage ici en espérant que celle-ci puisse être utile un jour:



Au sujet des serpents venimeux, il me vient une anecdote:

Un jour j'étais en mission en jungle profonde en Indo, ou était-ce en Colombie? Je ne sais plus.

En tout cas ce n’était pas facile, il faisait chaud, humide, de la boue partout, des insectes gros comme mon poing et je vous parle même pas des araignées, du vert partout, des dénivelés pires que les nichons de feu la regrettée Lolo Ferrari, snif, des Papous à poux farouches et hostiles en djellaba et casques à cornes, brèfles, un enfer et damnation.

J'avais dans mon équipe un type qui était voltigeur de pointe, il adorait cela car il disait toujours "le premier que je vois je le fume" et il estimait qu'il avait plus de chance d'en rencontrer un (un ennemi) en étant devant, son nom était Edgard ou Honoré, che pu.

Il était un peu zarbi, il collectionnait, outre une colonie de morpions dans sa barbe et sa culotte, les coups dans les bars mal famés de tous les ports du monde, des chaudes pisses et autres blennos gagnées dans des bordels sordides, un collier de couilles droites enlevées à ses nombreuses victimes ennemies: Viets, Fellagas, Talebs, ss, cocos, etc ...

Ce jour là donc, alors que l'atmosphère était particulièrement étouffante, nous nous arrêtâmes au bord d'une rivière bordée de manguiers afin de prendre un peu le frais dans cette mission rude. J'autorisai les hommes à se baigner.

Tout heureux ils se dévêtirent complètement et s'égayèrent joyeusement dans l'eau en jouant comme des enfants, se montrant l'un à l'autre des exploits de plongeons, d'apnées, comparant leurs muscles et autres endroits de leurs anatomies se chamaillant en s'éclaboussant copieusement, les non-nageurs sirotant un pastaga vautrés sur leurs bouées qu'ils avaient pris la précaution d'emmener avec eux.

Bref tout se passait bien, le coin était calme et la lumière diffusait un voile léger en traversant le feuillage dense de la canopée.

Mon coolie, Roger, un type génial, un rude montagnard d'origine bretonne qui me suppliait à chaque fois que je lui octroye le privilège de le laisser porter mon sac à dos, allait me servir le thé alors que je commençais à somnoler, étalé dans mon transatlantique, avait quant à lui, en indigène perspicace refusé de se baigner arguant du fait que l'eau était trop froide et pas assez épurée à son goût, une excuse sans doute afin de justifier sa présence à mes côtés et ainsi, en préparant mes affaires s'assurer de mon complet confort (il était, dois-je l'avouer, un peu manche-à-bal).

Or donc, à un moment précis de la journée, il devait-être exactement 13:34 h ou 16:07 h, je ne sais plus, ça fait tellement longtemps, qu'on entendit un cri qui nous tétanisa tous.

Ca venait de la rivière, Edgard, ou Honoré, sortait en courant de celle-ci et en cela suivit, soit du fait de l'instinct grégaire, l'esprit d'équipe ou une peur collective (biffer la mention inutile) par tous les autres membres de cette foutue 494.348è section que j'avais l'honneur et la tâche de commander à cette époque épique.

Il se tenait les parties génitales en mains et essayant d'arracher un appendice d'un bon mètre de long qui semblait s'y accrocher.

Se rapprochant je cru reconnaitre la forme d'un reptile de la famille des Elapidés qui sont des serpents protéroglyphes et plus précisément un Hydrophéidé, sans doute un Laticauda au vu de des rayures ornant sa peau.

La bête, l'animal, je veux dire le serpent et non Honoré, ou Edgard, tenait ferment le gland transpercé du malheureux et nous dûmes couper ce magnifique spécimen, qui aurait fait la fierté de tout musée d'histoire naturelle, en deux afin de faire cesser son action qui était visiblement douloureuse à entendre les cris de l'infortuné dont heureusement, Momba, notre tirailleur Sénégalais, machette à la mains n'avait pas confondu le cylindre à couper, l'un étant très velu l'autre pas du tout.

Voilà que la tête de la bête restait accrochée par ses dents au travers du casque d'Honoré. Il fallut prendre toutes les précautions d'usage pour ôter celle-ci en retirant délicatement les dents de l'organe ainsi transpercé.

Edgard, a qui la douleur était pourtant coutumière, 17 éclats d'obus, 8 fois transpercé par des balles, quelques fractures dues à des chutes de tabourets et autres contusions gagnées sur de multiples champs de batailles, n'en était pas à son baptême du feu et j'estimais donc qu'il y avait dans son regards plus de peur que de mal de voir la partie (presque) la plus noble de son corps ainsi défigurée par ces acérées pointes.

Roger, qui était également mon radio me passa le combiné du PRC-10 afin que je contacte la base pour un médévac et des conseils de soins à communiquer à notre médic (qu'on appelait de façon originale "Doc") qui pratiquait déjà un garrot afin d'éviter une trop grande perte de sang ; en effet, tout le monde sait la forte irrigation sanguine en ces parties basses du corps, plus particuli!èrement les corps caverneux.

J'eu la chance d'avoir rapidos un bon toubib en ligne et lui fit l'état des lieux. Il me questionna à propos de la bête, ce à quoi je lui répondis: "Trapus, velu, 165 cm, 73,54 Kg mouillé, teint pâle, haleine de chameau, ..." le toubib m'interrompit poliment en me disant qu'il voulait savoir par quel genre de serpent l'homme avait été mordu.

Je lui répondis "Un Elapidés proteroglyphes Hydrophéidé, sans doute un Laticauda"

Il me dit qu'il n'y avait pas une minute à perdre et qu'il fallait injecter le sérum, mais nous n'en avions pas, qu'il fallait appliquer la pierre noire, on n'en avait pas non plus, ... bordel de merde de foutues restrictions budgétaires.

"Reste plus qu'une solution" me dit-il

"Laquelle?" répondis-je.

"Celle de sucer la plaie afin d'en ôter le venin"

A ce moment, Edgard, dont l'inquiétude montait me cria afin de s'enquérir des paroles du médecin "Qu'est-ce qu'il dit?"

Et là, soudainement abattu, pour la première fois de ma vie je me sentis impuissant, déjà résigné à la perte de ce soldat d'élite, ce magnifique et infatigable troupier, je me voyais déjà rédiger les lettres expliquant à ses trois veuves et quatorze maîtresses de raconter à ses nombreux enfants que papa était mort vaillamment au combat, qu'il su rester digne jusqu'au bout, qu'il n’avait pas souffert, que ça avait été rapide, une balle en pleine tête, en montant à l'assaut d'un nid de serpents mitrailleuses, sabre au clair, casoar et gants blancs, poitrine offerte, sauvant ainsi la section entière de l'anéantissement total, qu'il serait mis à l'ordre du jour et offert la plus haute distinction honorifique attribuée pour acte de courage face à un ennemi plus nombreux et plus fanatique que nous.

"Il dit que tu vas crever" lui criai-je en retour.

Le soir un hélicoptère l'emporta alors qu'il reposait désormais dans un horrible sac en caoutchouc noir et nous pleurâmes, épaules contre épaules, la perte du meilleur d'entre nous.

Un bon conseil donc, méfiez-vous des eaux dormantes, de l'eau tout court d'ailleurs et surtout des reptiles de la famille des Elapidés qui sont des serpents proteroglyphes et plus précisément des Hydrophéidé, bref, des Laticauda ou des serpents à rayures.

Phil642 a écrit:
Un bon conseil donc, méfiez-vous des eaux dormantes, de l'eau tout court d'ailleurs et surtout des reptiles de la famille des Elapidés qui sont des serpents proteroglyphes et plus précisément des Hydrophéidé, bref, des Laticauda ou des serpents à rayures.

Mouais ! Ton histoire semble "presque" vraie . Maintenant, un coupeur de cheveux en quatre (comme moi ) pourrait te dire que le Laticauda ou tricot rayé est un serpent de mer et pas vraiment de rivière

elgor a écrit:
Mouais ! Ton histoire semble "presque" vraie . Maintenant, un coupeur de cheveux en quatre (comme moi ) pourrait te dire que le Laticauda ou tricot rayé est un serpent de mer et pas vraiment de rivière

Comme je le signalais, ma mémoire fait défaut, ne sachant déjà plus dans quel pays exactement cette aventure eu lieu, il est fort probable qu'au lieu d'être une jungle que ce fut une mangrove, ce qui semble, en effet souligner la présence abondante (au moins un) d'un Lautiduca.

Merci d'avoir souligné cette coquille ^^

Phil642 a écrit:
Comme je le signalais, ma mémoire fait défaut,

manque de phosphore ! tu devrais sucer des allumettes

Merci d'avoir souligné cette coquille ^^

Ce fut un plaisir

Voici un document historique inédit sur la fin de l'URSS :


https://www.youtube.com/watch?v=gNl7u_ckbHU

Quelques photos du Maroc ;)

Génial les photos