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Conception et les 1er sous marins I.J.N. avec l'aide des ingénieurs Allemand 1919-1930

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Message  st.ex. 24/10/2023, 20:42

Oui bonjour, ce sujet vous apportera de nouvelle lueur, sur la conception des sous marins Japonais, parce que les Japonais eux pour la conception des sous marins, ils avaient commencé à se lancé tardivement (1904 avec l'achat des sous marins Hollandais). Et pendant la 1ère guerre mondiale, leurs stratégie, du moins l'Amirauté nippone, et le gouvernement, n'avait que une vue sommaire sur leurs utilisation, telle pendant toute la durée de la guerre, leurs sous marins, était destiné que à surveillé les zones côtière près des bases navale stratégique.
Et c'est uniquement après, que ils on lu les exploits des capitaines des sous Marins Allemand du kaiser. Qui eux on coulé des navires en tonnage, en haute mer que leurs visions avait changé. Et bien sûr aussi à présent ils détenait aussi la puissance pour produire la nouvelle technologie.

Ainsi en premier lieu, déjà oui après que le traité de Versailles avait été signé, les PDG des divers chantiers navale, ont appris la nouvelle de l'interdiction totale, autant de construire, que de vendre. Et que tout leurs type de navire, qui était capable de naviguer, était pris par les pays vainqueurs en tant que butin de guerre.
PS: Certains qui on lu sur l'histoire de l'Amiral Canaris, et de l'Abwehr, que Canaris dans les années 20, il as du faire un voyage au japon. Ici cela peut être le cas oui, en raison que les Japonais, ils souhaitait connaitre toutes les histoires sur les U-Boot Allemands, Et une nouvelle fois, Canaris oui il fut à une période commandant de Sous-marin. Du moins comme ici c'est sur Canaris d'avant les années 1920, ou il faisait déjà partie du service d'Espionnage, maintenant sur ses propres dire, avec son histoire, étant un Espion, je ne pourrait pas tellement être sur que c'est toute la vérité.
Mais ici au japons, furent invité par la société Kawasaki, plus de 800 techniciens et ouvriers et Capitaines d'ancien Sous-Marins Allemand.
Donc maintenant si Canaris faisait partie de ses 800 personnes????

donc ça c'est juste la première partie ou la base.

st.ex.
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Message  st.ex. 25/10/2023, 01:04

Bien je poursuit brièvement avec les infos que l'on peut trouver!

Sur les vingt-cinq grands sous-marins japonais qui ont été trouver dans les eaux hawaïennes au cours de la première semaine du mois de décembre 1941 représentaient un effort long et sophistiqué pour développer une force sous-marine moderne et puissante. Le plus ancien des sous-marins japonais autour d'Oahu avait quinze ans d'âge et le plus récent juste cinq semaines.

Rien que ce paragraphe, ou cette partie de l'histoire en dit long, sur le développement en matière de technologie, et d'amélioration depuis les modèles que les japonais eurent acheter aux pays  occidentaux et que ils eurent reçu en tant que dédommagement suite à la première guerre mondiale. Parce que en matière de développement, ici les Japonais sur les modèles qu'ils eurent pu acquérir financièrement, et ce furent:

À la fin de la Première Guerre mondiale, les types de sous-marins suivants avaient été achetés aux pays occidentaux :

Type Holland des États-Unis
Types Vickers « C » et « L » de la Grande-Bretagne
Type Schneider-Laubeuf de la France
Type Fiat-Laurenti d'Italie

Donc bien sûr, c'était pour les étudiés et construire leurs propres modèles.
Et le type "Holland" de 1904, lui c'était le type de sous marin le plus vieux, et que commencer avec un sous marin qui pouvait juste descendre à 40mètre de profondeur, et détenant une vitesse de surface de 7 noeuds et ayant une autonomie de 180 milles nautique.
Ainsi croire que les japonais, on été satisfait de ses types de sous marins qui était tous destiné a être mis au rebut, après que la marine japonaise connaissait tout du bateau.

st.ex.
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Message  st.ex. 25/10/2023, 10:30

Bien j'appronfondis le sujet avec ma source.

Le type Vickers « L » fut le dernier achat japonais de sous-marins étrangers, mais les analystes navals ont acquis de nombreuses connaissances sur la technologie sous-marine moderne après avoir étudié la conception de tous ces bateaux étrangers. Les sous-marins allemands que le Japon, puissance alliée pendant la Première Guerre mondiale, a acquis après la guerre sont cependant plus importants.

Le Japon a reçu sept sous-marins à titre de réparations allemandes en 1919 ; ils ont été étudiés et testés en vue de la construction de plus grands sous-marins de construction japonaise de la classe « I ».

Alors à présent, ici je m'arrête de suite, en raison, que si vous-même vous avez trouvez des photos de sous marins, portant la mention des années 1918, pour un modèle "ex allemand". c'est la fausse année identifier. Ou pourquoi pas, qui voudrait spécifier, que à la base le sous-marin est un sous marin sortie du chantier navale en 1918, mais en aucune façon que le japon la acquis ou que la photo a été prise en 1918. Puisque ici comme l'histoire nous le raconte bien, le Japon était une puissance alliée pendant la première guerre mondiale, ainsi le Kaiser n'aurait jamais négocier la vente de sous marins, à un pays faisant partie des forces qui le combattait.

Telle si vous allez trouver la photo montrant ce modèle, ou ce type d'ex Allemand.
Conception et les 1er sous marins I.J.N. avec l'aide des ingénieurs Allemand 1919-1930 Scan0002-1024x659
ici bien sûr sur le bas contenant les caractère japonais, on réussis juste à déchiffrer UC99
Et la photo était accompagner de ce texte:
IJN O-5 (former SM U-99) war prize submarine, c. 1920. Commissioned into Imperial German Navy service in late 1918 just months before the end of World War I, U-99 would be among the dozens of German submarines surrendered as war prizes to the victorious Allies, including Japan.
Mais ici déjà l'erreur que on peut remarquer soit dans la traduction, ou en langue anglaise.
Chez les japonais eux on intégré le type de sous marin, parce que oui simplement pendant la 1ère guerre mondiale le kaiser a bien eu plus que 100 u-boot.
Et bien sûr aussi 100 de type UC.
Les types UC était des sous marins mouilleur de mine.
Ainsi que les sous marins de type UA, eux déjà malgré que la technologie était vielle (1906),moteur à pétrol, mais sous marin de haute mer, détenant une double coque. Et ainsi le SM U-99 lui a été coulé en 1917, et lui n'était plus un UA mais un sous marin de taille moyenne.
Le UC-99 c'était le japon qui l'a reçus, et le UC-100 c'était la France qui l'a eu en tant que dédommagement.
Et oui pour le UC-99 et le UC-100 on retrouve bien, que eux était sortie des chantier navales Blom&Voss de Hambourg au mois de Septembre 1918.

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Message  st.ex. 25/10/2023, 18:56

Bien un autre paragraphe sur cet époque:
Le 25 juin 1919, l'attaché naval américain à Tokyo a eu une occasion spéciale d'examiner les sous-marins précurseurs d'une nouvelle génération de sous-marins japonais. L’aide de camp du ministre japonais de la Marine emmena les attachés navals des puissances alliées et associées à Yokosuka pour inspecter les sous-marins nouvellement arrivés. Les sept anciens sous-marins allemands reçurent de nouveaux noms dans la marine japonaise : le U-125 devint le O-1, le U-46 devint le O-2, le U-55 devint le O-3, l'UC-90 devint le O-4, L'UC-99 est devenu le O-5, l'UB-12 est devenu l'O-6 et l'UB-143 est devenu l'O-7. L'attaché naval américain a été impressionné par plusieurs caractéristiques particulièrement significatives des anciens sous-marins allemands et a fait rapport à la Division du renseignement militaire à Washington. en juillet:

(1) À l'exception de l'UC-90, ils disposent d'un mât pour radio, qui peut être érigé ou abaissé depuis l'intérieur du sous-marin par un appareil électrique.

(2) À l'exception du U-46, ils sont tous équipés de deux coupe-filet lance-torpilles en forme de scie, l'un sur le pont et l'autre sur le fond.

(3) Afin d'éviter que les parties saillantes des sous-marins ne s'emmêlent avec des lignes ou des cordes, lors de la navigation sous l'eau, des fils d'acier sont tendus du haut du kiosque à la proue et deux du kiosque à la poupe. . Ces fils peuvent, grâce à un dispositif spécial, être utilisés pour la signalisation radio sur de courtes distances.

Les gouvernails verticaux et horizontaux ainsi que les hélices sont protégés par des cadres solides qui les entourent.

(4) Afin de purifier l'air à l'intérieur du sous-marin, il existe des appareils qui purifient l'air au moyen de produits chimiques et d'autres qui émettent de l'oxygène comprimé.

(5) Afin de montrer l'emplacement du sous-marin lorsqu'il est collé au fond, ils sont équipés de bouées qui sont attachées au sous-marin par des chaînes, qui peuvent flotter depuis le sous-marin. Il existe également des tubes en caoutchouc à travers lesquels le navire de récupération peut évacuer de l'air ou des aliments liquides. Ils sont également équipés d’appareils de communication téléphonique.

Les Japonais n'ont pas tardé à reconnaître la nécessité d'une aide étrangère alors qu'ils se préparaient à assimiler les caractéristiques de ces sous-marins dans leurs propres projets de construction de sous-marins ; Naturellement, ils recherchèrent des concepteurs de sous-marins, des techniciens et d'anciens officiers de sous-marins allemands. En effet, peu de temps après que le Japon ait reçu les sous-marins allemands, le capitaine T. Godo de la marine japonaise fut nommé chef d'une mission navale en Allemagne.

l'attaché militaire américain à Tokyo rapporta au ministère de la Guerre le 9 octobre 1919 que les Japonais étaient « maintenant à Berlin dans le but d'étudier la construction de sous-marins conçus par des concepteurs navals allemands ». . . . Le capitaine Godo espère obtenir des brevets et des conceptions allemandes pour les sous-marins, et espère également ramener avec lui des mécaniciens navals allemands au Japon. »

Les premiers spécialistes allemands des sous-marins étaient déjà arrivés au Japon quelques mois plus tôt, au cours de l'été 1919. Un ingénieur, qui avait contribué à la construction de sous-marins à Germaniawerft à Kiel pendant la guerre, fut emmené à Kure « par le gouvernement japonais, spécialement pour y former des sous-mariniers ». officiers et hommes, et pour expliquer les anciens sous-marins allemands à la marine japonaise », comme le déclare un rapport des services de renseignement américains.

Le nombre de spécialistes allemands des sous-marins travaillant pour les Japonais atteignit un sommet record peu après la guerre, puis diminua considérablement. Il est probable que plusieurs centaines de concepteurs, techniciens et anciens officiers de sous-mariniers allemands furent amenés au Japon dans le cadre de contrats généralement de cinq ans. Un rapport de l'Office of Naval Intelligence (ONI) provenant d'Allemagne affirmait qu'en 1920 « plus de 800 spécialistes de la construction de sous-marins, etc. » Les ingénieurs et les anciens officiers des sous-marins étaient les plus recherchés et bénéficiaient des salaires les plus élevés. Des salaires annuels de 25 000 ¥ (environ 12 000 $), plus une prime annuelle allant de 5 000 ¥ à 10 000 ¥, qui n'étaient pas rares. De plus, les frais de voyage aller-retour Allemagne-Japon étaient garantis par les Japonais. Ces Allemands étaient généralement employés directement par le chantier naval Kawasaki à Kobe.

Ainsi il est facile à comprendre le développement des sous marins Nipon, avec une telle échelle de spécialiste se trouvant au japon, autant les sous marinier japonais, que les hommes de toutes les hiérarchies, disposait quasi d'un traducteur et d'un spécialiste Allemand.

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Message  st.ex. 26/10/2023, 13:29

Conception et les 1er sous marins I.J.N. avec l'aide des ingénieurs Allemand 1919-1930 Scan0013-c-1024x664
Bien à présent je vous présente le I-51, qui était une copie conforme au modèle des sous marins Allemands; sauf que ici fut utiliser des moteurs de la marque Sulzer (Suisses) la raison étant l'interdiction à l'Allemagne prussienne de produire ou de vendre les sous-marins par le traité de Versailles. Donc moteur compris dans le traité de Versailles.

Et ses moteurs de cette marque, oui contenant des rectifications bien sûr, donc furent utiliser jusqu'au Kaidai V soit le I-165.

et celui ci, c'était le I-52 ou plus tard, renommé I-152. Donc juste rajout du chiffre des centaines.
Conception et les 1er sous marins I.J.N. avec l'aide des ingénieurs Allemand 1919-1930 I-152-19250618
mais cette image est de trop bonne résolution, peut être une reconstruction d'un musée. En effet, en raison que les modèles I-51 et I-52, uniquement 1 unique prototype avait été construit.
le premier soit le I-51, lui en 1940 il a été mis à la ferraille, du moins ce qu'il en restait.
Et le I-52, lui en premier lieu, il n'avait que servit en tant que sous-marin école, et ne participa à aucune mission pendant la guerre. et fut mis aussi à la ferraille. Et le I-52 encore lui par rapport au I-51, qui était la copie conforme du sous marin Allemand. Pour le I-52 on lui as augmenter sa longueur.
Et les Japonais souhaitèrent arrivé à une vitesse maximale de 23 Noeuds en surface, et aucun de ses modèles n'arriva à les atteindre, au grand max uniquement 19.5 noeuds.

Mais cette autre. est la bonne.
Conception et les 1er sous marins I.J.N. avec l'aide des ingénieurs Allemand 1919-1930 I-152

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Message  st.ex. 5/11/2023, 23:30

Bonjour, et veuillez m'excuser de mon absence. Bien, alors déjà oui la première photo du I-52, cela correspond bien au I-52, mais pas à celui du Kaidai construit dans les années 1920. En raison que pour la numérotation chez les Japonais, ce n'est pas la même représentation de suite comme chez les européens ou les occidentaux. Chez les Allemands telle le U-99 pouvait être assimilé à un type de sous-marins, donc pas trente six mille U-99, tandis que chez les Japonais, la lettre "I" elle était déjà attribué uniquement aux sous-marins de grande tailles, même le I-400 entra dans cette classe de sous-marins. dès le moment ou un sous-marins ne détenait pas le tonnage ou la longueur du bateau, il était inférieur à une longueur et un tonnage, ou ne détenait non plus une autonomie suffisante, le bateau était classé dans la classe inférieur.

Chez les japonais, chez eux, il n'est pas rare de retrouver actuellement plusieurs bateau disposant du même numéro.
Tandis que chez les Japonais une nouvelle fois, chez eux, oui telle une et unique type de bateau telle le "Kadai" était construit, par la suite, ce ne sont que des améliorations, même si la coque du bateau n'a plus rien avoir avec la coque de base, ou si la longueur était plus longue que l'origine, telle supérieur au Type de Sous-marin "I" du moins pour le moment vous n'en trouverez aucun, c'est la classe de sous-marin de taille ou détenant le poids maximal.

Ainsi, chez les japonais, ils disposait en 1920, que 3 classes de sous-marin, le sous marin de croisière, le sous-marin côtier et les gros sous-marins.
mais déjà ici entre les sous-marin de croisière, et les sous-marin de grande taille, à eux furent attribuer la lettre "I", donc sous marin qui pouvait accomplir des missions en haute mer, ayant une autonomie suffisante.

Mais à l'époque, les sous-marins de grande capacité, ou de grande longueur, commencèrent avec le I-51 et le I-52
Tandis que les sous-marin croisière, eux était numéroté à partir du I-1, qui lui même à participé et était présent à l'attaque de Pearl-harbor.
Mais le I-1 étant un sous-marin Junsen Ichi-Gata ainsi chez nous on devrait plutôt le dénommé J-1 jusqu'à J-4, puisque uniquement 4 modèles de la 1ère Génération des Junsen, ont été construit.

Et à présent, j'ai bien avancé, grâce a quelques dictionnaire japonais.
Le mot "Junsen" faisant partie des surnoms, qui dispose en lui même suivant les différents caractères japonais utiliser, signifie pour la marine, le terme de bateau. Le mot "Ichi" est un mot numéraire, qui est égale au chiffre 1 ou premier. Et le mot "Gata" signifie ni plus ni moins que le mot modèle, ou type pour la marine.
Ainsi on obtient en phrase complète: 1er modèle de bateau.
Et pour le I-51, soit le kaidai projet S22 pour le bateau n°44, parce que oui, ici on retrouvera aussi un autre I-51 et I-52 mais pas le "Kaidai" et non plus le projet ayant le numéro identique, ni le numéro de bateau, qui allait être mis sur la cale.
Ainsi pour le "Kaidai" la traduction des caractères nous donne les mots Kaidai-gata sensuikan ou Kaidai-ichi-gata sensuikan ou encore en abrégé pendant la 2ème guerre mondiale en Kaigun-shiki Ōgata Sensuikan, et ici, le mot "Sensuikan" énonce déja, que le modèle, ou la classe a qui appartient cette dénomination, c'est pour un sous-marin, et le mot "Kaidai" = Grand. Ainsi cela nous donne, ici pour la classe de ce I-51, avec la dénomination abrégé. 1ère Classe de Sous-marin de la marine de Grande capacité.
Et ainsi pour le I-52 plus tard en I-152, on retrouve bien la différence dans la dénomination entre les deux "Kaidai".
pour ici, cette 2ème classe était attribuer le mot "Ni" en remplacement du mot "Ichi" ainsi le mot "Ni", = 2ème Classe soit écrit en chiffre romain. Kaidai II, mais ici il était prévue de construire 2 modèles pour cette 2ème classe, mais le second modèle qui était en cours de planification, lui le Projet était le n° S25 (la lettre "S" doit être pour le mot "Sensuikan", donc bien pour le projet de construction d'un sous-marin attribuer à la IIème classe pour sa construction). et qui pour le I-52 le numéro du sous marin mis sur les cales était le n°51, pour le second bateau, devait être le n°64, mais pour lui le projet de construction changea en S26 soit pour la classe IIIa.
Ou le bateau N°64, devenu le bateau principale de la classe ou deux autres bateau soeurs furent construit les numéros de bateaux portant les numéro 77 et numéro 78.
Et ici pour aussi éclaircir le sujet, La Classe I elle était planifier encore suivants les termes des accords navals ancien, donc Le "Kaidai I" lui suivant la planification du programme de construction 8-8 ou Huit-huit, qui fut mis en place en 1907.
Et dans cette ancien programme, identiquement pour la Kriegsmarine plus tard avec l'Amiral Raeder, qui lui avait eut l'accord de Hitler pour construire d'après le programme du "Plan Z", son nombre et ses navires suivant le tonnage indiquer.
Chez les Japonais, le plan 8-8 de 1907, prévoyait de détenir 8 navires de guerre et 8 croiseurs blindé.
Et la surprise était lorsque en 1910, ou la marine japonaise, s'apprétait à commencé à les construires, ou ils y'a eu des changements dans le programme de construction. En raison 8 navires de guerre de 20 000 Tonnes et 8 navires croiseurs blindés de 18 000 Tonnes, à cette époque, c'était déjà une gigantesque quantités d'aciers, a acheter dans le monde. Puisque le japon, étant juste une petite île, elle ne pouvait déjà pas suffire pour les plantations de riz, pour toute sa population, alors que l'acier en lui même, ils leurs manquait les mines pour le minerai.
A cette époque, les japonais furent mis à la diète, Oh les pauvres Sumo japonais, chez eux, c'était surement une hécatombe pendant le temps qu'ils on du faire la diète.

st.ex.
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Message  st.ex. 7/11/2023, 07:54

Bien, après à présent que vous avez eu une vision primaire, j'approfondis un petit peu plus pour que vous ne soyez pas embrouillé avec les différentes dénominations existantes pour les sous-marin japonais.

Bien alors à présent il faut revenir, en 1905, pour comprendre les numérotations et le sens réel des Sous-marin.
En 1905, c'était donc le Fameux (pas Hollandais, Mais les sous-marin Holland = USA) qui furent acheter, et qui ont été réellement les tous premiers sous marins qui entrèrent dans la Flotte Nipone (s'il vous plait, retenez bien à présent cette fameuse année), en raison que si vous n'êtes pas un ignorant, que vous savez comprendre que 1+1 = 2, vous allez vite aussi comprendre la raison de la dénomination que les sous-marins on eut et ce intégrant encore le sous marin kaidai n°44.
Alors revoyons la chronologie des différents sous marins jusqu'au Kaidai n°44.

Les premiers sous-marins japonais ont été commandés à Fore River Co. (conception et Chantier de la société Holland) en 1902, après une mission navale japonaise en Grande-Bretagne, en France et aux États-Unis. Construits dans le plus grand secret, ils furent envoyés démontés par chemin de fer à Seattle, puis embarqués à Yokosuka, où ils arrivèrent le 12 décembre 1904. L'assemblage fut retardé ; ils ne furent lancés qu'en mars et mai 1905, le premier étant prêt en juin 1905. Ils se distinguent des bateaux contemporains par une plus grande résistance de coque, renforcée par une large bande de placage en bronze. Deux quilles de cale de 7,5 x 2,9 m ont également rigidifié la coque pour résister à la pression à une profondeur de plongée maximale de 38 m. Similaire à la classe « A » de l'USN., qui lui était un monocoque.

Ainsi les 5 bateaux acheter à la firme Américaine "Holland", eux en premier lieu ce fut le 1-Go soit la dénomination 1-5, et he oui, le chiffre 5 pour moi cela correspondrais à l'année ou le japon, à bien reçus leurs tout premier sous-marin.
Puisque le bateau n°1 au USA dans le chantier Navale de Fore River-Quincy qui le 1er était construit sur le n°123, le bateau 2, sur le n°124 ....N°127,
Ainsi au japon les 5 bateaux N°1-N°5 ont été terminer d'être assemblé entre le mois d'Aout au mois d'Octobre 1905.

Ainsi l'unique dénomination qu'ils on eut à cette époque, c'était:
1-Go
2-Go
3-Go
4-Go
et 5-Go. Et comme je vous l'ai déjà énumérer, le mot Go = pour le le mot numéraire 5.
Et 1 année plus tard en 1906. Les japonais était capable de construire suivant le modèle "Holland" utiliser en tant que Base, Bien sûr sous la supervision de la direction de la firme "Holland" USA. qui se trouvait sur place leurs premier modèle: Type "Kaigun-Holland" dans les chantiers navale Kawasaki à Kobe. et si on traduit le mot Japonais "Kaigun" = Marine, et qui furent les bateaux 6-7 soit  6-Go et 7-Go en Japonais. Donc construit à partir du mois de Mars 1906. (pas de date connu pour la remise des chantiers à la Marine). Est connu juste cette version raccourcie sur le "Kaigun":
Les sous-marins n° 6 et 7 (type Kaigun-Holland) ont été construits à Kawasaki, Kobe sous la supervision de Holland entre novembre 1904 et mars 1906. Comparés aux premiers sous-marins Holland, ils détenaient un déplacement inférieur, mais étaient plus longs et plus puissants, avec une plus grande puissance moteur, de 300 ch. à essence. vs 180 ch qui était utiliser dans les premiers bateaux. La marine japonaise les considérait comme des unités expérimentales pour des essais matériels et tactiques, d'où le lance torpille unique. Notez également le changement d'accent par rapport au concept Holland original, la vitesse en surface étant bien supérieure à celle en plongée. C'était typique des autres marines de l'époque, car les bateaux étaient censés se diriger vers leurs zones d'opérations en surface, plongeant pour attaquer.

Ainsi comme ses une suite en numérotation leurs numéros de bateau, je suppose, que pour les Japonais, c'était aussi un bon moyen pour comptabilisé le nombre de sous-marin qu'ils ont détenu depuis l'année d'entrer en service de l'arme Sous-marine. Soit en 1905.
Ainsi on retrouvera pour le "Kaidai" I-51 détenant le projet S22 suivant le modèle Allemand, que celui ci, était donc le 44ème Sous-marin, qui allait entrer en service dans la marine Japonaise depuis 1905. Donc la numérotation des bateaux, n'a rien a voir avec un type de sous-marin spécifique, mais belle est bien avec l'ensemble de tous les sous-marins construit ou acheter à l'étranger.

Pour les 2 Sous-Marins suivant les 8-9 acheter chez Vickers, ici il faudra attendre ce soir.

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Message  st.ex. 9/11/2023, 11:26

Bonjour à tous et à toutes. Bien poursuivons avec les 2 sous-marin Anglais, que le japon en 1907, avait acheter aux Britanniques de la firme Vickers.
En ce temps là, c'était donc les sous-marin Vickers "C", qui eux furent mis sur cales dans le mois d'Aout 1907,  et mis à l'eau le 19/05/1908, et fini au mois de Février 1909.
Et voici l'historique que on retrouve pour ses 2 commandes:

La copie des sous-marins de la classe Royal Navy "C". Monocoque, commandés par les japonais dans le cadre du programme 1907. Les Japonais n'avaient pas d'expérience dans la conception de sous-marins modernes et il fallait qu'ils se contente d'une conception de schéma déjà désespérément dépassée.

Donc à eux furent attribué les numéro: 8-Go et 9-Go.
En 1924, ils entrèrent dans la classe  HA-1 et HA-2.

Mais avant que je continue sur ma lancé, je vient juste de trouvé, plus d'information sur l'histoire des sous marins.
Un Sujet beaucoup moins connu que la Seconde Guerre mondiale, les sous-marins japonais de la Grande Guerre sont néanmoins intéressants de voir comment le Japon a démarré sa lignée de sous-marins (« submersibles » dénommé à l'époque), logiquement avec les types Holland et s'est rapidement penché sur ses propres développements à travers Mitsubishi, conduisant à des conceptions océaniques plus ambitieuses en 1919 et au début d'une doctrine de guerre à longue portée ainsi qu'à la définition de nouveaux types spéciaux. En effet, contrairement aux armes sous-marines des belligérants occidentaux, les sous-marins IJN ont connu peu d'action en 1914-18, mais ils ont observé les développements occidentaux ainsi que la bataille de l'Atlantique, ce qui, combiné à leur expérience de service, a contribué à façonner de nouvelles conceptions et des changements doctrinaux très importants.

Le développement des sous-marins IJN fut prudent. L'état-major de la marine, fraîchement sorti de l'alliance avec la Grande-Bretagne en 1902, vit avec intérêt les essais du type Holland. Bientôt, l'amirauté commanda quelques sous-marins Holland construits par les États-Unis et les Britanniques (Vickers). mais aussi le Français Schneider-Laubeuf et le type Italien Laurenti à travers trois programmes navals jusqu'en 1910, en un ou deux modèles pour chacun. Tous ces prototypes et les modèles construits ou assemblés par Kawasaki et Mitsubishi ont apporté beaucoup d'expérience pratique. C'est vraiment de 1919 donc après la guerre avec les types K (1917-21) et L (1919-22) et les derniers types KT, le Japon forgea son bras submersible, toujours « testant les eaux » de chaque type produit pour seulement quelques bateaux, à l'exception du type K3, premier modèle largement produit (10 construits) et peut-être du type KT. Un changement de doctrine en 1922 a vu l'élimination définitive des modèles côtiers et la concentration vers les types océaniques plus grands.

L'alliance de 1902 et la suite de la Grande-Bretagne

Au début, le Japon n'était pas disposé à suivre le mouvement des développements submersibles comme l'Occident, notamment parce que l'état-major était plus orienté vers une projection de puissance plutôt que vers des raids commerciaux ou une guerre défensive. L'état-major était également au courant de telles enquêtes en Grande-Bretagne, regardant avec intérêt les expérimentations américaines de l'inventeur irlandais John Holland. Cela se traduisait par la construction en secret de la « classe Holland ». Tout s'est passé rapidement. En janvier 1900 , L'attaché naval de Washington DC, le capitaine Charles Ottley, a rendu compte des progrès de Holland et de l'intérêt manifesté par le gouvernement américain pour en acheter un. Depuis 1898, la Grande-Bretagne a vu avec inquiétude les progrès réalisés dans le domaine des submersibles en France, redevenue un adversaire potentiel après l'incident de Fachoda.

Le Japon, de son côté, s'était définitivement désintéressé de la Jeune Ecole française après les résultats mitigés de Yalu en 1894 et les idées de Bertin : ses yeux étaient tournés vers la Royal Navy comme fournisseur potentiel et pour la formation, avant même l'alliance de 1902, une démarche contre le relations toujours tendues avec la Russie, notamment à propos de l'Extrême-Orient. De retour au Royaume-Uni, c'est encore en 1900 que Sir John A. Fisher pousse l'amirauté à voir adopter un premier sous-marin de type Holland, à tester. La nouvelle de la commande de L'U.S. Navy a tout déclenché.

L'Amirauté a entamé des négociations avec la société holland Torpedo Boat Co., Vickers Ltd. étant censée être un fabricant local de confiance, mais ce sont en réalité les élections de novembre qui ont vu le conservateur Lord Goschen remplacé par le comte de Selborne (premier seigneur des mers "First Sea Lord") plus ouvert à l'innovation et un jeune secrétaire parlementaire. Hugh Oakley Arnold-Forster, qui changea l'ambiance et accéléra les négociations vers un contrat signé en décembre 1900, pour une livraison en octobre 1901.
La construction a été réalisée en secret sous un « hangar à yachts », mais l'information a néanmoins été transmise plus tard puisque l'alliance a été conclue le 30 janvier 1902 à l'attaché japonais, à qui on a confié la garde du secret. En personne l'achèvement du N°1, dont les essais en mer ont commencé le 6 avril 1902. Étant donné que les États-Unis et la Grande-Bretagne se sont tournés vers ce nouveau type à des fins d'expérimentation, l'état-major naval de l'IJN a également réfléchi à la conception.

Nomenclature
Numérotation Première Guerre mondiale (1910-1924)

Les classes de sous-marins se distinguent par des combinaisons standard de lettres et de chiffres, par exemple C3 pour la classe Vickers « C » modèle 3 ; S 1 – S 2 (Schneider-Laubeuf) pour 2 modèles ; F 1 – F 2 (Fiat) classe Laurenti (sous Kawasaki licence); et L 1 – L 4 Vickers 'L' classe (licence Mitsubishi) ainsi que Mitsubishi 'K' (pour Kobe), K 1 – K 4 et KT qui étaient des classes moyennes de la Marine. sur la pratique britannique, KD 2 a grand sous-marin basé sur l'allemand U 139 qui a récemment obtenu une compensation.
Changements de numérotation de 1924

Le système de numérotation des sous-marins a été modifié (en vigueur à partir du 1er novembre 1924) pour refléter les nouvelles priorités. Les plus petits bateaux ont été classés comme « Ha- », les nouveaux côtiers comme « Ro- », et les plus grands ont été numérotés dans une nouvelle série I. . Autrefois, tous les sous-marins étaient numérotés selon une seule séquence. Les numéros n'étaient pas séquentiels mais étaient émis par blocs. Ainsi, les croiseurs de type J recevaient les numéros I-1 à I-4 ; les Mouilleurs de mines était de la série I-20, les croiseurs de type KD croiseurs de la série I-50 et supérieures. Cela a laissé les numéros vides jusqu'au I-50 (mais les Mouilleurs de mines ont ensuite été renumérotés pour les supprimer de la séquence originale), et le résultat est quelque peu déroutant : les sous-marins les plus modernes d'avant 1941 entrant dans cette série Les premiers bateaux ont été renumérotés en 1942, le chiffre 100 étant ajouté à leurs numéros, pour les supprimer des parties les moins numérotées de la série et leur donner plus de sens.

Ainsi, plus tard en 1902, une délégation japonaise est venue aux États-Unis et s'est rendue au Ford River Yard de la Holland Company Design pour entamer des négociations en vue d'acquérir son propre type de bateaux Holland. Cependant, la même mission voulait toujours comparer les conceptions, parfaitement consciente des avancées. fabriqués dans des conceptions alternatives de submersibles en France et également au Royaume-Uni pour une éventuelle construction sous licence du type British Holland. Là encore, comme en Grande-Bretagne, le secret le plus total était la règle.

Appelés sous-marins de type « HOLLAND », ces tout premiers types japonais ont été commandés à la Ford River Co, société holland, en 1902, mais cela n'a été confirmé qu'après que la mission navale japonaise a visité la Grande-Bretagne et la France, se terminant par les États-Unis. Les sous-marins ont été envoyés par chemin de fer. à l'état démonté à Seattle, sur la côte nord du Pacifique (près de Vancouver) mise dans des caisses, et de là par bateau transporter à Yokosuka, arrivant le 12 décembre 1904. L'assemblage fut retardé et ils ne furent donc lancés qu'en mars et mai 1905, avec les premiers n'étaient prêts qu'en juin 1905, trois ans après les bateaux britanniques et américains. Mais ils se différencient aussi des autres bateaux holland par leur plus grande solidité renforcée par une large bande de placage en bronze. Ils étaient également dotés de deux quilles de bouchain pour une meilleure stabilité, de 24,5 pieds x 9,5 pouces (), et une coque encore plus raidie pour résister à une plus grande pression, à une profondeur de plongée maximale de 125 pieds (38mètres). Comme les bateaux britanniques, ils ont rempli leur mission, formant une première génération de sous-mariniers japonais et testant tactiques et opérations initiales. Mais ils furent également tous frappés bien plus tard que les bateaux anglo-américains : en 1921. Le No 4 fut le seul qui a coulé, à Kure en raison d'une explosion d'essence le 14 novembre 1916. Il fut cependant relevé et réparé.
La classe comprend les éléments suivants : No 1 (lancé le 20.3.05, terminé le 1.8.05), No 2 (2.5.05, 5.9.05), No 3 (16.5.05, 5.9.05), No 4 (27.5.05, 1.10.05), n° 5 (13.5.05, 1.10.05).
Contrairement aux premiers sous-marins de type Holland construits aux États-Unis sur la base des spécifications japonaises, ceux-ci étaient basés sur la licence négociée confiée au chantier Kawasaki de Kobe ((d'où la lettre « K » plus tard). nomenclature). Comme ils étaient expérimentaux, seuls deux bateaux furent fabriqués, numérotés N°6 et 7.
Ils étaient connus sous le nom de « Kaigun-Holland », signifiant en quelque sorte « type amirauté-Holland », et empruntaient toujours beaucoup au design holland, car l'équipe de Kawasaki travaillait avec une équipe de conception détachée des États-Unis, donc directement sous la direction de Holland. Surveillance.
Bien que plus longs, ils étaient beaucoup plus minces et donc moins déplacés, à seulement 57/63 tonnes contre 103/124 tonnes, soit près de 50 % de gain.
Malgré cela, les Japonais voulaient améliorer les performances en termes de vitesse globale (ce que la coque plus étroite aidait grandement), plus de puissance et une coque encore plus solide pour des plongées plus importantes.
Ils disposaient par exemple d'un moteur à essence de 300 ch au lieu du faible Otto de 180 ch des premiers bateaux (mais la moitié de la puissance électrique), tout en déplaçant 50 % de moins et en ayant un meilleur profil.

Cependant, ils divergent entre eux, le N°7 se déplaçant davantage à 78 t/95 t en immersion, pour 84 pieds 3 pouces hors tout et plus grand à 7 pieds 11 pouces (25,7 x 2,4 x 2,3 m).Ils ont toujours été considérés comme des prototypes pour Ils testèrent du matériel et des idées tactiques et n'étaient donc jamais pleinement opérationnels. Ils disposaient d'une seule torpille sans recharge.
Pour une fois, la vitesse en surface était bien meilleure que celle de n'importe quel bateau holland à l'époque, conformément à la nouvelle doctrine de 1906 consistant à arriver sur la zone en surface et à s'immerger pour l'attaque.
Ils furent tous deux lancés le même jour, le 28 septembre 1905, et respectivement achevés le 30 mars 1906, selon Conways.
Le N°6 a coulé sous 10 brasses le 15 avril 1910 suite à une défaillance de la valve du ventilateur et a inondé le bateau lors d'essais dans la baie d'Hiroshima, au large de Kure. Le lieutenant Sakura et tout son équipage de 16 personnes ont disparu. Il a été relevé le lendemain, mais n'a pas été réparé. et conservé comme monument en l'honneur des sous-mariniers pionniers japonais, encore visible aujourd'hui à Kure. Il a été radié de la marine en 1920.

La première des trois classes de "Vickers Boats". Ces deux premiers bateaux expérimentaux étaient basés sur la conception britannique mature de la classe "C". Ils ont été commandés dans le cadre du programme de 1904, en 1907 à Vickers Barrow. Le chantier a achevé un navire spécialement conçu pour Les transporter en secret au Japon. Trois fois plus grands que les précédents bateaux Hollan & Holland-Kaigun, ils étaient immergés de 321 tonnes et pour la première fois équipés d'une mitrailleuse défensive. Ils servaient à l'évaluation des opérations à l'étranger mais ne parvinrent pas à répondre aux exigences des l'Amirauté sur le long rayon d'action. Cette dernière se tourna bientôt vers les modèles Schneider Laubeuf et pour tester également les modèles italiens à double coque Fiat-Laurenti.
Les spécifications ci-dessous sont données pour les trois types C, car ils partageaient essentiellement les mêmes caractéristiques, avec quelques différences comme le montre le tableau ci-dessous (étoilé).

Les deux C1 n'arborèrent leur nouveau nom Ha-1 et 2 que pendant quatre ans puisqu'elles furent abandonnées en 1928.
Les C2 étaient une version légèrement modifiée commandée après le programme de 1910 et livrée en section pour assemblage à Kure, et également désactivée en 1928.
Les C3 étaient essentiellement des « C1 à répétition » et étaient considérés comme obsolètes lors de leur commande dans le cadre du programme de 1915, et entièrement construits à Kure. Tous deux furent frappés en 1928. Tous ces types C auraient servi dans la même unité (7 bateaux en tout) sans accident. tester des tactiques océaniques. Il semble qu’ils n’aient jamais quitté les eaux japonaises sur le plan opérationnel.

Vickers encore, mais de conception Kawasaki. Les lettres signifiant VK « Vickers-Kawasaki ». Ils ont été construits dans ce dernier chantier, sur la base du premier modèle holland et dans le cadre du programme de 1910, mais sous la supervision d'une équipe de Vickers. le modèle « British Holland », également à des fins expérimentales. Ainsi un seul bateau fut fabriqué, le N°13, rebaptisé Ha 6 en 1924, et BU en 1928. Il fut lancé à Kobe le 18 février 1912 et considéré comme déjà obsolète, mais son objectif était d'apporter des idées de conception sur la version britannique du type Holland, déjà en disgrâce car en 1918, les types côtiers furent complètement abandonnés et il y eut un profond changement doctrinal. Il fut utilisé pour l'entraînement et les essais jusqu'au moment où il a été radié de la marine dans les eaux territoriales.

Avec ce lot de trois submersibles expérimentaux, le Japon a voulu tester la conception alternative française, ou Schneider-Laubeuf compte tenu de sa réputation de grandes performances de surface, de vitesse et d'autonomie.
En fait, ce furent les premiers modèles à très longue portée commandés par l'IJN et ils furent commandés à l'usine Schneider Creusot en décembre 1911, dans le cadre du programme 1912. Coques doublées, ils avaient une capacité d'huile bien plus grande, mais des retards les firent démarrer en 1911 et 1915 et les réquisitions arrivent quand éclate la grande guerre : le N°14 parti en juillet 1915 devient l'Armide française lors de son lancement en juin 1916. Le N°15, parti plus tôt en mars 1911, est cependant retardé et n'est lancé qu'en juillet 1917, livré en 1918. Elle devint le Ha 10 en 1924 et fut frappée quatre ans plus tard.
Pour compenser l'absence de livraison du N°14, un deuxième a été commandé au Japon, construit à Kure selon des spécifications légèrement différentes. Il était plus long et n'avait que deux colliers de serrage alors que ses diesels Schneider-Carel étaient importés de France. pour le S1 avec S2. Le N°14 bis fut commencé en août 1918, lancé en mars 1920, devint le Ha 9 en 1924 et fut démoli en décembre 1928. Ils furent cependant jugés lents et le système à collier tombant ne convainquit pas les amiraux.

La commission fit également une tournée en Italie en 1911 et toujours pour le programme de 1912, visita le bureau d'études FIAT et se vit proposer un modèle conçu par Laurenti et déclaré comme véritablement océanique. Des plans furent acquis pour une construction au Japon, et ainsi, la base le modèle F1 a été amélioré, pour un total final de cinq bateaux. Cependant, par rapport au standard IJN, la coque elliptique a été considérée comme plus faible que les coques rondes et des modifications ont été apportées pour conserver la résistance supplémentaire des modèles IJN.

Les deux F1 et les trois F2 étaient pratiquement identiques, à l'exception de la coque plus large du F1.
La première série a vu ses écailles révisées en cours de construction pour plus de rigidité, et les N°18 et 21 ont été construits à Kawasaki, Kobe entre 1919 et 1920, rebaptisés Ro-1 et 2 en 1924 et abandonnés en 1930. Ils avaient un pont arrière 3 -in/28, et la série F2 (N°31, 32, 33 fabriquées en 1921-22) avaient un kiosque retravaillé. Elles disposaient toutes deux d'une mitrailleuse double usage de 3-in/28 et de 7,7 mm. Toutes deux avaient quatre tubes à l'avant, un à l'arrière et recharges 8. Les diesels FIAT furent jugés insatisfaisants et n'achetèrent pour la F1 que 13 kts au lieu de 15 et 14 au lieu de 17 pour la F2. Ils furent également jugés peu fiables et toute la série de suivi fut prévue pour 1919. Les programmes ont été annulés et remplacés par des bateaux K et L. Ils auraient été nommés N°48-50, 60 et 61.
Toute la série F fut radié de la marine en 1930.

Oui enfin, quelques sources qui écrivent sur ses bateaux, eux utilise que les dénomination d'après 1924, et ainsi errone quelques part l'histoire en elle même, et ils embrouille plus le lecteur.

st.ex.
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Message  st.ex. 15/11/2023, 09:22

Bien, alors toujours avant que je poursuive avec mes anciennes sources. Bien à présent on va juste un petit peu avancé dans le temps, Donc un sous-marin Japonais, que l'on peut apercevoir dans le film Tora-Tora-Tora! sur l'attaque de Pearl Harbor.
C'est bien sûr du sous-marin de poche que je souhaite parler. Bien sûr que aujourd'hui il n'est plus permit d'en douté, que le Destroyer Américain "Ward" avait réussis à coulé 1 de ce type qui lui suivait le radeau cible tracté par un bateau entrant dans la rade de Pearl Harbor le 7 décembre 1941.
Mais ici c'était aussi juste le film, parce que en réalité, il y avait 5 sous-marins de ce type, dont 1 ou l'équipage c'était rendu après s'être échoué sur une plage. Donc 4 équipage de 2 hommes ont les retrouvent du côté des héros japonais mort.

Ainsi ici je vais vous parler du type (Ko-hyoteki ko-gata). Le mot Ko-Hyoteki, = Bateau Cible. Et il était encore de la 1ère génération soit "A".
Et la dénomination provient du fait que les Japonais, lors du démarrage du programme de la construction, souhaita garder dans le plus grand secret, sa construction. Donc le cas ou des représentant des USA, aurait aperçus ce sous-marin de poche, ils eurent en temps que réponse "oh lui, ce n'est qu'un bateau qui sert en temps que Cible pour les tirs en Mer."

Conception et les 1er sous marins I.J.N. avec l'aide des ingénieurs Allemand 1919-1930 353202-main
La photo contient aussi ce texte: Mini-sous-marin japonais n° 22 de type A Ko-hyoteki (甲標的甲型) renflouer aux États-Unis au chantier naval de Pearl Harbor.
Des traces d'explosions de grenades sous-marines et d'un bélier sont visibles sur la coque du sous-marin. Le trou à l'arrière de la cabine était probablement constitué par un obus de 127 mm. La partie supérieure de la photo a été repeinte par la censure.
En 1952, la coque fut de nouveau renflouer, mais en raison d'une grave corrosion due au chlore des batteries, elle dut être à nouveau coulé au même endroit. Les restes de l'équipage reposent toujours à l'intérieur du sous-marin.

Ici c'est le bateau cible n°22. Qui lui à 8:43h avait attaqué avec ses deux torpilles, le porte hydravion USS-Curtis (AV4), et sa seconde torpille, elle était dirigé sur le destroyer USS Monaghan (DD-354) Mais aucune des torpilles avait atteinte son but. Et à 8:43h est aussi l'heure à laquelle le (DD-354) après avoir été la cible d'une de ses deux torpilles, le Destroyer lança son attaque de représailles avec ses grenades sous-marine, et coula le N°22.  

Bien sûr, que il existe d'autre photo encore montrant les sous-marins de poche ayant attaqué Pearl-Harbor le 7 décembre 1941, mais cette photo fait déjà partie des photos râre.
Et chez les japonais, pour ce type de sous marin, vous ne verrez jamais pour 1941-1942, de I-22, ou I-19 inscrit sur ce type, uniquement les numéros était inscrits, uniquement donc 16,18,20,22,24.

Les sous-marins détenant les inscriptions I-16,I-18... Eux oui c'était les sous-marins transporteurs de ses sous-marins de poche, ainsi aux sous-marins de poches leurs numéros inscrits = appartenance au sous-marin mère ou sous-marin de transport qui les ont transporter jusqu'à la distance, et les ont décharger et lancé.

Et uniquement mentionné dans les livres d'histoire, les sous-marins de poche, eux ne furent pas simplement utiliser pour Pearl Harbor, mais pendant la seconde guerre Mondiale, après Pearl Harbor, pour le port Australien de Sidney le 29 Mai 1942, et aussi le même jours le port de Diego Suarez à Madagascar fut attaqué par ses bateaux cibles. à Diego Suarez, on retrouvera ainsi à nouveau le 16,20 puisque les sous-marins transporteurs était le I-16 et le I-20 ainsi que d'autres qui eux non pas participé à Pearl-Harbor.

Bien à présent, on vas donc revenir à 1932-1933 date ou un capitaine proposa son idée à l'état major de la flotte. Mais vous pourrez lire que l'Amiral lui n'a pas souhaiter, mais son fer de lance étant les produits de l'aéro-navale, bien sûr que lui rejeta l'idée.
Et si pour le début des années 1900, vous lirez plus tard le nom de famille de l'amiral en tant que Ministre de la marine, donc non, en cette période l'amiral n'était pas ministre, soit un de ses oncles ou son père qui était ministre. c'est peut être aussi la raison, que il as pu faire ses études aux état-unis.

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Message  st.ex. 15/11/2023, 12:30

Conception et les 1er sous marins I.J.N. avec l'aide des ingénieurs Allemand 1919-1930 Gg2dYAcWV840RoPj8d-IMpGC2ilefj2aInqiqET1f3fl0HEhJjfdcL9qwsd06QyvqwcEoMXZBeD92vzfz5ZEIyNOprimjzqbvWalRgSEgMuN-f_cJdkApCLwCNIzIANp

Bien sûr, ici sur ce nombre produit, cette photo n'est pas de l'année 1941, en tout 50 unités on été produit du type "A".

Conception et les 1er sous marins I.J.N. avec l'aide des ingénieurs Allemand 1919-1930 1436817399_tip_a-perl-harbor-torpedy

Et ici le n°16 qui as tirer ses torpille sur "USS Oklahoma"

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Message  st.ex. 16/11/2023, 00:13

Bien à présent je vais donc approfondir ce type de sous-marin. Mais attention, ici certains japonais à cette époque, ne voyait déjà pas comme un type de sous-marin, mais plus dans la classe des armes. La torpille elle étant une arme, ainsi il voyait le "bateau cible", en tant que arme dans une arme.

Sous-marins miniatures de type A (Japon)

Pendant la Seconde Guerre mondiale, le Japon possédait l’une des marines les plus puissantes au monde. La marine impériale disposait d'une force sous-marine assez développée, équipée de divers types d'équipements. En raison des difficultés sur les fronts et de la détérioration de la situation économique du pays, la flotte sous-marine s'est finalement dégradée jusqu'à la construction et l'utilisation de torpilles Kaiten guidées par l'homme. Cependant, peu de temps auparavant, les sous-mariniers japonais disposaient d'équipements plus avancés conçus pour les attaques secrètes. Depuis le début des années trente du siècle dernier, le Japon travaille sur des projets de sous-marins ultra-petits.

Projet « Grande torpille »

L'auteur de l'idée de construire des sous-marins ultra-petits était du capitaine de 1er rang (capitaine de Vaisseau) Kaneji Kishimoto. Dès 1932, il proposait l’utilisation de « grosses torpilles avec des personnes à bord ». Selon lui, de tels équipements pourraient être construits en grande quantité et utilisés massivement dans diverses opérations. On supposait que parmi un grand nombre de sous-marins ultra-petits, au moins quelques-uns seraient capables de percer les défenses ennemies et de remplir leur mission de combat : attaquer des navires ou des objets côtiers. Selon Kishimoto, les transporteurs de tels équipements auraient dû être des navires ou des sous-marins spécialement convertis et présentant les caractéristiques nécessaires. Selon lui, la présence de seulement quatre navires porte-avions équipés d'une douzaine de « grandes torpilles » pourrait assurer la victoire dans n'importe quelle bataille navale.

L'officier a présenté sa proposition au commandement de la marine impériale. Les amiraux étaient intéressés par une idée originale permettant d'assurer un potentiel de frappe suffisamment élevé des unités correspondantes sans avoir besoin de construire des navires ou des sous-marins à part entière. K. Kishimoto a reçu l'autorisation de développer un nouveau projet. Il est nommé concepteur en chef.

La première version du projet a été développée à la fin de 1932. Après quelques modifications, la construction des premiers prototypes commença l'année suivante. Deux sous-marins expérimentaux de poche ont reçu la désignation spéciale « A-Hyotek » (« Type A Bateau cible » ses deux prototype eurent les numéro 1 et 2). Ce nom est apparu pour des raisons de secret. L'ennemi, même s'il disposait de bons renseignements, n'aurait pas dû avoir connaissance du dernier projet, qui pourrait affecter considérablement la puissance de la flotte japonaise. La construction des deux premiers « Bateau cibles », selon diverses sources, fut achevée fin 1933 ou début 1934.

Constatant les principales caractéristiques des sous-marins en série des principaux types, Kishimoto a mis la question de la vitesse au premier plan. Les sous-marins ultra-petits prometteurs devaient non seulement s'approcher secrètement de la cible, mais aussi le faire rapidement. Une exigence similaire a affecté l’apparence des deux premiers prototypes. Ces appareils étaient une torpille agrandie. L'appareil, d'environ 20 m de long, avec un corps cylindrique d'un diamètre d'environ 1,8 m, ne comportait pas de rouf ni d'autres parties saillantes. Le corps durable a été assemblé à partir d'acier de 8 mm, le corps léger a été constitué de tôles de 1,2 mm d'épaisseur. Cette conception a permis de plonger jusqu'à une profondeur de 100 M. Lors des tests, la centrale électrique utilisée basée sur un moteur électrique lui a permis d'atteindre une vitesse de 23,85 nœuds.

Les tests des deux premiers prototypes ont montré que l'idée originale du capitaine Kishimoto a droit à la vie et doit être développée. Cependant, afin de créer un sous-marin de poche à part entière, prêt au combat, certaines modifications ont dû être apportées au projet. Il a été décidé de modifier la conception de la coque, d'ajuster la composition de la centrale électrique et de modifier certains autres composants et assemblages. Le résultat de tels changements aurait dû être une réduction des dimensions et du poids de la structure, ainsi qu'une réduction notable de la vitesse maximale. Cependant, même dans ce cas, le nouvel équipement devait avoir des performances assez élevées et la réduction de la vitesse était considérée comme un prix acceptable à payer pour pouvoir mener à bien une mission de combat.

Il y a une curieuse histoire qui a commencé quelque temps après les premiers tests. Dans les documents, les sous-marins ultra-petits, censés devenir porteurs de torpilles, étaient appelés cibles mobiles. Au fil du temps, des informations sur certains bateaux cibles mystérieux parvinrent au commandement de l'armée de l'air, qui s'intéressa à de tels équipements. Pendant un certain temps, le commandement de la flotte a dû « repousser » l'armée de l'air sans divulguer les détails du projet secret. En conséquence, la flotte et les spécialistes ont pu continuer à travailler sans perdre de temps sur des clients potentiels qui apparaissaient soudainement.

Une nouvelle version du projet, développée sur la base des résultats des tests, a reçu la désignation « Ko-Hyotek ». Dans le même temps, la désignation supplémentaire avec la lettre « A » a été conservée. Une version mise à jour du projet a ensuite été approuvée, après quoi la construction en série de nouveaux sous-marins ultra-petits a commencé. La commande de la flotte impliquait la livraison de cinquante sous-marins. Pour diverses raisons, la construction de nouveaux équipements a été retardée, c'est pourquoi la flotte n'a pu commencer la formation des équipages pour le Ko-Hyotek qu'au printemps 1941.

Conception du sous-marin de type A

Les sous-marins de production de type A avaient des dimensions et un déplacement similaires, mais différaient par certaines caractéristiques de conception. Au fur et à mesure que la production en série progressait, de nouveaux composants et assemblages ont été introduits. Le déplacement de tous les sous-marins de ce type en position immergée atteignait 47 tonnes, la longueur totale du bateau atteignait 23,9 m, la largeur atteignait 1,8 m et la hauteur du sous-marin, rouf compris, était de 3 m.

Le sous-marin « A » a été construit selon la conception à une coque et demie. Ainsi, les parties centrale et arrière de la coque étaient constituées d'une coque durable en acier relativement épais. La proue de la coque et la timonerie, qui abritait les dispositifs rétractables, étaient quant à elles moins durables et formaient un volume non scellé. À l'intérieur de la coque robuste, il y avait plusieurs cloisons qui fuyaient qui divisaient le volume total en compartiments séparés.

Le projet du capitaine Kishimoto impliquait l'utilisation d'une curieuse disposition des volumes internes de la coque, qui ressemblait dans une certaine mesure à la disposition des sous-marins à part entière. À l'avant, il y avait deux tubes lance-torpilles situés l'un au-dessus de l'autre. Deux réservoirs de ballast, des vannes de prise d'eau et de drainage et une pompe électrique étanche ont été placés autour des appareils.

Directement derrière les tubes lance-torpilles se trouvait une coque durable qui abritait l'équipage et divers composants de la centrale électrique, y compris les batteries. À l'avant de la coque se trouvaient 136 batteries et un autre ballast. Derrière eux se trouvait un poste central avec des postes de travail pour deux membres d'équipage. Un ensemble complet d'instruments a été fourni pour surveiller le fonctionnement des systèmes et des contrôles, ainsi qu'un périscope rétractable pour surveiller l'environnement.

Derrière l'équipage se trouvaient 56 autres batteries. De plus, dans le compartiment de batterie arrière se trouvait un poids d'équilibrage spécial pesant 406 kg. Sa présence était déterminée par le rapport entre le poids de l'ensemble de la structure et celui des munitions. Au fur et à mesure que les torpilles étaient utilisées, le sous-marin a dû « couler » vers la poupe. Pour cette raison, dans la partie centrale de la coque, avec un déplacement vers la poupe, se trouvait un contrepoids mobile. Sur le chemin de la cible, avec les deux torpilles, la charge devait être dans la position la plus reculée. Après avoir tiré la première torpille, elle aurait dû être déplacée vers la position médiane, après avoir lancé la seconde - vers la position extrême avant.

Un moteur électrique d'une puissance de 600 ch a été placé dans le compartiment arrière de la coque durable. Il faisait tourner un arbre d'hélice, qui entraînait deux hélices coaxiales. Les hélices étaient situées derrière l'extrémité arrière conique de la coque, à l'intérieur du carter annulaire. Deux paires de gouvernails étaient situées devant les hélices, à l'intérieur de clôtures spéciales.

Sur la surface extérieure du corps se trouvait un ensemble d’équipements spéciaux. Ainsi, pour protéger la tête des torpilles dépassant des appareils, une conception spéciale ajourée a été prévue. Certaines unités, comme un périscope, une antenne radio et un tuba pour la ventilation du volume habitable, étaient situées à l'intérieur de la timonerie. Au cours de la production en série, les sous-marins de type A ont reçu des équipements permettant de surmonter les réseaux anti-sous-marins et autres obstacles. Ainsi, à l'avant de la coque, au-dessus des tubes lance-torpilles, est apparue une petite scie dentée, conçue pour couper les obstacles. La deuxième scie de ce type était située à l’avant de la cabine. Les deux scies étaient reliées par un câble destiné à déplacer la barrière vers celle du haut. Des arcs spéciaux sont apparus au sommet de la timonerie pour supprimer les barrières. Un autre câble reliait la partie arrière de la cabine aux protections des gouvernails et des hélices.

Initialement, il était prévu que les sous-marins ultra-petits des projets A-Kyotek et Ko-Kyotek transporteraient chacun deux torpilles de 533 mm. Cependant, dans ce cas, les sous-marins se sont révélés trop grands et n’ont pas pu atteindre les caractéristiques requises. Il a été décidé de réduire le calibre des tubes lance-torpilles à 450 mm. L' armement principal des nouveaux sous-marins devait être des torpilles de type 97. Cette arme mesurait 5,6 m de long, pesait 980 kg et transportait une ogive de 350 kg. Les torpilles de ce type étaient équipées d'un moteur fonctionnant au kérosène et à l'oxygène, ce qui leur permettait d'atteindre des vitesses allant jusqu'à 45 nœuds et de parcourir jusqu'à 5 à 5,5 km.

L'équipage du sous-marin de type A était composé de deux personnes. Ils étaient situés dans la partie médiane de la coque et étaient censés surveiller le fonctionnement de divers systèmes, rechercher des cibles et mener une attaque. L'équipage disposait de plusieurs compas de différents types et autres équipements de navigation, d'un ensemble d'instruments de contrôle, ainsi que de commandes. L'équipage avait un contrôle total sur le fonctionnement du moteur et des autres systèmes. Pour surveiller la situation, un périscope rétractable et un hydrophone doivent être utilisés. Les éléments de réception de ce dernier étaient situés dans les parties avant et arrière de la coque. Une charge explosive a été fournie pour l'autodestruction du sous-marin. Pour empêcher l'ennemi de récupérer le matériel, l'équipage a dû le détruire. Selon certains rapports, le volume du compartiment habitable et les bouteilles d'air comprimé disponibles auraient permis à l'équipage de rester sous l'eau pendant 12 heures. Après cela, en raison de la diminution de la concentration en oxygène, il a fallu flotter à la surface et aérer le bateau. Pour accéder au compartiment central, il y avait une trappe menant à la timonerie.

Le système électrique du sous-marin de type A comptait 192 cellules de batterie. Ce nombre de batteries permettait de fournir au moteur électrique l'énergie nécessaire et ainsi de lui permettre de développer une vitesse élevée. Lorsqu'ils se déplaçaient en surface, les sous-marins de poche accéléraient jusqu'à 23 nœuds. En immersion, la vitesse maximale était de 19 nœuds. L’autonomie maximale avec une seule charge de batterie atteint 100 milles marins. Pour ce faire, il a fallu économiser la batterie en se déplaçant sous l'eau à une vitesse de 2 nœuds. À 6 nœuds, l'autonomie de croisière a été réduite à 80 milles marin. La vitesse maximale a rapidement vidé les batteries : il ne pouvait parcourir que 18 miles marin. Un inconvénient caractéristique de la centrale électrique utilisée était l’absence de générateur. De ce fait, la recharge des batteries ne pouvait s'effectuer qu'à la base ou sur le navire transporteur, ce qui imposait certaines restrictions sur la flexibilité d'utilisation des sous-marins.

La résistance de la coque des sous-marins Ko-Kyotek, selon diverses sources, permettait de plonger jusqu'à une profondeur de 100 M. Selon les calculs, il était possible de plonger à de plus grandes profondeurs, mais dans la plage de 180 à 200 m. la destruction de la coque durable pourrait commencer. D'autres sources mentionnent une profondeur de travail ne dépassant pas 30 M. D'une manière ou d'une autre, les caractéristiques de la coque durable des nouveaux sous-marins ont permis d'opérer en secret. Lors des tests, il s'est avéré que pour une plongée d'urgence en cas de détection par l'ennemi, les sous-marins de type A ne prenaient pas plus de 5 à 7 secondes.

Production de bateaux et formation de sous-mariniers

La commande du commandement de la Marine impériale impliquait la livraison de 50 sous-marins en série du nouveau modèle. Les constructeurs navals japonais utilisaient un système intéressant mais étrange pour désigner les équipements de série. Les sous-marins ultra-petits de type A recevaient des numéros de série, qui n'étaient cependant presque jamais utilisés ailleurs. Ainsi, dans la plupart des sources, il n'existe aucun lien spécifique entre le numéro de série et l'opération. Dans de tels cas, les petits sous-marins sont désignés par le nom du transporteur, ce qui complique sérieusement le suivi de leur sort. On connaît également l'existence d'une désignation constituée de l'indice « Ha » et du numéro de série.


Au printemps 1941, apparaît la première unité de formation dont le but est de former les futurs saboteurs de sous-marins. T.N. La "Base 2" a été construite sur l'île d'Ourazaki. Le premier groupe de futurs pilotes de sous-marins de type A était composé de 24 personnes. Les jeunes officiers étudiaient le matériel, maîtrisaient le contrôle de nouveaux équipements et s'entraînaient à mener des attaques. La formation des premiers équipages ne s'est pas déroulée sans problème. Plusieurs accidents sont connus, ainsi que des attaques erronées de bateaux auxiliaires, qui ont été confondus par les équipages des bateaux à des fins de formation. Néanmoins, la «Base-2» s'est acquittée de sa tâche et, en décembre 1941, la flotte japonaise disposait de plusieurs sous-marins d'un nouveau type prêts au combat.

Attaque de Pearl Harbor

Selon certaines informations, le 7 décembre 1941, cinq sous-marins de classe A étaient censés participer pour la première fois à l'attaque. Leur cible était les navires américains stationnés à la base de Pearl Harbor. On supposait que les équipages entreraient secrètement dans le port et attaqueraient les navires ennemis. Pour livrer des sous-marins de poche dans la zone d'opérations, des sous-marins de combat existants ont été utilisés, qui ont reçu de nouveaux équipements pour le transport d'équipements spéciaux.

La première expérience d’utilisation du sous-marin «A» ne peut pas être qualifiée de réussie. Le sous-marin portant le numéro de série 18 n'a pas pu atteindre la ligne d'attaque. Il a été gravement endommagée par une mine marine (selon d'autres sources, une grenade sous-marine), après quoi l'équipage a décidé de se sauver. Le sous-marin a coulé au fond avec les deux torpilles. À l'été 1960, il fut découvert par des plongeurs. Bientôt, le sous-marin fut relevé et envoyé en réparation. Depuis 1962, le sous-marin n°18 se trouve au musée de l'Académie navale d'Etajima (Japon).


Le sous-marin n°19 est devenu une pièce de musée plus tôt car il n'a pas dû reposer sur le fond pendant près de deux décennies. "Ha-19" a été découvert par les Américains, après quoi il a été contraint de se rendre. L'officier Kazuo Sakamaki a été capturé et son partenaire a été tué. Le bateau fut bientôt transporté sans dommage sérieux aux États-Unis, où il fut soigneusement étudié puis remis aux propagandistes. Jusqu'à la fin de la guerre, ce sous-marin était l'objet d'un musée itinérant qui encourageait la population à acheter des obligations de guerre. Aujourd'hui, le bateau n°19 se trouve au Musée national de la guerre du Pacifique, à Fredericksburg (Texas).

Le sous-marin 20 a été découvert par le destroyer USS Ward (DD-139) à l'extérieur du port avec la principale force de la marine américaine. Il a été attaquée par des grenades sous-marines et a coulé. Le lieu exact du naufrage du sous-marin japonais n'a été établi qu'en 2002, lorsqu'il a été découvert par des plongeurs.

Le sort exact du sous-marin n°16 reste inconnu. Plusieurs études ont déterminé que le sous-marin a très probablement été coulé par son propre équipage alors qu'il quittait Pearl Harbor. Selon certaines informations, l'équipage aurait réussi à entrer dans le port et à tirer les deux torpilles sur les navires américains. L'une des cibles du X-16 pourrait être le cuirassé USS Oklahoma (BB-37). Après l'attaque, le bateau a tenté de repartir, mais pour une raison quelconque, l'équipage a été contraint de l'abandonner. L'hypothèse d'une attaque contre le cuirassé repose sur les tubes lance-torpilles vides sur le bateau découvert, ainsi que sur l'une des photographies prises par les pilotes japonais. On y voit des éclaboussures au-dessus du point de départ d'une des torpilles visant les navires américains. On ne peut exclure que les éclaboussures aient été provoquées par l’exploitation d’un sous-marin de poche.


Il existe des informations fiables sur les opérations de combat du sous-marin portant le numéro de série 22. Il a réussi à pénétrer dans le port et à tirer ses torpilles sur deux navires américains. Les cibles de ce sous-marin étaient le porte-hydravions USS Curtiss (AV-4) et le destroyer USS Monaghan (DD-354). Les torpilles ont raté leurs cibles et touché les structures côtières. Après s'être découvert, l'équipage japonais fut soumis à une attaque de représailles de la part d'un destroyer américain. Le sous-marin a été endommagé et a coulé. Plus tard, lors de la construction de nouvelles installations d'amarrage pour sous-marins à la base de Pearl Harbor, les restes du sous-marin HA-22 ainsi que la terre ont été utilisés comme matériau pour l'une des jetées.

Lors de l'attaque de Pearl Harbor, la formation de sous-marins miniatures de type A a subi de lourdes pertes. Les cinq sous-marins ont été perdus, un seul sous-marinier ayant survécu. Malgré les pertes, les équipages des sous-marins n'ont pas pu infliger de dégâts notables à la flotte ennemie. En conséquence, toutes les pertes de la flotte américaine ont été comptabilisées par les pilotes. Cependant, il convient de noter que le cuirassé Oklahoma, à la suite d'une attaque de bombardiers torpilleurs et, éventuellement, d'un sous-marin de poche, a été gravement endommagé et a coulé. À l'automne 1943, il fut relevé et examiné, mais il fut décidé de ne pas le réparer. Il est donc possible que les sous-marins de classe A puissent encore infliger des dégâts à l'ennemi.

Bien ici je vous ai juste traduit la partie visible, soit la partie la plus rapide, mais dès demain, je vais m'atteler à approfondir plus sur les prototypes du capitaine Kishimoto.

st.ex.
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Message  st.ex. 16/11/2023, 09:35

Bien une nouvelle source japonaise cette fois ci, énumère ceci.
En novembre 1931 , la deuxième section du premier département du quartier général de l'administration navale étudia diverses idées pour la recherche et le développement des armes uniques du Japon .
Ici il faut que vous sachiez, que la "deuxième section", elle s'occupait du développement de l'arme Torpille.

À l’époque, le traité Washington - Londres imposait des limites strictes à la puissance militaire détenue par les marines des grandes puissances . Par rapport à la marine américaine , qui était l'un des ennemis potentiels du Japon , la différence de force de ses navires capitaux était grande, et il y avait un grand risque que le Japon soit vaincu s'il combattait. En outre, il était nécessaire de compenser les limitations de la puissance navale dues à la disparité de la puissance économique et de production avec de grandes puissances comme les États-Unis , et d'obtenir un avantage en cas d'urgence . Sur cette base, le quartier général de l'administration navale a tenté de développer une nouvelle force militaire qui pourrait être utilisée dans des batailles décisives entre les navires capitaux et réduire progressivement la force de l'ennemi. Parmi les idées examinées figurait le « plan d'attaque à la torpille » proposé par le capitaine de réserve de la marine Takayoshi Yokoo .Cela impliquait des humains chevauchant les torpilles et les guidant pour assurer un coup sûr. Cette proposition a suscité un vif intérêt de la part de l'état-major de la section, mais comme la Marine de l'époque avait pour tradition de ne pas utiliser d'armes désespérées , l'idée a été modifiée et les torpilles seraient lancées à partir de petits sous-marins.

L'idée du capitaine Kuniaki Shiba était de monter un micro- sous-marin sur un navire-mère , et l'idée était d'avoir des sous-marins attendant à divers endroits avec la force principale de la flotte .


Bien à présent on trouve les informations suivante sur le capitaine Takayoshi Yokoo sa date de décès reste inconnu, peut être lors du bombardement de Hiroshima ou de Nagasaki???:

Il est issu de la tribu des samouraïs de la préfecture de Saga . Son père, Yoshiyu Yokoo, est un éducateur qui a été enseignant au lycée Saga et directeur du lycée Saga pour filles . Il fut un temps où Giyu dirigeait une école secondaire et l'un de ses élèves était Gengo Hyakutake , qui devint le camarade de classe de Yokoo. Saburo Hyakutake , Harukichi Hyakutake et la sœur cadette de Gengo sont devenues les épouses de Yokoo . [2] [* 1] En 1899 (Meiji 32), il entre à l'Académie navale et obtient son diplôme de la 30e promotion en décembre 1902 (Meiji 35) . L'ordre des places était moyen . [3] Yokoo a été nommé sous -lieutenant dans la marine et envoyé à la guerre russo-japonaise .

Guerre russo-japonaise

Yokoo est engagé dans le blocage de Port Arthur . Chargeant des mines sur un radeau propulsé par des torpilles , il se dirigea vers Port Arthur , mais fut intercepté par les forces russes et abandonné . Selon Masanori Ito , Yokoo avait « un plan pour infiltrer le port de Port Arthur en transportant une torpille » . Bien que l'on ne sache pas quel grade il a reçu pour la première fois, Yokoo a reçu le quatrième rang de gong .

Torpille:

Lorsqu'il était lieutenant, il servit comme commandant de bateau dans un escadron de sous-marins, qui fut la première unité de plongée de la marine japonaise. Alors qu'il était capitaine , il entra en 6e année du lycée de torpille et obtint son diplôme en tant que premier de sa classe. Il étudie ensuite dans la 11e classe de classe A au Naval War College . Yokoo est devenu un officier spécialisé dans les torpilles et, de la période Meiji à la période Taisho, les méthodes de tir des torpilles navales ont fait des progrès théoriques. Kantaro Suzuki , Shozo Kuwashima , Koshiro Otani , Saburo Hakkaku et Morie Tokiwa font partie de ceux qui ont contribué à ce progrès . Il s'est efforcé d'introduire la théorie des probabilités et la théorie de l'erreur dans le droit . Les recherches de Yokoo et al. ont ensuite été complétées par Takagoro Mizuochi . Après avoir travaillé comme officier d'état-major de la Première Flotte (Major) [8] [* 3] et à l'école de torpilles, il fut promu capitaine du croiseur léger Tenryu en décembre 1921 , et l'année suivante, il fut envoyé en Sibérie ils assuraient la sécurité des provinces côtières . [9] Il est mis en attente en décembre et transféré dans la réserve l'année suivante.


Plan d'attaque à la torpille

L'incident de Mandchourie survenu en 1931 (Showa 6) provoqua des tensions dans les relations internationales du Japon et diverses mesures furent prises auprès de la marine, provenant de sources internes et externes. A cette époque, Yokoo proposa un plan d'attaque à la torpille. Concernant cette proposition, Shizuo Fukui a déclaré que « les humains piloteraient les torpilles pour assurer un coup sûr . » [10] Junya Katsume le décrit également comme « un porte-torpilles à grande vitesse qui peut s'immerger pour empêcher toute détection, et une torpille pour lancer des torpilles . » [4] Shikaji (kaneji)Kishimoto, le deuxième chef de section du quartier général de l'administration navale , a pris note de la proposition de Yokoo, qui aurait conduit au développement du sous - marin spécial ( Kai Cible ) . La War History Series adopte une position similaire, mais certains commentateurs citent l'influence de la marine italienne et des submersibles civils comme source d'inspiration pour le A -Cible .

Concernant l'histoire du développement de l'arme d'attaque spéciale « Kaiten » utilisée pendant la guerre du Pacifique , outre Hiroshi Kuroki et Sekio Nishina , Tadazo Takema ( 65e génération ) et Makoto Omi ( 70e génération ) ont également développé des torpilles humaines. Il a également été souligné que le gouvernement central de la Marine était impliqué . On ne sait pas exactement comment l'idée de Yokoo a influencé le développement de Kaiten.

et ici en approfondissant plus, on retrouve celà:
Les sous-marins spéciaux sont des submersibles militaires et de petits sous-marins utilisés pour attaquer les mouillages navals ennemis et infiltrer les agents. Aussi appelé sous-marin nain. Il a été fabriqué et utilisé dans divers pays du monde, y compris le A-Target au Japon .

L'idée d'utiliser des sous-marins pour attaquer les mouillages a été inspirée par le Turtle , le premier sous-marin au monde utilisé pendant la guerre d'indépendance américaine , le H. Hunley , qui a coulé le premier navire de guerre au monde pendant la guerre civile , et le premier Il a été utilisé par dans de nombreux pays pendant la Seconde Guerre mondiale , et constituait une tactique très basique au début des opérations sous-marines.

Lorsque les grands sous-marins capables d'opérer en haute mer ont été mis en service, leur taille les a rendus impropres aux raids sur de petites zones telles que les mouillages. Pendant la Seconde Guerre mondiale, des sous-marins et des sous-marins spéciaux dotés d'un équipement et de tailles uniques adaptés aux opérations dans les eaux étroites ont été développés et fabriqués, et ont été utilisés dans des combats réels.

Des cibles japonaises ont été utilisées lors de l'attaque de Pearl Harbor au début de la guerre en 1941, ainsi que des attaques contre les ports de Sydney et de Diego Suarez en 1942 . Il aurait torpillé les cuirassés West Virginia et Oklahoma lors de l'attaque de Pearl Harbor . À Diego Suárez, le cuirassé Ramillies est gravement endommagé et le pétrolier British Royalty (6 993 tonnes) est coulé. Au cours de l'opération sur Guadalcanal , il détruisit également plusieurs navires, dont l'USS Alchiba (AK-23) et l'USS Majaba (AG-43).

En Allemagne , le développement a commencé en septembre 1943 après l'attaque du Tirpitz par des sous-marins miniatures britanniques , et ils ont développé des sous-marins spéciaux tels que Neger , Morch , Hecht et Delfin . Les sous-marins spéciaux allemands étaient plus petits que leurs homologues japonais et beaucoup étaient monoplaces. Bien que plus de 1 000 sous-marins spéciaux aient été construits, dont certains étaient simplement des torpilles modifiées, aucun d’entre eux n’a connu beaucoup de succès. On dit que les seuls résultats de la bataille furent un destroyer et plusieurs navires de transport.

Un sous-marin spécial modelé sur une torpille qui s'approche et attaque les navires est également appelé torpille humaine .
Ici il ne le mentionne pas, mais les bateaux cibles, on aussi été retrouvé à Guam, et en Alaska (Aleoutienne juin 1942 la feinte japonaise pour le raid mener contre Midway). Ce pour l'Alaska, eux ils non pas servit.

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Message  st.ex. 16/11/2023, 12:28

Et d'après une autres sources Japonaise, pour Pearl Harbor le 7 décembre, voici la liste totale que Yamamoto il avait engagé pour l'attaque:
[Marine japonaise] ■Commandant « Vice-amiral Chuichi Nagumo » ▼Porte-avions : 6 navires (▽Équipés d'avions : 399 avions au total) « Akagi », « Kaga », « Soryu » , « Hiryu », « Zukaku », « Shokaku » ▼Cuirassés : 2 navires « Hiei » et « ` Kirishima » « ▼ Croiseurs lourds : 2 navires « Tone » et « Chikuma » ▼ Croiseurs légers : 1 navire « Abukuma » ▼ Destroyers : 9 navires « Akigumo », « Tanikaze », « Urakaze », « Hamakaze » , Isokaze », « Kagero » , « Shiranui », « Kasumi », « Hail ». ▼ Sous-marins : 8 navires « I-16 » , « I-18 » , « I-20 » , « I-22 II » , « I- 24 II » , « I-19 », « I -21 II », « I-21 II ». » 23Ⅱ ○Sous-marins spéciaux : 5 ( installés sur   le « I-16 »)

[U.S. Navy] ■Commandant « Amiral Husband Kimmel » ▼Cuirassés : 8 « California », « Maryland », ` `Tennessee'', ``Arizona'' "Oklahoma", "West Virginia", "Pennsylvania", "Nevada" ▼Croiseurs lourds : 2 navires "New Orleans", "San Francisco" ▼Croisiers légers : 6 navires "Detroit" , "Honolulu", "St. Louis", "Helena", "Raleigh", "Phoenix" ▼Destroyer : 30 navires « Shaw », « Downes », « Cassin », etc. ▼Annexe de destroyer : 1 navire « Dobbin » ▼Annexe pour hydravion : 1 navire « Curtiss » ○Minelayer : 1 navire « Oglala » ○Navire de travail : 1 navire « Vestal » ○Navire cible : 1 navire « Utah » ○Autres : 43 navires ▽Avions de base : 399 avions
Le sous-marin I-16 était en fait le bateau grande soeur de la classe. Ou ils on eut les numéro pair, I-16->I-24 et une autre série de 4 dans la quarantaine. qui eux non pas été assigné à cet opération.
Pour le I-19 et les autres numéro impair, eux la Grande soeur était le I-15. qui en détenait encore d'autres et qui ici non pas participé.

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Message  st.ex. 20/11/2023, 17:50

je vais juste faire une petite pause dans ce sujet, avant que je le reprend.

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