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Un collabo dit avoir connu Bormann après la guerre!

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Prosper Vandenbroucke
greg
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Message  greg 5/2/2011, 12:16

http://www.dhnet.be/infos/faits-divers/article/341729/a-lapaz-avec-bormann-et-klaus-barbie.html

http://www.dhnet.be/infos/faits-divers/article/341729/a-lapaz-avec-bormann-et-klaus-barbie.html

Ne sont-ce pas les ossements de Bormann qu'on dit avoir retrouvé non loin de l'entrée du Bunker de Hitler???
Et qu'on a formellement identifié par test ADN il y a quelques années?

La version officielle, communément admise aujourd'hui, n'est-elle pas que Bormann est mort dans un bombardement dans les derniers jours de la guerre?



P.S: comme d'habitude, ce n'est pas lui, il ne savait pas grand chose, c'était un administratif, ...
P.S.2: vous pouvez déplacer vers "l'axe" si besoin est, j'ai hésité sur la localisation du forum.
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Message  Prosper Vandenbroucke 5/2/2011, 12:37

Bonjour tout le monde,
Je viens de lire l'article dans mon quotidien. (La Dernière Heure en l'occurence)
C'est effectivement bizarre, d'autant plus que ce "collabo" âgé de quatre vingt huit ans prétend avoir une bonne mémoire, bien que je me demande si sa mémoire est si infaillible que cela.
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Message  elgor 5/2/2011, 12:59

Bof ! moi j'ai bien vu Elvis la semaine dernière Un collabo dit avoir connu Bormann après la guerre! Yahou
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Message  eddy marz 5/2/2011, 13:03

Bon, en même temps, cela fait depuis les années 50 que Bormann a été "vu" un peu partout en Amérique Latine - le collabo en question n'est qu'un de plus. Même s'il est parfaitement possible qu'il ait survécu, mon avis personnel est qu'il périt à Berlin en 1945 en tentant d'échapper aux Russes. Dans sa déposition à Nuremberg, sa secrétaire, Else Krüger, déclara qu'avant de disparaître, il lui aurait dit : " Eh bien, Adieu. Tout ceci n'a plus de sens. Je vais tenter le coup, mais je ne passerais jamais" (déposition E. Krüger - IMT; XL; Bormann - 12)...
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Message  Prosper Vandenbroucke 7/2/2011, 12:41

Voici une suite paru dans le quotidien belge "La Dernière Heure" de ce lundi 7 février 2011.
http://www.dhnet.be/infos/faits-divers/article/341934/j-ai-echappe-deux-fois-au-peloton.html
Et ici vous trouverez une réaction d'un grand patriote, M. Henri Kichka:
http://www.dhnet.be/dhjournal/archives_det.phtml?id=1123893
Il est à noter qu'une interview (réalisé par un modérateur du forum "beige") de M.Kichka est parue dans le magazine virtuel de ce forum. (voir dans les Histomag44)
Bien amicalement
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Message  Major cowburn 8/2/2011, 18:43

Il y a eu un livre à ce sujet (10 à 15 ans de cela)expliquant que Borman avait été exfiltré de Berlin par les services britanniques en passant par les égouts puis les canaux,avec une petite équipe d'hommes grenouilles,il aurait vécu quelques années en Grande Bretagne ,ayant donné en échange les planques de l'or nazi ...Izrael ayant eu vent de la chose les anglais l'auraient remis aux Américains.....il aurait effectivement vécu en Amérique du sud où il serait décédé.....les américains auraient récupéré les os et les auraient fait "découvrir" par "hasard"...Ian Fleming en personne aurait été mêlé à l'affaire et aurait opéré en personne .....Quand j'ai voulu acheter le bouquin,on m'a dit qu'il avait été retiré de la vente,qu'il n'y en avait plus .......Il y avait quelques photos: Bormann avec une épouse anglaise et sa tombe en Amérique latine.....

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Message  eddy marz 8/2/2011, 18:58

Major cowburn a écrit:Ian Fleming en personne aurait été mêlé à l'affaire et aurait opéré en personne .....

Petit HS, Ian Fleming fut fortement impliqué dans l'Operation Mincemeat
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Message  st.ex. 3/4/2023, 13:14

Bonjour, moi j'aime bien réveillez les anciens sujet, puisque on peut lire encore les anciens écrits de nos anciens membres. Avec leurs sources....

Le mystère de Martin Bormann, "La version de sa mort de Mai 1945" vs "Fuite en Amérique du Sud".

Et ben, je ne me rappelle plus, de qui avait dit: "une personne à son âge...."
Augustin van Lembach..... pour le moment ou ce Bormann aurais vécue en Amérique du Sud et aurais joué le rôle d'un ecclésiaste...... pendant une période.

Moi je dirait ici, pourquoi pas.
Pour les personnes qui ne sont pas au courant, la Famille de Bormann donc femme + enfants se trouvèrent caché en Italie, et ou il est arrivé alors que sa femme il ne lui resta que encore quelques jours à vivre. Et avant de s'en aller, les prêtres du couvent ou sa femme et ses enfants ont été caché, lui on promis de bien s’occuper de l'éducation de ses enfants.

Donc pour une personne, suivant les dires et les écrits, qui ont été énumérer sur Bormann, lui octroyant sa tâche en tant que suiveur et sans raisonnement, et tandis que ici il aurait jouer le rôle d'un ecclésiaste, faisant des cérémonies... jusqu'au jours ou ils ont bien remarqué que ce n'était pas un ecclésiaste... je dirait que ici Bormann as jouer et a appris du moins à jouer l'espion parfait, Ou alors Bormann était déjà longtemps un Renard plus que Rusé plus même que Rommel.

Alain Decaux suivants ses dirent, lui avait bien décrit la scène de Berlin, et après sa soit disante mort à Berlin, il rencontre encore Doenitz.

Alors je pense, si ont souhaite discuté sur ce sujet, il vaut mieux revenir à Berlin quelque jours avant la mort d'Adolf, jusqu'à ce fameux 3 Mai 1945, ...

Déjà dans un autre sujet, j'avais énumérer, d'après mes pensez, que Le Gestapo Müller, avait été aperçus dans le bunker d'hitler, et je pensait, que lui aussi as du passé par la vengeance d'Adolf, pour la Trahison de Himmler, qui as tenté de négocier avec les Alliées. Et que le Gestapo Müller aurait été tué identiquement comme le général Fegelein. Enterré par la suite dans un cimetière Juif, ou plutôt restons dans la norme "Israélite".
Pour être enterré, oui celà il ne fait pas de doute, mais avant sa mort, à partir du moment ou on l'avait vue quelques jours auparavant dans le bunker.

Le 7 décembre 1972, deux cadavres furent découverts lors de travaux de creusement d'une tranchée pour une canalisation d'eau près de la gare de Lehrter, un lieu qui correspondait au témoignage d'Artur Axmann 30. Ces squelettes furent identifiés comme ceux de Bormann et de Stumpfegger grâce à leur dentition. Le prothésiste Fritz Echtmann reconnut un bridge en trois parties qu'il avait lui-même fabriqué pour Bormann en 1942 31. Du verre retrouvé entre ses dents indiquerait qu'il se serait suicidé avec une capsule de cyanure.

Et c'est cela la partie qui l'aurait identifier pour la mort.
En 1942 il lui aurait fabriquer un bridge. et 40 ans après il l'a reconnu?
là ce n'est pas la même chose avec l'identification pour Adolf, qui c'était fait quelques jours après sa découverte.!

Alors voyons un peut les deux versions....



st.ex.
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Message  st.ex. 3/4/2023, 15:13

Humm lisez donc une fois en prenant le temps de lire chaque phrases de la première partie.

C'ÉTAIT TÔT LE MATIN ET LA BRUME COUVRANT la vaste plaine alsacienne se levait pour révéler des hectares de vignes scintillants à flanc de montagne et le chapelet de forteresses qui dominent les coteaux et les villages viticoles sur la route de Colmar - des forteresses anciennes lorsque Jeanne d'Arc était jeune . Une Mercedes-Benz, arborant des croix gammées nazies et des drapeaux SS sur les pare-chocs avant, se déplaçait à grande vitesse à travers des colonnes d'infanterie allemande marchant vers Colmar d'où venait la voiture de commandement. Région montagneuse, certains des combats les plus acharnés de la Seconde Guerre mondiale devaient s'y dérouler à l'approche de l'hiver, une fois que les divisions américaines avaient contourné Paris et traversé Metz dans la brèche de Colmar.
La voiture d'état-major avait quitté Colmar aux premières lueurs du jour pour Strasbourg, transportant le SS Obergruppenführer Scheid, qui avait le grade de lieutenant général dans la Waffen SS, ainsi que le titre de Dr Scheid, directeur de la firme industrielle Hermadorff & Schenburg. Entreprise. Bien que la beauté de la campagne vallonnée n'ait pas échappé au Dr Scheid, ses pensées étaient tournées vers la rencontre d'importants hommes d'affaires allemands qui devait avoir lieu à son arrivée à l'hôtel Maison Rouge à Strasbourg. Reichsleiter Martin Bormann lui-même avait ordonné la conférence, et bien qu'il ne serait pas physiquement présent, il avait confié au Dr Scheid, qui devait présider, "Les mesures à prendre à la suite de cette réunion détermineront l'avenir de l'après-guerre de l'Allemagne. "Qui égarait les futurs spécialistes médico-légaux et dentaires.

LE MONDE A-T-IL JAMAIS VRAIMENT CONNU MARTIN Bormann ? Homme d'une puissance indescriptible et seul dépositaire des secrets d'Hitler après le 1er mai 1945, dans le bunker de Berlin, Bormann continue d'être la figure la plus controversée et la plus déconcertante de notre époque. Il y a ceux qui souhaitent sa mort et continuent de prétendre qu'il l'est; car s'il émergeait, cela embarrasserait les gouvernements qui ont aidé à son évasion, les dirigeants industriels et financiers qui ont bénéficié de sa perspicacité et ont transféré leur capital à des nations neutres dans les derniers jours de la Seconde Guerre mondiale, et les hommes d'affaires de quatre continents qui a profité des 750 sociétés qu'il a établies à travers le monde en tant que dépositaires d'argent, de brevets, d'obligations au porteur et d'actions dans les industries de premier ordre des États-Unis et d'Europe.
Il y a aussi ceux qui savent qu'il n'est pas mort, et je fais partie de ceux qui ont cette conviction. Lorsque j'ai pénétré le silence recouvrant cette histoire, après d'innombrables entretiens et recherches laborieuses dans les archives allemandes et américaines pour révéler des documents de la Seconde Guerre mondiale, j'ai su que la saga Bormann de la fuite des capitaux et de sa fuite vers l'Amérique du Sud était vraiment vraie. Elle avait été dissimulée par une manipulation sans précédent de l'opinion publique et des médias. Plus je me rapprochais de la vérité, plus je recevais d'attention discrète des forces qui entouraient et protégeaient Martin Bormann, ainsi que de ceux qui avaient un intérêt direct à stopper mon enquête. Au cours des années qu'il a fallu pour rechercher ce livre, j'ai été l'objet d'une observation diligente par des escouades d'agents de la Gestapo envoyés d'Amérique du Sud par le général "Gestapo" Mueller, qui dirige toutes les questions de sécurité pour Martin Bormann, nazi en exil, et son organisation, le groupe d'affaires le plus remarquable du monde secret d'aujourd'hui. Mueller m'intéressait, un Américain décrivait Bormann en ces derniers jours de chute comme « à l'abri de l'hystérie générale ; calme et insouciant au milieu des fous, comme si ce « Crépuscule des dieux » ne le concernait pas, comme bien que le soleil se lèverait toujours pour lui, et intrigant jusqu'au bout."
Martin Bormann a été vu pour la dernière fois avec certitude dans un char traversant le pont Weidendamm à Berlin, dans la nuit du 1er mai 1945. Puis, pour la majeure partie du monde, il a disparu.
Les Russes ne sont pas non plus convaincus que Bormann est mort à Berlin. Le KGB soviétique a chargé un major L. Besymenski à la fin des années 1960 d'enquêter sur la «mort ou la fuite» de Bormann. Après deux ans d'enquête minutieuse, son rapport Sur la piste de Martin Bormann a conclu qu'il y avait eu une évasion réussie vers l'Amérique du Sud.

Et c'était bien sous le bundeskanzler ou si comme vous n'êtes pas un Alsacien comme moi, et que vous ne comprennez pas la langue germanique, (bundeskanzler = Chancelier) Willy Brandt, que le déniement à commencé, avec Martin Bormann est mort dans la nuit du 1-2 Mai 1945 à Berlin.

Et pour Gestapo Müller, j'ai maintenant des doutes sur sa mort.
Entre ses mains, le meurtre de masse est devenu une procédure administrative automatique, Müller a présenté une séquence similaire dans son traitement des prisonniers de guerre russes et a donné l'ordre de tirer sur les officiers britanniques qui s'étaient évadés de la détention à Sagan, près de Breslau, fin mars 1944.

Le sort de Müller à la fin de la guerre est entouré de mystère - il a été vu pour la dernière fois dans le Fuhrerbunker le 28 avril 1945, après quoi il a disparu.

Bien que son enterrement ait été enregistré le 17 mai 1945, lorsque le corps a ensuite été exhumé, il n'a pas pu être identifié. Il y avait des rumeurs persistantes selon lesquelles il avait fait défection vers l'Est - car il avait établi des contacts avec des agents soviétiques avant la fin de la guerre, soit à Moscou, en Albanie ou en Allemagne de l'Est.

Müller a été vu pour la dernière fois dans le bunker le 29 avril 1945, la veille du suicide d'Hitler. Hans Baur, le pilote d'Hitler, a cité plus tard Müller disant: "Nous connaissons exactement les méthodes russes. Je n'ai pas la moindre intention d'être fait prisonnier par les Russes." Depuis ce jour, aucune trace de lui n'a jamais été retrouvée. Il est le membre le plus ancien du régime nazi dont on ne sait rien sur le sort. Cela a naturellement donné lieu à des décennies de spéculation. Il y a trois explications possibles à sa disparition :

Que Müller a été tué, ou s'est suicidé, pendant le chaos de la chute de Berlin, et que son corps n'a jamais été retrouvé. C'est ce qui est arrivé à Bormann, qui était porté disparu jusqu'à ce que sa dépouille soit retrouvée en 1972, et dont on sait maintenant qu'il s'est suicidé ou qu'il a été tué peu après avoir quitté le bunker.

Une nouvelle fois, toujours l'année 1972, avec l'identification de 40 ans d'âge...
Rectification, 1942-1972 = 30 ans d'âge pour l'identification......


Que Müller s'est échappé de Berlin et s'est rendu dans un endroit sûr, peut-être en Amérique du Sud, comme Eichmann et bien d'autres, où il a vécu le reste de sa vie sans être détecté, et que son identité n'a pas été révélée même après sa mort.

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Message  st.ex. 3/4/2023, 21:59

Mais continuons sur Bormann!

La CIA américaine, quant à elle, a émis l'hypothèse que le Reichsleiter avait succombé aux tirs d'obus alors qu'il fuyait le bunker. Insistant fermement sur le fait qu'il en était ainsi, la CIA, pour une raison politique inexpliquée, a avancé, promu et encouragé cette croyance. Ils sont intervenus, par exemple, lorsque le général Reinhard Gehlen organisait la publication de ses mémoires. Gehlen avait dirigé le réseau d'espionnage allemand en Russie pendant la Seconde Guerre mondiale, et plus tard, sous le chancelier Konrad Adenauer pendant les années de la guerre froide, avait été chef du Service fédéral de renseignement allemand. La CIA l'a obligé à inclure une déclaration selon laquelle Martin Bormann avait été un espion du Kremlin et était mort en Russie en 1969 ! On me dit que le général s'exécuta avec réticence, mais qu'il était redevable à la CIA ; pendant la guerre froide, ils avaient financé son opération d'espionnage Europe de l'Est/Soviétique de 4 000 hommes à un coût annuel pour les contribuables américains d'environ 6 millions de dollars. En 1953, son Bureau Gehlen avait bouleversé le ciel et la terre pour trouver des indices sur les allées et venues de Bormann à l'Est, rapportant officiellement : "Bormann n'est pas en Allemagne de l'Est ou en Union soviétique. Le Bureau n'a pas été en mesure de découvrir ce qui lui est arrivé après il a quitté la Chancellerie du Reich." La crédibilité de Gehlen dans les cercles politiques et d'espionnage bien informés de l'Allemagne de l'Ouest a été mise à mal par cette circonlocution. Appelé à Bonn pour s'expliquer, il est en substance revenu sur sa déclaration.
Mes propres sources ouest-allemandes m'ont dit : "La CIA était derrière la déclaration du général Gehlen. C'était une manipulation de l'opinion publique par la CIA, immédiatement évidente pour quiconque connaît quelque chose à ce sujet. Bormann et ses liens avec l'Allemagne aujourd'hui sont un caché mais un enjeu politique bien réel. » H. Trevor Roper a commenté à propos de l'affaire Gehlen : « Pour cette histoire, il n'y a ni preuve ni probabilité. ."
Dans un milieu universitaire américain, le professeur Male Fainsode, historien de Harvard et auteur de How Russia Is Ruled, a commenté la déclaration de Gehlen : de Bormann en Union soviétique."
Le grand amiral Doenitz, chez lui à Kiel, faisait partie de ceux qui doutaient que Bormann ait envisagé d'être un agent soviétique ou se rende en Russie. Simon Wiesenthal, directeur du Centre de documentation juive de Vienne, considère également la déclaration de Gehlen comme "un non-sens". Wiesenthal a déclaré que sa "dernière information crédible confirme la présence de Bormann près du village d'Ibiruba, près de la frontière paraguayenne dans la province brésilienne de Rio Grande do Sul". Adolf Eichmann, capturé par des agents israéliens en Argentine en 1960, a confirmé que Bormann est vivant et habite en Amérique du Sud.

Dans le New York Times de mars 1973, j'écrivais notamment :

Martin Bormann est le Reichsleiter en exil, un chef d'État légalement nommé qui ne se considère pas comme un criminel de guerre, selon ses porte-parole. Beaucoup a été écrit sur Bormann ces derniers temps; tout cela est incorrect, à l'exception du seul fait qu'il est vivant et en Amérique du Sud. . . . Lorsque la véritable histoire de Martin Bormann sera écrite, elle révélera qu'il est l'homme en grande partie responsable du redressement de l'Allemagne de l'Ouest après la guerre. . . . S'il veut un jour se montrer au grand jour et vivre à nouveau la vie d'un homme libre, il doit réfuter les accusations de Nuremberg, où il a été jugé par contumace en 1945-1946 et déclaré non coupable de l'accusation de crimes contre la paix. , mais coupable de crimes de guerre et de crimes contre l'humanité. Dans sa décision, le Tribunal militaire international a laissé une échappatoire à Martin Bormann s'il souhaite un jour rouvrir l'affaire. . . . "Si Bormann n'est pas mort", a déclaré le Tribunal, "et est ensuite appréhendé, le Conseil de contrôle pour l'Allemagne peut, en vertu de l'article 29 de la Charte, examiner tous les faits atténuants et modifier ou réduire sa peine, s'il le juge approprié."

Je termine mon article :
Martin Bormann, génie incontesté de la finance et de l'administration, tentera-t-il le pari ou continuera-t-il d'être l'homme le plus traqué de l'histoire ?
Aux procès de Nuremberg, le Dr Friedrich Bergold, l'avocat rusé de cet accusé, a pensé couper court à toutes les tentatives de juger le Reichsleiter absent avec cette déclaration :

Votre Seigneurie, vos Honneurs, le cas de l'accusé Martin Bormann, dont le Tribunal m'a chargé d'entreprendre la défense, est inhabituel. Lorsque le soleil du Reich national-socialiste était encore à son zénith, l'accusé vivait à l'ombre. Au cours de ce procès, il a également été une figure ténébreuse et, selon toute probabilité, il est descendu dans les ténèbres - cette demeure des esprits défunts, selon la croyance des anciens. Lui seul des accusés n'est pas présent, et l'article 12 de la Charte ne s'applique qu'à lui. Tout se passe comme si l'histoire voulait préserver la continuité du Genius loci et avait choisi la ville de Nuremberg pour être le théâtre d'une discussion sur la question de savoir si le fait qu'un accusé ne soit plus en vie peut faire obstacle à son jugement par contumace. A Nuremberg, nous avons un adage qui nous est parvenu du Moyen Âge et qui dit : « Jamais les Nurembergeois ne pendraient un homme qu'ils ne détiennent. Ainsi, même autrefois, ils disposaient à Nuremberg d'un excellent moyen de traiter la question de savoir comment des poursuites peuvent être intentées contre une personne en son absence.

En 1972, l'évêque de Munich, âgé de quatre-vingt-cinq ans, Johannes Neuhausler, a rendu public un document de l'Église catholique romaine, qui déclarait que Bormann s'était enfui en Espagne. Le document dit, en partie : « Albert Bormann avait attendu le retour de son frère Martin à Munich, et ils se sont enfuis de l'aéroport de Salzbourg. L'aéroport n'avait pas été détruit et il y avait aussi au moins dix vols à partir de là les soits disant  Führer's messagers. - des expéditeurs avec des documents officiels. Tous les avions étaient adaptés aux vols de nuit et longue distance." L'évêque a fait la déclaration précédente pour prouver que "Bormann avait suffisamment de voies et de moyens pour fuir l'Allemagne, et que le Vatican n'avait rien fait de spécial pour l'aider".

En 1973, le gouvernement ouest-allemand de Willy Brandt, en collusion avec la CIA, a agi pour mettre fin à jamais à la spéculation selon laquelle Bormann est toujours en vie. Le gouvernement tint une conférence de presse à Francfort pour déclarer que Martin Bormann était mort à Berlin dans la nuit du 1er au 2 mai 1945. Elle montrait un crâne supposé être celui de Bormann. Le 8 décembre 1972, une équipe de fossoyeurs avait déterré deux squelettes près des ruines de la gare Lehrter de Berlin. Les enquêteurs avaient tenté de localiser ces restes sept ans plus tôt, mais maintenant tout à fait par accident, semble-t-il, ils ont été retrouvés à seulement 20 mètres des travaux précédent. Un laissez-passer militaire estompé sur le deuxième corps l'identifiait comme étant celui du Dr Ludwig Stumpfegger, le médecin d'Hitler, qui avait quitté le Führerbunker avec Bormann en 1945.

Le dossier dentaire de Bormann, préparé de mémoire en 1945 par le Dr Hugo Blaschke sur ordre d'une équipe d'enquête de l'armée américaine, a été produit lors de la conférence de presse de Francfort, avec un crâne. Le Dr Blaschke avait été le dentiste personnel d'Hitler, d'Eva Braun et de Martin Bormann. Prudemment, avant que les Russes ne prennent Berlin, il s'était installé à Munich. Il était mort en 1957. Le principal témoignage était celui de Fritz Echtmann, un prothésiste dentaire qui avait fait des essayages pour ces trois-là ; il a témoigné que le travail dentaire dans le crâne était celui du Reichsleiter disparu. Nous avons donc deux éléments de preuve : premièrement, des données dentaires préparées de mémoire par le dentiste de Bormann qui avait été fidèle pendant de nombreuses années à Hitler et Bormann ; et, deuxièmement, la déclaration d'un prothésiste dentaire, qui avait été emprisonné en Russie en raison de sa connaissance des travaux dentaires sur Hitler et Bormann.

H. Trevor Roper, professeur Regius d'histoire moderne à l'Université d'Oxford, a commenté aussi récemment que le 14 janvier 1973, dans le New York Times : "J'ai mes propres raisons de penser que Bormann pourrait bien s'être échappé en Italie et de là en Amérique du Sud. . D'après l'état actuel des preuves, il est tout à fait possible que Bormann soit encore en vie." Mais il a semblé changer quelque peu d'opinion en 1974 après avoir vu les preuves dentaires qui lui ont été présentées par le Dr Reidar F. Sognnaes, le spécialiste dentaire médico-légal américain. Le Dr Roper a déclaré au Dr Sognnaes que, sur la base de la découverte du crâne de Berlin, dit être celui de Bormann : "En conséquence de cette découverte et de l'identification que je présume être de bonne foi [italiques de moi], que l'équilibre des probabilités s'est déplacé ; et que jusqu'à présent, je n'ai vu aucune preuve qui puisse le faire reculer."

Déjà à ce jour, moi je répondrais, n'oubliez surtout pas, que les Nazis avait fait décapité un bon nombre de corps, provenant des Résistants, et autres condamné à Mort. Telles les parents d'un jeune Alsaciens, on juste eu le reste du corps dans le cercueil. c'était après que le jeune de 21 ans, à été guillotiné en 1942 à Stuttgart, tandis que sa tête elle avait été envoyé à l'université de médecine de Heidelberg, ou sa tête a été mis dans le liquide, pour la préserver.... Un autre résistant du Haut Rhin, qui avait fait partie du groupes ayant aidé le General Giraud à Fuir en Suisse, Après son arrestation, et après jugement envoyé aussi à Stuttgart, qui dans la région, était l'unique prison qui détenait la guillotine. Ainsi lui aussi son sort était identique. Sa tête resta à jamais dans les méandres d'une des université de Médecines.
Ainsi d'autre universités, disposait de centaines d'autre Têtes.

Ainsi avec tout ses crânes disponible, combien avait la chance d'avoir des similitudes avec ceux qui se sont laissez croire pour mort?
Une nouvelle fois, des années après, il ne reste que les ossements, et un crâne reste un crâne, et avec tout ce que les Nazies avait déjà pratiqué comme barbarie sur les êtres humains dans leurs camps, et même rappelez vous du stratagème que ils ont utilisez avec la station de Radio, en souhaitant impliquer les soldats Polonais ayant pris la station de Radio de Gleiwitz en otage, en tant que raison pour hitler pour déclarer la guerre, et en laissant derrière eux le corps d'un détenu condamné à Mort vêtu d'un uniforme polonais.... ou Gestapo mueller lui même a participé.

Donc combien de chance y a t'il encore, que ce crane découvert, correspond t'il réellement avec Bormann?
Et après laissez son ancien bridge dentaire sur le lieu, ce n'est pas sorcier, puisque en Amérique du Sud, il y'a aussi des dentistes....

Oui, oui, le dénommé Axmann étant un SS. lui même avait énumérer beaucoup de chose, une fois sous serment, et une autre fois des années après il se rétracte de ses anciens dirent....

Parce que jeter un corps et une tête dans un vieux troue d'obus, ou de bombe, ce n'est réellement pas sorcier, puisque avec la profondeur que les impacts ont, en plus recouvrir de terres, juste assez pour que personne ne trouve les restes pendant des années, en effets ce n'est réellement pas sorcier.

Ah et avant que j'oublie:
22/07/36 - 02/06/38 E-M de Commandement. Général du NSKK¹ (état-major)
10/04/38 - 08/05/45 Député du NSDAP au Reichstag²
03/06/38 - 30/04/45 Assistant personnel du Führer
06/07/38 - 30/04/45 Chef de cabinet du Führer à la Chancellerie du NSDAP

Nationalsozialistisches Kraftfahrkorps ( NSKK ) - National Socialist Motor Corps, une organisation paramilitaire liée au NSDAP qui recherchait l'excellence dans les conducteurs et les mécaniciens de voitures, de camions et de motos. ² Le Parlement d'Allemagne. Albert Bormann était le frère cadet de Martin Bormann (voir bio ici ), avec qui il avait une relation terrible. Le 20/04/45, il a effectué, entre autres, un voyage aérien difficile, depuis le bunker à Berlin à la maison de campagne d'Hitler avec l'ordre de détruire toute documentation importante qui pourrait nuire et tomber aux mains de l'ennemi. Sa piste a ensuite été perdue, car les Américains sont arrivés les premiers. En avril 1949, il est découvert sous un faux nom et condamné par un tribunal de "dénazification" à six mois de prison.

Donc c'était le frère cadet de Martin Bormann.
Déjà en 1949, il avait été trouvé avec des faux papier....
alors lui, qu'es ce qu'il souhaitait faire avec ses faux papier, aussi fuire comme son frère???
Ou avait t'il encore ses papier, après avoir aidé son frère à fuire?????

st.ex.
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Message  st.ex. 4/4/2023, 10:39

pourtant Simon Wiesenthal était également présent à l'exposition de presse de Francfort et a exprimé des doutes sur le fait que le crâne qu'il a vu soit celui de Bormann. "Il semblait y avoir une légère différence dans la structure du crâne par rapport à celle de Bormann", songea-t-il.

M. Wiesenthal était allé au fond du problème, peut-être sans le savoir. Car le prétendu crâne de Bormann est celui d'un macabre remplaçant, un substitut dont les dents et toute la structure dentaire avaient été soigneusement préparées sur une période de temps sur un détenu du camp de concentration de Sachsenhausen qui ressemblait presque au Reichsleiter - une ressemblance que Wiesenthal a perçue pas tout à fait à 100 %.

Substituer un corps à un autre a été un stratagème très utilisé par le général Heinrich Mueller de la Gestapo. C'est lui qui a coordonné les détails de la disparition de Bormann. C'est d'après les déclarations qui m'ont été faites par des individus distincts travaillant pour trois services de renseignement différents : le crâne de Berlin provient d'un corps placé à l'emplacement des gares de marchandises le 30 avril 1945, par une équipe SS de la Gestapo commandée par le général Mueller du Waffen SS. Leur récit est raconté au chapitre 6.

De plus, une autre autorité sur Bormann m'a dit depuis (en 1977) : "Bormann a planifié sa sortie avec un soin extrême, et une partie du grand dessein était un plan pour égarer les futurs spécialistes médico-légaux et dentaires. "

Le London Daily Express a qualifié la conférence de presse de Francfort du gouvernement Brandt de blanchiment et a déclaré que c'était le passeport de Bormann pour la liberté à perpétuité, le libérant à jamais du harcèlement ou de la capture. La presse européenne a soutenu qu'un accord avait été passé entre les représentants du Bormann NSDAP* en exil en Amérique du Sud et le gouvernement de la République fédérale d'Allemagne. Leur spéculation était que, ce faisant, le gouvernement cherchait à se libérer de la pression persistante de continuer à rechercher Bormann. À la suite de la conférence de presse de Francfort, Bormann a été, avec une trompette mondiale, déclaré mort. Le Dr Horst Gauff, procureur de la Hesse, a retiré le mandat d'arrêt ouest-allemand contre Bormann et la récompense de 36 000 $ pour la capture de Bormann. À l'étranger, les ambassades et consulats ouest-allemands ont reçu l'ordre d'ignorer tout futur rapport :

Sa femme, Gerda, qu'il a épousée en 1929, a ouvert une crèche pour orphelins juifs en Bavière en 1945. Les officiers du renseignement de l'armée américaine qui ont découvert cela ont voulu la jeter en prison ; elle en fut épargnée parce qu'elle était en phase terminale et mourut en mars 1946 à l'infirmerie d'un monastère italien à Merano. Le général Patton a opposé son veto à son emprisonnement: "Laissez-la tranquille. Elle rencontrera son créateur bien assez tôt." Elle a nommé un prêtre catholique comme exécuteur testamentaire et tuteur de ses dix enfants. L'aîné, Adolf Martin, du prénom de son parrain, Adolf Hitler, l'aîné lui devint prêtre jésuite, servant l'ordre pendant des années au Congo.

mais ici l'histoire du fils ne s'arrête pas là.

Il a demandé une réaffectation en Amérique du Sud, et la demande est allée au Vatican en raison de l'importance de son père dans l'histoire ; la demande a été refusée, car les responsables du Vatican ont estimé que ce n'était pas une coïncidence. On supposait que Martin Bormann en exil manquait ses enfants et avait demandé à son fils aîné de le rejoindre en Amérique du Sud. L'approbation aurait jeté un projecteur de mécontentement sur le Vatican. Refusé, Adolf Bormann a démissionné de la prêtrise, a ensuite épousé une ancienne religieuse, Cordula, et aujourd'hui ils travaillent ensemble comme missionnaires auprès des Indiens du Brésil et de la Bolivie. Ne peut-on pas penser qu'il rend visite à Bormann, Senior, dans ses dernières années ?

La flamme scintille doucement, mais "Qu'est devenu Martin Bormann ?" est sans cesse captivant. Mon collègue de CBS pendant la guerre, le regretté Edward R. Murrow, m'avait longuement parlé du développement de la saga Bormann comme une histoire d'après-guerre solide et historiquement éclairante.
Lorsque le Reichsleiter Martin Bormann, par l'intermédiaire d'un émissaire, a informé un rassemblement d'industriels nazis à Strasbourg le 10 août 1944 : « Nous ne pouvons pas gagner la guerre ; nous devons prendre des mesures en vue d'une campagne commerciale d'après-guerre », il a rendu cela possible. en mettant en œuvre sa nouvelle politique d'État allemande : la fuite des capitaux — c'est-à-dire l'argent, les brevets, les scientifiques, les administrateurs — vers des nations neutres où ces richesses se développeraient à l'abri de la saisie par les Alliés. Ce programme Bormann de fuite des capitaux vers des refuges sûrs, ainsi que les efforts du peuple allemand, les subventions de l'argent du Plan Marshall pour la reconstruction des usines, et l'argent d'investissement qui a finalement trouvé le chemin du retour, ont déplacé le nouvel Ouest République fédérale d'Allemagne vers sa prospérité actuelle.

J'ai été poussé à écrire ce livre pour présenter aux gens qui réfléchissent la vérité de la conspiration du silence la plus globale de l'histoire moderne, et pour redresser certaines des distorsions persistantes qui se sont développées à partir de l'effusion massive de communiqués et de presse biaisés. libérations des gouvernements et des intérêts privés au cours des trois dernières décennies, jusqu'à ce que les gens bienveillants du monde entier aient du mal à distinguer la vérité de la fiction, avec trop de fiction passant pour l'histoire.

PAUL MANNING
New York

Donc ici oui ma source est le livre de Paul Manning.
Et je vient juste d'utiliser la préface du livre, oui bien sûr juste en plus la partie de la création de l'organisation O.D.E.S.S.A.
Parce que oui bien sûr une nouvelle fois, lorsque on fait des recherches, mieux vaut les approfondir telle comme si on fait notre arbre généalogique, ainsi oui, se livre démontre bien, que il as aussi suivit le cv du Fils qui était devenu prêtre. Et ses deux pays le Brésil,Bolivie sont des pays limitrophe avec le Paraguay.
Et justement suivant les dirent Martin Bormann aurais vécue dans la zone des trois frontières....

Maintenant bien sûr, Martin Bormann étant né en 1900, si il vivrait encore, il aurait 123 ans. Oui je sais bien, que ici en Europe, il y'a des personnes qui arrive a devenir centenaire, même 113 ans, si je ne me trompe pas.
mais là 123 ans, ici la personne elle ne doit même plus vivre sans aides et soins particulier.
Et même déjà en 1972, ici sous Willy Brandt, Martin avait déjà 72 ans.
Et certains affirme que ils as vécue jusqu'en 1969, donc 69 ans.

Et pour ce que javait énumérer plus tôt, pour savoir jouer son rôle d'espion, en fait en 1900 lorsque Bormann est né, ici déjà il était né dans une famille luthérienne, soit une famille ou on disait encore les prières et on allait à la messe. Donc Bormann n'avait nullement besoin de jouer grandement, il lui suffisait juste de se remémorer comment le prêtre faisait.

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