La bataille de Berlin.
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La bataille de Berlin.
Bonjour tout le monde. J'espère que vous allez bien ?
J'en ai presque fini avec l'insurrection de Varsovie. A présent, je m'approche de la fin de mon roman, la bataille de Berlin.
Je vais relire Anthony Beevor. Et aussi, je vais découvrir "Une femme dans Berlin", témoignage d'un anonyme, qui fut violée et doit en avoir long à raconter. Cela fait un bon moment que j'ai mis cet ouvrage de côté, il m'attend...
Et puis évidemment, j'ai des documentaires vidéo, indispensables pour visualiser, et je suis très visuel, d'abord pour imaginer les scènes, ensuite pour les restituer.
Ma question est la suivante (pour commencer) :
Je voudrais que mes personnages se retrouvent dans le secteur le plus près de la Chancellerie. Bon, il est impossible qu'ils fassent partie des bataillons affectés à la défense d'Hitler. Mais simplement, j'aimerais qu'ils soient proches de la chancellerie, puisque c'est un des derniers lieux à tomber.
Avez-vous des suggestions ?
Autre chose, mais je l'ai déjà dit et personne ne semble connaître la réponse. Je redis à tout hasard :
J'aimerais que mes personnages (membres du Sicherheitsdienst) soient affectés à ces tribunaux volants, ceux qui pendaient ou fusillaient les gens qui, dixit : "refusent de se battre". En clair, ceux qui avaient compris que c'était fichu, et cherchaient à sauver leur vie. Ils n'étaient pas les plus idiots, loin de là.
Je voudrais que mes personnages, l'un d'eux étant un fanatique pur jus, se retrouvent affectés à une telle unité. Comment ? Par quel biais ? Modes opératoires ? Etc. Si quelqu'un a une info là-dessus, il aurait droit à ma reconnaissance éternelle.
Info ou pas, c'est bien ce que je compte écrire...
Au plaisir de vous lire,
J'en ai presque fini avec l'insurrection de Varsovie. A présent, je m'approche de la fin de mon roman, la bataille de Berlin.
Je vais relire Anthony Beevor. Et aussi, je vais découvrir "Une femme dans Berlin", témoignage d'un anonyme, qui fut violée et doit en avoir long à raconter. Cela fait un bon moment que j'ai mis cet ouvrage de côté, il m'attend...
Et puis évidemment, j'ai des documentaires vidéo, indispensables pour visualiser, et je suis très visuel, d'abord pour imaginer les scènes, ensuite pour les restituer.
Ma question est la suivante (pour commencer) :
Je voudrais que mes personnages se retrouvent dans le secteur le plus près de la Chancellerie. Bon, il est impossible qu'ils fassent partie des bataillons affectés à la défense d'Hitler. Mais simplement, j'aimerais qu'ils soient proches de la chancellerie, puisque c'est un des derniers lieux à tomber.
Avez-vous des suggestions ?
Autre chose, mais je l'ai déjà dit et personne ne semble connaître la réponse. Je redis à tout hasard :
J'aimerais que mes personnages (membres du Sicherheitsdienst) soient affectés à ces tribunaux volants, ceux qui pendaient ou fusillaient les gens qui, dixit : "refusent de se battre". En clair, ceux qui avaient compris que c'était fichu, et cherchaient à sauver leur vie. Ils n'étaient pas les plus idiots, loin de là.
Je voudrais que mes personnages, l'un d'eux étant un fanatique pur jus, se retrouvent affectés à une telle unité. Comment ? Par quel biais ? Modes opératoires ? Etc. Si quelqu'un a une info là-dessus, il aurait droit à ma reconnaissance éternelle.
Info ou pas, c'est bien ce que je compte écrire...
Au plaisir de vous lire,
ubik83- Lieutenant-colonel
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Re: La bataille de Berlin.
Hello,
Je sais que les désertions furent monnaie courante à Berlin en 1945, surtout au sein de la Wehrmacht.
Des groupes de SS rôdaient en ville en quête de ces déserteurs (mais aussi de ceux qui ne veulent pas combattre ou ne peuvent pas combattre) et se chargeaient de faire justice soi-même, se proclamant gardiens de l'ordre nazi. Je sais qu'ils controllaient tout le monde pour vérifier identité et unités.
Mais je ne pense pas que ces groupes de fanatiques aient un commandement bien précis, ou relèvent d'une autorité précise. Je pense qu'ils agissent un peu comme bon leur semble et mettent en pratique les ordres de Himmler depuis l'attentat manqué du 20 juillet 44. Après tout, se sont des SS et ont tous pouvoirs en Allemagne. J'avais lu (il y quelques temps) que des SS étaient chargés de mettre sur pied des unités Werwolf (loup-garou) qui devaient engager une sorte de guérilla contre les armées alliées. SS et Feldgendarmerie se chargèrent de cela.
Après -je pense-, pourquoi ne pas faire capturer un officier de l'Armée Rouge (reste à trouver les circonstances mais dans l'agitation de Berlin cela ne peut être difficile) ? Il y a aussi l'arrestation puis le "procès" et l'exécution de Hermann Fegelein dans le jardin de la Chancellerie. Il y a également le poste de secours de la Chancellerie, à quelques pas du Führerbunker qui pourrait abriter quelques déserteurs.
Guillaume
Je sais que les désertions furent monnaie courante à Berlin en 1945, surtout au sein de la Wehrmacht.
Des groupes de SS rôdaient en ville en quête de ces déserteurs (mais aussi de ceux qui ne veulent pas combattre ou ne peuvent pas combattre) et se chargeaient de faire justice soi-même, se proclamant gardiens de l'ordre nazi. Je sais qu'ils controllaient tout le monde pour vérifier identité et unités.
Mais je ne pense pas que ces groupes de fanatiques aient un commandement bien précis, ou relèvent d'une autorité précise. Je pense qu'ils agissent un peu comme bon leur semble et mettent en pratique les ordres de Himmler depuis l'attentat manqué du 20 juillet 44. Après tout, se sont des SS et ont tous pouvoirs en Allemagne. J'avais lu (il y quelques temps) que des SS étaient chargés de mettre sur pied des unités Werwolf (loup-garou) qui devaient engager une sorte de guérilla contre les armées alliées. SS et Feldgendarmerie se chargèrent de cela.
Après -je pense-, pourquoi ne pas faire capturer un officier de l'Armée Rouge (reste à trouver les circonstances mais dans l'agitation de Berlin cela ne peut être difficile) ? Il y a aussi l'arrestation puis le "procès" et l'exécution de Hermann Fegelein dans le jardin de la Chancellerie. Il y a également le poste de secours de la Chancellerie, à quelques pas du Führerbunker qui pourrait abriter quelques déserteurs.
Guillaume
Hôpitaux militaires Berlin
Hello,
Comment va ?
Ici, on avance... J'ai largement entamé mon chapitre 24, ça sent la fin, bientôt ! ! !
Mon personnage principal est blessé, il se retrouve dans un hôpital militaire, à Berlin. Je me demandais, vous pourriez peut-être m'aider ? Je cherche dans quel établissement il aurait pu être admis. Qui connaît ?
Il faut que ça soit dans Berlin même, et mieux encore, si c'était le plus près possible de la chancellerie... Pour des raisons de construction dramatique.
J'ai cherché, mais difficile de trouver. Je ne renonce pas, j'essaie d'autres méthodes.
Au plaisir de vous lire,
Ubik83
Comment va ?
Ici, on avance... J'ai largement entamé mon chapitre 24, ça sent la fin, bientôt ! ! !
Mon personnage principal est blessé, il se retrouve dans un hôpital militaire, à Berlin. Je me demandais, vous pourriez peut-être m'aider ? Je cherche dans quel établissement il aurait pu être admis. Qui connaît ?
Il faut que ça soit dans Berlin même, et mieux encore, si c'était le plus près possible de la chancellerie... Pour des raisons de construction dramatique.
J'ai cherché, mais difficile de trouver. Je ne renonce pas, j'essaie d'autres méthodes.
Au plaisir de vous lire,
Ubik83
ubik83- Lieutenant-colonel
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Re: La bataille de Berlin.
Bonsoir Ubik,
Je pense qu'il y avait un Kriegslazarett à Berlin Zehlendorf durant la Seconde Guerre mondiale. Il s'agissait du Hindenburg Lazarett.
Je ne sais cependant pas si cet hôpital était encore en fonction fin 1944-début 1945 et si cet hôpital se trouvait près du centre.
Une autre indication peut sans doute également t'être utile. Va voir ici:
http://www.lexikon-der-wehrmacht.de/Gliederungen/Lazarette/Gliederung-R.htm
Amicalement
Prosper
Je pense qu'il y avait un Kriegslazarett à Berlin Zehlendorf durant la Seconde Guerre mondiale. Il s'agissait du Hindenburg Lazarett.
Je ne sais cependant pas si cet hôpital était encore en fonction fin 1944-début 1945 et si cet hôpital se trouvait près du centre.
Une autre indication peut sans doute également t'être utile. Va voir ici:
http://www.lexikon-der-wehrmacht.de/Gliederungen/Lazarette/Gliederung-R.htm
Amicalement
Prosper
Jusqu'au dernier instant...
Bonjour, et merci infiniment.
Mon choix s'est porté sur l'hôpital de la Charité, à Berlin, qui n'est pas situé trop loin de la Whillelmstrasse. D'après ce que je sais, les hôpitaux ont été largement bombardés eux aussi, et souvent il y avait des annexes alentour, des bâtiments préfabriqués, etc. J'ai choisi de placer Wolfgang dans une annexe, un bunker semi enterré. Il va y passer plusieurs jours de convalescence. Immédiatement après son départ, il va reprendre du service auprès de son ami Franz, dans ces patrouilles chargées de liquider tous ceux qui cherchaient à se soustraire aux combats. Je sais peu de choses sur ces patrouilles mais je n'ai pas renoncé à mon projet de placer mes personnages dans une telle unité. Je me débrouillerai, voilà tout. Je trouve tout à fait exemplaire le fait qu'on ait cherché, par tous les moyens, à faire en sorte que tous se battent, jusqu'au dernier homme, la dernière cartouche. Hitler a voulu entraîner son pays dans sa propre chute, on le sait maintenant, et je veux tout faire pour le souligner, dans la mesure où c'est possible, à travers les yeux de mon narrateur.
A présent, malgré mon état de santé, la saturation à laquelle je suis arrivé sur ce sujet, je m'efforce d'éplucher Anthony Beevor, pour peu à peu comprendre comment s'est déroulée la bataille de Berlin, mon dernier chapitre. Je revois aussi "La chute"', d'Olivier Hirschbiegel, pour me maintenir dans l'ambiance - et quelle ambiance ! Le passage qui m'éprouve le plus, personnellement, est la mise à mort des enfants Goebbels. Je ne sais pas pourquoi, ça me touche infiniment. Sans doute parce que j'ai perdu le contact, depuis longtemps maintenant, avec mes propres enfants, qui me manquent beaucoup.
Je vais m'efforcer de rester debout, moi aussi, jusqu'au dernier instant. Jusqu'à la dernière ligne.
Paix à tous,
Mon choix s'est porté sur l'hôpital de la Charité, à Berlin, qui n'est pas situé trop loin de la Whillelmstrasse. D'après ce que je sais, les hôpitaux ont été largement bombardés eux aussi, et souvent il y avait des annexes alentour, des bâtiments préfabriqués, etc. J'ai choisi de placer Wolfgang dans une annexe, un bunker semi enterré. Il va y passer plusieurs jours de convalescence. Immédiatement après son départ, il va reprendre du service auprès de son ami Franz, dans ces patrouilles chargées de liquider tous ceux qui cherchaient à se soustraire aux combats. Je sais peu de choses sur ces patrouilles mais je n'ai pas renoncé à mon projet de placer mes personnages dans une telle unité. Je me débrouillerai, voilà tout. Je trouve tout à fait exemplaire le fait qu'on ait cherché, par tous les moyens, à faire en sorte que tous se battent, jusqu'au dernier homme, la dernière cartouche. Hitler a voulu entraîner son pays dans sa propre chute, on le sait maintenant, et je veux tout faire pour le souligner, dans la mesure où c'est possible, à travers les yeux de mon narrateur.
A présent, malgré mon état de santé, la saturation à laquelle je suis arrivé sur ce sujet, je m'efforce d'éplucher Anthony Beevor, pour peu à peu comprendre comment s'est déroulée la bataille de Berlin, mon dernier chapitre. Je revois aussi "La chute"', d'Olivier Hirschbiegel, pour me maintenir dans l'ambiance - et quelle ambiance ! Le passage qui m'éprouve le plus, personnellement, est la mise à mort des enfants Goebbels. Je ne sais pas pourquoi, ça me touche infiniment. Sans doute parce que j'ai perdu le contact, depuis longtemps maintenant, avec mes propres enfants, qui me manquent beaucoup.
Je vais m'efforcer de rester debout, moi aussi, jusqu'au dernier instant. Jusqu'à la dernière ligne.
Paix à tous,
Dernière édition par ubik83 le 13/8/2016, 03:09, édité 1 fois
ubik83- Lieutenant-colonel
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Caserne SS ?
Merci beaucoup... Je tente de garder la tête hors de l'eau.
Une question que je me pose :
Ces personnages, faisant partie de la SS, vont probablement être affectés à la défense de Berlin, sujet... brûlant. Donc, ils vont rester sur place. Très certainement va-t-on les caser quelque part, afin qu'ils soient à disposition. Où donc ?
Je suppose que la SS dispose d'un peu de place dans ses casernes. Est-il raisonnable d'imaginer, par exemple, qu'on installerait ces gens du SD dans la caserne de la Leibestandarte, par exemple ? Dans des tentes prêtées par la Wehrmacht, et implantées sur le terrain de cette caserne ? Qu'en pensez-vous ? C'est que très rapidement, il faut que je détermine où Wolfgang va atterrir, en sortant de son hôpital. En fait, j'y suis déjà, donc il faudrait que là, tout de suite, je trouve la réponse...
Quelqu'un sait-il où se trouvait cette caserne de la Leibestandarte ?
Ou bien me suggérez-vous une autre option ? Il est vrai que la SS comporte plusieurs branches et je ne sais pas à quel point ces branches travaillaient en bonne intelligence.
Merci de votre aide. C'est pour la bonne cause.
Une question que je me pose :
Ces personnages, faisant partie de la SS, vont probablement être affectés à la défense de Berlin, sujet... brûlant. Donc, ils vont rester sur place. Très certainement va-t-on les caser quelque part, afin qu'ils soient à disposition. Où donc ?
Je suppose que la SS dispose d'un peu de place dans ses casernes. Est-il raisonnable d'imaginer, par exemple, qu'on installerait ces gens du SD dans la caserne de la Leibestandarte, par exemple ? Dans des tentes prêtées par la Wehrmacht, et implantées sur le terrain de cette caserne ? Qu'en pensez-vous ? C'est que très rapidement, il faut que je détermine où Wolfgang va atterrir, en sortant de son hôpital. En fait, j'y suis déjà, donc il faudrait que là, tout de suite, je trouve la réponse...
Quelqu'un sait-il où se trouvait cette caserne de la Leibestandarte ?
Ou bien me suggérez-vous une autre option ? Il est vrai que la SS comporte plusieurs branches et je ne sais pas à quel point ces branches travaillaient en bonne intelligence.
Merci de votre aide. C'est pour la bonne cause.
ubik83- Lieutenant-colonel
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Re: La bataille de Berlin.
Bonjour Ubik,
La caserne de la LSSAH se trouvait à Berlin-Lichterfelde:
http://www.passionmilitaria.com/t39368-quartier-de-la-leibstandarte-adolf-hitler-berlin-lichterfelde
http://www.thirdreichruins.com/lichterfelde.htm
L'idée me semble bonne, car je vois mal des membres du SD dormir sous tentes.
Amicalement
Prosper
La caserne de la LSSAH se trouvait à Berlin-Lichterfelde:
http://www.passionmilitaria.com/t39368-quartier-de-la-leibstandarte-adolf-hitler-berlin-lichterfelde
http://www.thirdreichruins.com/lichterfelde.htm
L'idée me semble bonne, car je vois mal des membres du SD dormir sous tentes.
Amicalement
Prosper
Re: La bataille de Berlin.
En fait, on me suggère que mes personnages pourraient tout à fait être hébergés là-bas, pas besoin de tentes, car à ce moment-là, la Leibestandarte était absente, en mission, depuis le 22 avril. D'après ce que je lis sur Otto Kumm, celui qui la dirigeait, "Après la chute de Vienne, la "LSSAH" a été sommé par le Haut Commandement de l'armée allemande du 20 avril au 2 mai, de faire mouvement de Zossen (près de Berlin) pour la zone de Mürwik (partie de Flensbourg en Allemagne du Nord, près du Danemark). Otto Kumm et la "LSSAH" se sont rendus lors des avancées des forces britanniques. Le reste de la LSSAH (composée du bataillon SS Leibstandarte affecté à la garde du Führer) a cessé ses jours dans Berlin. Il n'y aurait eu, donc, qu'une partie de la LSSAH à Berlin lors des affrontements...
Reste à savoir si c'est possible et compatible, que la Leibestandarte accueille des éléments du SD. Et puis, qui les commande, pour faire quoi ? C'est compliqué...
Reste à savoir si c'est possible et compatible, que la Leibestandarte accueille des éléments du SD. Et puis, qui les commande, pour faire quoi ? C'est compliqué...
ubik83- Lieutenant-colonel
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Siège du RSHA.
Hello, comment va ?
D'après mes informations, l'unité Charlemagne a séjourné dans le sous-sol du RSHA pendant l'affrontement final. J'envisage donc de faire en sorte que mes personnages rencontrent certains de ces Français. Qui peut me dire où se trouvait ce bâtiment, et éventuellement, à quoi il ressemblait ? Merci...
Par ailleurs, dans un souci de vraisemblance, je compte poster bientôt des extraits de ce dernier chapitre. Vous me direz si quelque chose vous chiffonne au passage.
.... Dernière ligne droite, vivement le paddock !
D'après mes informations, l'unité Charlemagne a séjourné dans le sous-sol du RSHA pendant l'affrontement final. J'envisage donc de faire en sorte que mes personnages rencontrent certains de ces Français. Qui peut me dire où se trouvait ce bâtiment, et éventuellement, à quoi il ressemblait ? Merci...
Par ailleurs, dans un souci de vraisemblance, je compte poster bientôt des extraits de ce dernier chapitre. Vous me direz si quelque chose vous chiffonne au passage.
.... Dernière ligne droite, vivement le paddock !
ubik83- Lieutenant-colonel
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J'ai trouvé !
... J'ai trouvé la réponse. En fait, il se situait lui aussi au 15 prinz-Albrecht Strasse. Parfait, on peut continuer...
ubik83- Lieutenant-colonel
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Re: La bataille de Berlin.
Hello,
En tout cas, cela donne vraiment envie de le lire. J'ai hâte de découvrir ces extraits.
Bonne continuation dans ton écriture,
Guillaume
En tout cas, cela donne vraiment envie de le lire. J'ai hâte de découvrir ces extraits.
Bonne continuation dans ton écriture,
Guillaume
Extrait...
Merci beaucoup, ça me fait très plaisir. J'ai un mal de chien à continuer, j'essaie de ne pas lâcher. Je suis en train de rassembler des infos pour créer une chronologie précise des événements, sur laquelle je vais me baser ensuite pour structurer mon récit.
Allez, voilà un extrait, pour entretenir la motivation. Wolfgang, lors de l'insurrection de Varsovie, a reçu un canon de cheminée sur la tête. Il est resté pendant plusieurs mois dans le coma. Il a repris connaissance à Berlin, à la veille de l'assaut. Il sort juste de l'hôpital. Son ami Franz est venu le chercher :
Allez, voilà un extrait, pour entretenir la motivation. Wolfgang, lors de l'insurrection de Varsovie, a reçu un canon de cheminée sur la tête. Il est resté pendant plusieurs mois dans le coma. Il a repris connaissance à Berlin, à la veille de l'assaut. Il sort juste de l'hôpital. Son ami Franz est venu le chercher :
Franz semblait excité, une mélange d’anxiété et… d’euphorie ? Oui, il était comme un chien fou, je le voyais dans ses yeux. La même lueur qu’à Varsovie, quand l’insurrection avait commencé. Il ne cessait de parler, tout en m’amenant à la voiture.
A mesure qu’on roulait, je fus frappé par l’état de la ville. Berlin ressemblait à présent à la capitale Polonaise, telle que je l’avais laissée : un monceau de ruines. De nombreux bâtiments avaient été touchés. Balcons arrachés, façades éventrées, noircies, tonnes de gravats encombrant la chaussée, conduites d’eaux dégorgeant une boue nauséabonde… Et partout, des gens au visage las, tendu, qui faisaient la queue devant les magasins d’alimentation. Franz hocha la tête :
- On est bombardés sans arrêt, ça fait des mois que ça dure. Le jour, ces fumiers de Bolcheviks. La nuit, les Alliés.
- Où on en est ? J’ai complètement perdu le fil.
- Les Russes ont franchi l’Oder et la Spree. Ils sont à nos portes. On s’attend à l’assaut final d’un jour à l’autre. Il y a eu des combats sanglants, notamment sur les hauteurs de Seelow. D’après ce que je sais, on va se battre à un contre huit. En ce qui concerne les chars, un contre douze, dans le meilleur des cas. Quant à l’aviation… Ce gros lard de Göring ! Il avait assuré que Berlin ne serait jamais bombardée. Il fanfaronnait « Si ça se produit, je veux bien qu’on m’appelle Mayer » ! Du coup, plein de gens le surnomment ainsi. Des centaines de milliers de réfugiés convergent vers la capitale, venus de Poméranie, Prusse, Silésie… Des ordres ont été donnés, que chacun se batte là où il est. Mais rien n’y fait, il y a trop de lâches.
Il ajouta, plus sombre que jamais :
- … C’est là que nous avons un rôle à jouer. J’ai ma petite idée.
Il ne parla plus. Où allions-nous ? Je n’osai le lui demander. Effaré par le spectacle déprimant de Berlin en ruines, je pensais à Ilse. Une porte s’était fermée, encore. Je me sentais témoin, impuissant, une fois de plus. Je savais que cette fille avait d’extraordinaires qualités. Et pourtant, elle m’échappait. J’étais trop vieux, tout simplement. Quelque chose me disait que je ne la reverrais pas. Il aurait fallu avoir le courage, l’inconscience, d’oser l’aimer, ouvertement. C’était impossible, j’aurais eu l’impression de trahir Natalia.
Enfin, nous arrivâmes devant un imposant portail. Franz remit un papier aux plantons ; nous entrâmes dans un vaste complexe. Il énonça fièrement :
- Nous sommes à la caserne Lichterfelde. C’est le quartier général de la Première Panzerdivision SS Leibstandarte Adolf Hitler, qui nous accueille dans le cadre du plan pour la défense de Berlin. Ce sont des Waffen SS, une unité d’élite.
Il contourna le premier bâtiment, surmonté d’un grand swastika en pierre taillée. Les graviers crissaient sous nos pneus. Il se rendit sur le côté droit, se gara devant une bâtisse toute en longueur. Il alluma deux cigarettes, m’en donna une. J’aspirai une longue bouffée, sans réfléchir. A cet instant, j’aurais très bien pu m’arrêter de fumer, car depuis des mois, mon corps s’était désintoxiqué. Mais je suppose que le geste était installé de longue date dans mes méandres intérieurs.
Après cette courte pause, nous marchâmes jusqu’au hall. Franz entra, salua, serra deux ou trois mains, se dirigea vers un bureau. Il frappa à la porte. On lui dit d’entrer. Il claqua des talons :
- Mein Hauptsturmfürher, je vous ramène Ström, qui de nouveau opérationnel, selon vos ordres.
C’était un SS portant monocle et fine moustache. Il m’adressa un regard froid mais cordial. Il claqua des doigts et son ordonnance nous versa du café. Il nous invita à nous asseoir :
- Vous l’avez mis au courant ?
- Pas encore, mein Hauptsturmfürher.
- Bon, je vais donc le faire. Je m’appelle Hans Bürkel, comme vous j’appartiens au S.D. J’ai fait le front de l’Est. Je me suis battu à Orel, Kiev, Minsk… Mon unité était rattachée au groupe d’armées dirigé par von Manstein. Je luttais contre les partisans. Je connais mon affaire. Ström, nous sommes ici pour faire en sorte que Berlin ne tombe pas aux mains des Russes. Nous allons nous battre, jusqu’au dernier homme, j’en ai fait le serment au Führer. Parmi nos missions, il en est une essentielle : nous devons nous assurer que la mobilisation sera totale. Cela repose sur nous, le service de renseignements de la SS. Plus précisément, notre rôle consiste à contrôler qu’il n’y ait pas de défaitisme. Trouver les brebis galeuses, les neutraliser. Sonder l’opinion, voir quel est l’état d’esprit, dénicher les coupables, les empêcher de propager des idées négatives. Et surtout, éliminer les déserteurs. Pas de lâches dans nos rangs ! Vous me suivez ?
- Parfaitement, mein Hauptsturmfürher.
- Bien. Prenez vos quartiers. Willerts et vous aurez une escouade sous vos ordres. Il vous expliquera le reste.
Franz m’amena à l’étage, jusqu’à un vaste dortoir. Dans un coin, il me montra un lit :
- Il est à côté du mien. Quand j’ai su que tu avais repris connaissance, je l’ai fait libérer. Mais je serais étonné qu’on dorme beaucoup ici. A mon avis, on va rapidement se retrouver dans les rues, on devra se débrouiller sur place. On n’aura sans doute pas le loisir de revenir tous les soirs à la caserne.
L’après-midi, trois camions s’alignèrent devant le bâtiment. Bürkel ordonna le rassemblement. Avec nous se trouvaient des membres de la Feldgendarmerie, de la Leibestandarte, mais également de la Sipo. Il nous examina en silence, pendant un instant, la mine soucieuse. Puis il déclara :
- Messieurs, les nouvelles sont mauvaises. Je viens d’apprendre par radio que les Russes ont fait une percée massive au nord ; ils ont atteint le pont de Weidemann et avancent vers Pankow. Au sud, ils ont pris Zossen. A l’est, ils percent en direction de Lichtenberg et Karlshorst. Les premiers obus sont tombés sur la Hermannplatz et ont fait de nombreuses victimes. Si l’artillerie s’y met, la panique va encore augmenter. Il faut mettre de l’ordre dans tout ça. Répartissez-vous en petites unités et faites au mieux. Bonne chance messieurs. Tout pour l'Allemagne !
Un "Heil" retentissant lui répondit. Les Waffen SS montèrent dans les transports de troupes. Franz et moi partîmes dans une kubelwagen, accompagnés de deux feldgendarmes et d'un SS schutze, assez jeune, dont je n'ai retenu que le prénom, Wilhelm.
Nous roulâmes jusqu’au centre, en direction d’Unter der Linden. Des batteries antiaériennes avaient été installées sur les grands axes. Franz commenta :
- Ces canons vont servir contre les chars soviétiques. C'est hélas tout ce qui nous reste.
Nous croisâmes des barricades érigées par des groupes de la Hitlerjunge. Ils avaient entassé pavés, carcasses de voitures, poutres… Plus loin, je vis une dizaine de jeunes qui poussaient un tram en travers d’une rue pour la bloquer. En examinant les garçons et filles, je constatai que la plupart n’avaient pas seize ans. Ils étaient là, regroupés autour d’un chef guère plus âgé, se tenaient raides, sérieux, martiaux. Ils n’avaient, pour se défendre, que des pistolets. Je dis à Franz :
- Si les blindés se pointent ici, ça va être une vraie boucherie.
Il grimaça :
- On les arrêtera avant. Nous devons tenir. Jusqu’à la victoire.
Croyait-il à ce qu’il disait ? Connaissant le caractère extrême de mon ami, je n’osai objecter. Des centaines de personnes se faufilaient dans les rues, évitant les gravats, charriant des landaus remplis de bric à brac, de lourds sacs à l’épaule. De ça de là, des inscriptions étaient griffonnées sur les murs, ou accrochées à des panneaux en carton : « Capituler ? Non » ! Ou encore « Nos murs sont détruits, mais pas nos cœurs ».
Tout à coup, les sirènes hurlèrent. Franz gara la voiture contre une barrière et nous nous mîmes en quête d’un abri. Il y en avait un, à une centaine de mètres. On descendit.
Dans cette cave se trouvait toute une population effrayée. A chaque impact, le sol tremblait, les éclairages vacillaient. A côté de nous, une femme tenait un jeune garçon dans ses bras, il pleurait. Ses cris me vrillaient les nerfs. Franz m’offrit une cigarette. Nous ne parlions pas. Je pensais à Natalia. Je me sentais épuisé, vidé par cette existence que je menais. Submergé, en fait, par un puissant sentiment d’absurdité. A quoi donc servait cette vie ? Je n’étais plus qu’une ombre. Je me raccrochais à Franz, une fois de plus. Désespérément. J’étais aussi perdu que cet enfant, blotti contre sa mère.
ubik83- Lieutenant-colonel
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Re: La bataille de Berlin.
Bonjour Ubik,
J'ai lu ceci:
Je veux bien qu'on m'appelle Mayer
En fait la phrase est celle-ci:
Si une seule bombe ennemie tombe sur le sol allemand, je veux bien m'appeler Meier
Un SS portant monocle ???
J'ai lu ceci:
Je veux bien qu'on m'appelle Mayer
En fait la phrase est celle-ci:
Si une seule bombe ennemie tombe sur le sol allemand, je veux bien m'appeler Meier
Un SS portant monocle ???
Re: La bataille de Berlin.
Bonsoir Ubik,
Ce que j'aime bien chez toi, c'est que c'est fluide, et personnellement j'ai l'impression d'y être. Je revois certaines scènes de films à travers tes écrits, et on ressent le fanatisme de ces SS et le côté un peu "je suis parce qu'il est mon ami" du second personnage. Intéressant.
Guillaume
Ce que j'aime bien chez toi, c'est que c'est fluide, et personnellement j'ai l'impression d'y être. Je revois certaines scènes de films à travers tes écrits, et on ressent le fanatisme de ces SS et le côté un peu "je suis parce qu'il est mon ami" du second personnage. Intéressant.
Guillaume
Fluidité, maître critère.
Merci Guillaume ! Aucun compliment ne saurait me faire plus plaisir !
En effet, j'ai "atterri" dans le milieu historique récemment - à mon échelle, même si c'est il y a huit ans, c'est récent - car des idées me sont venues concernant ce thème global : engagement absolu dans le nazisme, mimétisme / suivisme du meilleur ami, SS, Einsatzgruppen, etc. Tout est venu d'une scène centrale, la première vision qui me soit venue, Wolfgang et une jeune Polonaise, la première nuit d'amour de celui-ci, dans un petit grenier, avec Varsovie complètement dévastée comme décor.
Donc, je ne me prétends pas historien. Absolument pas.
Par contre, écrivain, oui. Et Fluidité, c'est mon maître-mot. Mon critère essentiel. Ce n'est pas le seul, mais c'est celui qui vient en premier.
Ce qui compte beaucoup pour moi, c'est que ça soit fluide et crédible. Egalement, qu'on se sente concerné par chacun des personnages. Je m'investis dans chacun d'eux, comme si j'étais un acteur et je doive les jouer, tous en même temps.
Fluidité, vérité, intensité des sentiments, authenticité, et puis je m'attache à communiquer essentiellement avec l'inconscient de mon lecteur, comme si je m'adressais intimement à lui.
Donc, fluidité, ça me fait très très plaisir !
Quant au côté très visuel, ça doit correspondre à mon fonctionnement, je suis plasticien, je travaille beaucoup sur l'aspect visuel, j'ai besoin de visualiser chaque scène, savoir qui est où, quand deux personnes interagissent, comment elles sont placées, etc. On m'a déjà dit que l'aspect visuel était très présent lors de mes précédents romans, et il y a une personne qui travaille sur le cinéma, qui me disait que ça se prêtait très facilement à la mise en scénario. C'est quelqu'un qui a utilisé mon premier opus pour son mémoire de maîtrise en cinéma. Et j'ai eu l'occasion de lui montrer des passages de celui-ci, cette personne m'a confirmé : malgré le changement total de genre, de registre, d'époque et ainsi de suite, on retrouve mon style et le côté très visuel, justement.
Bon, ça me fait bien plaisir, je ne regrette pas d'avoir posté un extrait, même si je vais probablement remanier celui-ci, en fonction de mes choix stratégiques.
Bon, j'y retourne, donc. Encore merci...
En effet, j'ai "atterri" dans le milieu historique récemment - à mon échelle, même si c'est il y a huit ans, c'est récent - car des idées me sont venues concernant ce thème global : engagement absolu dans le nazisme, mimétisme / suivisme du meilleur ami, SS, Einsatzgruppen, etc. Tout est venu d'une scène centrale, la première vision qui me soit venue, Wolfgang et une jeune Polonaise, la première nuit d'amour de celui-ci, dans un petit grenier, avec Varsovie complètement dévastée comme décor.
Donc, je ne me prétends pas historien. Absolument pas.
Par contre, écrivain, oui. Et Fluidité, c'est mon maître-mot. Mon critère essentiel. Ce n'est pas le seul, mais c'est celui qui vient en premier.
Ce qui compte beaucoup pour moi, c'est que ça soit fluide et crédible. Egalement, qu'on se sente concerné par chacun des personnages. Je m'investis dans chacun d'eux, comme si j'étais un acteur et je doive les jouer, tous en même temps.
Fluidité, vérité, intensité des sentiments, authenticité, et puis je m'attache à communiquer essentiellement avec l'inconscient de mon lecteur, comme si je m'adressais intimement à lui.
Donc, fluidité, ça me fait très très plaisir !
Quant au côté très visuel, ça doit correspondre à mon fonctionnement, je suis plasticien, je travaille beaucoup sur l'aspect visuel, j'ai besoin de visualiser chaque scène, savoir qui est où, quand deux personnes interagissent, comment elles sont placées, etc. On m'a déjà dit que l'aspect visuel était très présent lors de mes précédents romans, et il y a une personne qui travaille sur le cinéma, qui me disait que ça se prêtait très facilement à la mise en scénario. C'est quelqu'un qui a utilisé mon premier opus pour son mémoire de maîtrise en cinéma. Et j'ai eu l'occasion de lui montrer des passages de celui-ci, cette personne m'a confirmé : malgré le changement total de genre, de registre, d'époque et ainsi de suite, on retrouve mon style et le côté très visuel, justement.
Bon, ça me fait bien plaisir, je ne regrette pas d'avoir posté un extrait, même si je vais probablement remanier celui-ci, en fonction de mes choix stratégiques.
Bon, j'y retourne, donc. Encore merci...
Dernière édition par ubik83 le 24/8/2016, 12:05, édité 1 fois
ubik83- Lieutenant-colonel
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Re: La bataille de Berlin.
Bonsoir Ubik,
De rien, c'est sincère.
Je fais du théâtre (plus trop maintenant a cause de mes études d'infirmier) et j'aime avoir sur le script un aperçu de la gestuelle des personnages, leurs emplacements, ..., et on retrouve ce trait dans tes écrits, donc "perfecto"
Bonne continuation
Guillaume
De rien, c'est sincère.
Je fais du théâtre (plus trop maintenant a cause de mes études d'infirmier) et j'aime avoir sur le script un aperçu de la gestuelle des personnages, leurs emplacements, ..., et on retrouve ce trait dans tes écrits, donc "perfecto"
Bonne continuation
Guillaume
Drapeaux blancs...
Hello, c'est re-moi, un point à vérifier :
Il me semble que quelqu'un (Himmler ? Goebbels ? Hitler ? A voir...) avait interdit de mettre des drapeaux blancs aux fenêtres. Je crois avoir lu, entendu, je ne sais plus... Bref, ça disait que si quelqu'un mettait un drapeau blanc à une fenêtre, on fusillerait tous les gens habitant dans cette rue. Quelqu'un pourrait-il me confirmer, voire nuancer cette affirmation ? Je suis incapable de me souvenir où j'ai trouvé ça, encore moins de dire ce que ça vaut.
Merci du coup de main... Je m'accroche, je sais que, ce chapitre terminé, je serai quasiment à la fin de mon roman. Tout finit toujours par arriver...
Il me semble que quelqu'un (Himmler ? Goebbels ? Hitler ? A voir...) avait interdit de mettre des drapeaux blancs aux fenêtres. Je crois avoir lu, entendu, je ne sais plus... Bref, ça disait que si quelqu'un mettait un drapeau blanc à une fenêtre, on fusillerait tous les gens habitant dans cette rue. Quelqu'un pourrait-il me confirmer, voire nuancer cette affirmation ? Je suis incapable de me souvenir où j'ai trouvé ça, encore moins de dire ce que ça vaut.
Merci du coup de main... Je m'accroche, je sais que, ce chapitre terminé, je serai quasiment à la fin de mon roman. Tout finit toujours par arriver...
ubik83- Lieutenant-colonel
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Feuille de route.
Hello everybody,
Je me demandais : si vous deviez imaginer un trajet cohérent, vous les feriez passer par où ?
Mes contraintes :
Point de départ : le quartier de Lichterfelde, plus exactement, la caserne SS dans la Finckensteinallée.
Arrivée probable : le quartier des ministères, aux abords du bunker d'Hitler, dans la Wilhelm Strasse.
... et, sans doute, un passage dans la Prinz Albrecht Strasse, au siège du RSHA - c'est là qu'ils vont rencontrer des membres de la SS Charlemagne.
Bon, la balle est dans votre camp. Si vous ne trouvez pas, ça n'a aucune importance : à terme, je finirai bien par retomber sur mes pattes.
Souhaitez-moi bon vent... je continue.
Paix à tous,
Une pensée pour mon ami Steven. Je suis certain que s'il savait que j'arrive vers la fin de ce roman, il serait content pour moi.
A suivre,
Je me demandais : si vous deviez imaginer un trajet cohérent, vous les feriez passer par où ?
Mes contraintes :
Point de départ : le quartier de Lichterfelde, plus exactement, la caserne SS dans la Finckensteinallée.
Arrivée probable : le quartier des ministères, aux abords du bunker d'Hitler, dans la Wilhelm Strasse.
... et, sans doute, un passage dans la Prinz Albrecht Strasse, au siège du RSHA - c'est là qu'ils vont rencontrer des membres de la SS Charlemagne.
Bon, la balle est dans votre camp. Si vous ne trouvez pas, ça n'a aucune importance : à terme, je finirai bien par retomber sur mes pattes.
Souhaitez-moi bon vent... je continue.
Paix à tous,
Une pensée pour mon ami Steven. Je suis certain que s'il savait que j'arrive vers la fin de ce roman, il serait content pour moi.
A suivre,
ubik83- Lieutenant-colonel
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Re: La bataille de Berlin.
Bonjour Ubik,
Je conseille vivement la lecture de "Berlin" de Théodor Pliever
https://fr.wikipedia.org/wiki/Theodor_Plievier
https://www.amazon.fr/Theodor-Plievier-Berlin-lallemand-Madeleine/dp/B0007HDYW2
Le livre retrace bien l'ambiance des derniers jours vécus par quelques personnes différentes dont un officier Allemand qui ne pourra jamais atteindre ses affectations successives à cause de l'avancée des Russes.
Phil
Je conseille vivement la lecture de "Berlin" de Théodor Pliever
https://fr.wikipedia.org/wiki/Theodor_Plievier
https://www.amazon.fr/Theodor-Plievier-Berlin-lallemand-Madeleine/dp/B0007HDYW2
Le livre retrace bien l'ambiance des derniers jours vécus par quelques personnes différentes dont un officier Allemand qui ne pourra jamais atteindre ses affectations successives à cause de l'avancée des Russes.
Phil
Phil642- Général (Administrateur)
- Nombre de messages : 7820
Age : 58
Localisation : La vie est Belge
Date d'inscription : 09/05/2006
Dernière ligne droite...
Merci beaucoup. Déjà, avec les infos sur Charlemagne, j'ai pas mal avancé. Je me méfie aussi de ma tendance à acheter des bouquins, que je n'ouvre pas toujours ensuite.
Je pense retomber sur mes pattes d'ici peu.
Après, j'enverrai tout ça à mon éditeur. J'ose à peine y croire.
Merci à tous ceux qui m'ont aidé. Ce fut un plaisir d'échanger avec vous...
Je vous tiens au parfum.
Je pense retomber sur mes pattes d'ici peu.
Après, j'enverrai tout ça à mon éditeur. J'ose à peine y croire.
Merci à tous ceux qui m'ont aidé. Ce fut un plaisir d'échanger avec vous...
Je vous tiens au parfum.
ubik83- Lieutenant-colonel
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Age : 65
Localisation : nullepart
Date d'inscription : 11/05/2010
Re: La bataille de Berlin.
Je n'ai pas lu le livre de Beevor. Quelqu'un pourrait me dire s'il signale le jour précis où les aérodromes de Gatow et Staaken, à Berlin, ont été investis par l'armée rouge ?
Re: La bataille de Berlin.
Apparemment, l'aérodrome de Staaken aurait été investi par l'armée rouge le 25 avril.
http://www.wikiwand.com/fr/Berlin-Staaken
http://www.wikiwand.com/fr/Berlin-Staaken
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