Yad Vachem .
2 participants
Page 1 sur 1
Yad Vachem .
Mémorial de Yad Vashem (יד ושם )
« Et je leur donnerai dans ma maison et dans mes murs un mémorial (Yad) et un nom (Shem) qui ne seront pas effacés ».
Ce mémorial consiste en plusieurs lieux :
une chambre de la mémoire,
un musée historique,
une galerie d'art,
des archives,
la « Vallée des communautés détruites »,
la salle des noms,
le mémorial des enfants,
et un centre éducatif.
En mars 2005, un nouveau bâtiment a été inauguré en présence de plusieurs chefs d'État et de gouvernement.
Des personnes qui ne sont pas de confession juive sont également honorées à Yad Vashem : les « Justes parmi les Nations ». Ils ont sauvé des Juifs pendant la guerre, souvent au risque de leur vie.
Les Justes sont déterminées selon les lois noahides. Il est à noter que le Talmud interdit aux chrétiens d'accéder aux lois noahides.
Tout un village français, Le Chambon-sur-Lignon, est honoré par un jardin et une stèle. Ses habitants avaient fait de leur village un refuge pour les Juifs fuyant les Nazis.
Yad Vashem condamne publiquement Pie XII en dépit du fait qu'il aurait indirectemnent sauvé jusqu'à 700 000 juifs.
Parmi les 20 000 non-juifs honorés comme « Juste parmi les Nations »:
Johan Benders
Rolande Birgy
Varian Fry
Marie-Rose Gineste
Hermann Friedrich Graebe
André Hammel
Georgette Hammel
Aristides de Sousa Mendes, consul portugais à Bordeaux.
Czesław Miłosz
Dorothea Neff
Jonas Paulavicius
Oscar et Emilie Schindler, industriel allemand.
Paul Ramadier, homme politique français, et sa femme Marguerite.
Suzanne Spaak
André Trocmé
Magda Trocmé
Père Jacques
Père Marie-Benoît, frère capucin
Raoul Wallenberg, diplomate suédois.
Johan Hendrik Weidner
« Et je leur donnerai dans ma maison et dans mes murs un mémorial (Yad) et un nom (Shem) qui ne seront pas effacés ».
Ce mémorial consiste en plusieurs lieux :
une chambre de la mémoire,
un musée historique,
une galerie d'art,
des archives,
la « Vallée des communautés détruites »,
la salle des noms,
le mémorial des enfants,
et un centre éducatif.
En mars 2005, un nouveau bâtiment a été inauguré en présence de plusieurs chefs d'État et de gouvernement.
Des personnes qui ne sont pas de confession juive sont également honorées à Yad Vashem : les « Justes parmi les Nations ». Ils ont sauvé des Juifs pendant la guerre, souvent au risque de leur vie.
Les Justes sont déterminées selon les lois noahides. Il est à noter que le Talmud interdit aux chrétiens d'accéder aux lois noahides.
Tout un village français, Le Chambon-sur-Lignon, est honoré par un jardin et une stèle. Ses habitants avaient fait de leur village un refuge pour les Juifs fuyant les Nazis.
Yad Vashem condamne publiquement Pie XII en dépit du fait qu'il aurait indirectemnent sauvé jusqu'à 700 000 juifs.
Parmi les 20 000 non-juifs honorés comme « Juste parmi les Nations »:
Johan Benders
Rolande Birgy
Varian Fry
Marie-Rose Gineste
Hermann Friedrich Graebe
André Hammel
Georgette Hammel
Aristides de Sousa Mendes, consul portugais à Bordeaux.
Czesław Miłosz
Dorothea Neff
Jonas Paulavicius
Oscar et Emilie Schindler, industriel allemand.
Paul Ramadier, homme politique français, et sa femme Marguerite.
Suzanne Spaak
André Trocmé
Magda Trocmé
Père Jacques
Père Marie-Benoît, frère capucin
Raoul Wallenberg, diplomate suédois.
Johan Hendrik Weidner
suite
Qu'est-ce qu'un "Juste parmi les nations" ?
On parle des "Justes", mais qu'est-ce exactement qu'un Juste ?
L'idée de « Justes des Nations » vient du Talmud (traité Baba Batra, 15 b). Au long des générations, il a servi à désigner toute personne non juive ayant manifesté une relation positive et amicale envers les Juifs.
Le Mémorial Yad Vashem décerne le titre de Juste des Nations aux non-Juifs qui pendant la Seconde Guerre mondiale et la Shoah ont aidé des Juifs en péril, au risque de leur propre vie, sans recherche d'avantages d'ordre matériel ou autre. Le titre de Juste des Nations est décerné sur la foi de témoignages des personnes sauvées ou de témoins oculaires et documents fiables
Ces "Justes parmi les nations" sont honorés à Yad Vashem, à Jérusalem.
« Et je leur donnerai, dans ma maison et dans mes murs, un mémorial (Yad) et un nom (Shem) qui ne seront pas effacés »
Bible, Isaïe 56
On parle des "Justes", mais qu'est-ce exactement qu'un Juste ?
L'idée de « Justes des Nations » vient du Talmud (traité Baba Batra, 15 b). Au long des générations, il a servi à désigner toute personne non juive ayant manifesté une relation positive et amicale envers les Juifs.
Le Mémorial Yad Vashem décerne le titre de Juste des Nations aux non-Juifs qui pendant la Seconde Guerre mondiale et la Shoah ont aidé des Juifs en péril, au risque de leur propre vie, sans recherche d'avantages d'ordre matériel ou autre. Le titre de Juste des Nations est décerné sur la foi de témoignages des personnes sauvées ou de témoins oculaires et documents fiables
Ces "Justes parmi les nations" sont honorés à Yad Vashem, à Jérusalem.
« Et je leur donnerai, dans ma maison et dans mes murs, un mémorial (Yad) et un nom (Shem) qui ne seront pas effacés »
Bible, Isaïe 56
suite
Nombre de survivants par pays
Pays
Nombre approximatif
de survivants
Albanie
1 800
Allemagne et Autriche
5 000 à 15 000
Belgique
26 000
Danemark,
7 200
France
plus de 200 000
Grèce
3 000 à 5 000
Hongrie
plus de 200 000
Italie
35 000
Lithuanie
1 000
Norvège
900
Pays-Bas
16 000
Pologne
25 000 à 45 000
Yougoslavie
5 000
Une partie importante de ces Juifs doit la vie à des "Justes".
Pays
Nombre approximatif
de survivants
Albanie
1 800
Allemagne et Autriche
5 000 à 15 000
Belgique
26 000
Danemark,
7 200
France
plus de 200 000
Grèce
3 000 à 5 000
Hongrie
plus de 200 000
Italie
35 000
Lithuanie
1 000
Norvège
900
Pays-Bas
16 000
Pologne
25 000 à 45 000
Yougoslavie
5 000
Une partie importante de ces Juifs doit la vie à des "Justes".
xszxq
Les critères de reconnaissance d'un "Juste"
Pour être un Juste, il faut :
Avoir apporté une aide dans des situations où les juifs étaient impuissants et menacés de mort ou de déportation vers les camps de concentration.
Le sauveteur était conscient du fait qu'en apportant cette aide, il risquait sa vie, sa sécurité et sa liberté personnelle (les nazis considéraient l'assistance aux juifs comme un délit majeur).
Le sauveteur n'a exigé aucune récompense ou compensation matérielle en contrepartie de l'aide apportée.
Le sauvetage ou l'aide est confirmé par les personnes sauvées ou attesté par des témoins directs et, lorsque c'est possible, par des documents d'archives authentiques.
L'aide apportée aux juifs par des non-juifs a revêtu des formes très diverses ; elles peuvent être regroupées comme suit :
Héberger un juif chez soi, ou dans des institutions laïques ou religieuses, à l'abri du monde extérieur et de façon invisible pour le public.
Aider un juif à se faire passer pour un non-juif en lui procurant des faux papiers d'identité ou des certificats de baptême (délivrés par le clergé afin d'obtenir des papiers authentiques).
Aider les juifs à gagner un lieu sûr ou à traverser une frontière vers un pays plus en sécurité, notamment accompagner des adultes et des enfants dans des périples clandestins dans des territoires occupés et aménager le passage des frontières.
Adoption temporaire d'enfants juifs (pour la durée de la guerre).
Pour être un Juste, il faut :
Avoir apporté une aide dans des situations où les juifs étaient impuissants et menacés de mort ou de déportation vers les camps de concentration.
Le sauveteur était conscient du fait qu'en apportant cette aide, il risquait sa vie, sa sécurité et sa liberté personnelle (les nazis considéraient l'assistance aux juifs comme un délit majeur).
Le sauveteur n'a exigé aucune récompense ou compensation matérielle en contrepartie de l'aide apportée.
Le sauvetage ou l'aide est confirmé par les personnes sauvées ou attesté par des témoins directs et, lorsque c'est possible, par des documents d'archives authentiques.
L'aide apportée aux juifs par des non-juifs a revêtu des formes très diverses ; elles peuvent être regroupées comme suit :
Héberger un juif chez soi, ou dans des institutions laïques ou religieuses, à l'abri du monde extérieur et de façon invisible pour le public.
Aider un juif à se faire passer pour un non-juif en lui procurant des faux papiers d'identité ou des certificats de baptême (délivrés par le clergé afin d'obtenir des papiers authentiques).
Aider les juifs à gagner un lieu sûr ou à traverser une frontière vers un pays plus en sécurité, notamment accompagner des adultes et des enfants dans des périples clandestins dans des territoires occupés et aménager le passage des frontières.
Adoption temporaire d'enfants juifs (pour la durée de la guerre).
Re: Yad Vachem .
Très interessant, ca m'a permis de compléter mes connaissances dans ce sujet
_________________
dura lex sed lex
Reine- Général de Division
- Nombre de messages : 2582
Age : 38
Localisation : Nord
Date d'inscription : 16/04/2007
gse
Reine a écrit:Très interessant, ca m'a permis de compléter mes connaissances dans ce sujet
- Tant mieux tant mieux , c'est fait pour .
- On peux d'ailleur remarquer , dans la liste des non-juif honorer du titre de "juste" , Oskar et Emilie Shindler , les industriels allemand , dont le film "La liste de Schindler" reprend l'histoire de cette époque , A+ .
Reine- Général de Division
- Nombre de messages : 2582
Age : 38
Localisation : Nord
Date d'inscription : 16/04/2007
Re: Yad Vachem .
- Autre lien , pour ceux que ca intérresse :
http://www.yadvashem-france.org/
- A+ .
http://www.yadvashem-france.org/
- A+ .
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
|
|