PRISONNIERS DE GUERRE
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Kalendeer
Winston
naze
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GRENADIER VOLTIGEUR
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PRISONNIERS DE GUERRE
Salut à tous je cherche des rgt sur les prisonniers de guerre français de 40 ???
GRENADIER VOLTIGEUR- Caporal-chef
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Re: PRISONNIERS DE GUERRE
nombres d'entre eux ont servi a l'effort de guerre allemand dans des fermes allemands en Allemagne ou en Prusse orientale, et certains ont travaillé dans des usines. Grâce a des accords en le gouvernement de Vichy et la gouvernement allemand, certains ont été rapatrié en France, en priorité les pères de familles et les plus agés
Re: PRISONNIERS DE GUERRE
Y'en a qui sont partis en Allemagne pour le STO
naze- Capitaine
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Re: PRISONNIERS DE GUERRE
Ce n'étaient pas des prisonniers de guerre, mais des civils (pour rappel le STO avait remplacé le service militaire).
Winston- Adjudant
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Re: PRISONNIERS DE GUERRE
Deux STO devaient remplacer 1 prisonnier de guerre. On a tenté de vendre ça aux français pour les faire partir plus facilement...
Les prisonniers, après avoir été rassemblés, étaient répartis dans des Stalags pour les hommes du rang et des Oflags pour les officiers.
Les hommes du rang devaient travailler, en particulier dans l'agriculture, la construction (briqueteries, routes...). Ils pouvaient s'ils le souhaitaient changer de statut pour devenir travailleurs volontaires. Dans ce cas, ils étaient integrés au STO avec des situations plus faciles, mais c'était un choix assez mal vu, qui s'est un peu répandu à mesure que la guerre avançait et que les hommes en avaient assez de la captivité.
Les officiers, eux, n'avaient pas l'obligation de travailler et avaient des hommes du rang pour se charger de leurs tâches quotidiennes.
La vie culturelle dans les camps était assez riche au début de la guerre, avec beaucoup d'ateliers de peinture, des troupes de théâtre (dont certaines firent des tournés dans les stalags) et toute une tradition de décoration de menus. Cela permettait de combattre un peu l'ennui. Plus tard, les ressources se sont faites plus maigres et l'art a peu à peu était abandonné.
La vie religieuse était aussi assez intense : parmi les ouvrages d'arts trouvés dans les camps, beaucoup avaient des sujets religieux. Des groupes spirituels se formaient pour discuter, de même que des rassemblements universitaires, si bien que les prisonniers pouvaient bénéficier d'une formation (parfois avec examens à la clef) au camp.
On pratiquait aussi pas mal de sport, mais là aussi ça c'est beaucoup réduit avec la réduction des rations, les hommes étant plus facilement fatigués. A partir du moment où l'Allemagne a manqué de ravitaillement, les paquets de la Croix Rouge ont constitué la majeure partie de la nourriture des prisonniers.
Dans les camps, juifs et indigènes étaient traités de manière inférieure : conditions plus dures pour les seconds, obligations de porter l'étoile jaune pour les premiers. Les juifs se retrouvèrent souvent ostracisés, parfois même maltraités par leurs camarades français. Ils ne furent cependant pas déportés (par intervention de Pétain ? Le responsable était précisé à l'expo, mais je ne me souviens plus de qui c'était, donc si quelqu'un peut me corriger...).
Le courrier était acheminé par la Croix Rouge. On retrouvait les prisonniers à Genèvre grâce à un système de fiche : le pays qui faisait prisonnier avait obligation de fournir une liste des prisonniers et des informations standards (régiment, entre autre), informations que les services de la Croix Rouge croisaient ensuite avec les lettre des familles pour établir le contact. On trouvait non seulement un bureau pour les soldats français (colonies comprises), mais aussi pour tous les pays engagés.
La quantité de ligne autorisé était strictement règlementée, ainsi que le nombre de lettres et de colis par mois. Les familles envoyaient généralement de la nourriture et des vêtements, les prisonniers des lettres et parfois des jouets fabriqués sur place pour leurs enfants. Evidemment toute lettre passait à la double censure, rendant l'acheminement assez lent.
Tous les camps n'offraient pas le même traitement à leurs prisonniers. Certains étaient très durs en raison des conditions climatiques (marais, froid ou manque d'eau) et étaient réservés aux fauteurs de troubles ou aux évadés récidivistes.
Source : Exposition "Prisonniers de Guerre", centre sur la résistance et la déportation de Lyon.
Les prisonniers, après avoir été rassemblés, étaient répartis dans des Stalags pour les hommes du rang et des Oflags pour les officiers.
Les hommes du rang devaient travailler, en particulier dans l'agriculture, la construction (briqueteries, routes...). Ils pouvaient s'ils le souhaitaient changer de statut pour devenir travailleurs volontaires. Dans ce cas, ils étaient integrés au STO avec des situations plus faciles, mais c'était un choix assez mal vu, qui s'est un peu répandu à mesure que la guerre avançait et que les hommes en avaient assez de la captivité.
Les officiers, eux, n'avaient pas l'obligation de travailler et avaient des hommes du rang pour se charger de leurs tâches quotidiennes.
La vie culturelle dans les camps était assez riche au début de la guerre, avec beaucoup d'ateliers de peinture, des troupes de théâtre (dont certaines firent des tournés dans les stalags) et toute une tradition de décoration de menus. Cela permettait de combattre un peu l'ennui. Plus tard, les ressources se sont faites plus maigres et l'art a peu à peu était abandonné.
La vie religieuse était aussi assez intense : parmi les ouvrages d'arts trouvés dans les camps, beaucoup avaient des sujets religieux. Des groupes spirituels se formaient pour discuter, de même que des rassemblements universitaires, si bien que les prisonniers pouvaient bénéficier d'une formation (parfois avec examens à la clef) au camp.
On pratiquait aussi pas mal de sport, mais là aussi ça c'est beaucoup réduit avec la réduction des rations, les hommes étant plus facilement fatigués. A partir du moment où l'Allemagne a manqué de ravitaillement, les paquets de la Croix Rouge ont constitué la majeure partie de la nourriture des prisonniers.
Dans les camps, juifs et indigènes étaient traités de manière inférieure : conditions plus dures pour les seconds, obligations de porter l'étoile jaune pour les premiers. Les juifs se retrouvèrent souvent ostracisés, parfois même maltraités par leurs camarades français. Ils ne furent cependant pas déportés (par intervention de Pétain ? Le responsable était précisé à l'expo, mais je ne me souviens plus de qui c'était, donc si quelqu'un peut me corriger...).
Le courrier était acheminé par la Croix Rouge. On retrouvait les prisonniers à Genèvre grâce à un système de fiche : le pays qui faisait prisonnier avait obligation de fournir une liste des prisonniers et des informations standards (régiment, entre autre), informations que les services de la Croix Rouge croisaient ensuite avec les lettre des familles pour établir le contact. On trouvait non seulement un bureau pour les soldats français (colonies comprises), mais aussi pour tous les pays engagés.
La quantité de ligne autorisé était strictement règlementée, ainsi que le nombre de lettres et de colis par mois. Les familles envoyaient généralement de la nourriture et des vêtements, les prisonniers des lettres et parfois des jouets fabriqués sur place pour leurs enfants. Evidemment toute lettre passait à la double censure, rendant l'acheminement assez lent.
Tous les camps n'offraient pas le même traitement à leurs prisonniers. Certains étaient très durs en raison des conditions climatiques (marais, froid ou manque d'eau) et étaient réservés aux fauteurs de troubles ou aux évadés récidivistes.
Source : Exposition "Prisonniers de Guerre", centre sur la résistance et la déportation de Lyon.
Re: PRISONNIERS DE GUERRE
Kalendeer a écrit:Le courrier était acheminé par la Croix Rouge. On retrouvait les prisonniers à Genèvre grâce à un système de fiche : le pays qui faisait prisonnier avait obligation de fournir une liste des prisonniers et des informations standards (régiment, entre autre), informations que les services de la Croix Rouge croisaient ensuite avec les lettre des familles pour établir le contact.
Est-ce que la Croix Rouge possède encore ses listes de prisonniers ?
P'tit Simon- Commandant
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Re: PRISONNIERS DE GUERRE
je crois pas non, il me semble qu'elles ont été détruite une fois touts les prisonniers rentré dans leurs pays respectifsP'tit Simon a écrit:Kalendeer a écrit:Le courrier était acheminé par la Croix Rouge. On retrouvait les prisonniers à Genèvre grâce à un système de fiche : le pays qui faisait prisonnier avait obligation de fournir une liste des prisonniers et des informations standards (régiment, entre autre), informations que les services de la Croix Rouge croisaient ensuite avec les lettre des familles pour établir le contact.
Est-ce que la Croix Rouge possède encore ses listes de prisonniers ?
Re: PRISONNIERS DE GUERRE
tu as tout dit et y'a pas de fautesKalendeer a écrit:Deux STO devaient remplacer 1 prisonnier de guerre. On a tenté de vendre ça aux français pour les faire partir plus facilement...
Les prisonniers, après avoir été rassemblés, étaient répartis dans des Stalags pour les hommes du rang et des Oflags pour les officiers.
Les hommes du rang devaient travailler, en particulier dans l'agriculture, la construction (briqueteries, routes...). Ils pouvaient s'ils le souhaitaient changer de statut pour devenir travailleurs volontaires. Dans ce cas, ils étaient integrés au STO avec des situations plus faciles, mais c'était un choix assez mal vu, qui s'est un peu répandu à mesure que la guerre avançait et que les hommes en avaient assez de la captivité.
Les officiers, eux, n'avaient pas l'obligation de travailler et avaient des hommes du rang pour se charger de leurs tâches quotidiennes.
La vie culturelle dans les camps était assez riche au début de la guerre, avec beaucoup d'ateliers de peinture, des troupes de théâtre (dont certaines firent des tournés dans les stalags) et toute une tradition de décoration de menus. Cela permettait de combattre un peu l'ennui. Plus tard, les ressources se sont faites plus maigres et l'art a peu à peu était abandonné.
La vie religieuse était aussi assez intense : parmi les ouvrages d'arts trouvés dans les camps, beaucoup avaient des sujets religieux. Des groupes spirituels se formaient pour discuter, de même que des rassemblements universitaires, si bien que les prisonniers pouvaient bénéficier d'une formation (parfois avec examens à la clef) au camp.
On pratiquait aussi pas mal de sport, mais là aussi ça c'est beaucoup réduit avec la réduction des rations, les hommes étant plus facilement fatigués. A partir du moment où l'Allemagne a manqué de ravitaillement, les paquets de la Croix Rouge ont constitué la majeure partie de la nourriture des prisonniers.
Dans les camps, juifs et indigènes étaient traités de manière inférieure : conditions plus dures pour les seconds, obligations de porter l'étoile jaune pour les premiers. Les juifs se retrouvèrent souvent ostracisés, parfois même maltraités par leurs camarades français. Ils ne furent cependant pas déportés (par intervention de Pétain ? Le responsable était précisé à l'expo, mais je ne me souviens plus de qui c'était, donc si quelqu'un peut me corriger...).
Le courrier était acheminé par la Croix Rouge. On retrouvait les prisonniers à Genèvre grâce à un système de fiche : le pays qui faisait prisonnier avait obligation de fournir une liste des prisonniers et des informations standards (régiment, entre autre), informations que les services de la Croix Rouge croisaient ensuite avec les lettre des familles pour établir le contact. On trouvait non seulement un bureau pour les soldats français (colonies comprises), mais aussi pour tous les pays engagés.
La quantité de ligne autorisé était strictement règlementée, ainsi que le nombre de lettres et de colis par mois. Les familles envoyaient généralement de la nourriture et des vêtements, les prisonniers des lettres et parfois des jouets fabriqués sur place pour leurs enfants. Evidemment toute lettre passait à la double censure, rendant l'acheminement assez lent.
Tous les camps n'offraient pas le même traitement à leurs prisonniers. Certains étaient très durs en raison des conditions climatiques (marais, froid ou manque d'eau) et étaient réservés aux fauteurs de troubles ou aux évadés récidivistes.
Source : Exposition "Prisonniers de Guerre", centre sur la résistance et la déportation de Lyon.
Re: PRISONNIERS DE GUERRE
catone67 a écrit:je crois pas non, il me semble qu'elles ont été détruite une fois touts les prisonniers rentré dans leurs pays respectifsP'tit Simon a écrit:Kalendeer a écrit:Le courrier était acheminé par la Croix Rouge. On retrouvait les prisonniers à Genèvre grâce à un système de fiche : le pays qui faisait prisonnier avait obligation de fournir une liste des prisonniers et des informations standards (régiment, entre autre), informations que les services de la Croix Rouge croisaient ensuite avec les lettre des familles pour établir le contact.
Est-ce que la Croix Rouge possède encore ses listes de prisonniers ?
Donc, il existe aucun moyen de retrouver l'endroit ou était un prisonnier ?
P'tit Simon- Commandant
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Re: PRISONNIERS DE GUERRE
essaye au secretariat general des armées (SGA) ou aux archives de arméesP'tit Simon a écrit:catone67 a écrit:je crois pas non, il me semble qu'elles ont été détruite une fois touts les prisonniers rentré dans leurs pays respectifsP'tit Simon a écrit:Kalendeer a écrit:Le courrier était acheminé par la Croix Rouge. On retrouvait les prisonniers à Genèvre grâce à un système de fiche : le pays qui faisait prisonnier avait obligation de fournir une liste des prisonniers et des informations standards (régiment, entre autre), informations que les services de la Croix Rouge croisaient ensuite avec les lettre des familles pour établir le contact.
Est-ce que la Croix Rouge possède encore ses listes de prisonniers ?
Donc, il existe aucun moyen de retrouver l'endroit ou était un prisonnier ?
Re: PRISONNIERS DE GUERRE
Merci ! Je vais essayer !
P'tit Simon- Commandant
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Localisation : Sur la Ligne Maginot
Date d'inscription : 20/11/2006
le lien pour retrouver les PG français .
Voila le lien .
http--gallica.bnf.fr-ark-12148-bpt6k57440691.image.langFR.r=liste%20des%20prisonniers%20de%20guerre
http--gallica.bnf.fr-ark-12148-bpt6k57440691.image.langFR.r=liste%20des%20prisonniers%20de%20guerre
GRENADIER VOLTIGEUR- Caporal-chef
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Date d'inscription : 07/08/2008
Re: PRISONNIERS DE GUERRE
Kalendeer a écrit:Deux STO devaient remplacer 1 prisonnier de guerre. On a tenté de vendre ça aux français pour les faire partir plus facilement...
Il y a une confusion: ce système d'échange entre prisonniers en Allemagne et ouvriers s'est appelé la "Relève",négociée par Pierre Laval. L'échange devait se faire entre trois travailleurs pour un prisonnier, et non deux pour un. Devant son peu de succès, elle a été remplacée par le STO (Service du Travail Obligatoire) qui, lui, était du travail forcé, sans contrepartie.
Les "STO" n'étaient donc pas comme les travailleurs volontaires, quoique, si l'on en croit ce qu'en dit François Cavanna dans son roman "Les Russkoffs", ils effectuent souvent les mêmes tâches et vivent dans les mêmes conditions. Les STO n'apprécient pas ces "collabos". Ils ont néanmoins un meilleurs salaire et, plus jugés plus fiables car volontaires, sont souvent mieux vus de la hiérarchie allemande qui lui confient de menues responsabilités.
La vie culturelle dans les camps était assez riche au début de la guerre, avec beaucoup d'ateliers de peinture, des troupes de théâtre (dont certaines firent des tournés dans les stalags) et toute une tradition de décoration de menus. Cela permettait de combattre un peu l'ennui. Plus tard, les ressources se sont faites plus maigres et l'art a peu à peu était abandonné.
Pour préciser: les officiers, selon les conventions de Genêve, ne sont pas astreints au travail. Pour occuper leurs(longues!) journées, ils mettent en place nombre d'activités diverses (artisanat, théatre, cours et formations diverses).
Pour les sous officiers et soldats, ils auront de moins en moins de temps libres. Ils sont peu à peu distribués dans l'industrie et l'agriculture allemande où les journées de travail sont longues et épuisantes. Ils ne vivent plus dans des camps de prisonniers, mais dans des camps de travailleurs proches des usines, plus ou moins mêlés aux autres travailleurs forcés (prisonniers d'autres nations, travailleurs requis) ou chez l'habitant. Les Stalags se transforment de plus en plus en entités administratives ne faisant que "suivre" les prisonniers qui y sont répertoriés, pour les distributions de courrier, suivi sanitaire, etc.
Chef Chaudard- Adjudant
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Age : 64
Localisation : Ile de France
Date d'inscription : 29/05/2012
Re: PRISONNIERS DE GUERRE
Bonjour.Juste pour compléter, les soldats prisonniers, et assujettis au travaux , notamment en industrie, pour suppléer
la main d'oeuvre manquante, faisaient du lundi au samedi le 2X12 h( une semaine le matin , et une semaine l'après-midi)
Source: mon beau-père (décédé) qui a été prisonnier 5 ans en Allemagne .
Amicalement,
le ronin.
la main d'oeuvre manquante, faisaient du lundi au samedi le 2X12 h( une semaine le matin , et une semaine l'après-midi)
Source: mon beau-père (décédé) qui a été prisonnier 5 ans en Allemagne .
Amicalement,
le ronin.
_________________
....La véritable personnalité d'un homme ne se dévoile qu'au feu, tout le reste n'est que littérature.....
Semper fidelis .
le ronin- Police militaire (Modérateur)
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Age : 72
Localisation : Dans l'Hérault, cong!
Date d'inscription : 25/06/2008
Prisonniers de guerre
Mon oncle a été prisonnier à partir du 14 mai 40 jusqu'à la fin de la guerre. Il étai dans un offlag (pour ceux qui ont vu la grande évasion ) car il était officier. Il a été relativement bien traité
Hans Schulmaster- Adjudant
- Nombre de messages : 96
Age : 72
Localisation : Vimeu
Date d'inscription : 14/01/2016
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