Nouveautés HistoQuiz
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Bonjour,
Nombreuses mise en ligne
Pacte germano-soviétique et concept de guerre impérialiste : un sacrilège ?
Sur la pleine « Page trois » du Monde des 10-11 décembre 2006, intitulée « Quand le PCF négociait avec les nazis », le journaliste Michel Lefebvre s’appuie sur « les travaux des historiens » pour stigmatiser les errements relatifs à la demande de reparution de L’Humanité de juin 1940 et réviser à la baisse « le rôle du PCF dans la Résistance ». L’une et l’autre questions méritent une analyse plus approfondie que la citation d’un texte à la « syntaxe approximative » ou la référence à une sélection arbitraire de « fusillés ». Elles nécessiteraient un recours large aux « travaux des historiens »...
Le Calvaire de la République de Weimar
Malgré la fascination exercée par Hitler sur les foules germaniques, malgré le dynamisme des chefs nazis et le caractère outrageusement démagogique de leur propagande, le " phénomène hitlérien " n'aurait pu s'affirmer en Allemagne avec une rapidité aussi foudroyante si le terrain politique et social de l'époque n'avait pas été de nature à favoriser l'éclosion d'une idéologie qui ne tardera pas à se révéler néfaste.
La République de Weimar était née au lendemain de la grande guerre, dans le chaos d'une révolution improvisée et manquée. Cette République impopulaire était la mal aimée de la nation, depuis la base jusqu'au sommet de la pyramide sociale.
Les gens du peuple la supportaient tant bien que mal. Mais la haute bourgeoisie lui était franchement hostile, de même que les chefs militaires, les gradés, voire les hommes de troupe (ceux du moins qui avaient survécu aux closes du traité de Versailles réduisant à quelque 100 000 hommes les effectifs de l'armée). Dès lors, étant donné l'hostilité populaire et l'anarchie larvée, il apparaissait clairement que le régime républicain, déjà vacillant, était condamné à moyen terme. D'autant plus que bientôt la propagande nazie, profitant d'un contexte politique exceptionnellement favorable, commencera à faire des ravages. Diverses catégories sociales y seront particulièrement sensibles, car le langage des agitateurs nazis ne fait qu'exprimer bien souvent les convictions refoulées d'un grand nombre de citoyens allemands...
La chute de Mussolini
Le 25 juillet 1943, le roi Victor Emmanuel III nomme le maréchal Badoglio chef du gouvernement avec les pleins pouvoirs militaires. Mussolini apprend la décision lors d’une réunion avec le roi, il est arrêté à l’issue de cette entrevue.
La fin de Mussolini se fit dans l’indifférence générale même auprès des fascistes les plus durs. La majorité des Italiens lassés de la guerre souhaitent sortir du conflit par n’importe quel moyen, la confiance envers Mussolini et le régime était en chute libre. Les Italiens étaient convaincus que les puissances de l’Axe ne pourraient plus gagner et que le territoire national serait bientôt envahit par les alliés. Des grèves en mars 43 ouvrent une crise sociale qui montre l’assise de la propagande anti-fasciste. Ces grèves n’ont rien changés, au contraire la situation s’aggravait et la répression se fit plus dure, pourtant il était clair que des grèves pourraient éclater de nouveau dans les zones industrielles et gagner les zones rurales.
La bourgeoisie industrielle prit peur de ces grèves, la menace d’une reprise de la lutte des classes se faisait sentir. L’industrie avait fait de gros profit en ces mois de guerre mais en raison de la gravité de la situation économique l’argent ne rentrait plus aussi facilement. Les capitaines d’industrie et de la finance prennent leurs distances avec le régime et souhaitent une paix séparée. Ceux qui mènent la Confindustria (l’équivalent de notre medef) contribuent à créer une atmosphère favorable à un coup d’état...
La comtesse Hélène de Portes...ou des ragots qui sévissent en histoire…
Née Hélène Rebuffel, fille d’un patron de chantier naval marseillais, épouse séparée du comte Jean de Portes, la comtesse est généralement présentée comme la « maitresse » de Paul Reynaud et aurait été son « égérie » aux néfastes influences en particulier durant les heures difficiles de mai-juin 1940, le poussant au défaitisme.
On trouve ainsi, toujours de nos jours, ce genre de littérature :
« 16 juin 1940. La France est en guerre et la situation des armées, désespérée. Le gouvernement s'installe à Bordeaux. Paul Reynaud, président du Conseil, loge sa maîtresse, la comtesse Hélène de Portes, dans un somptueux appartement qu'elle entreprend de redécorer. Paul Reynaud est veuf. On le dit très épris de Mme de Portes. Cependant, celle-ci souhaite l'armistice. Lui demeure, avec de Gaulle, qu'il a nommé sous-secrétaire d'Etat, favorable à la poursuite de la guerre, partisan d'une union franco-anglaise. Il prône en outre un regroupement provisoire de l'armée en Afrique du Nord. Rapidement, pourtant, Paul Reynaud changera d'avis. De Gaulle n'aura d'autre choix que l'envol vers Londres...
La vie des Français sous l’occupation.
Le premier septembre 1939, la Seconde Guerre mondiale est déclarée suite à l’invasion de la Pologne par Hitler. En moins de trois ans, l’Allemagne nazie prend le contrôle presque total de l’Europe en lui imposant sa politique antisémite. C’est le 10 mai 1940 qu’Hitler lance une offensive contre la France : en quelques semaines celle-ci est battue. Cela entraîne la signature de l’armistice du 22 juin 1940, demandé par Pétain. Le territoire français est partagé entre une zone Nord occupée par les nazis et une Zone Sud, administrée par Vichy. Pétain, qui est à la tête de l’État Français, propose alors d’entrer dans la Collaboration.
La guerre terminée, de nombreux auteurs décident de relater les évènements passés en France pour éviter qu’ils tombent dans l’oubli. Pour cela, nous avons décidé de travailler sur le mémoire de l’occupation Allemande dans la littérature française. Ces œuvres littéraires que nous avons choisies ne sont pas toutes écrites à la même période. Elles datent de pendant la guerre, très peu de temps après la guerre et d’aujourd’hui. Mais ce sont aussi différents genres de livres, il y a des romans autobiographiques (majoritairement), des romans biographiques et des romans...
Maurice Bavaud, héros inconnu ?
Rares ou inexistantes sont en France, et ailleurs, les mentions de la tentative d'assassinat (sa 3ème) du Suisse romand Maurice BAVAUD contre Hitler, la veille de la Nuit de Cristal 1938, à Munich, face à toute la nomenklatura nazie et qu’il a payée de 18 mois de tortures à la prison de Berlin- Plötzensee puis d’un simulacre de procès et d’une exécution à la guillotine sur ordre personnel du Führer.
Que se serait-il passé s'il avait réussi ?...
Les jeunes filles allemandes « enrôlées » sous la bannière nazie de 1923 à 1945
La BDM ou « Bund Deutscher Mädel (in der Hitlerjugend) », « Ligue des filles allemandes », est véritablement née en juin 1930, même si des bureaux étaient déjà actifs à Berlin en février de la même année.
En 1923 exista une ébauche de cette future organisation sous l’appellation « Mädchenschaften », aussi connue sous le nom de « Schwesternschaft der Hitlerjugend » (Confédération des filles de la Hitlerjugend) qui rejoignit la BDM en 1930.
La BDM, destinée aux jeunes filles de 14 à 18 ans, comprenait également la « Confédération des jeunes filles » ou « Jungmädelbund », pour les 10 à 13 ans. En 1938 une nouvelle branche sera créée: la BDM/Werk « Glaube und Schöneit » (Foi et Beauté), pour les filles âgées de 17 à 21 ans.
Le Parti National Breton dans le Morbihan
Debauvais est arrivé à Rennes le 22 juin 1940. Mordrel l'a rejoint le 1er juillet. Avec Marcel Guyesse, fils de l'ancien député de Lorient, et Celestin Lainé, chef du "Service Spécial", formation paramilitaire du P.N.B. d'avant 1939, fraichement évadé de la prison de Clairvaux, ils formèrent le "Comité exécutif du Conseil National Breton" (C.N.B.) et Debauvais fut désigné pour en être le président.
La première décision de ce comité fut de convoquer un congrès le 3 juillet à Pontivy dans le château des Rohan, prêté par l'occupant...
La rafle en Presqu’Ile de Crozon du 30 juin 1944
Pendant l'occupation allemande, les actions de résistance sont nombreuses en Presqu'île de Crozon.
Il s'agit d'actes isolés ou d'opérations préparées par des groupes organisés. Des véhicules réquisitionnés par les Allemands sont détruits ; des câbles téléphoniques, souvent posés à même le sol, sont très fréquemment coupés et la voie ferrée endommagée. (1) Les occupants prennent des mesures de répression individuelles ou collectives : réquisition d'hommes pour des, gardes diurnes et nocturnes, arrestations et sanctions diverses. Ainsi, à la fin de l'année 1941, des câbles ayant été sectionnés à trois reprises sur son territoire, la commune de Crozon se voit lourdement punie. Elle est contrainte, par ordre de la Feldkommandantur de Quimper, de « consigner entre les mains des autorités allemandes, (...) une somme de 60 000 francs à titre de garantie contre de nouveaux actes de sabotage ». (2) Cependant, ni les mesures coercitives, ni les efforts de toute nature demandés à une population éprouvée par les années de guerre, n'empêchent la poursuite des actions de résistance...
Bonne lecture
Cordialement
Nombreuses mise en ligne
Pacte germano-soviétique et concept de guerre impérialiste : un sacrilège ?
Sur la pleine « Page trois » du Monde des 10-11 décembre 2006, intitulée « Quand le PCF négociait avec les nazis », le journaliste Michel Lefebvre s’appuie sur « les travaux des historiens » pour stigmatiser les errements relatifs à la demande de reparution de L’Humanité de juin 1940 et réviser à la baisse « le rôle du PCF dans la Résistance ». L’une et l’autre questions méritent une analyse plus approfondie que la citation d’un texte à la « syntaxe approximative » ou la référence à une sélection arbitraire de « fusillés ». Elles nécessiteraient un recours large aux « travaux des historiens »...
Le Calvaire de la République de Weimar
Malgré la fascination exercée par Hitler sur les foules germaniques, malgré le dynamisme des chefs nazis et le caractère outrageusement démagogique de leur propagande, le " phénomène hitlérien " n'aurait pu s'affirmer en Allemagne avec une rapidité aussi foudroyante si le terrain politique et social de l'époque n'avait pas été de nature à favoriser l'éclosion d'une idéologie qui ne tardera pas à se révéler néfaste.
La République de Weimar était née au lendemain de la grande guerre, dans le chaos d'une révolution improvisée et manquée. Cette République impopulaire était la mal aimée de la nation, depuis la base jusqu'au sommet de la pyramide sociale.
Les gens du peuple la supportaient tant bien que mal. Mais la haute bourgeoisie lui était franchement hostile, de même que les chefs militaires, les gradés, voire les hommes de troupe (ceux du moins qui avaient survécu aux closes du traité de Versailles réduisant à quelque 100 000 hommes les effectifs de l'armée). Dès lors, étant donné l'hostilité populaire et l'anarchie larvée, il apparaissait clairement que le régime républicain, déjà vacillant, était condamné à moyen terme. D'autant plus que bientôt la propagande nazie, profitant d'un contexte politique exceptionnellement favorable, commencera à faire des ravages. Diverses catégories sociales y seront particulièrement sensibles, car le langage des agitateurs nazis ne fait qu'exprimer bien souvent les convictions refoulées d'un grand nombre de citoyens allemands...
La chute de Mussolini
Le 25 juillet 1943, le roi Victor Emmanuel III nomme le maréchal Badoglio chef du gouvernement avec les pleins pouvoirs militaires. Mussolini apprend la décision lors d’une réunion avec le roi, il est arrêté à l’issue de cette entrevue.
La fin de Mussolini se fit dans l’indifférence générale même auprès des fascistes les plus durs. La majorité des Italiens lassés de la guerre souhaitent sortir du conflit par n’importe quel moyen, la confiance envers Mussolini et le régime était en chute libre. Les Italiens étaient convaincus que les puissances de l’Axe ne pourraient plus gagner et que le territoire national serait bientôt envahit par les alliés. Des grèves en mars 43 ouvrent une crise sociale qui montre l’assise de la propagande anti-fasciste. Ces grèves n’ont rien changés, au contraire la situation s’aggravait et la répression se fit plus dure, pourtant il était clair que des grèves pourraient éclater de nouveau dans les zones industrielles et gagner les zones rurales.
La bourgeoisie industrielle prit peur de ces grèves, la menace d’une reprise de la lutte des classes se faisait sentir. L’industrie avait fait de gros profit en ces mois de guerre mais en raison de la gravité de la situation économique l’argent ne rentrait plus aussi facilement. Les capitaines d’industrie et de la finance prennent leurs distances avec le régime et souhaitent une paix séparée. Ceux qui mènent la Confindustria (l’équivalent de notre medef) contribuent à créer une atmosphère favorable à un coup d’état...
La comtesse Hélène de Portes...ou des ragots qui sévissent en histoire…
Née Hélène Rebuffel, fille d’un patron de chantier naval marseillais, épouse séparée du comte Jean de Portes, la comtesse est généralement présentée comme la « maitresse » de Paul Reynaud et aurait été son « égérie » aux néfastes influences en particulier durant les heures difficiles de mai-juin 1940, le poussant au défaitisme.
On trouve ainsi, toujours de nos jours, ce genre de littérature :
« 16 juin 1940. La France est en guerre et la situation des armées, désespérée. Le gouvernement s'installe à Bordeaux. Paul Reynaud, président du Conseil, loge sa maîtresse, la comtesse Hélène de Portes, dans un somptueux appartement qu'elle entreprend de redécorer. Paul Reynaud est veuf. On le dit très épris de Mme de Portes. Cependant, celle-ci souhaite l'armistice. Lui demeure, avec de Gaulle, qu'il a nommé sous-secrétaire d'Etat, favorable à la poursuite de la guerre, partisan d'une union franco-anglaise. Il prône en outre un regroupement provisoire de l'armée en Afrique du Nord. Rapidement, pourtant, Paul Reynaud changera d'avis. De Gaulle n'aura d'autre choix que l'envol vers Londres...
La vie des Français sous l’occupation.
Le premier septembre 1939, la Seconde Guerre mondiale est déclarée suite à l’invasion de la Pologne par Hitler. En moins de trois ans, l’Allemagne nazie prend le contrôle presque total de l’Europe en lui imposant sa politique antisémite. C’est le 10 mai 1940 qu’Hitler lance une offensive contre la France : en quelques semaines celle-ci est battue. Cela entraîne la signature de l’armistice du 22 juin 1940, demandé par Pétain. Le territoire français est partagé entre une zone Nord occupée par les nazis et une Zone Sud, administrée par Vichy. Pétain, qui est à la tête de l’État Français, propose alors d’entrer dans la Collaboration.
La guerre terminée, de nombreux auteurs décident de relater les évènements passés en France pour éviter qu’ils tombent dans l’oubli. Pour cela, nous avons décidé de travailler sur le mémoire de l’occupation Allemande dans la littérature française. Ces œuvres littéraires que nous avons choisies ne sont pas toutes écrites à la même période. Elles datent de pendant la guerre, très peu de temps après la guerre et d’aujourd’hui. Mais ce sont aussi différents genres de livres, il y a des romans autobiographiques (majoritairement), des romans biographiques et des romans...
Maurice Bavaud, héros inconnu ?
Rares ou inexistantes sont en France, et ailleurs, les mentions de la tentative d'assassinat (sa 3ème) du Suisse romand Maurice BAVAUD contre Hitler, la veille de la Nuit de Cristal 1938, à Munich, face à toute la nomenklatura nazie et qu’il a payée de 18 mois de tortures à la prison de Berlin- Plötzensee puis d’un simulacre de procès et d’une exécution à la guillotine sur ordre personnel du Führer.
Que se serait-il passé s'il avait réussi ?...
Les jeunes filles allemandes « enrôlées » sous la bannière nazie de 1923 à 1945
La BDM ou « Bund Deutscher Mädel (in der Hitlerjugend) », « Ligue des filles allemandes », est véritablement née en juin 1930, même si des bureaux étaient déjà actifs à Berlin en février de la même année.
En 1923 exista une ébauche de cette future organisation sous l’appellation « Mädchenschaften », aussi connue sous le nom de « Schwesternschaft der Hitlerjugend » (Confédération des filles de la Hitlerjugend) qui rejoignit la BDM en 1930.
La BDM, destinée aux jeunes filles de 14 à 18 ans, comprenait également la « Confédération des jeunes filles » ou « Jungmädelbund », pour les 10 à 13 ans. En 1938 une nouvelle branche sera créée: la BDM/Werk « Glaube und Schöneit » (Foi et Beauté), pour les filles âgées de 17 à 21 ans.
Le Parti National Breton dans le Morbihan
Debauvais est arrivé à Rennes le 22 juin 1940. Mordrel l'a rejoint le 1er juillet. Avec Marcel Guyesse, fils de l'ancien député de Lorient, et Celestin Lainé, chef du "Service Spécial", formation paramilitaire du P.N.B. d'avant 1939, fraichement évadé de la prison de Clairvaux, ils formèrent le "Comité exécutif du Conseil National Breton" (C.N.B.) et Debauvais fut désigné pour en être le président.
La première décision de ce comité fut de convoquer un congrès le 3 juillet à Pontivy dans le château des Rohan, prêté par l'occupant...
La rafle en Presqu’Ile de Crozon du 30 juin 1944
Pendant l'occupation allemande, les actions de résistance sont nombreuses en Presqu'île de Crozon.
Il s'agit d'actes isolés ou d'opérations préparées par des groupes organisés. Des véhicules réquisitionnés par les Allemands sont détruits ; des câbles téléphoniques, souvent posés à même le sol, sont très fréquemment coupés et la voie ferrée endommagée. (1) Les occupants prennent des mesures de répression individuelles ou collectives : réquisition d'hommes pour des, gardes diurnes et nocturnes, arrestations et sanctions diverses. Ainsi, à la fin de l'année 1941, des câbles ayant été sectionnés à trois reprises sur son territoire, la commune de Crozon se voit lourdement punie. Elle est contrainte, par ordre de la Feldkommandantur de Quimper, de « consigner entre les mains des autorités allemandes, (...) une somme de 60 000 francs à titre de garantie contre de nouveaux actes de sabotage ». (2) Cependant, ni les mesures coercitives, ni les efforts de toute nature demandés à une population éprouvée par les années de guerre, n'empêchent la poursuite des actions de résistance...
Bonne lecture
Cordialement
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