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Otto Rahn et Skorzeny et les trésors Français

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Message  st.ex. 21/5/2023, 14:50

Bonjour, et avant que vous m'interpellé, oui oui, Otto Rahn était bien le Indiana Jones que les américains on utiliser pour Holywood. Déjà Archéologue 1928, ou après comme il as été inspirer par Parcifal de Wagner, il s'est mis à la recherche du Trésor du Graal sacré ou celà? Chez nous tout celà.
Et que vient faire alors Le Oberst skorzeny dans l'histoire?
Et encore un second oui, pour ceux qui on entendu des rumeurs de leurs ancêtres résident à Renne le château et près du château de Monségur. Skorzeny en 1943 avec tout un bataillon on décortiquer chaque mètres carré pour retrouvé le Saint Graal, et en 1944, un hélicoptère (les allemands ne disposait pas de 36000 hélicoptères mais uniquement de quelques uns.).et l'un d'entre eux a survolé Renne le château en direction du château de Monségur. ou il se serait posé.....
https://worldwartwo.filminspector.com/2019/12/german-helicopters-of-world-war-ii.html

Donc ici ce ne sont pas des histoires de bataille, mais bien de la vie de tout les jours pendant cette période.
Après la version holywoodienne voici par écrit, suivant l'auteur Otto Rahn décédé en 1939 dans les Pyrénées.

st.ex.
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Message  st.ex. 21/5/2023, 23:15

Une grande mélancolie plane sur l'histoire
de la Provence et du Languedoc.

Un peuple y avait grandi qui n'avais pas disparu du monde pendant l'ère médiévale, mais un peuple de joyeux musiciens et disposant un léger hommage à la poésie, à l'architecture et à l'amour.
Mais ce peuple n'a pas servi la Croix, mais le Graal. Et ainsi il fut couvert de Croisades et noyé dans une mer de sang et de haine.
...............

croisade contre le Graal
L'histoire des Albigeois.

Au lieu d'un avant-propos : Notes

Il y a des livres qui racontes des histoires étranges au-delà de leur contenu à pouvoir les raconter : des histoires sur leurs créateurs et leur époque émergent. C'est dans la "Croisade contre le Graal" d'Otto Rahn le cas, un livre très remarquable qui est indissociable de l'histoire de la vie de son auteur. Otto Rahn est entré en contact avec Heinrich Himmler grâce à la première édition parue en 1933, qui, sur la base de ce travail, le nomme dans son
état major personnel. Une liaison qui s'est terminée en 1939 avec le suicide de l'auteur. Bien qu'il existe une biographie complète d'Otto Rahn (1), il convient de noter à propos de son destin tragique que après les anthroposophes et les rosicruciens maintenant encore de nouveaux Les auteurs mettent le chercheur du Graal Rahn devant leurs chariots, parfois comme Carriériste SS, parfois comme "chasseurs du trésor perdu". Tels les
représentations modifiées de la vérité historique rendent encore justice à la vie d'Otto Rahn, quiconque regarde de plus près les liens peut déterminer. Pour le lecteurs attentifs de ce livre peut-être l'occasion de découvrir par eux-mêmes pour aller à la recherche. Une recherche loin d'être facile, tout comme par exemple, d'un point de vue scientifique, les thèses d'Otto Rahn n'est plus tenable. Mais ce qui reste pour toujours est la poétique de Rahn
l'Enthousiasme pour le bon matériel et les mots auxquels vous pouvez littéralement succomber. Ce livre est comme un cadeau dans lequel le jeune Otto Rahn est tout à fait authentique - un passionné qui croyait fermement qu'il pourrait trouver le Graal dans les Pyrénées françaises. Un voyage dans le mythe du soleil noir.
Le résumé suivant est destiné à approfondir le sujet complexe du Graal : où se trouvent les racines de ce mythe, comment le matériel a-t-il été reçu et quel chemin a suivi le Graal par le national-socialisme.

"Le Saint Graal" est incontestablement l'un des mythes de l'Humanité. Un mythe, qui est déjà un mythe à cause de son grand âge ou réside un pouvoir mystérieux. Une force qui trouve toujours de nouveaux liaison à "ici et maintenant". En ce sens, vous pouvez suivant la définition du mythe : « C'est intemporel (tradition pure
à travers les siècles et à travers les systèmes sociaux) et en même temps la réactivation dans le présent. Le mythe du « toujours le même » est à véhiculer avec le « toujours nouveau » qui, selon le contexte culturel, nouveauté respective dans laquelle le mythe lui-même c'est manifesté. »(2)

Vers l'an 1210, Wolfram von Eschenbach (templier) a mis fin à ses jours Versepos "Perceval" au château d'Odenwald Wildenberg près d'Amorbach. 600 ans plus tard, la tradition allemande de transmission du Graal est soutenue par la musique de Richard Wagner, qui a utilisé ce matériau dans son « Bühnenweihespiel Parsifal » après avoir cessé de travailler sur un drame bouddhique. Joachim-Ernst Berendt, co-fondateur du Südwestfunk, souligne que cet opéra a plus d'affinité avec la Bhagavadgita indienne qu'avec le traditionnelle point de vue européen et que les tentatives d'interprétation ce travail est toujours insatisfaisant tant qu'il n'est que compris par les chrétiens.(3) Otto Rahn fournit le motif musical du Graal Le livre de Wagner "Croisade contre le Graal" en prévision, il est intéressant de noter qu'il souhaite qu'une nouvelle édition soit Notez que la citation doit être omise.(4)
Gerhard von dem Borne mène à travers les racines et les effets du Graal en Europe : « Par ce travail, il [Wagner]
tout ce qu'il a dit dans le contexte de l'histoire humaine pourrait dire […]. Le seuil du XXe siècle s'est ainsi dégagé pour l'avenir : l'Europe chrétienne porte en soi le pouvoir spirituel de connaissance par lequel le Graal la
sagesse sous-jacente pour montrer la voie vers le siècle à venir. Et ce chemin ne ramène pas au passé.(5)

Cette progression, qui est l'essence du mythe, s'incarne également dans les racines très différentes du graal. La première preuve littéraire du Graal, le roman de Chrétien de Troyes "Perceval", est apparu avant Wolfram von Eschenbach (6) et le soi-disant « Grand Saint Graal » du chevalier Robert de Boron. (7) Selon diverses interprétations, la première peut représenter les racines païennes de la légende du Graal, la seconde les racines chrétiennes plus connues.
Robert de Boron a traité ce qui restait de son fragment d'Œuvres la légende chrétienne (8) sur le riche marchand Joseph d'Arimathie, qui était un disciple secret de Jésus. Avec un gobelet il a attrapé le sang du crucifié, et dans les évangiles est mentionné que ce Joseph demanda le corps de Jésus à Pilate afin de pouvoir l'enterrer dans sa propre tombe. d'Après chrétien L'interprétation est cette coupe qui a reçu le sang du Christ, le "Graal". Après la destruction de Jérusalem en l'an 70, Joseph s'enfuit de Arimathie de Palestine (9) pour fonder une nouvelle communauté chrétienne dans le nord. Et d'Après Boron, ce voyage s'est terminé en Grande-Bretagne.
On dit que Joseph a emporté le Graal avec lui. La légende raconte en outre qu'il aurait fondé une table pour douze personnes (comme la chanson Chevaliers de la table rondes goûtons voir....), comme une commémoration du dernier repas du Christ. La treizième place
à cette table était toujours rester vide, on l'appelait "la place dangereuse", car celui qui s'y asseyait, la place amenait la mort sauf pour celui qui atteindrait le Graal.
Après les autres Auteurs, Joseph d'Arimathie n'atteint l'Europe continentale et remet le Graal au soi-disant "Roi Pêcheur", celui avec une compagnie de partisans sur le Munsalvaesche, la montagne du salut, a érigé un temple pour le Graal. Ou sera créé par les Chevaliers du Graal pour défendre le Graal et de lui servir. Les chevaliers s'assoient à une table et mangent la nourriture, que le Graal leur offre comme un "petit set de table soi-même". Comme le roi pêcheur Amfortas mangeant les cuisses et les organes génitaux d'un blessé à travers une épée le "royaume" du Graal. Hors psychologiquement, ce roi malade et impuissant est une image de Dieu qui a besoin de renouvellement (10).
Cette lance qui a blessé Amfortas est avec la lance du légionnaire romain Longinus assimilé, le Christ sur
la croix percée. En plus de cette lance appartiennent à Chrétien l'épée magique et une plaque (11) à la présence du Graal.
Le « Perceval » de Wolfram von Eschenbach contient de nombreux égalités et les similitudes de ce matériau légendaire, mais l'importance de l'auteur est généralement plus élevée car son Perceval contient de nombreux éléments nouveaux et Wolfram se réfère clairement au tradition erronée de Chrétien de Troyes signale : "Ob
von Troys der meister Christjân disem maere hât unrecht getân, daz mac wol zürnen Kyôt, der uns diu rehten maere enbôt".

Wolfram von Eschenbach a suivi Otto Rahn, tout comme Heinrich Schliemann a suivi le grec Homère jusqu'à Troie.
Bien ici ce n'est même pas la peine de me demander ce qui est écrit en (je ne connait pas la langue), ou du moins, avoir une idée, ici Rahn ce genre de texte, qui surement avait été écrit, par de vieux Chevaliers, du moins ce qui savait écrire, et encore, si cela provient de Wolfram von Eschenbach, ben cela ne m’étonnerait pas, puisque d'après les dirent, Wolfram était un illettré. ou cela me parait réellement en tant que du vieux allemands.
Ce que je peut déchiffré "Si de Troyes le maître Christian......"
Ainsi l'écrivain de cette phrase, parle de Christian de Troyes

https://www.francetvinfo.fr/culture/patrimoine/histoire/des-manuscrits-medievaux-de-chretien-de-troyes-sauves-par-miracle-arrivent-a-la-bnf_5197600.html

ici vous avez un exemple écrit par Chrétien de Troyes soit l'écriture du temps des templiers. et qui parle du conte du Graal.

Et là je m'arrête avec ses notes, et je vais passer de suite à la chasse. Mais ici vous serez au courant de quoi parle l'histoire. Et bien sûr suivant quel écrit, Otto Rahn c'était basé pour ses recherches.

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Message  st.ex. 22/5/2023, 01:59

ah ben voilà, la réel traduction de cette phrase incompréhensible en langue allemande.
Wolfram von Eschenbach nous fait savoir que » le Seigneur Kyot, le maître
bien connu, le vrai conte de fées du Graal à été remmené de Provence sur les terres allemandes, et que Christian de Troyes (l'auteur de Perceval le gallois ou le conte du graal) a fait tort au conte."

Ah ben atchoum alors, oui cela provenait bien de von Eschenbach.....

Et encore plus claire:
https://www.renneslechateau.nl/2012/02/03/otto-rahn/

Et si il y'as des aficionados chercheur de trésor. moi ayant vue une multitude de reportage sur Rennes le château et du trésor de l'Abbé Saulnières. Warning, oui pour les personnes qui ne son pas au courant, Interdiction formelle de détecter dans le village, avant d'autre chasseur de trésor on tenté leurs chances, et on fait tellement de dégâts, que sur la commune et surement aussi les alentours, avec la poêle a frire "bien sûr ici je parle du détecteur à métaux" il est interdit de faire des recherches, même de vouloir utiliser une pelle pour faire un trou dans le cimetière...
Donc vous voilà avertit, sinon la DRAC, elle s'occupera proprement de vous, en vous faisant passé par le Tribunal, et ou vous risquez une très forte amende, ici je parle d'amendes à cinq zéro derrière la virgule. Soit vous perdrez votre maison et tout ce que vous possédez... Donc ne faite pas de bêtises...

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Message  st.ex. 22/5/2023, 11:30

Bien alors pour connaître plus ce Indiana jones Allemand, ici oui bien sûr, identiquement comme pour la technologie de l'espace, et tout le reste, Hitler et Himmler pour avoir les lauriers, les on forcés à entrer dans leurs organismes, sinon ils non ils n'eurent aucune chance de pouvoir poursuivre leurs visions sur les recherches, et pour Otto Rahn, c'était l'archéologie, et comme Rahn pour entrer chez les SS de Himmler, parce que non plus n'importe qui entra chez les SS, et encore moins à l'état major personnel du Reichsführer des SS. (enfin c'était juste un titre, pour que Himmler puisse garder sous sa main, les trouvailles des archéologues.) Et d'autant plus que en 1935, Himmler créa son organisme Ahnenerbe soit "Le patrimoine de ses propres ancêtres", qui cet Organisme géras et filtrait les personnes Allemande n'ayant pas d'ancêtre (150 ans de généalogie à prouvé), d'avoir des descendants Aryens Allemands. Bien sûr, il y'a eu des exceptions avec des chercheurs, ingénieurs,...... qui soit était mariée à une femme de la religion Juives, mais ses personnes là, plus tard pendant la guerre, déjà avant même, certains on envoyé leurs femmes dans les pays neutres, tandis que l'ingénieur, lui ne reçu aucune gratification sur ses inventions...., mais fut étroitement surveillé et encadré.... Et les autres, leurs femmes on atterris dans les camps, et leurs mari, furent forcé à continuer leurs travaux. La grande exception à la règle, ce fut Himmler lui même, avec ses ancêtres, ou furent établi un dossiers mentionnant que une de ses ancêtres était une sorcières brûlés....

Ainsi lors de son entrer chez les SS. Rahn inscrivit qu'il était né en 1904, que son père était officier de justice dans la ville de Mainz (Mayence), et que sa mère son nom de jeune fille était (Hamburger).

La mère de Rahn l'a initié très tôt aux romans du Graal et aux histoires de Perceval, Siegfried, etc. Le lieu de naissance de Rahn à Michelstadt était près de Marbourg-sur-Lahn, entre la Rhénanie et la Thuringe. Toute cette région était imprégnée de légende européenne. Rahn a écrit : "mes ancêtres étaient des païens et mes grands-parents étaient des hérétiques". Michelstadt est l'Odenwalt : la forêts d'Odin, le grand dieu du Nord, Oddhinn Alfaddir. C'est ici que le héros Siegfried, immortalisé par Wagner, le tueur de dragons de la saga Nibelung, sera assassiné. Michel est le païen christianisé Siegfried, d'où la dérivation du nom de Michelstadt, la ville de Michel le tueur de dragons. Rahn a dit : "Je suis donc venu d'un monde dans l'orbite du Graal. Perceval, Siegfried et Odhinn-Wotan ont été mes parrains".

A quelques lieues de là, Marbourg est l'ancien siège du célèbre
inquisiteur Conrad et fut un centre de répression de l'hérésie. L'odeur des bouchers n'était pas moins nauséabonde à Marbourg que dans le Midi de la France. Otto Rahn croyait qu'un certain nombre de ses ancêtres avaient été tués par Conrad et ses collègues inquisiteurs. Il obtient sa licence en 1924, suivant les cours de la faculté des lettres et de philologie, se spécialisant en histoire littéraire de la langue et des romans de la France méridionale. La thèse de Rahn s'intitulait « Aux Recherches du Maître Kyot de Wolfram von Eschenbach » consacrée en 1929 à l'auteur de Perceval, à Wagner et aux troubadours.

Il poursuit ses études aux universités de Giessen, et de Fribourg en Brisgau, avant de se décider pour une carrière d'écrivain et d'éditeur. Il poursuit ces études à Berlin et à Heidelberg, et, à partir de 1928, passe plusieurs années en Suisse (où il travaille à Genève comme professeur de langues et traducteur) et en France. Il aspire à devenir critique littéraire mais en 1930, les effets de la crise économique commencent à se faire sentir dans toute l'Allemagne. Pour survivre, Otto Rahn doit se contenter d'exercer toutes sortes de petits boulots :
serveur de cinéma, vendeur, correcteur, traducteur, figurant et scénariste pour l'industrie naissante de l'image parlante. Il avait 26 ans. Comme Perceval, il a été inspiré pour chercher le Graal à la source du sentiment traditionnel.

Donc ici rien que en parlant que sa mère l'avait initié à la lecture de Perceval, ici pour entrer chez Himmler, c'était déjà des points de gagné, puisque Himmler lui même était un fervent adorateurs des chevaliers du moyen âge, ce n'est pas pour rien que en 1934, il se rachète le château de Wewelsburg, et que après il le transforme en un sanctuaire pour les SS, en utilisant l'argent de diverse parti..

st.ex.
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Message  st.ex. 22/5/2023, 12:53

Et bien sûr:
Rahn en France

Parlant français et le patois langue d'oc, il se rendit en 1931 dans les Pyrénées méridionales françaises, après avoir séjourné quelque temps à Paris, en Provence, en Suisse, en Catalogne espagnole et en Italie. C'est le maigre salaire qu'il gagnait à Genève en enseignant l'allemand et le français qui le soutenait dans ces voyages.

En 1931, Rahn a fait une vaste exploration de la région de Montségur. Il explore les grottes de la région de Sabarthez, notamment Ornolac et la caverne massive de Lombrives . Ici se trouvait une immense chambre appelée par les habitants "la cathédrale". Il y avait une stalagmite appelée "Le Tombeau d'Hercule" et une autre appelée "L'Autel". Ces noms étaient ceux utilisés par Eschenbach. Rahn a également découvert que les chambres de Sabarthez étaient couvertes de symboles templiers, côte à côte avec des emblèmes cathares. Il y avait aussi une sculpture d'une lance, une lance saignante. Cela a beaucoup excité Hitler/Himmler. Otto Rahn est également tombé dans un vieux clan de poètes pyrénéens turbulents ("Les Seigneurs de Belisse") qui faisaient l'éloge de la grandeur et des mythes de l'Ariège et de l'existence du Graal pyrénéen.

Aucun des jeunes de la région ne s'intéressait aux mythes et légendes et c'est Rahn qui a lancé les discussions sur les trésors cachés et leur fier passé. Les locaux le qualifient de "séducteur doublé de croyant, d'éternel adolescent avec une passion surhumaine pour le Graal et la Tradition Hermétique". Selon le poète tarascon Jean-Baptiste Faure-Lacaussade, qui rencontra plusieurs fois Rahn en 1931, il avait une "grande, mais intelligence désordonnée" et était parfois trop rêveur pour faire un bon élève, mais poursuivait de manière obsessionnelle n'importe quel sujet. qui excitait son imagination. Faure-Lacaussade a également rappelé que Rahn parlait peu de son enfance et de sa jeunesse.

Paul Ladame déclare que c'est l'amour de Rahn pour Wagner qui l'a amené à étudier l'œuvre de Wolfram von Eschenbach, qui à son tour l'a attiré dans l'étude des Minnesingers (lyrique dans la langue du haut moyen âge en Allemands)et des Troubadours. Rahn a demandé à Ladame s'il l'accompagnerait dans l'exploration des grottes autour d'Ornolac en 1932. C'était à cause de l'expérience de Ladame dans la spéléologie et l'escalade ; Rahn n'a pas apprécié ces activités et les a endurées comme le prix à payer pour ses recherches. Ladame a appris les objectifs de Rahn: découvrir le secret du Graal qui, selon lui, unifierait l'Europe.

Parmi les autres contacts que Rahn et Ladame eurent dans la région figuraient M. Arnaud (dont Rahn se méfiait) et un homme connu de tous sous le nom de M. Rives mais dont le vrai nom, Ladame apprit plus tard, était Arthur Caussou. Paul Bernadac, grand-père de Christian Bernadac, auteur de "Le Mystère Otto Rahn : Du Catharisme au Nazisme" 1978, était un spéléologue enthousiaste s'intéressant à l'histoire locale. Rahn l'accompagna lors de plusieurs excursions en 1932. Paul se souvint que Rahn avait été brutalisé par Joseph Mandement, président du Syndicat d'Initiative de Tarascon-sur-Ariège, lorsqu'il avait surpris Rahn en train de falsifier des gravures cathares.

Selon plusieurs personnes, les théories de la croisade de Rahn provenaient directement de Gadal, qui n'a rien publié lui-même. Beaucoup de gens en voulaient à la reconnaissance superficielle de Gadal par Rahn et au fait qu'il faisait passer le travail de Gadal pour le sien. Gadal croyait que le catharisme dérivait d'une forme gnostique de christianisme - "johannique" - originaire d'Alexandrie au début des siècles de notre ère et introduite en Espagne par Marc de Memphis vers l'an 300. Il s'est progressivement répandu à travers les Pyrénées jusqu'en Occitan, où ça a fleuri. Les missionnaires "Bogomil" sont arrivés dans la région vers l'an 1000, ont fondé cette religion gnostique établie, et la fusion des deux a donné naissance au catharisme.

Le « christianisme johannique » était basé sur les enseignements de saint Jean l'Évangéliste, et on croyait que les Cathares possédaient la version originale de l'Évangile de Jean. M. Arnaud cherchait également cet évangile et a apparemment été financé dans sa recherche par la Société Théosophique Française. Arnaud croyait que l'Evangile était caché à Montségur. Lorsque Rahn lui a demandé comment il pouvait être si précis avec ses informations, Arnaud lui a dit qu'il ne pouvait pas élaborer parce qu'il faisait partie d'une société qui exigeait le silence de ses membres sur ces sujets. (Société secrète "les polaires").

À cette époque, il y avait une croyance répandue parmi l'aristocratie languedocienne selon laquelle, contrairement à la paysannerie, ils descendaient du sang nordique ou allemand et se considéraient comme des cousins ​​des Allemands. René Nelli pense qu'en lisant l'œuvre de Rahn, les nazis ont vu le potentiel d'exploitation de cette croyance. Il y a un mystère concernant les finances de Rahn. Lors de ses premiers séjours en France, on sait qu'il a peu d'argent, mais en mai 1932, il paie subitement 15 000 francs pour la première année d'un bail de 9 ans sur l'Hôtel-Restaurant des Marroniers à Ussat-les- Bains . Parmi son personnel, Rahn a noué une amitié particulière avec un barman noir.

Où a-t-il obtenu les fonds et pourquoi s'est-il encombré de cette responsabilité alors que Gadal et la vieille occultiste comtesse Pujol-Murat subvenaient largement à ses besoins en France ? Arnaud d'Apremont fait état d'excursions dans les environs où Rahn est accompagné d'un certain nombre de personnages peu recommandables, sorties dont le but semblait incompatible avec des recherches archéologiques sérieuses et savantes.

Rahn de retour en Allemagne et la publication de sa Dissertation du Graal

Rahn quitta la France en septembre 1932 et retourna en Allemagne, laissant diverses factures impayées. En octobre, un dépôt de bilan est déposé par Antoine Arques, propriétaire de l'hôtel-restaurant. Entre cet événement et 1935, il y a très peu d'informations relatives à la vie de Rahn, seulement les notices biographiques dans son dossier SS et 17 lettres qu'il a écrites à Gadal. Les extraits de son journal qui forment la base de Lucifer annoncent, le 31 mars 1933, son intention de voyager vers "Ultima Thule", mais les seuls lieux mentionnés sur cet itinéraire sont Londres et Copenhague.

Il a été suggéré que Rahn en France était dans les services secrets d'Otto Abetz qui dirigeait le Dienstelle (Bureau) Ribbentrop au début des années 1930, se livrant à l'espionnage pour influencer la politique française, se faisant passer pour un journaliste et un hôtelier. Encore une fois, il a eu faim. Rahn a écrit à Gadal disant qu'il avait dû laisser sa montre dans une boulangerie pour acheter du pain; que ses chaussures étaient pleines de trous. Cependant, le vent allait bientôt tourner.

En 1934, à la suite de ses recherches en bibliothèque et de ses études de terrain dans les Pyrénées, Rahn termine le jour du solstice d'été à Heidelberg "Kreuzzug gegen den Graal". Ce n'était pas un best-seller, se vendant à 5000 exemplaires en Allemagne et autant encore en France. Mais cela a profondément touché ceux qui y sont venus. Rahn a vu en Perceval que les héros d'Eschenbach étaient calqués sur de véritables personnalités du Moyen Âge : Perceval était le vicomte de Carcassonne Trencavel, l'une des premières et héroïques victimes de la Croisade ; Respanse de Joye était Esclarmonde de Foix; la mère de Trencavel Adélaïde de Toulouse a fait un parfait Herzeloide; l'ermite Trevrizent était l'évêque cathare Guilhabert de Castres ; le roi Anfortas, Raimon-Roger de Foix ; et Montségur était Montsalvage. Par ailleurs, Montsalvage est protégé par une Fontaine "Sauvetage" dans laquelle Rahn a cru reconnaître la fontaine intermittente de Fontestorbes, à quelques kilomètres du Pog, le promontoire de Montségur. Aussi, la forêt autour de Montsalvage s'appelle le "Briciljan" et tout près de Montségur se trouve le Bois Priscilien. Rahn a fermement conclu que le Château Forteresse de Montségur était le Temple du Graal.

Rahn associe l'Église cathare à l'Église du Graal, au groupe mystique Fideles d'Amour de Dante. Il croyait que les Templiers après leur dissolution forcée avaient trouvé refuge dans les cavernes pyrénéennes. Rahn a écrit des nombreuses indications que la tunique blanche à croix rouge octogonale des Templiers se trouvait avec les soutanes noires à croix jaune des Cathares dans les sombres grottes de Sabarthez.

Rahn croyait que le Graal se composait de plusieurs tablettes de pierre gravées d'inscriptions runiques ou même pré-runiques. Il croyait qu'il s'agissait soit d'une émeraude parfaite à 144 facettes, soit de 144 tablettes de pierre gravées dans l'émeraude. Cette émeraude aurait orné la Couronne de Lucifer, symbolisant son troisième œil, et qui est tombée à terre, précisément sur le Pog de Montségur ! "Kreuzzug gegen Gral" est à la fois un essai savant, un traité mystique, une rêverie et une chanson d'amour.

Arnaud d'Apremont écrit dans la préface de Luzifers Hofgesind (1937) que ce deuxième livre de Rahn est écrit dans un style plus idéologique, vaguement raciste, antisémite, en apparence national-socialiste. Cependant, des critiques plus perspicaces voient Rahn dans un dilemme, devant suivre la ligne du parti nationaliste, sucer la censure, et avoir été incapable d'écrire le texte complet, objectif et intégré qu'il aurait souhaité et qu'il a indiqué l'ironie de sa position dans le titre du livre. La suggestion ironique semble cependant peu probable car Rahn ne considérait pas Lucifer comme synonyme de Satan ou du diable; pour Rahn Lucifer était l'Abellio pyrénéen, le Belenos celtique, le Balder nordique, l'Apollon grec, tous des dieux lumineux aujourd'hui endormis. Les Cathares appelaient ce dieu Lucibel. Ce sont les porteurs de lumière, un attribut que Rahn, lui-même, souhaitait être reconnu pour : un Lucifer. Rahn souhaitait avant tout de toute son âme réveiller le grand rêve européen.

Pour Rahn, le Polaire, la Lumière ne venait pas de l'Est mais du Nord. Il parcourut les lieux antiques et sacrés d'Europe : la forêt de Teutobourg, scène de la victoire d'Arminius sur les légions romaines de Varus ; Externsteine, site d'Irminsul, symbole sacré des Saxons ; Thingveillir, lieu de rassemblement des anciens Islandais, et Reykholt, lieu de naissance de Snorri Sturlusson, l'Homère nordique et auteur de l' Edda .

La Cour de Lucifer est une expédition à travers le "jardin des roses", le terme affectueux de Rahn pour le royaume de l'elfe asgardien, Lorin, et un royaume fermé aux non-croyants ou aux non-initiés. Rahn rêve d'un retour à Thulé, le centre primordial des Hyperboréens européens. Il aspire à un retour à l'âge d'or.

Rahn dans les SS

Le 13 décembre 1933, Otto Rahn rejoint l'Association des écrivains allemands. Dans son dossier de candidature SS on lit que Rahn s'affirme "prêt à défendre sans réserve la littérature allemande conforme à l'esprit du national-socialisme". Christian Bernadac pense que Rahn avait été membre des Chemises brunes de Roehm.

À cette époque, Rahn avait une amie nommée Bricon, une collaboratrice de Daladier qui était venue en Allemagne pour tout savoir sur le national-socialisme. Le nom de guerre de Bricon pour ses écrits pour "La République" était Etienne. Rahn a vu le Nouvel An 1933 arrivé avec elle (selon une lettre qu'il a écrite à Antonin Gadal). En 1934, Rahn vit au solstice d'hiver en Italie à l'Albergo Alpino Plancios, Bressanone.

Le 29 février 1936, Karl Wolff, général de division SS, écrivit au bureau de recrutement SS pour transmettre l'instruction personnelle de Himmler d'admettre Rahn. Il fut accepté dans la SS le 12 mars 1936, et le mois suivant fut promu Untersharführer, rejoignant l'état-major de Himmler. Otto Rahn a rejoint l'Ordre Noir l'Allgemeine-SS (par opposition à la Waffen-SS, la branche combattante), membre 276 208.

Paul Ladame a rencontré Rahn lors des Jeux olympiques d'hiver en février 1936. Selon Ladame, Rahn a reçu un mystérieux télégramme alors qu'il séjournait à Paris en 1933, déprimé par ses difficultés à lever les fonds nécessaires à la publication française de Croisade. L'auteur n'a pas indiqué son nom mais a fait l'éloge de "Kreuzzug gegen den Graal" et a offert à Rahn 1000 DM par mois pour écrire une deuxième publication dans la même veine. En même temps, une somme fut télégraphiée à Rahn à Paris pour qu'il puisse y régler ses affaires et retourner à Berlin à une adresse indiqué. Lorsque Rahn s'est présenté au 7 Prinz Albrechstrasse, il a été surpris de découvrir que l'expéditeur secret du télégramme n'était rien de moins que Heinrich Himmler qui a personnellement accueilli l'écrivain ! Himmler a organisé un bureau et un secrétariat pour lui.

Le plaisir initial de Rahn face à son changement de fortune a rapidement fait place à des inquiétudes lorsqu'elle a réalisé la nature du régime sous lequel il devait travailler et l'examen constant sous lequel il se trouvait. En décembre 1936, le supérieur de Rahn fut arrêté et Ladame lui-même (qui avait tenté d'intervenir au nom de la femme de l'homme arrêté) se trouva sous surveillance. C'est en fait Rahn qui a reçu l'ordre de le surveiller, mais Rahn a prévenu son vieil ami et Ladame a quitté Berlin, ce qui était la dernière fois qu'il a vu Rahn. (Cela ne semble pas sonner vrai d'une manière ou d'une autre. C'est important parce que nous comptons largement sur Ladame pour les détails de la vie de Rahn).

Les opinions divergent sur le niveau d'engagement de Rahn pour la cause nazie. René Nelli et Paul Ladame pensent que son travail était tout simplement trop utile comme propagande pour les nazis, et a donc été coopté dans les SS - une offre qui ne pouvait être refusée. Christian Bernadac estime cependant que "Lucifer", qui, comme nous l'avons dit, porte un fil antisémite distinct, n'a pas été écrit sous les ordres comme certains le prétendent, mais qu'il était basé sur une exploration personnelle et mystique de la mythologie du Graal et, de plus, sur la base sur le journal de Rahn tenu avant, pendant et après son séjour en France. Bernadac estime que, de par leur contexte, les passages antisémites étaient présents dans le journal original.

Bernadac cite des documents rédigés par Rahn dans son dossier SS. Une note datée du 23 février 1936 s'intitule « Mon combat pour le IIIe Reich avant 1933 » et précise : « Avant la prise du pouvoir, j'avais écrit à l'étranger... un livre (La Croisade contre le Graal) et des articles qui représentent aujourd'hui un héritage de la pensée nationale-socialiste..." Lorsque Bernadac a demandé à Faure-Lacaussade si Rahn était antisémite, il a répondu qu'il ne se souvenait pas que Rahn ait jamais parlé spécifiquement des Juifs, mais qu'il avait certainement des attitudes racistes envers les Arabes et les Noirs. Isabelle Sandy, écrivain et poète qui a vécu à Foix dans les années 1930, a dit à Bernadac que Rahn avait des «protecteurs» dans la région mais a refusé catégoriquement de les nommer. Elle a dit que Rahn était un admirateur d'Hitler mais qu'il ne considérait pas la guerre, en particulier avec la France, comme inévitable,

Lors de sa visite en France en 1932, Rahn était accompagné d'un individu nommé Nat Wolff. Cette personne voyageait avec un passeport américain et prétendait être en mission photographique pour le gouvernement américain. En effet, selon les dossiers de la police, Wolff a utilisé à différentes occasions deux passeports (indiquant des dates de naissance différentes), et a été soupçonné d'être un agent allemand, faisant finalement l'objet d'un arrêté d'expulsion par le ministre de l'Intérieur. Bernadac pense que cela aurait pu être le nazi Karl Wolff.

Wolff était l'un des membres originaux des SS lors de sa formation en 1926. Il a été chargé de cultiver des individus et des groupes sympathiques aux nazis, d'abord en Allemagne et plus tard à l'étranger. Il a été engagé dans ce travail jusqu'en 1933, date à laquelle il a été renvoyé en Allemagne en tant qu'assistant personnel de Himmler. Il devint chef d'état-major personnel de Himmler en 1936 et officier de liaison entre Hitler et Himmler en 1937. En 1943, il fut nommé chef des SS et de la police en Italie.

Pendant son temps avec le SS Rahn a remarqué que son téléphone était sur écoute et qu'il était espionné. Il avait pour ordre de livrer un livre à Himmler le 31 octobre 1937 et un autre en 1939. (Rahn aurait eu un filleul qui a été saisi par les SS). D'après les documents d'archives mis au jour par les recherches allemandes actuelles sur Otto Rahn, nous savons que Rahn a lu et donné des conférences au Dietrich-Eckart Club. Dietrich Eckart était le riche éditeur et co-rédacteur en chef d'un journal antisémite appelé "In Plain German". Eckart était également un occultiste engagé, un toxicomane, un maître de la magie et était membre de la Thule Society.

Eckart a eu une énorme influence sur Hitler qui lui a dédié Mein Kampf. Dans le récit d'une conférence du Dr Wolff Heinrichsdorf, nous lisons que Rahn a dit à son auditoire ravi que bien que les cathares soient morts depuis longtemps, leur esprit vivait, et que bien que les représentants du Christ (catholiques) puissent brûler des hommes et des femmes, ils se trompaient s'ils pensaient que dans ce faisant, leur dévotion et leur aspiration aux enseignements de Luzifer - "Le Porteur de Lumière" - périraient également. Le public a vu que cet esprit était devenu vivant, réel et rayonnant chez Otto Rahn, un descendant des anciens troubadours. Rahn a parlé de sa croyance en un monde d'esprit pur pour les serviteurs de Luzifer - par opposition à la peur de l'enfer - le Jéhovah négatif et l'enseignement juif. L'animateur de la soirée, Kurt Eggers, a clôturé la conférence en saluant "Luzifer,

Du 23 novembre au 21 décembre 1937, Rahn effectue le service militaire obligatoire avec le régiment Oberbayern, division SS-Totenkopf à Dachau. Il semble qu'il s'agissait d'une mesure disciplinaire selon une lettre au chef d'état-major du Reichsfuhrer-SS datée du 28 août 1937. Cette note indiquait que Rahn avait promis de s'abstenir de l'alcool pendant deux ans et avait promis de s'acquitter de sa prochaine affectation à Dachau pour sa conduite reprochable à Arolsen et que Rahn a amèrement regretté. Quelle était cette chose honteuse que Rahn a faite pour gagner une telle approbation des autorités SS ?

Le 29 février 1938, Karl Wolff écrivit une lettre étonnante au Bureau SS des questions raciales, l'informant que Rahn n'avait pas été en mesure de produire un certificat d'origine raciale, un certificat qui, selon cette lettre, était une exigence absolue pour devenir membre SS depuis le 1 Janvier 1935. La lettre de Wolff accorde à Rahn un mois de plus pour respecter cette règle. Même ainsi, rien dans le dossier de Rahn n'indique qu'un tel certificat ait été produit avant sa disparition plus d'un an plus tard. Fin 1938, Rahn passa deux mois de service à Buchenwald.
Ainsi ici avec la chronologie, on connait les endroits que il as visité en France....

st.ex.
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Message  st.ex. 26/5/2023, 22:44

Bien, mais je pense aussi, que certain d'entre les personnes qui lirons le sujet, ne comprendrons même pas, de quoi il est question, puisque un grand nombres de la jeunesse actuelle, saurons plus, comment fonctionne les SMS, mais ne savent rien des anciennes histoires. Alors Graal pour eux c'est kesako???

Ainsi, oui bien sûr, c'est déjà bien de savoir, que l'allemand as souhaité rechercher la relique, du moins suivre une piste, en pensant que il pourrait peut être trouvé des réponses plus probable, en suivant la piste des anciens chevaliers Templier. Et ici en son tant là, il l'avait bien aussi remarqué, que les jeunes n'était même plus au courant, ou intéressé par l'histoire de leurs régions locale.

Ainsi aussi, si il y' auras dans le futur, un seul jeune lecteur, qui est passionné en lisant ce récit, et pour identiquement, que ce jeune intéressé, ne se ridiculise pas à l'école, en étant obligé, de questionné son professeurs d'histoire.... Ainsi comme je suis contant aussi d'avoir trouvé une seconde source, qui parle aussi du Graal, parce que parler de Wagner et de suite intégré le récit sur les héros qui eux était des anciens chevalier templier, et laisser entrevoir, que ce récit, pourrait être le récit ultime, qui livrera le Graal, si on le suit à la lettre????

Et ici ce second livre ancien, comme je vient d’énumérer, il date de quand?
Alors voyons voir:
Mon grand père avait juste 8 ans, lorsque le livre était parus, et ah oui, mon Grand père était née en 1890.
Ben oui, mon grand père était aussi née sous le régime de l'empire Prussien, qui depuis 1871, l'empereur Guillaume II, avait annexer mon Alsace sous son régime. Donc forcé à parler et à suivre les cours dans les écoles, en langue Allemande.

Donc voyons voir, ce qu'il nous raconte ce livre.

La Légende du Graal.

Joseph d'Arimathie était particulièrement apprécié depuis le développement de la chevalerie, à l'époque des croisades. Parce qu'on avait lu dans les évangiles qu'il avait été chevalier au service de Pilate et devait donc être considéré comme le plus ancien représentant chrétien de la nouvelle profession de chevalier.
L'Évangile de Nicodème, les Acta Pilatiy, qui est devenu si important pour l'art et la poésie au Moyen Âge, rapporte à son sujet que les Juifs l'ont emprisonné après l'enterrement du Christ jusqu'à ce que le Christ lui-même vienne à lui dans le cachot après sa résurrection et le libère par démantèlement des murailles14. De même est le récit de la Vindicta Salvatoris, la légende de la destruction de Jérusalem par Titus, l'instrument de la vengeance du Christ crucifié sur les Juifs. Un compilateur bien connu de cette deuxième légende a identifié Joseph d'Arimathie avec Josèphe Flavius, l'historien juif bien connu, dont Suétone raconte que Titus lui a donné la liberté de conquérir la ville.
Il est venu à l'idée que l'emprisonnement de Joseph avait duré jusqu'à ce jour, soit plus de 40 ans : selon son rapport, Titus retrouve Joseph encore vivant dans le cachot et apprend de lui que Dieu lui l'oublié, la maintenue en vie à travers de la nourriture céleste et réconfortée par la lumière céleste.15 Ce récit de la nourriture miraculeuse, qui n'est conservé que dans des sources plus récentes, n'était que suggestif. Comment imaginait-on l'alimentation ? Et comment cet autre récit, celui de la visite du Sauveur à Joseph, pourrait-il être concilié avec celui-ci ? Il y avait une issue facile. Un compilateur de la légende, familier des contes de fées, a pensé à un vase à souhaits, l'idée communément répandue d'un vase qui distribue à volonté de la nourriture et des boissons.
L'Ancien Testament parle de la veuve de l'inépuisable petit pot d'huile de Sarepta et de son interminable bol de farine. Maintenant, l'auteur a inséré un tel pot souhaitant l'intégré dans l'histoire. Et tandis qu'en même temps il combinait cela avec l'autre rapport de la visite du Christ à la prison de Joseph, il faisait remettre à ce dernier un récipient au prisonnier, qui à l'avenir lui donnerait à boire et à manger à sa guise. Ainsi s'expliquait le miracle du long emprisonnement et en même temps s'établissait l'unité entre les deux versions. Et la saga sous cette forme la plus originale peut être déduite d'un poème qui a été inclus dans le cadre d'un Romaneyclus plus long par le chevalier français spirituellement éduqué Robert de Borron dans le dernier tiers du XIIe siècle.16

Mais comment le Graal ainsi introduit dans la légende est-il devenu un symbole chrétien de la foi ? Comment en est-il venu à être identifié avec la relique du sang du Rédempteur, avec le souper et le calice ? Ce développement est né presque nécessairement de la tendance des écrivains médiévaux à combiner des choses apparentées. La coupe miraculeuse que le Christ apporta à Joseph avait ainsi acquis le caractère de sainteté. Le bol dans lequel le sang sacré du Christ aurait été recueilli lors de la crucifixion était et est toujours considéré comme un bol sacré et miraculeux : tant de monastères et de communautés spirituelles revendiquent encore la seule véritable relique pour eux-mêmes17. Joseph d'Arimathie, le possesseur du Graal miraculeux, avait participé utilement à la Descente de la Croix et il a été nommé comme l'un des gardiens du sang sacré.
Certes, il en résultait une contradiction : si Joseph lui-même avait déjà acquis ce bijou, pourquoi alors la visite solennelle du Christ en prison et la remise solennelle de ce don de grâce ? Mais le travailleur surmené n'a guère prêté attention à cette contradiction : il laisse Joseph oublier la relique du sang chez lui et ensuite, à son grand étonnement, reconnaît ses anciennes possessions dans le vase présenté par le Christ. Ainsi le Graal était aussi devenu une relique de sang.

Mais le développement continua. Il y avait un autre bol miraculeux, celui dans lequel l'agneau de Pâques avait reposé à l'institution de la Sainte Communion ; cette relique appartiendrait également à plusieurs endroits19. Ici, le consensus était encore plus grand. Le bol de la Sainte-Cène avait également fourni une merveilleuse nourriture sainte. Ce n'était donc qu'une étape nécessaire pour considérer ces deux bols comme un seul. Mais même cette deuxième connexion n'a pas été facile à établir.

Bien, alors ici nous apprenons, que il faudra suivre les pistes qui parle de Joseph D'arimathie.
Et ici celà nous indique déjà, que le Graal sacré, aura une forme d'un bol.(Oui, ici il n'y a pas si longtemps, dans un reportage sur l'histoire, je venais d'apprendre, que depuis les romains, et même déjà avant eux, enfin, chez nous en Alsace, le temps des Romains = -400 ans avant la naissance du christ, ainsi en quelle époque exacte la poterie a été inventé???). Ainsi oui pourquoi pas un bol en terre cuite, qui serai le plus probable.
maintenant la version de voir que un bol, serait sertit d'émeraude, et d'or et autre métaux précieux, cette version elle est juste bonne pour Hollywood. Puisque Jesus christ, il ne faut pas oublier, il est né dans une grange, suivant les saintes écritures, donc uniquement les romains, eux avait de la richesses, et je ne pense pas que malgré que il avait des dons pour guérir, pour apaisé les douleurs etc... maintenant croire, que le dieu le tout puissant, lui aurait transmit le don, pour que le bol en terre cuite se change en bol, sertit en métaux précieux, nada cette histoire, veut uniquement énumérer suivant la logique, que le contenu, du contenant était si précieux.

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Message  st.ex. 27/5/2023, 00:07

Mais cela n'est que le début, donc poursuivons:
L'éditeur l'a complété en insérant dans l'histoire qu'un Juif a trouvé le bol dans la maison où la Dernière Cène avait eu lieu et l'a apporté à Pilate (Pons Pilate n'es ce pas?), qui, cependant, l'a donné à Joseph avec le corps du Christ. "Après, lors de la Descente de la Croix, raconte l'interpolateur, Joseph s'est souvenu du bol de la Sainte-Cène et l'a récupéré chez lui pour y recueillir le sang du Rédempteur." Dans la forme la plus ancienne de la légende, il n'apparaissait que dans la scène principale, où le Christ rend visite au prisonnier et lui présente solennellement le vase à souhaits.Dans les versions ultérieures, il était déjà mentionné à la Descente de croix et avant cela à la Dernière Cène. Le Graal était aussi devenu le bol de la communion.

Comme nous l'enseignent les derniers romans du Graal, ce n'était pas la fin du développement du Graal en tant que symbole de la foi. Le Graal en tant que relique de sang était comparable au calice de communion, qui contenait également le sang du Seigneur. Ainsi, un troisième compilateur a vu dans le Graal le saint calice que tant de communautés prétendaient avoir à l'époque 20. le calice de la Communion doit comprendre par là. Ainsi le Graal est aussi devenu le calice de la communion.

Mais avec le fait que le Graal était devenu la coupe avec le saint agneau pascal et le calice avec le vin saint, une dernière relation importante s'est établie, celle avec le sacrement du sacrifice de la messe. L'oral était considéré à la fois comme la patène avec le corps et comme le calice avec le sang du Rédempteur. Mais de même que le sang du Christ, le calice, qui était réservé au prêtre, était plus haut que l'hostie, qui était également donnée au laïc, à la messe, ainsi le Graal comme calice supplantait de plus en plus le Graal comme coupe ; et cela était d'autant plus facilement possible que le sens originel du mot Gradal était depuis longtemps oublié.

Enfin, un poète a étroitement lié une autre relique sacrée au Graal : la lance avec laquelle, selon la légende, le soldat Longin avait poignardé le Seigneur au flanc avait laissé couler. Ainsi, dans toute la poésie du Graal ultérieure, le Graal est accompagné de la sainte lance.

Ainsi le simple joyau de conte de fées avait atteint la plus haute dignité par son inscription dans une légende chrétienne : à la fois vase à souhaits d'origine divine, relique du sang du Rédempteur et comme tel accompagné de la lance sainte, bol et coupe de communion, patène et le calice du sacrifice de la messe, symbole sextuple le plus sacré de la foi chrétienne.

C'est le Saint Graal et sa signification mystérieuse, c'est le récit de la façon dont Joseph d'Arimathie l'a reçu. Cette plus ancienne légende du Graal est devenue le point de départ d'un vaste cycle de légendes d'un genre particulier, qui raconte ce qui suit dans sa forme la plus ancienne accessible.
Joseph d'Arimathie, le propriétaire du Graal, après avoir été libéré de sa captivité de quarante ans, rassembla une petite communauté chrétienne, composée principalement de parents, et voyagea vers l'est avec eux pour y prêcher l'évangile aux païens. Il emportait le Graal avec lui dans un reliquaire. Une fois, alors qu'ils ne pouvaient plus y survivre, Joseph pria Dieu devant le Graal et reçut la réponse qu'il devait mettre le Graal découvert sur une table et laisser sa congrégation s'asseoir au même endroit : ainsi ils le feraient quotidiennement par la grâce de le Graal à nourrir. Sur cette table, qui devait être érigée pour commémorer la table de Sainte-Cène, Joseph devait laisser libre le siège à sa droite à la mémoire du Rédempteur. 22 Et cette place ne devait être occupée par personne jusqu'à Galaad fils d'Alain, le troisième et dernier gardien du Graal, le prendra. Dès lors, la congrégation de Joseph se réunit quotidiennement en dévotion autour du Graal et s'en nourrit. Certains furent exclus de cet hommage au Graal (service del graal) qui n'avaient pas la foi juste.Moïse, l'un d'eux, s'assit un jour par défi sur le siège vide, mais fut englouti par la terre. Joseph, sentant sa mort approcher, envoya d'abord, par ordre divin, Alain, fils de son beau-frère Bron, avec ses frères et sœurs mariés, y prêcher le christianisme. Il donna le Graal à son beau-frère Bron, le mari de sa sœur Enygeus, et lui confia le divin secret du Saint Graal. Bron a également traversé la mer vers l'ouest, accompagné du reste de l'église. Il devait garder le Graal jusqu'à ce que son petit-fils Galaad, le fils d'Alain, vienne à lui et soit le dernier à prendre en charge le Graal. Joseph est resté et y est mort. Mais en Grande-Bretagne, Bron et Alain arrive à lui et sons les dernier à prendre en main le Graal. Joseph est resté et est mort. Mais en Bretagne, Bron et Alain et les autres ont prêché la doctrine du Seigneur. Alain, qui était resté célibataire jusqu'à l'arrivé de Perceval, et a pris à travers un ordre divin une femme et a donné naissance à un fils par elle, Galaad.28 À la cour du roi britannique Uter Pendragon, le voyant Merlin a érigé une troisième tablette pour commémorer les tables de la Communion et du Graal.
C'était la fameuse Table Ronde, à laquelle participaient les meilleurs chevaliers du pays. Ici aussi, un espace a été laissé libre pour commémorer le Christ. Arthur a succédé à Uter Pendragon après sa mort. Lors de la première Pentecôte qu'il a tenue après son couronnement, deux miracles ont eu lieu. Le jeune Galaad est venu à la cour et a pris le siège vide qui lui était attribué. Et le Graal apparut, porté par des anges, et nourrit les Chevaliers de la Table Ronde, puis disparut à nouveau. Alors tout le monde est sorti pour trouver le merveilleux joyau. Mais seul Galaad y est parvenu. Il a retrouvé son grand-père Bron dans un château isolé. En mangeant, le Graal est apparu ? le vase avec le sang de l'Éternel, et toute la maison se prosterna devant la sainte relique? mais Galaad n'a pas compris tout cela et n'a pas osé demander le secret du Graal. Et le matin, il trouva le château désolé et vide. Après avoir beaucoup erré, Dieu l'y conduisit une deuxième fois, et maintenant il demanda. Bron lui confia le Graal et le Graal Secret 1 puis s'éteignit à la vue du vase sacré. Galaad a gardé les deux jusqu'à sa mort. Puis les anges l'ont porté avec le Graal jusqu'au ciel.

C'est la légende du Graal, l'histoire de l'illumination de la Grande-Bretagne à travers la lignée de Joseph d'Arimathie. Une double trinité maintient ensemble les différentes parties du cycle et crée une structure architecturale extérieurement artistique et solide. Trois gardiens du Graal, Joseph, Bron et Galaad, gardent le joyau issu du Christ. Trois tablettes du Graal se succèdent, la table de Communion avec le bol de l'agneau de Pâques, la table du Graal de Joseph et la table ronde du Roi Arthur.

Mais l'unité intérieure de la légende repose uniquement sur le Graal en tant que vase à souhaits, qui apparaît clairement comme le véritable porteur de l'ensemble. Comme Joseph en prison, les membres de son église vivent dans le désert par la grâce du Graal. Et le Graal donne également de la nourriture et des boissons aux chevaliers de la cour du roi Arthur, selon leurs souhaits. Mais elle semble déjà identifiée à la relique du sang et au bol de communion : car la table de communion est considérée comme la plus ancienne tablette du Graal, et la gemme des contes de fées a reçu le caractère de sainteté, de sorte que la grâce du Graal est égale à la grâce du Saint-Esprit et de même que le culte du Graal, la vénération d'une relique précieuse est prononcée. Et ses dons sont conçus comme plus spirituels que purement matériels, bien que le fait de l'alimentation corporelle ne soit pas contesté. Ainsi le Graal nous apparaît dans la splendeur de sainteté dans laquelle les écrivains de légendes le laissent briller, d'autant plus brillamment que le vase à souhaits du conte de fées.

Bien, ici comme on peut le voir, cela parle principalement de la fonction divine du contenu du Graal, pas du lieu, attention aux métaphores, qui laissent entendre certaine chose dans un récit, et qui dans la réalité disent autre chose, dans le même concept.
C'est bien connu, que telle par exemple, Admiral Canaris, lui même pour protégé sa vie privé, divisait son récit en diverses versions, quel était la réel, tous pourrais certifier, que leurs versions, était celle que Canaris leurs avait personnellement raconté.
Donc un mensonge uniquement pour sécurisé la vérité de l'histoire.
Ainsi oh oui, cela fait loin derrière moi, mes cours de catéchisme, ainsi vivement internet.

Huitième commandement

Tu ne témoigneras pas faussement contre ton prochain (Exode 20,16).

Le huitième commandement interdit de travestir la vérité dans les relations avec autrui. Cette prescription morale découle de la vocation du peuple saint à être témoin de son Dieu qui est et qui veut la vérité. Les offenses à la vérité expriment, par des paroles ou des actes, un refus de s’engager dans la rectitude morale ; elles sont des infidélités foncières à Dieu et, en ce sens, sapent les bases de l’alliance.
Ok, alors ici mentir avec les relation autrui, on est bien d'accord, cela fait partit des dix commandement, mais pas le mensonge sécurité pour sois même, ou mentir en racontant une variante de l'histoire, une nouvelle fois pour sécurisé.
Et ici il ne faut pas oublié, que il y avait des gardiens.....

Ainsi oui ici ou était ce lieu, ou fut entreposé le fameux Graal sacré?
ou du moins, ici une multitude de piste à suivre vont s'ouvrir, avec le récit de Joseph d'Arimethie.
On as lu la version des chevaliers de la Table ronde du Roi Arthur.
On as entendu parler, ou lu, une variante dans les montagnes, avec le roi pêcheur....
Ainsi aussi, pourquoi ou comment Otto Rahn, as t'il identifier les Pyrénées en tant que Lieu....
As t'il suivit l'histoire du roi pêcheur, et comme se trouve dans les Pyrénées un lac proche, etc... comme dans le récit.
demain les questions pour identifier le lieu....

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