News diverses

LSR a écrit:Sorry,
'Fin , c'est toujours mieux que d'être bouffé par un ours, je me répète, mais c'est que c'est violent ces petites bêtes; et ça n'engage pas volontiers le dialogue. Quelle idée de donner ça comme doudou à un gosse!? Je suis sûr qu'on ne commet pas cette erreur d'éducation au Canada! LeSieur, tu confirmes?

T'as quoi contre les gentils nounours? Cest pourtant mignon tout plein, d'après Nat'Géo !!! Remarque, un lion bien affamé, ou un croco dans les mêmes dispositions, je dirais pas, mais un pauvre nounours !!!

Et une baleine qui se vautre sur un voilier ?



http://info.sfr.fr/insolite/articles/baleine-du-cap-a-bien-atterri-sur-un-voilier,143898/

Miraculeusement, aucun des deux passagers du bateau n’a été blessé. La
bateau, par contre, n'en est pas sorti indemne: les dégâts s’élèvent à
13.000 dollars. La baleine, quant à elle, est repartie d'où elle était
venue: au fond de l'océan. (Source Europe1)

L'était certainement myope, le Moby dick, l'a dû confondre Voilier et Femelle, à moins qu'il ne roule à la voile et à la vapeur !!!
Ok, Je sors

40 milliardaires américains s'engagent à se délester de la moitié de leur fortune

Quarante milliardaires américains et leurs familles se sont engagés ce mercredi à verser la moitié de leur fortune à des organisations caritatives, dans le cadre d'une initiative lancée par les deux plus riches d'entre eux, Bill Gates et Warren Buffett.

Le fondateur de CNN Ted Turner, le maire de New York Michael Bloomberg, le co-fondateur d'Oracle Larry Ellison ou encore le réalisateur George Lucas font partie des richissimes personnalités qui ont été convaincues par le fondateur de Microsoft et le célèbre financier à la tête de la holding Berkshire Hathaway.

"Nous ne faisons que commencer, mais la réponse est déjà formidable", a commenté M. Buffett, même si selon les organisateurs, les promesses de dons ne sont pas pour l'heure synonymes d'obligation contractuelle.

MM. Gates et Buffett avaient annoncé à la mi-juin cette initiative visant à convaincre leurs pairs millionnaires et milliardaires de faire preuve de générosité. Selon le magazine Forbes, les deux hommes occupent respectivement la deuxième et la troisième place dans le classement des personnes les plus fortunées du monde.

M. Gates dispose d'une fortune évaluée à 53 milliards de dollars. Il a récemment perdu le statut d'homme le plus riche du monde au profit du géant des télécommunications mexicain Carlos Slim, doté de 53,5 milliards.

M. Buffett, 79 ans, qui dispose d'une fortune estimée à 47 milliards de dollars, a promis de se défaire de 99% de son capital pour en faire don à des oeuvres philanthropiques de son vivant ou à sa mort.

La plupart des généreux nouveaux donateurs sont des "self-made men" partis de rien, à l'image de M. Bloomberg, et possèdent un milliard de dollars ou plus. Un plus petit nombre d'entre eux sont issus de famille fortunées, comme David Rockefeller.

Les milliardaires américains, en disgrâce auprès de l'opinion depuis la crise financière de 2008, pourraient redorer quelque peu leur blason grâce à cette initiative.

Mais au-delà de cet aspect purement lié à l'image, leurs dons pourraient se traduire par des rentrées de fonds colossales pour les organismes caritatifs.

MM. Gates et Buffett entendent en effet ne pas s'arrêter là et obtenir des promesses de dons auprès de l'ensemble des 400 milliardaires américains répertoriés

AFP

Un hydravion historique va rallier les Etats-Unis à Berlin en passant par Bruxelles

BRUXELLES - Une réplique du premier hydravion construit par l'avionneur américain Sikorsky, le S-38, doit faire escale à Bruxelles le 3 septembre prochain, ont annoncé les organisateurs d'un vol commémoratif prévu entre les Etats-Unis et l'Allemagne pour marquer le 80ème anniversaire du premier vol de cet appareil.


Cet avion est une réplique du Sikorsky S-38 ayant appartenu en 1929 aux cinéates-explorateurs américains Martin et Osa Johnson, célèbres dans les années 1920 et 1930 pour avoir réalisé des dizaines de documentaires, notamment en Afrique et au Congo belge. Il a été utilisé dans le film "The Aviator", avec l'acteur Leonardo DiCaprio jouant le rôle du milliardaire Howard Hughes, précise l'association Unlimited Adventure sur son site internet.

Ce S-38 particulier, baptisé "Osa's Ark" (l'arche d'Osa) au fuselage tigré, doit quitter Minneapolis, dans le Minnesota (Etats-Unis), le 21 août, et traverser ensuite l'océan Atlantique en direction de la capitale allemande, que ses pilotes, l'Américain Thomas Schrade et l'Allemand Bruno Gantenbrink, comptent rallier en dix-sept jours.

Leur passage à Bruxelles est attendu, si tout se déroule comme prévu, au 14ème jour de leur périple transatlantique, soit le vendredi 3 septembre.

Au total, 118 Sikorsky S-38, souvent qualigiés de "Flying Yachts" ou de "Explorer's Air Yachts", ont été construits. Ils étaient équipés de deux moteurs Pratt & Whitney en étoile de 450 chevaux et pouvaient emmener six passagers - en plus des deux pilotes - à environ 200 km/h à un bon millier de kilomètres de distance.

http://www.lavenir.net/article/detail.aspx?articleid=239407754

Le studio Abbey Road a installé un webcam sur le fameux passage pour piétons qui a servi aux Beatles pour leur dernière pochette de disque. En 3 minutes de visionnage, vous tomberez à coup sûr sur un touriste qui imite le groupe pour l'objectif.

C'est vrai, je l'ai fait, il ne m'a fallut qu'une minute: http://www.abbeyroad.com/visit/

Les Beatles ont enregistré 90% de leurs albums au studio Abbey Road de Londres. Et si le studio est visité, c'est d'abord et avant tout pour approcher la légende du groupe de Liverpool.

Aux abords de ces mythiques locaux, c'est surtout le passage pour piétons du carrefour voisin qui a les faveurs des objectifs. Toutes les 5 minutes, un touriste y prend la pause, pieds écartés, mimant John, Paul, Ringo ou George.

Pour permettre à ces touristes de se revoir singeant leurs idoles, le Studio vient d'installer une webcam surplombant le carrefour et ses illustres lignes blanches. Le gadget vaut le détour: en 30 secondes, vous y observerez à tous les coups un vieux fan marchant en balançant les bras et écartant les jambes de la façon idoine. Le ballet des voitures autour de ces scarabées d'un jour vaut aussi le détour.

Et pour ceux qui n'auraient pu recharger l'appareil photo ou la caméra à cause des prises anglaises de leur hôtel, le Studio a pensé à tout. Sur le site, vous pouvez retrouver votre passage jusqu'à 24h après la périlleuse traversée entre les bus à étage. Votre moment y est imortalisé d'heure en heure, à l'heure de Big Ben, évidemment. Vous pouvez aussi poster votre capture d'écran dans le livre d'or, en ajoutant un mot que lira peut-être l'illustre Paul McCartney.

On imagine la même démarche en Belgique: des fans sous webcam feraient la file pour commander une fricadelle dans la même friterie que Sandra Kim... Moins glamour, mais tout aussi succulent!

http://www.lavenir.net/article/detail.aspx?articleid=DMF20100812_020

USA: enfants baptisés de noms nazis retirés à leurs parents

Un tribunal américain a décidé jeudi que trois enfants baptisés de noms d'inspiration nazie, et notamment le petit Adolf Hitler, devaient être retirés de la garde de leurs parents.

L'affaire avait été rendue publique en décembre 2008, lorsqu'un supermarché avait refusé de décorer un gâteau d'anniversaire avec le prénom d'un des enfants, aujourd'hui âgés de deux à quatre ans.

Les enfants, Adolf Hitler Campbell, JoyceLynn Aryan Nation Campbell et Honszlynn Hinler Jeannie Campbell, ont été placés dans une famille d'accueil en janvier 2009.

La décision de la cour d'appel du New Jersey remplace la décision d'une juridiction inférieure qui avait estimé qu'il n'y avait pas suffisamment d'éléments indiquant qu'il y avait eu maltraitance de la part des parents Heath et Deborah Campbell.

La cour d'appel a justifié sa décision de jeudi en soulignant que Heath Campbell, 37 ans, n'avait jamais eu d'emploi en raison de troubles médicaux et mentaux et qu'il était illettré. Sa femme, Deborah Campbell, 27 ans, souffre également, selon la cour, de troubles physiques et mentaux.

Des travailleurs sociaux avaient été envoyés dans la famille en décembre 2008 après des accusations de violences au sein du domicile, a également rappelé la cour.

Belga

Il me semble clair que l'addiction au nazisme ou à toute autre forme de d'extrémisme ne peut prendre forme que dans des troubles mentaux et en tout cas sociaux...

Phil642 a écrit:USA:
Il me semble clair que l'addiction au nazisme ou à toute autre forme de d'extrémisme ne peut prendre forme que dans des troubles mentaux et en tout cas sociaux...

Entièrement d'accord avec toi, Phil!

Sur un autre registre, toujours aux USA (envoyé par un pote, je n'ai pas la source), une "Mule" de 94 ans. Photos:

"She was caught at the Nogales, AZ, port of entry a few days ago, with 10.45 lbs of marijuana.
94 years old".









Peut être "M'a Escobar", nan ?

Le mieux c'est la femme néo nazie qui s'appelle Deborah

Désolé c'est en Anglais.

Il s'agit du dernier Druze Juste parmi les Juste qui s'est engagé dans l'armée British durant la SGM.

The great adventures of the israeli Druze whom fought Nazi soldiers

They fought Nazi soldiers, were taken captive and snuck food to Jewish prisoners. This is the heroic tale of Daoud Bessis, last of 10 Druze men who volunteered with British army during WWII.

Daoud Bessis’ life story sounds as if it was taken out of an action movie envisioned by an extremely imaginative director. After all, who would think there could be a common thread between a young idealistic Druze from Daliyat al-Karmel and the war against the Nazis, saving Jews, staying in prisoner camps established by the Germans and fighting with the Free French Forces?

Bessis’ adventures began in 1942, when he volunteered with the British army along with 10 other Druze men from the villages of Daliyat al-Karmel, Beit Jan, and Peki’in, who decided to join the war effort against the Germans.The young soldiers were sent to train at Sarafand Camp, later known as Tzrifin, and were later stationed in Libya, where they joined British troops, led by General Bernard Montgomery, in a bitter battle against the German African Corps, commanded by Field Marshall Erwin Rommel and reinforced by Italian brigades.

After the battles in Libya, the Druze volunteers were sent with their battalion to Greece, which was under German, Italian and Bulgarian occupation – each controlling a different part of the country.In the fall of 1943, when Italy withdrew from the war and its troops relinquished control of Greek territory, the British attempted to invade the area, as they have previously done in Sicily and Italy.

While the two former invasions were crowned with success, the invasion to Greece failed, and many of Her Highness’ soldiers were taken into German captivity – Daoud and his friends included.

For many years, when asked why he joined the British army, Bessis would reply that he wanted to fight against the Germans, whom he believed started the war, but added that he also joined because he loved donning the military uniform.

La suite ici ==> http://jssnews.com/2010/09/26/the-great-adventures-of-the-israeli-druze-whom-fought-nazi-soldiers/

Les maisons closes parisiennes mises à nu

Leur nom évoque les temples de l'érotisme, les fêtes débridées des années folles, les peintures de Lautrec ou les descentes de la Brigade mondaine. Malgré la fascination qu'exercent toujours les maisons closes sur l'imaginaire, leur histoire véritable reste encore à découvrir. A l'heure où la série "maison close" investit le petit écran, rencontre avec le spécialiste Paul Teyssier, à la recherche des "maisons de plaisir".

Depuis leur fermeture en 1946, les maisons closes continuent de fasciner l'imaginaire. Pour preuve, la double sortie d'un livre aux éditions Parigramme et d'une série télévisée intitulée "maison close", produite par Canal +. Le premier explore les bordels de l'entre-deux-guerres tandis que le second explore un imaginaire très "fin XIXe".

Lire la suite: http://www.paris.fr/portail/accueil/Portal.lut?page_id=1&document_type_id=2&document_id=91025&portlet_id=24329

Hum, ce n'est pas en 1946 qu'elles ont été fermées mais en 1948, à cause de la loi Marthe Richard, elle-même ancienne prostituée en "maison".

Il y a quand même des bonnes nouvelles en ce bas monde

http://www.rtbf.be/video/v_chili-le-deuxieme-mineur-sorti-offre-des-cadeaux?id=509682&category=info

C'est en route je pense qu'on en est au sixième maintenant, le sauvetage a commencé à 5h ce matin.

Les Alliés craignaient que les nazis mènent une guérilla depuis une base secrète

Les forces alliées lors de la Seconde Guerre mondiale craignaient que les nazis se replient, après leur défaite, dans une base secrète qui aurait été située sous les Alpes afin d'y mener une guérilla.

Des préparations en vue de créer une "redoute nationale" sous la chaîne des Alpes, près de Salzbourg, en Autriche, étaient "le sujet principal de préoccupation de l'ennemi dès que les Alliés ont traversé le Rhin", selon un rapport du ministère britannique des Affaires étrangères, datant du 27 avril 1945.

Selon le Foreign Office, le projet de base était destiné à accueillir 60.000 militaires et il était prévu d'entasser des réserves suffisantes pour tenir pendant deux ans.

Hitler et "l'élite de l'Allemagne nazie" devaient rejoindre la cache pour y mener une campagne de propagande et de sabotage, avec l'aide de sympathisants à travers l'Europe, croyaient les alliés.

"Dans cette région, la supériorité aérienne des Alliés jouera peu ou pas de rôle, car les possibilités de trouver des caches sont quasiment illimitées... Nous recevons un nombre significatif d'informations faisant état de mouvements de grandes quantités de fournitures", ajoutent les documents.

Des renseignements des services suisses et de la résistance française faisaient état d'importants convois en mars 1945 dans la région des Alpes bavaroises et autrichiennes, dont le transport de 1.500 tonnes de blé et 1.800 tonnes de légumes séchés ou en conserves.

Belga

http://www.lavenir.net/article/detail.aspx?articleid=DMF20101029_011

Bonsoir, cette nouvelle parue dans "notre" journal régional ( Le Progrès ) daté d'aujourd'hui :


Une société de Saint-Priest a sauvé un haut lieu du Débarquement
publié le 11.11.2010 04h00
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GTS, entreprise spécialisée dans les travaux de géotechnique, a sécurisé la Pointe du Hoc, l'un des sites du Débarquement, menacé par l'érosion de la mer


6 juin 1944. Les Alliés débarquent en Normandie. Le 2e bataillon de Rangers américains prend le bunker stratégique de la Pointe du Hoc au prix de très lourdes pertes. Petite avancée de la commune de Criqueville-en-Bassin, le blockhaus contrôle les plages d'Utah Beach et Omaha Beach situées de chaque côté. Années deux mille. Plus de soixante ans après ce haut fait d'armes de la Seconde Guerre mondiale, la falaise menace de s'écrouler. Il n'y a plus que six mètres de terre devant le bunker, quand il y en avait vingt en 1944. Le conservatoire du Littoral, propriétaire des lieux, et l'Américan battle monuments commission (ABMC), qui en assure la gestion dans le cadre d'un traité franco-américain signé en 1956, se réunissent pour sauver la Pointe du Hoc. L'ABMC qui garde les cimetières et monuments commémoratifs américains à l'étranger, doit permettre à tout vétéran du Débarquement de pouvoir venir se recueillir sur le théâtre des opérations du Jour le plus long. L'organisme débloque une enveloppe de cinq millions de dollars pour sauver la falaise en ralentissant son recul et en sécurisant le bunker fermé depuis 2004. Et c'est une entreprise de Saint-Priest, GTS, qui a été choisie pour mener à bien cette mission, dans le cadre d'un groupement formé avec la structure d'ingénierie Egis et le bureau d'études Géolithe.

Basée dans l'Est lyonnais depuis sa création en 1988, la société, aujourd'hui filiale du groupe NGE, est spécialiste des travaux de géotechnique. « Notre travail, c'est la maîtrise du risque sol. Le projet de la Pointe du Hoc nécessitait trois de nos spécialités : le confortement, l'injection et l'évolution en accès difficile. Nous avons répondu avec succès à un appel d'offres particulier, puisqu'il était axé sur la performance », relate Christian Altazin, directeur général de GTS.

Débutés en février, les travaux, qui doivent se terminer le 15 novembre, ont consisté à combler les vides laissés par la mer en pied de falaise. « On a restructuré la géographie du site. Le blockhaus a été conforté avec des tirants et des micropieux pour désolidariser le mouvement de la falaise de celui du bunker et finalement ralentir l'œuvre du temps », révèle le directeur. Une cellule de surveillance a été mise en place pour voir l'évolution du vieillissement de la Pointe. L'ensemble du site classé Natura 2000 sera rendu comme il a été trouvé : « Tout sera replanté, et le moindre trou de bombe respecté », assure Christian Altazin. Pour le devoir de mémoire.

Christophe Galle

C'est une bonne initiative, qui permettra de venir encore pendant de longues années, voir, se haut lieu de la seconde guerre mondiale.


Amicalement .



Le ronin.

Encore un qui aura échappé -de peu- à la justice:

http://www.lemonde.fr/europe/article/2010/11/22/un-criminel-nazi-presume-est-mort_1443300_3214.html#xtor=RSS-3208


"Il était évident pour nous que les juifs y étaient exterminés et ensuite également brûlés": témoignage irréfutable à l'adresse des éventuelles négaga de passage.

qu'il brûle en enfer quand même...

Ni paradis ni enfer.......le NEANT comme tout le monde L'univers du réel ne connait ni le Bien ni le Mal ces deux notions ne sont relatives que par rapport à nos existences.....

le petit Kim Jong il s'amuse on dirait...

Des pèlerinages néonazis à Brûly-de-Pesche !


BRÛLY-DE-PESCHE - Stupeur, ce mercredi, au conseil communal de Couvin, lorsque Benjamin Calice, conseiller PS, a relaté des témoignages recueillis lors d'une réunion du Plan communal de Développement rural à Brûly-de-Pesche : des néonazis y organiseraient des pèlerinages !

Deux gîtes seraient parfois loués par ces groupuscules: l'ancien presbytère et l'ancienne école, biens communaux mis à disposition du Centre belge du Tourisme de la Jeunesse. Le comble: il s'agit de biens communaux mis à disposition de l'association.

Pourquoi ces extrémistes se réunissent-ils là? Parce que le site avait été choisi par Hitler comme QG, lors de la campagne de France. Le bunker construit à l'époque, et quelques installations qui y demeurent, sont d'ailleurs ouverts au public, essentiellement à des fins pédagogiques et de sensibilisation. Le gestionnaire de ces gîtes n'a jamais observé le moindre débordement sur place, mais plusieurs témoignages font état de saluts hitlériens et d'uniformes autour des gîtes.

La commune est fermement décidée à réagir, d'autant qu'elle s'est inscrite parmi les Territoires de Mémoire. Il avait été envisagé, l'an dernier, de faire de ces lieux un endroit privilégié pour l'éducation à la tolérance en Wallonie. Plus que jamais, la vigilance s'impose !

http://www.lavenir.net/article/detail.aspx?articleid=DMF20101209_064

Bonsoir, paru aujourd'hui sur notre journal régional ( région Lyonnaise)


Accueil > Rhône > Le Rhône
RHÔNE - SOCIÉTÉ
Il recherche celui qui lui a sauvé la vie, à Vaise, le 26 mai 1944
publié le 27.12.2010 02h01
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Grégoire Guendjian / Photo Joël Philippon
Grégoire Guendjian est un rescapé du bombardement de Vaise, le 26 mai 44. Il se souvient de ces instants dramatiques et veut découvrir l’identité de cet homme qui lui a sauvé la vie


« Je suis un rescapé du bombardement de la gare de Vaise » confie Grégoire Guendjian, surnommé Coco. Le 26 mai 1944, ce Brondillant avait douze ans. Il se souvient : «Les autorités avaient donné l’ordre d’éloigner les enfants pour les protéger. On nous conduisait à l’abri dans le Beaujolais. Mes parents nous avaient laissés partir à contrecœur, mon frère Jacques (dix ans) et moi. Ce jour-là, le train, bondé d’enfants, entre en gare de Vaise. Il s’arrête, le temps de rattacher d’autres wagons. La sirène retentit. Le conducteur remonte en vitesse dans la locomotive et conduit le convoi à l’abri dans un tunnel. Sans cela, on serait tous morts. Sur le coup, je ne me suis pas dit « j’ai failli mourir » car à l’époque, on avait l’habitude des bombardements. Mais mes parents, eux, l’ont compris.

Eux-mêmes étaient des orphelins, rescapés du génocide arménien. Ils nous ont crus morts. Ils nous ont finalement retrouvés à Juliénas, quelques jours plus tard et ils nous ont ramenés à la maison ».

La guerre finie, son père ouvrier a recherché cet employé de la SNCF pour le remercier. « Ce n’était pas facile, il parlait mal le français ». Il récolte des bribes d’informations : il aurait été communiste, emprisonné à Montluc,.. rien de tangible.

Coco, commerçant, a élevé ses cinq enfants mais il n’a pas oublié la quête de son père. Il pense que son sauveur est aujourd’hui décédé mais lui, avant de mourir, il voudrait connaître l’identité de ce héros et « clamer son action ».

Ces dernières années, il a entrepris des recherches, frappé à plusieurs portes : SNCF, archives municipales et départementales, musée de la résistance de l’armée,... sans succès. « Il a consacré tout son temps libre à cela, il en a passé des coupes de fils ! » témoigne Virginie, son épouse.

« Cet homme a sauvé des enfants, il faut que cela se sache, au moins que l’on connaisse son nom », ajoute le septuagénaire pour qui cette médiatisation représente l’ultime espoir.

Isabelle Brione



Un bombardement allié qui a fait 1 846 victimes civiles
Le bombardement du 26 mai 1944 opéré par les Américains faisait partie d’un plan destiné à préparer le débarquement en Normandie. Il s’agissait de détruire les infrastructures de chemin de fer, notamment les gares de triage, afin d’empêcher l’armée allemande d’acheminer des troupes et du matériel vers l’ouest de la France.

Le matin, environ 800 avions américains partirent d’Italie. Ils se divisèrent en trois groupes pour aller sur Grenoble, Saint-Etienne et Lyon (400 appareils).

Le bombardement s’effectua par vagues successives de 10 h 43 à 11 h 05.

1 500 bombes incendiaires et explosives furent lancées sur le sud et l’ouest de Lyon. La gare de Vaise fut sérieusement endommagée (bâtiments, voies, dépôts de machines) et le train de secours du SIPEG (Service Interministériel de Protection contre les Evénements de Guerre) qui se trouvait sur une voie de garage fut entièrement détruit.

D’autres points furent touchés : la Guillotière, le secteur Berthelot (mais pas la gare de Perrache). Plusieurs quartiers eurent à souffrir : Moulin à Vent, la Mouche, Gerland, la Croix Rousse, avec des immeubles détruits ou rendus inhabitables. 840 sapeurs pompiers durent combattre 90 incendies. Le nombre des victimes de cette journée s’élève à 1 846. Les dégâts ont été importants car les avions volaient à haute altitude et leurs cibles étaient moins précises.

> Source : « Lyon de guerre » par Georges Gilonne


Amicalement .



Le ronin.

Bonjour, la suite de cette incroyable histoire, sur le journal d'aujourd'hui :


Il retrouve la trace de son sauveur de 1944 grâce à un lecteur du Progrès
publié le 30.12.2010 02h01
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Le grand-père de Marc Jaspard (à droite sur la photo) travaillait avec Gabriel Filhol, qui a conduit le train transportant les enfants, dont Grégoire Guendjian (à gauche), à l’abri/Photo Philippe Juste
Marc Jaspard a reconnu Gabriel Filhol, un collègue de son grand-père, en lisant l’histoire de Grégoire Guendjian, qui cherche depuis 50 ans le cheminot qui lui a sauvé la vie le 26 mai 44



« Dire que ça fait 50 ans que je cherche sans succès qui nous a sauvés en mettant à l’abri du bombardement de Vaise le train dans lequel nous étions avec mon frère le 26 mai 1944, et que grâce au Progrès, on trouve enfin son identité ». Quand on a appris à Grégoire Guendjian qu’un lecteur avait pris contact avec Le Progrès à la lecture de l’article d’Isabelle Brione (notre édition de lundi) relatant sa quête, le septuagénaire a laissé couler quelques larmes.

D’autant que le hasard n’est pas pour rien dans cette révélation. « Je suis de passage à Lyon une semaine pour voir ma mère », explique Marc Jaspard, 65 ans, qui vit sa retraite à Monaco après avoir effectué une grande partie de sa vie professionnelle à Décines. « J’ai tout de suite reconnu l’histoire que m’avait racontée mon collègue de travail Raymond Filhol sur son père Gabriel ». Et comme le hasard est décidément omniprésent dans cette histoire, le grand-père de Marc Jaspard, Henri Morel, travaillait justement avec Gabriel Filhol au dépôt de Vaise de la SNCF.

Hier après-midi, Grégoire Guendjian est donc allé à la rencontre de Marc Jaspard, à Vaise, pour en apprendre un peu plus sur son sauveur.

« Gabriel Filhol faisait partie de Résistance Rail » raconte Marc Jaspard. « Il était donc au courant des objectifs du bombardement, la gare de Vaise, son dépôt et le triage de Saint-Germain. Le hasard voulut que ce fût lui qui soit dans la locomotive de ce train d’enfants. Comme il y avait une alerte aérienne, aucun train ne pouvait entrer ou sortir de la gare. Il demanda au sous-chef de gare l’autorisation de mettre le train à l’abri, ce qui lui fut refusé. Il remonta quand même dans sa machine et pris sur lui de mettre le train à l’abri. Ce qui lui valut un blâme pour avoir désobéi à son chef et grillé les signaux, mais aussi une prime de 50 francs de l’époque pour avoir sauvé les enfants ».

Bouleversé mais heureux en écoutant cette histoire, Grégoire Guendjian s’est demandé « pourquoi personne n’avait parlé de cet acte ».

« Les cheminots ne parlent pas de cette période, ils estiment avoir fait leur boulot, c’est tout », lui a répondu Marc Jaspard. « Ils sabotaient dans leur coin, avec comme devise « Pas un wagon pour les Boches ».

« Je vais faire quelque chose pour que tout le monde sache ce qu’a fait cet homme, je vais continuer à tirer le fil », a promis Grégoire Guendjian. Qui semble enfin avoir trouvé la réponse à la question qui le hante depuis 1944.

François Guttin-Lombard


Amicalement .


Le ronin.

Un charnier découvert en Autriche

Les restes de 220 personnes, probablement victimes pour partie des programmes d'euthanasie du régime nazi, ont été découverts sur un site hospitalier à Hall au Tyrol (ouest), ont indiqué les autorités lundi.

Les corps ont été trouvés au cours de travaux préparatoires pour un chantier dans l'ancien cimetière de l'établissement. Des analyses ont révélé que ces personnes avaient été enterrées entre 1942 et 1945.

La société gérant les hôpitaux du Tyrol Tilak soupçonne que ces dépouilles sont "au moins en partie" liées aux programmes d'euthanasie menés pendant la période nazie. Une commission d'enquête a été nommée pour identifier les victimes.

Les historiens estiment que 200.000 handicapés mentaux ou physiques ont été assassinés sous le troisième Reich.

Belga

Bonsoir . Des nouvelles concernant K.Barbie et les services secrets allemands, parues aujourd'hui sur le journal "Le Progrès" .



HISTOIRE - NAZISME
Klaus Barbie a travaillé pour les services secrets allemands
publié le 16.01.2011 19h16
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L'ancien chef de la Gestapo de Lyon (France), Klaus Barbie, a collaboré avec les services de renseignements extérieurs allemands (BND) après la Deuxième Guerre mondiale, affirme l'hebdomadaire Der Spiegel dans sa dernière édition à paraître lundi.




"Le boucher de Lyon", condamné à perpétuité en France en 1987 pour avoir organisé la déportation de centaines de Juifs, a été recruté par le BND début 1966 alors qu'il vivait sous le pseudonyme de Klaus Altmann en Bolivie, poursuit l'hebodamaire allemand qui cite des documents du BND.

Considéré comme ayant "une mentalité très allemande", "cet adversaire farouche du communisme", selon le BND, a livré environ 35 rapports aux services allemands sous le pseudo d'Adler enregistré sous le numéro V-43118, selon la même source.

Le dossier consulté par Der Spiegel ne permet pas toutefois de déterminer ce qu'il a livré comme informations.

Des honoraires lui ont en tous les cas été versés par le BND sur un compte établi dans une banque de San Francisco, aux Etats-Unis.

Quelques semaines après avoir été recruté par les services allemands, Barbie a pris la tête de la succursale bolivienne d'une entreprise, dont le siège était à Bonn (ouest de l'Allemagne), et chargée de vendre le matériel militaire superflu de la Bundeswehr, l'armée allemande.

Il était alors chargé par le BND de donner des indications sur d'éventuels pénuries d'armes et de munitions en Bolivie, poursuit encore le journal.

Pendant l'hiver 66/67, le BND a néanmoins décidé de se passer de ses services par crainte que des services secrets étrangers ne le fassent chanter en raison de son passé sous le régime nazi.

Condamné pour crimes contre l'humanité en juillet 1987, Klaus Barbie, qui fut notamment à l'origine de l'arrestation et de la torture de nombreux résistants français, dont Jean Moulin, avait été extradé quatre ans auparavant de Bolivie.

L'ancien SS avait bénéficié après la guerre de la protection des Américains qui le considéraient comme un bon agent de la lutte anticommuniste, raconte notamment un film sorti en 2007.

Il est mort en prison en France en 1991.


Amicalement .



Le ronin.

Un article assez intéressant concernant la vie sexuelle du Grand Timonier, bon c'est en Anglais mais bien détaillé, le nombre de victimes de ce gros pervers est effrayant!!!

http://en.kanzhongguo.com/culture_history/3142.html