Bataille de Toulon & Marseille Reconstitution
Page 1 sur 1
Bataille de Toulon & Marseille Reconstitution
Bonjour , ces quelques photos sans prétention servent de :" tests" à ce que je souhaiterais faire pour les 70 ans de la bataille de Provence en Août 1944 .

La libération de Toulon fut rapide et violente. Pour exploiter l'effet de surprise du débarquement, l'attaque est lancée dès le 18 août. Toulon est d'abord isolé au nord et à l'ouest par un vaste mouvement d'encerclement ; ce sont des FFI qui guident les soldats dans leur contournement de Toulon et leur pénétration par les faubourgs. Le 21 août, l'investissement de Toulon est réalisé.
A l'intérieur de la ville, FFI et FTP font le coup de feu et tiennent le centre ville deux jours durant (22-23 août), épaulés par quelques éléments des bataillons de choc.
Le 26 août au soir, la ville de Toulon est totalement libérée. Le 27 août, l'amiral allemand commandant la base se rend au général Magnan, commandant de la 9e Division d'infanterie coloniale.
La libération de Toulon fut menée par les unités, en majorité coloniales, de l'"Armée B" du général de Lattre de Tassigny, appuyées par l'action des résistants.
Le bilan humain de la bataille de Toulon est lourd. Il n'est pas possible de chiffrer les pertes de façon précise, mais on peut donner quelques évaluations : du côté de la Résistance, on compte près de 300 tués ou blessés ; selon le général de Lattre, les pertes de l'armée française se sont élevées à 2 700 tués ou blessés ; 8 000 Allemands ont été tués et 17 000 faits prisonniers .
Déroulement :
Compte tenu de la réussite du débarquement allié, de Lattre décide de hâter la libération de Toulon et n’attend pas le débarquement de son second échelon. La mission est confiée à la 3e DIA (au nord) et à la 1re DFL (au sud) avec pour appui le 2nd CC de la 1re DB et le 2e RSAR. Le centre du dispositif est donné à la 9e DIC.
Pour cette opération on peut distinguer trois phases distinctes :
investissement du secteur : à partir du 19 août, le 3e RSAR, le 2e RSAR puis le 7e RCA partent de Puget et contournent Toulon par le nord pour se placer à l’ouest (Bandol) et au nord-ouest de la ville (Quatre Chemins).
Le 3e RTA quant à lui progresse en direction du nord de la ville et est rejoint le 21 par le bataillon de choc et le détachement de chars (3e RSAR). D
e son côté, la 1re DFL a progressé sur l’est de Toulon mais est accrochée en plusieurs points (Les Pousselons, Mont Redon, Golf Hotel). Pour le 6e RTS de la 9e DIC avec les chars du 5e RCA les accrochages ont lieu sur Solliès. Toujours à l’est, les commandos d’Afrique prennent le fort de Coudon ;
démantèlement : la 9e DIC et la 1re DFL progressent à l’est de Toulon mais sont accrochées sévèrement (Massif du Touar, La Garde, Le Pradet et La Valette).
Au nord, le bataillon de choc et le 3e RTA aidés de FFI investissent la ville et le fort de la Croix du Faron. L’accrochage le plus sérieux étant celui de la Poudrière.
Néanmoins, les forces françaises parviennent à investir la ville et à couper les liaisons vers l’ouest ;
la réduction définitive : le nettoyage de la ville est confié à la 9e DIC .
La reddition de la ville a lieu le 26 août 1944.
Selon le général de Lattre, les pertes de l'armée française sont de 2 700 tués ou blessés. Les pertes du 6e Régiment de Tirailleurs Sénégalais (6e RTS) commandé par le général Salan sont pour la période du 18 au 25 août 1944 de 124 européens (35 tués, 2 disparus et 87 blessés) et 463 Africains (72 tués, 17 disparus et 374 blessés).
Les Allemands comptent environ 1 000 tués et 17 000 prisonniers.

Evocation d'un soldat de l'armée d'Afrique prenant part à la libération de Toulon :





Le bataillon de choc, à sa création, est une formation hors plan, c'est-à-dire qu’il n’est pas compris sur les tableaux d’effectifs et de dotation américaine. Il sera donc équipé et armé avec les stocks anglais destinés à la résistance, avec les surplus américains et par les dépôts français. L’état major mettra cependant tout en œuvre pour satisfaire les besoins du bataillon.
La tenue de base du chasseur reste donc l'équipement américain qui sera remplacé au fur et à mesure de son usure par des équipements de prise ou récupéré grâce à l'ingéniosité des hommes .
Le petit bonnet de laine kaki américain est un accessoire classique des troupes de choc et il permettent d'identifier les hommes du bataillon de choc des autres unités .
Je vous recommande cet excellent dossier d'un groupe d'amis spécialisés dans la reconstitution du bataillon de Choc :
http://forty-four-memories.fr/forum/viewtopic.php?f=13&t=1726



Les FFI de Marseille (et parmi eux Gaston Defferre) préparent la libération de la ville. Le lundi 21 août, ils lancent l'insurrection accompagnée d'un mot d'ordre de grève générale.
Mais mal armés et peu nombreux, leur position est critique jusqu'à l'arrivée des tirailleurs algériens de la 3e division d'infanterie algérienne (3e DIA) du général de Monsabert et des goumiers marocains du général Guillaume appuyés par le Combat Command 1 (CC1) de la 1re division blindée (1re DB) qui pénètrent dans Marseille le mercredi 23.
Les combats avec l'armée allemande se poursuivront plusieurs jours, jusqu'à la capitulation du général Schaeffer le 28 août. Le 29, le général de Lattre assiste au défilé de l’armée d'Afrique sur la Canebière.
La prise de Marseille est anticipée du fait de la rapidité du déroulement des opérations sur Toulon.
Ces deux batailles sont d’ailleurs très similaires dans leur déroulement en trois phases (investissement, resserrement et assaut final).
L’opération débute le matin du 20 août 1944 par la prise du carrefour du Camp par le 2e régiment de cuirassiers (2e RC) (CC1 de la 1re DB) qui ouvre ainsi la route au 7e régiment de tirailleurs algériens (7e RTA) et aux trois groupements de tabors marocains (GTM).
Après de durs combats les 21 et 22 août, le 2e RC et le 3e bataillon porté de zouaves (CC3 de la 1re DB), renforcés par le 2e GTM, s’emparent d'Aubagne.
Le 22 août, la ville de Peypin est investie par les CC1 (partiel), CC2 et le 1er GTM.
Ce même jour, outrepassant les ordres, le colonel Chappuis avec le 1er bataillon du 7e RTA et un escadron du 2e RC s’introduisent dans Marseille. Les 2e et 3e bataillons du 7e RTA sont quant à eux sérieusement accrochés respectivement au nord et au nord-est de la ville.
Malgré le soulèvement FFI et la pénétration du 7e RTA et du 2e RC jusqu’au centre de la ville les Allemands résistent et leurs défenses restent intactes notamment en périphérie.
Après une tentative infructueuse de règlement à l’amiable le 23 août, les combats reprennent dès le 24. De Lattre engage alors le 3e régiment de tirailleurs algériens (3e RTA) en provenance de Toulon.
Les affrontements des jours suivants sont violents et meurtriers notamment pour la prise de la colline de Notre-Dame-de-La-Garde le 25 et 26 août (II/3e RTA, I/7e RTA, 7e RCA, 2e RC et FFI) et de la gare Saint-Charles (III/7e RTA). M
ais c’est au nord, au carrefour de la Gavotte, que les défenses sont les plus sérieuses avec l’ouvrage en béton de la « Feste » Fouresta (1er GTM et II/7e RTA).
Au sud, malgré quelques accrochages (6e Tabor marocain du 2e GTM à Saint-Loup), la progression est plus aisée pour les 2e et 3e GTM. Ce dernier, après un dernier combat au Fort Napoléon du cap Croisette, contrôle le 28 août l’ensemble du littoral sud. Le 2e GTM quant à lui remonte sur le centre-ville et vient renforcer les tirailleurs algériens.
Le 27 août la plus grande partie de la ville est libérée, l’ennemi ne tient plus que les installations portuaires et quelques points au nord de la ville. Il se rend finalement le 28 août au 1er GTM qui vient d’être renforcé par des éléments blindés du CC1 de la 1re DB.
Au cours des combats pour la libération de Marseille, le nombre de soldats de l'Armée française et FFI tués et blessés s'élèvent à entre 1 400 et 1 800 selon les sources, dont près de la moitié parmi les goumiers marocains (150 tués et 540 blessés)
Du coté Allemand, on dénombre environ 2 000 tués et 11 000 prisonniers.
Le Général de Montsabert écrira dans son rapport sur la bataille de Marseille :
« Onze mille prisonniers, un grand nombre de pièces d'artillerie intactes, des stocks de munitions et de vivres, les installations portuaires sauvées de la destruction totale sont le bilan de cette libération victorieuse pour laquelle se sont mêlés le sang des cavaliers, des goumiers, des tirailleurs, des vieux artisans de la Victoire d'Italie et des F.F.I. locaux ».
Sources texte & images :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Bataille_de_Marseille
http://www.ecpad.fr/la-bataille-de-provence-16-28-aout-1944
http://sudwall.superforum.fr/t4978p30-liberation-de-marseille-marseille-libere-aout-1944

Marseille, quai des Belges,lors du défilé, le colonel Boyer de Latour, commandant le 2e GTM (groupement de tabors marocains).

Bouches-du-Rhône, Marseille,combat de rue mené par les FFI (Forces françaises de l’intérieur).

Marseille, palais Longchamp,arrivée du premier char Sherman M4 du 2e RC (régiment de cuirassiers).

Marseille,un tirailleur chaleureusement accueilli par les habitants.

Marseille,tirailleurs du 3e RTA (régiment de tirailleurs algériens) acclamés par la population.


Var,équipage de char léger Stuart d’un escadron du 5e RCA (régiment de chasseurs d’Afrique) de la 1re DB (division blindée ) :


Goumiers sur la plage du prado, on voit au fond le chateau talabot .


Un canon au boulevard dugommier (en haut l'escalier monumental de la gare Saint Charles) .
http://sudwall.superforum.fr/t4978p30-liberation-de-marseille-marseille-libere-aout-1944


La libération de Toulon fut rapide et violente. Pour exploiter l'effet de surprise du débarquement, l'attaque est lancée dès le 18 août. Toulon est d'abord isolé au nord et à l'ouest par un vaste mouvement d'encerclement ; ce sont des FFI qui guident les soldats dans leur contournement de Toulon et leur pénétration par les faubourgs. Le 21 août, l'investissement de Toulon est réalisé.
A l'intérieur de la ville, FFI et FTP font le coup de feu et tiennent le centre ville deux jours durant (22-23 août), épaulés par quelques éléments des bataillons de choc.
Le 26 août au soir, la ville de Toulon est totalement libérée. Le 27 août, l'amiral allemand commandant la base se rend au général Magnan, commandant de la 9e Division d'infanterie coloniale.
La libération de Toulon fut menée par les unités, en majorité coloniales, de l'"Armée B" du général de Lattre de Tassigny, appuyées par l'action des résistants.
Le bilan humain de la bataille de Toulon est lourd. Il n'est pas possible de chiffrer les pertes de façon précise, mais on peut donner quelques évaluations : du côté de la Résistance, on compte près de 300 tués ou blessés ; selon le général de Lattre, les pertes de l'armée française se sont élevées à 2 700 tués ou blessés ; 8 000 Allemands ont été tués et 17 000 faits prisonniers .
Déroulement :
Compte tenu de la réussite du débarquement allié, de Lattre décide de hâter la libération de Toulon et n’attend pas le débarquement de son second échelon. La mission est confiée à la 3e DIA (au nord) et à la 1re DFL (au sud) avec pour appui le 2nd CC de la 1re DB et le 2e RSAR. Le centre du dispositif est donné à la 9e DIC.
Pour cette opération on peut distinguer trois phases distinctes :
investissement du secteur : à partir du 19 août, le 3e RSAR, le 2e RSAR puis le 7e RCA partent de Puget et contournent Toulon par le nord pour se placer à l’ouest (Bandol) et au nord-ouest de la ville (Quatre Chemins).
Le 3e RTA quant à lui progresse en direction du nord de la ville et est rejoint le 21 par le bataillon de choc et le détachement de chars (3e RSAR). D
e son côté, la 1re DFL a progressé sur l’est de Toulon mais est accrochée en plusieurs points (Les Pousselons, Mont Redon, Golf Hotel). Pour le 6e RTS de la 9e DIC avec les chars du 5e RCA les accrochages ont lieu sur Solliès. Toujours à l’est, les commandos d’Afrique prennent le fort de Coudon ;
démantèlement : la 9e DIC et la 1re DFL progressent à l’est de Toulon mais sont accrochées sévèrement (Massif du Touar, La Garde, Le Pradet et La Valette).
Au nord, le bataillon de choc et le 3e RTA aidés de FFI investissent la ville et le fort de la Croix du Faron. L’accrochage le plus sérieux étant celui de la Poudrière.
Néanmoins, les forces françaises parviennent à investir la ville et à couper les liaisons vers l’ouest ;
la réduction définitive : le nettoyage de la ville est confié à la 9e DIC .
La reddition de la ville a lieu le 26 août 1944.
Selon le général de Lattre, les pertes de l'armée française sont de 2 700 tués ou blessés. Les pertes du 6e Régiment de Tirailleurs Sénégalais (6e RTS) commandé par le général Salan sont pour la période du 18 au 25 août 1944 de 124 européens (35 tués, 2 disparus et 87 blessés) et 463 Africains (72 tués, 17 disparus et 374 blessés).
Les Allemands comptent environ 1 000 tués et 17 000 prisonniers.

Evocation d'un soldat de l'armée d'Afrique prenant part à la libération de Toulon :





Le bataillon de choc, à sa création, est une formation hors plan, c'est-à-dire qu’il n’est pas compris sur les tableaux d’effectifs et de dotation américaine. Il sera donc équipé et armé avec les stocks anglais destinés à la résistance, avec les surplus américains et par les dépôts français. L’état major mettra cependant tout en œuvre pour satisfaire les besoins du bataillon.
La tenue de base du chasseur reste donc l'équipement américain qui sera remplacé au fur et à mesure de son usure par des équipements de prise ou récupéré grâce à l'ingéniosité des hommes .
Le petit bonnet de laine kaki américain est un accessoire classique des troupes de choc et il permettent d'identifier les hommes du bataillon de choc des autres unités .
Je vous recommande cet excellent dossier d'un groupe d'amis spécialisés dans la reconstitution du bataillon de Choc :
http://forty-four-memories.fr/forum/viewtopic.php?f=13&t=1726



Les FFI de Marseille (et parmi eux Gaston Defferre) préparent la libération de la ville. Le lundi 21 août, ils lancent l'insurrection accompagnée d'un mot d'ordre de grève générale.
Mais mal armés et peu nombreux, leur position est critique jusqu'à l'arrivée des tirailleurs algériens de la 3e division d'infanterie algérienne (3e DIA) du général de Monsabert et des goumiers marocains du général Guillaume appuyés par le Combat Command 1 (CC1) de la 1re division blindée (1re DB) qui pénètrent dans Marseille le mercredi 23.
Les combats avec l'armée allemande se poursuivront plusieurs jours, jusqu'à la capitulation du général Schaeffer le 28 août. Le 29, le général de Lattre assiste au défilé de l’armée d'Afrique sur la Canebière.
La prise de Marseille est anticipée du fait de la rapidité du déroulement des opérations sur Toulon.
Ces deux batailles sont d’ailleurs très similaires dans leur déroulement en trois phases (investissement, resserrement et assaut final).
L’opération débute le matin du 20 août 1944 par la prise du carrefour du Camp par le 2e régiment de cuirassiers (2e RC) (CC1 de la 1re DB) qui ouvre ainsi la route au 7e régiment de tirailleurs algériens (7e RTA) et aux trois groupements de tabors marocains (GTM).
Après de durs combats les 21 et 22 août, le 2e RC et le 3e bataillon porté de zouaves (CC3 de la 1re DB), renforcés par le 2e GTM, s’emparent d'Aubagne.
Le 22 août, la ville de Peypin est investie par les CC1 (partiel), CC2 et le 1er GTM.
Ce même jour, outrepassant les ordres, le colonel Chappuis avec le 1er bataillon du 7e RTA et un escadron du 2e RC s’introduisent dans Marseille. Les 2e et 3e bataillons du 7e RTA sont quant à eux sérieusement accrochés respectivement au nord et au nord-est de la ville.
Malgré le soulèvement FFI et la pénétration du 7e RTA et du 2e RC jusqu’au centre de la ville les Allemands résistent et leurs défenses restent intactes notamment en périphérie.
Après une tentative infructueuse de règlement à l’amiable le 23 août, les combats reprennent dès le 24. De Lattre engage alors le 3e régiment de tirailleurs algériens (3e RTA) en provenance de Toulon.
Les affrontements des jours suivants sont violents et meurtriers notamment pour la prise de la colline de Notre-Dame-de-La-Garde le 25 et 26 août (II/3e RTA, I/7e RTA, 7e RCA, 2e RC et FFI) et de la gare Saint-Charles (III/7e RTA). M
ais c’est au nord, au carrefour de la Gavotte, que les défenses sont les plus sérieuses avec l’ouvrage en béton de la « Feste » Fouresta (1er GTM et II/7e RTA).
Au sud, malgré quelques accrochages (6e Tabor marocain du 2e GTM à Saint-Loup), la progression est plus aisée pour les 2e et 3e GTM. Ce dernier, après un dernier combat au Fort Napoléon du cap Croisette, contrôle le 28 août l’ensemble du littoral sud. Le 2e GTM quant à lui remonte sur le centre-ville et vient renforcer les tirailleurs algériens.
Le 27 août la plus grande partie de la ville est libérée, l’ennemi ne tient plus que les installations portuaires et quelques points au nord de la ville. Il se rend finalement le 28 août au 1er GTM qui vient d’être renforcé par des éléments blindés du CC1 de la 1re DB.
Au cours des combats pour la libération de Marseille, le nombre de soldats de l'Armée française et FFI tués et blessés s'élèvent à entre 1 400 et 1 800 selon les sources, dont près de la moitié parmi les goumiers marocains (150 tués et 540 blessés)
Du coté Allemand, on dénombre environ 2 000 tués et 11 000 prisonniers.
Le Général de Montsabert écrira dans son rapport sur la bataille de Marseille :
« Onze mille prisonniers, un grand nombre de pièces d'artillerie intactes, des stocks de munitions et de vivres, les installations portuaires sauvées de la destruction totale sont le bilan de cette libération victorieuse pour laquelle se sont mêlés le sang des cavaliers, des goumiers, des tirailleurs, des vieux artisans de la Victoire d'Italie et des F.F.I. locaux ».
Sources texte & images :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Bataille_de_Marseille
http://www.ecpad.fr/la-bataille-de-provence-16-28-aout-1944
http://sudwall.superforum.fr/t4978p30-liberation-de-marseille-marseille-libere-aout-1944

Marseille, quai des Belges,lors du défilé, le colonel Boyer de Latour, commandant le 2e GTM (groupement de tabors marocains).

Bouches-du-Rhône, Marseille,combat de rue mené par les FFI (Forces françaises de l’intérieur).

Marseille, palais Longchamp,arrivée du premier char Sherman M4 du 2e RC (régiment de cuirassiers).

Marseille,un tirailleur chaleureusement accueilli par les habitants.

Marseille,tirailleurs du 3e RTA (régiment de tirailleurs algériens) acclamés par la population.


Var,équipage de char léger Stuart d’un escadron du 5e RCA (régiment de chasseurs d’Afrique) de la 1re DB (division blindée ) :


Goumiers sur la plage du prado, on voit au fond le chateau talabot .


Un canon au boulevard dugommier (en haut l'escalier monumental de la gare Saint Charles) .
http://sudwall.superforum.fr/t4978p30-liberation-de-marseille-marseille-libere-aout-1944


» Batterie Peyras [Toulon]
» navires à l' Arsenal de Toulon 1941 à 1945
» La bataille des Ardennes (16 décembre 1944-18 janvier 1945)
» Libération de Marseille.
» Aviateurs de la RAF enterrés à Marseille, 39-45.
» navires à l' Arsenal de Toulon 1941 à 1945
» La bataille des Ardennes (16 décembre 1944-18 janvier 1945)
» Libération de Marseille.
» Aviateurs de la RAF enterrés à Marseille, 39-45.
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
|
|