La bataille des ardennes 1944 Version Allemandes Planification et 1er ordres
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La bataille des ardennes 1944 Version Allemandes Planification et 1er ordres
Bonjour, et déjà un non, je ne parlerais pas du tant évoqué dans les autres récits sur la batailles des Ardennes et Bastogne, Alors commençons voir avec la planification. Pour une autre source, elle donne la date du mois de Septembre 1944, soit après la fin de l'offensive Alliée en Hollande, et après l'offensive Russe Bagration. Mais ma première source, donne la date du 19 Août 1944, ou Hitler ordonna à "Speer; Keitel et à Jodl, pour détenir les bases en matériel et en homme, pour recréer une Armée de l'Ouest. Parce qu'il en aura besoin pour mené une grande contre-offensive au mois de Novembre".
Ici je pense bien, que pour le mois de Novembre, Hitler ne savait pas encore l'endroit ou il mènera sa contre offensive, mais juste que il souhaitera la faire au mois de Novembre.
Ici je pense bien, que pour le mois de Novembre, Hitler ne savait pas encore l'endroit ou il mènera sa contre offensive, mais juste que il souhaitera la faire au mois de Novembre.
Bien jusqu'à ici vous avez compris, la raison que Hitler souhaita Anvers comme cible. Et justement comme il est encore mentionné plus haut, après avoir perdu le pétrole Roumain, au Mois de décembre 1944, la Wehrmacht n'aurais plus de pétrole.Les forces américaines avaient atteint la Seine le 18 août et n'étaient plus qu'à trente-six milles de Paris. L'armée allemande était en pleine retraite de l'autre côté du fleuve, abandonnant son équipement lourd dans une ruée paniquée vers la frontière allemande. Le général Koller de la Luftwaffe revient de Paris avec de sombres rapports sur la décadence morale de l'armée après quatre années d'occupation. Hitler avait avais prévu tout cela ; maintenant, ses généraux menaient leur « guerre de mouvement » avec vengeance. Le 19, il appela Keitel, Speer et Jodl et sobrement leur a ordonné d'injecter les bases matérielles pour une nouvelle armée occidentale, comme il préparait une grande contre-offensive en novembre, lorsque l'aviation ennemie les forces seraient clouées au sol en raison du mauvais temps. Vingt-cinq divisions doivent être crée et équipé à cet effet. (Ainsi est née l’offensive des Ardennes).
Martin Bormann a dirigé Odieusement l'essentiel de la défaite sur la tête de la Luftwaffe. Hitler demanda d’un ton caustique combien de temps l’indisposition du Reichsmarschall pourrait durer ; mais ce n’est que le 26 août que Göring réapparut à la Tanière du Loup. Pendant ce temps, Bormann lançait un dossier sur les « scandales de la Luftwaffe » auquel ses gauleiters contribuèrent abondamment : les bombes avaient été détournées des magasins bombes pour faire place à la contrebande en provenance d’Italie et de Grèce ; à Rechlin, le principal aérodrome expérimental, un technicien informa Bormann qu'une villa était en construction pour le commandant au lac Ammersee aux frais de la Luftwaffe et que des ouvriers de la Luftwaffe s'envolaient chaque week-end pour la Bavière pour terminer le travail ; L’adjoint limogé de Göring, Milch, a été accusé d’avoir encouragé de mauvais projets d’avions et de moteurs d’avion pour le bien des vieux copains d’affaires de Lufthansa. Il n’est pas étonnant qu’Hitler ait comparé défavorablement Göring à Himmler et qu’il ait remarqué à quel point de celui-ci avait imaginé de nouveaux bataillons pour l'armée ; Le général Kreipe n'a même pas pu savoir combien d'hommes il y avait dans la Luftwaffe.
Hitler commença à songer à dissoudre l’ensemble de la Luftwaffe. Le 17 août, il téléphona à Kreipe et lui demanda de remplacer le maréchal Sperrle, le gros commandant de la Luftwaffe en France, par le général Dessloch ; Il était typique d’Hitler d’avoir retardé cette décision jusqu’à maintenant, alors qu’il était trop tard. Le premier escadron de bombardiers à réaction Me-262 devait encore entrer en service ; Göring, Kreipe, Speer et Galland voulaient tous que le Me-262 soit utilisé comme chasseur.
Les raffineries de pétrole à l'épreuve des bombes ne commenceront à fonctionner qu'en mars 1945, mais en décembre, la réserve de carburant de l'OKW aurait été épuisée.
le 20 août 1944, l’Armée rouge lance sa principale offensive de la fin de l’été contre le groupe d’armées du général Friessner à la frontière roumaine. D’ici trois jours, la nouvelle Sixième Armée serait pratiquement encerclée ici ; mais les yeux d’Hitler étaient toujours tournés vers la France.
A Paris, des bandes armées de partisans s'étaient soulevées contre la garnison allemande.
La ville était vitale à la fois militairement et politiquement, et Hitler avait émis une demande catégorique de sa défense le 20. Tous les ponts de la Seine entre Paris et la mer avaient déjà été détruits ; Hitler ordonna que ceux qui étaient intacts à Paris soient lourdement défendus par des canons anti-aériens, car s'ils tombaient entre les mains de l'ennemi – et Choltitz ne les avait même pas encore minés – alors l'ennemi pourrait ouvrir les défenses côtières d'Hitler par l'arrière et lui voler ses sites de lancement pour son V- 1 également. « Dans toute l'histoire, la perte de Paris a signifié la perte de la France », rappelait Hitler à Model dans un ordre datée du 22 août. « À l'intérieur de la ville, les premiers signes de révolte doivent être durement réprimés, par exemple en faisant sauter des quartiers de maisons entiers. , par l'exécution publique des meneurs ou par l'évacuation des quartiers concernés, car c'est la seule façon d'éviter que les choses ne deviennent incontrôlables. Les ponts de la Seine seront préparés à la démolition. Paris ne doit pas tomber aux mains de l’ennemi – ou si c’est le cas, alors seulement comme un champ de ruines.
La faible capitulation de Paris par le général von Choltitz le 25 août 1944 rend impossible l’établissement à temps d’une position Somme-Marne.
La nouvelle honteuse parvint encore à Hitler des scènes de déroute et de dégradation en France. Dans une zone, des agents ont forcé leurs voitures à franchir les goulots d'étranglement du pont sous la menace d'un pistolet ; Des camions de la Luftwaffe chargés de meubles et de butin se mêlaient aux troupes en fuite, tandis que les avions ennemis ratissaient tranquillement les colonnes à une centaine de pieds de hauteur avec des tirs de canons et de mitrailleuses.
Varsovie, Paris et maintenant Bucarest ont vu des scènes honteuses. Hitler
a donné un ordre furieux à ses vice-rois d'empêcher toute récidive, en évacuant immédiatement – dès maintenant – leurs états-majors des plus grandes villes non allemandes :
............
Le Reich avait déjà perdu le manganèse ukrainien, le chrome turc, le tungstène portugais et espagnol, le pétrole roumain, les minerais des Balkans, la bauxite du sud de la France et probablement le nickel finlandais de Petsamo. La durée pendant laquelle la Suède fournirait du minerai de fer était incertaine. Le 1er septembre, Speer assurait à Dönitz qu'il disposait déjà de suffisamment de minerai de fer pour toute l'année 1945. Mais plus tard, le verdict final de ses experts sur la « région économique minimale » de Hitler arriva à une conclusion très différente : « Si la production actuelle d'aciers spéciaux se poursuit, , les réserves de chrome seront épuisées le 1er janvier 1945.
En supposant que ce goulot d'étranglement puisse être surmonté d'une manière ou d'une autre, la production d'acier
prendrait fin le 31 août 1945.
"Hitler s'est soudain mis à parler de guerre", dit un médecin qui le soigne à ce moment-là.
temps rappelé. «Il a dit que les messieurs britanniques et américains avaient fait un
énorme erreur de calcul. Il avait encore toutes les matières premières dont il avait besoin pour tenir un an ; nous avions même suffisamment d’essence en réserve pour onze mois.
Néanmoins, « un an » imposait un délai très clair pour toute rupture entre l’Est et l’Ouest – si une telle rupture devait profiter à l’Allemagne hitlérienne.
les séquelles cliniques du 20 juillet persistaient encore. Son bras était loin d'être guéri. Pire encore, il avait attrapé un rhume à cause de son coiffeur – car il ne pouvait toujours pas se raser – et de violents maux de tête aux sinus avaient commencé à l’empêcher de dormir toute la nuit.
Le 18 août, le professeur von Eicken l'avait examiné et avait recommandé un sulfamide différent de l'Ultraseptyl.
Morell le réprimanda sèchement : « Hors de question, le Führer est allergique à tout le reste. »
Pour soulager ses douleurs aux sinus, Erwin Giesing a commencé une légère cure d'un traitement à la cocaïne: Hitler ressentit un soulagement immédiat, même si la réaction à la cocaïne le faisait souvent transpirer ; à un moment donné, il eut le vertige, les choses devinrent noires devant ses yeux et, pendant quatre-vingt-dix secondes, il dut s'appuyer lourdement sur la table pour ne pas tomber. Peut-être inévitablement, au cours des semaines suivantes, le Führer a commencé à supplier le médecin militaire de prolonger les traitements à la cocaïne. Il a taquiné le médecin : « J’espère que vous ne faites pas de moi un toxicomane. » Il a commencé à s’intéresser morbidement à son propre corps ; il emprunta des lexiques médicaux à Giesing et expérimenta sur ses aides-soignants les miroirs et les instruments de Giesing après le départ du médecin. Son célèbre souvenir s’estompait cependant ; il oubliait désormais facilement les noms et les visages.
« Mais qu’importe ma santé, quand l’existence de la nation entière est en jeu ? » demandait-il d’une voix rauque au médecin.
L’attentat contre sa vie l’avait rendu de plus en plus irritable et hargneux.
Sortant de son bunker pour se rendre à la cabane de conférence, il trouva son adjudant SS de 1,80m, Richard Schulze, qui attendait consciencieusement pour l'escorter.
« Herrgott !(oh mon dieu!) » éclata Hitler. «Je ne peux jamais y arriver seul!»
Tout le monde était suspect, nouveau ou ancien : les agents de la Gestapo surveillaient également chaque mouvement de Rommel maintenant qu'il s'était levé de son lit de malade.
à l’ouest, Hitler avait reconduit le maréchal von Rundstedt au poste de commandant suprême ; sa loyauté, au moins, était irréprochable. Model avait le commandement tactique, en tant que commandant du groupe d'armées B. Le 3 septembre, Bruxelles tomba et le lendemain, les Alliés s'emparèrent du port d'Anvers ; pratiquement aucun effort n'a été fait pour détruire les installations portuaires. Model rapporte que les Alliés disposaient de deux mille cinq cents chars ; l'effectif total des chars allemands à l'ouest était inférieur à une centaine. Sans couverture aérienne, il était impuissant.
st.ex.- Lieutenant-colonel
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Re: La bataille des ardennes 1944 Version Allemandes Planification et 1er ordres
et un autre paragraphe pour la suite.
Donc comme vous pouvez le lire, ici tant de choses son entrer en compte, et c'est aussi comme cela que il est plus difficile de gérer lorsque on est attaquer de deux front.
............
Göring a cependant fourni à Hitler les moyens de boucher le bâillement
rupture entre la Septième Armée à la frontière allemande et le Nord
Mer. Le 4 septembre, Hitler ordonna à Student de créer une nouvelle armée, la Première Armée de Parachutistes, le long du canal Albert en Belgique – une maigre force composée de vingt-cinq chars et de trente-cinq batteries de canons anti-aériens de 88 millimètres pour défendre une zone de soixante-cinq chars et trente-cinq batteries de canons anti-aériens de 88 millimètres. ligne kilométrique de Maastricht à Anvers; la ligne d'Anvers à la mer serait reprise par les restes de la Quinzième Armée luttant pour l'estuaire de l'Escaut.
Plus au sud, la déroute fut également stoppée après Hitler, Keitel et Bormann.
a donné des ordres draconiens aux généraux commandants et aux gauleiters.
Lorsque les gauleiters avertirent Bormann que le quartier général militaire s'installait dans des hôtels et des châteaux de luxe à l'intérieur de la frontière allemande, Hitler intervint en ordonnant à ses généraux de loger leur état-major dans les quartiers les plus modestes possibles. Comme en Prusse orientale, tout le long de la frontière occidentale, femmes et enfants, jeunes et vieux, creusaient des fortifications improvisées à la hâte. Pour stopper l'invasion alliée, les usines produisaient des centaines de milliers de bazookas, en plus des chars, de l'artillerie et des munitions supplémentaires qu'Hitler avait commandés pour sa grande contre-attaque hivernale – la « grande opportunité » que « le brouillard, la nuit et la neige » ' lui permettrait, comme il l'avait prophétisé le 1er septembre.
Les Alliés manquaient de carburant, les meilleurs ports français étant toujours refusés.
à eux par les garnisons allemandes. Mais Jodl s’est opposé au lancement d’une attaque majeure avant le 1er novembre. Le programme d’entraînement des Volksgrenadier de Himmler et l’effort de production d’armes spéciales de Speer étaient axés sur la date du 1er novembre fixée par Hitler à la mi-août. Hitler était angoissé par l'offensive à venir. Les heures d'inactivité que lui imposaient ses médecins lui donnaient le temps de réfléchir, ou plutôt de ruminer. Alors qu'il regardait pendant des heures le plafond de sa chambre superposée, une campagne bien plus aventureuse prenait forme dans son esprit.
Vers le 12 septembre, il fit venir Jodl, qui alla chercher une carte. Ensemble
ils le déroulèrent sur le couvre-lit blanc. Hitler lui dit qu'il avait décidé de frapper à nouveau à travers les Ardennes – théâtre de son triomphe de 1940 – et de s'emparer d'Anvers dès la fermeture de l'hiver. Ce jour-là, il créa une nouvelle armée de panzers SS en Allemagne et transféra le robuste général SS Sepp Dietrich de la Cinquième Armée Panzer pour le commander, camouflant l'importance de cette décision en disant au général Hasso von Manteuffel, son successeur, qu'il estimait qu'il était préférable de faire un meilleur usage de Dietrich chez soi que sur le terrain. La Sixième Armée Panzer SS devait être le fer de lance de la campagne ardennaise de Rundstedt.
Pourquoi les SS ? La réponse réside en partie dans le bilan peu encourageant de l’armée à l’ouest. En outre, les rapports de la Gestapo – transmis sans pitié à Hitler par Bormann et Fegelein – ont mis à nu la décadence morale dans laquelle la plupart des généraux de l’armée étaient apparemment retombés : Beck, un aimable procrastinateur et un méditateur amer ; Witzleben, le pessimiste dont la seule lecture était des livres d’écolière de la bibliothèque de sa femme ; Eduard Wagner, un bâtisseur d'empire bureaucratique de vanité pathologique. Dans les caves d’Olbricht, les enquêteurs trouvèrent un millier de bouteilles de vin. Fromm avait régulièrement pris l'avion pour des parties de chasse privées, envoyant sa Mercedes vide par la route. Pendant que les armées réclamaient des troupes, les conspirateurs avaient gaspillé des soldats valides dans de petits travaux ménagers ou dans la garde de leurs maisons endommagées par les bombes.
En raison de la crise du carburant, des attelages de bœufs devaient désormais transporter les avions à réaction Me-262 sur les pistes des aérodromes allemands. Mais selon les rapports de la Gestapo, Stauffenberg avait demandé à son chauffeur militaire de lui conduire une centaine de kilomètres par jour ou plus lors d'excursions privées – en outre, sa maison serait remplie d'alcool du marché noir et d'autres produits de luxe.
Après la conférence de guerre régulière du 12 septembre, Hitler demanda à certains
des hommes devaient rester sur place, parmi lesquels Jodl, Guderian, Buhle, Fegelein et Hewel. Le journal de Kreipe rapporte que Jodl commença par déclarer que quelque cinquante-cinq divisions allemandes affrontaient actuellement quatre-vingt-seize divisions ennemies à l’ouest.
« Le Führer interrompt Jodl : il a décidé de lancer une contre-attaque.
des Ardennes, avec Anvers comme cible. » Il considérait que le
La position défensive allemande était suffisamment solide pour contrebalancer l’avantage numérique de l’ennemi. « Le front actuel peut facilement être tenu ! Notre propre force d'attaque sera composée de trente nouvelles divisions Volksgrenadier et de nouvelles divisions Panzer, ainsi que de divisions Panzer du front de l'Est. Séparez les armées britanniques et américaines, puis un nouveau Dunkerque !
Avec Anvers aux mains des Allemands, cette fois les armées ennemies encerclées
n'aurait aucun port d'où s'échapper. "Guderian s'y oppose en raison de la situation sur le front de l'Est", ajoute le journal de Kreipe. « Jodl fait référence à la force aérienne ennemi suprématie » et : « Le Führer exige mille cinq cents Chasseurs d’ici le 1er novembre ! » Les objections motivées de Kreipe furent rejetées. « Commentaires acides. C’est pourquoi notre offensive débutera dans une période de mauvais temps, lorsque l’aviation ennemie sera également clouée au sol. Von Rundstedt prendra le commandement. » Sous peine de mort, Hitler leur a ordonné de garder ce secret pour eux. Les troupes américaines se trouvaient désormais sur le sol allemand et une lutte sanglante pour Aix-la-Chapelle, la première grande ville allemande, avait commencé. Hitler a envoyé le message secret suivant à ses commandants le 16 septembre, leur demandant de le transmettre oralement à leurs troupes.
Les combats à l’ouest ont désormais débordé sur le sol allemand. Les villes et les villages Allemand deviendront des champs de bataille. Ce fait doit insuffler du fanatisme dans notre combat et inciter chaque homme valide dans la zone de combat à faire un effort suprême, pour que chaque casemate, chaque pâté de maisons, chaque village devienne une forteresse contre laquelle l'ennemi se vide de son sang ou qui y sera ensevelit. ses défenseurs dans la lutte d'homme à homme. Ce ne sera plus une guerre de mouvement, mais un choix entre
tenir la ligne ou être anéanti. .
.....
le 17 septembre 1944, les spéculations allemandes sur le prochain mouvement des Alliés vers l’ouest prirent fin de façon spectaculaire. Au lieu de tenter un assaut frontal direct contre le mur de l'ouest, les Alliés lancèrent une attaque aéroportée soudaine sur les principaux ponts fluviaux des Pays-Bas ; l'attaque visait à capturer une succession de passages importants depuis Eindhoven jusqu'au pont du Rhin à Arnhem, à cinquante milles au nord. Les fers de lance blindés britanniques et américains plongent vers le nord le long du couloir ainsi créé vers le Zuider Zee ; leur mission était de couper toutes les troupes hitlériennes en Hollande et de détruire les sites de lancement de fusées V-2 près de La Haye.
Le cœur d’Hitler manqua un battement à cette nouvelle. Son chef de la Luftwaffe notait dans son journal : « Téléphoner sans arrêt et donner des ordres pour la défense. Téléphones avec le Führer. Après-midi, je reviens le revoir avec Jodl. Tout un rabat.
Plus de mille cinq cents transports de troupes alliés et cinq cents planeurs y avaient participé. Arnhem semblait pratiquement sans défense : elle n'était même pas dans la zone de combat allemande. Le commandant de la ville avait été tué dans un raid aérien ce matin-là, ne laissant aux commandes que son vieil officier des opérations, un certain major Ernst Schleifenbaum.
......
une catastrophe personnelle était sur le point de s'abattre sur Hitler. Mais d'abord, Martin Bormann obtint de lui, le 26 septembre 1944, une signature ordonnant au Parti de lever une armée populaire, une Volkssturm, par prélèvement public sur tout homme valide entre seize et soixante ans, pour la défense du sol allemand. L’idée originale était celle de Guderian. Alarmé de voir ses troupes de siège et de défense à l'est se drainer vers le mur ouest, il avait proposé une réserve territoriale locale (Landsturm) pour boucher temporairement toute brèche dans ses défenses orientales.
Bormann, cependant, pouvait souligner les résultats obtenus par le Parti à l'ouest ; Rundstedt l'avait hautement félicité. Hitler faisait confiance à Bormann et le Parti fut chargé de lever la Volkssturm – de mobiliser « le peuple » tout comme Staline avait mobilisé les ouvriers des usines de Moscou et de Leningrad en 1941. Le 21 septembre, Hitler avait questionné Bormann.
Le général von Greim, commandant de la Sixième Force aérienne sur le front de l’Est, lui demanda de devenir le « commandant en chef adjoint » de Göring. Greim en discuta en profondeur avec Himmler, Fegelein et Bormann au cours des deux semaines suivantes. Alors Göring se révolta et le renvoya vers l'est. À la mi-octobre, il partit à la chasse à Rominten Heide.
A la Tanière du Loup, le général Eckhard Christian représentait seul la Luftwaffe lorsque les conférences de guerre d’Hitler reprirent. La guerre stagna de toute façon pendant les deux semaines de maladie d’Hitler. Des rumeurs inquiétantes venaient encore de Hongrie ; la planification de l'offensive des Ardennes s'est poursuivie ; à Varsovie, le soulèvement polonais s'est effondré ; dans le nord de la Norvège, Hitler autorisa la vingtième armée à se replier sur la ligne Lyngen Fjord-Narvik ; dans les Balkans, il ordonna d'abandonner à l'ennemi toute la Grèce, la Macédoine du Sud et l'Albanie du Sud. Un rapport mélancolique lui parvint sur les derniers jours de la domination allemande en
Estonie.
Donc comme vous pouvez le lire, ici tant de choses son entrer en compte, et c'est aussi comme cela que il est plus difficile de gérer lorsque on est attaquer de deux front.
st.ex.- Lieutenant-colonel
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Date d'inscription : 29/01/2009
Re: La bataille des ardennes 1944 Version Allemandes Planification et 1er ordres
Bonjour St.Ex .
Sujet intéressent .
Peux tu nous donné le lien de ton texte s'il te plait , pour de plus ample informations (pour moi
) .
Merci a toi .
Sujet intéressent .
Peux tu nous donné le lien de ton texte s'il te plait , pour de plus ample informations (pour moi

Merci a toi .
Re: La bataille des ardennes 1944 Version Allemandes Planification et 1er ordres
salut bigbasketeur!
https://www.unz.com/book/david_irving__hitlers-war/
Et oui, ici c'est juste une de mes sources principale, en raison que ici on trouve plein d'info direct sur hitler.
Mais malheureusement, les dossiers top secret, ou hitler avait du même ordonné, qu'aucun enregistrement soit fait, donc aucun rapport entrant dans les journaux, ici cela a été respecté. Mais après la guerre, oui bien sûr, comme par exemple le GFM von Rundstett, puisque Modell, lui s'était suicidé même avant Adolf. Ainsi dans un des journal de Guerre, des anciens officier ayant participé dans l'operation "Wacht am Rhein", du moins pour les attaques de Modell et de von Rundstett. mais pour Skorzeny qui était le premier que hitler avait avertit le 22 Octobre l'opération pour sa 150. Panzerbrigade (Greif), tandis que von Rundstett et Modell, eu c'était 1 semaine après soit le 27 octobres.
Donc pour ses deux dates, ici "hitler war", rapporte juste pour la date du 22 octobre, ou Hitler la prévenu, et lui confia la tâche en cinq semaine de préparer cette unité, pour les infiltrations..... Pour la date du 27, nada Modell et von Rundstett se trouvèrent bien sûr appelé à venir, mais aucune mention n'a été enregistrer sur la discussion qui a eu lieu.
Et sous youtube, on peu voir aussi les 3 hommes de skorzeny passé au armes. Eux leurs tombes se trouve en Hollandes.
https://www.oorlogsslachtoffers.nl/greif1944/
En langue Allemande.
Donc le nom des trois hommes était Billing, Pernass et Schmidt.
Si tu sait lire l'allemand, ne te gêne pas, parce que le document est protégé contre la copie, donc tu ne pourra pas utiliser google pour le traduire.
Pour le Brigadeführer Wilhelm Mohnke de la LSSAH. Lui avait été informé juste 2 jours avant le début de l'opération.
Tandis que le 10 Décembre 40 des 50 Généraux, eux furent mis au courant en ayant été convoqué auprès de Hitler.
Donc comme tu peut le comprendre, le silence était de rigueur, pour être sûr, que si il y'a des prisonniers de guerre, que eux n'eurent même pas encore connaissance du début de l'opération.
Dans le livre d'irving, ici oui pour skorzeny il y'a bien l'énnumération sur l'affaire que son commando à effectuer, soit l'enlèvement du fils de Horty, mais j'ai même pas regarder si il y'avait quelques chose sur "Rösselsprung" soit la tentative raté pour enlever "Tito" au printemps 1944.
Skorzeny, ici il sursaute le passage, en raison que il écrit juste les actions qu'il eu réussi, pour sa mémoire. Donc c'était juste pour te l'énnumérer, parce que ce sujet traitera juste de la planification et des premiers ordres pour la bataille des ardennes
https://www.unz.com/book/david_irving__hitlers-war/
Et oui, ici c'est juste une de mes sources principale, en raison que ici on trouve plein d'info direct sur hitler.
Mais malheureusement, les dossiers top secret, ou hitler avait du même ordonné, qu'aucun enregistrement soit fait, donc aucun rapport entrant dans les journaux, ici cela a été respecté. Mais après la guerre, oui bien sûr, comme par exemple le GFM von Rundstett, puisque Modell, lui s'était suicidé même avant Adolf. Ainsi dans un des journal de Guerre, des anciens officier ayant participé dans l'operation "Wacht am Rhein", du moins pour les attaques de Modell et de von Rundstett. mais pour Skorzeny qui était le premier que hitler avait avertit le 22 Octobre l'opération pour sa 150. Panzerbrigade (Greif), tandis que von Rundstett et Modell, eu c'était 1 semaine après soit le 27 octobres.
Donc pour ses deux dates, ici "hitler war", rapporte juste pour la date du 22 octobre, ou Hitler la prévenu, et lui confia la tâche en cinq semaine de préparer cette unité, pour les infiltrations..... Pour la date du 27, nada Modell et von Rundstett se trouvèrent bien sûr appelé à venir, mais aucune mention n'a été enregistrer sur la discussion qui a eu lieu.
Et sous youtube, on peu voir aussi les 3 hommes de skorzeny passé au armes. Eux leurs tombes se trouve en Hollandes.
https://www.oorlogsslachtoffers.nl/greif1944/
En langue Allemande.
Donc le nom des trois hommes était Billing, Pernass et Schmidt.
Si tu sait lire l'allemand, ne te gêne pas, parce que le document est protégé contre la copie, donc tu ne pourra pas utiliser google pour le traduire.
Pour le Brigadeführer Wilhelm Mohnke de la LSSAH. Lui avait été informé juste 2 jours avant le début de l'opération.
Tandis que le 10 Décembre 40 des 50 Généraux, eux furent mis au courant en ayant été convoqué auprès de Hitler.
Donc comme tu peut le comprendre, le silence était de rigueur, pour être sûr, que si il y'a des prisonniers de guerre, que eux n'eurent même pas encore connaissance du début de l'opération.
Dans le livre d'irving, ici oui pour skorzeny il y'a bien l'énnumération sur l'affaire que son commando à effectuer, soit l'enlèvement du fils de Horty, mais j'ai même pas regarder si il y'avait quelques chose sur "Rösselsprung" soit la tentative raté pour enlever "Tito" au printemps 1944.
Skorzeny, ici il sursaute le passage, en raison que il écrit juste les actions qu'il eu réussi, pour sa mémoire. Donc c'était juste pour te l'énnumérer, parce que ce sujet traitera juste de la planification et des premiers ordres pour la bataille des ardennes
st.ex.- Lieutenant-colonel
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Re: La bataille des ardennes 1944 Version Allemandes Planification et 1er ordres
Et puis BigBasketeur, tient pour toi, une autre source en plus, je te laisse découvrir en lisant.
https://eucmh.com/2022/02/15/ipw-report-17-billing-pernass-schmidt/
en clair:
Donc je te laisse lire le reste en Anglais sur le lien que je t'ai donné.
Je pense que tu sait déchiffré IPW en anglais?IPW Report #17 (Einheit Stielau) (Billing – Pernass – Schmidt)
https://eucmh.com/2022/02/15/ipw-report-17-billing-pernass-schmidt/
en clair:
(Source du document) : Fichier de données brutes 30-ID, rapport d'interrogatoire des prisonniers de guerre, n° 17, Billing, Schmidt, Pernass.
L'Unteroffizier Manfred Pernass, l'Oberfähnrich Günther Billing et le Gefreiter Wilhelm Schmidt ont été capturés le 18 décembre 1944 à Aywaille, en Belgique, après avoir omis de donner le mot de passe correct à un point de contrôle américain. Après un procès militaire à Eupen, en Belgique, le 21 décembre, ils ont été condamnés à mort et exécutés par un peloton d'exécution le 23 décembre à Henri-Chapelle, en Belgique.
Donc je te laisse lire le reste en Anglais sur le lien que je t'ai donné.
st.ex.- Lieutenant-colonel
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Re: La bataille des ardennes 1944 Version Allemandes Planification et 1er ordres
Bien je reprend donc avec une autre source: Otto Skorzeny.
Je continue demain.
PLANIFICATION DE L'ATTAQUE
Vers la fin octobre 1944, Hitler m'a appelé à son quartier général en Prusse orientale et m'a fait part de ses projets d'offensive d'hiver. Hitler a déclaré que c'était pour nous l'offensive décisive et que la première étape serait d'atteindre la Meuse entre Liège et Namur. Si cela réussissait, nous devions continuer notre route vers Anvers pour couper le front nord. Il m'a parlé de l'énorme quantité de matériel qui avait été accumulé et je me souviens qu'il avait mentionné que nous aurions 6000 pièces d'artillerie dans les Ardennes, et en plus la Luftwaffe aurait environ 2000 avions dont de nombreux nouveaux Strahl (ME-262 ) Avions. Il m'a alors dit que je dirigerais une brigade de panzers qui serait entraînée à atteindre les ponts de la Meuse et à les capturer intacts. Je lui ai dit que si je devais faire cela dans le peu de temps qui m'était imparti, je devrais abandonner tous mes autres travaux. Hitler a accepté et m'a dit que l'armée enverrait certains de ses meilleurs officiers pour mon unité. Hitler m'a ensuite envoyé au général Alfred Jodl CoS-OKW. Il m'a donné plus de détails sur le plan et le rôle de la Brigade. J'ai ensuite parlé au général Feldmarschall Wilhelm Keitel CG-OKW et à un colonel, et ils ont précisé les détails de mon rôle.
Vers la fin novembre ou le premier décembre, j'ai été de nouveau appelé au quartier général d'Hitler, cette fois à Berlin, pour discuter de nouveaux plans d'attaque. Hitler n'était pas présent à cette conférence. On nous a dit que nous aurions initialement trois jours de provisions de rations et de munitions et qu'il y aurait suffisamment de camions brûlant de l'essence de bois pour apporter des provisions supplémentaires (Comme nos traction qui en cette période roulait avec du Gaz de bois). On nous a dit de ne pas nous inquiéter, mais il m'est vite apparu que de nombreuses promesses avaient été faites. On m’a dit en privé qu’il n’y aurait qu’environ 140 avions en Occident au lieu des 2 000 mentionnés par Hitler.
L’offensive a été reportée à plusieurs reprises et je n’ai su que le 14 décembre qu’elle commencerait finalement le 16 décembre.
Immédiatement après ma première rencontre avec Hitler, mes troupes ont commencé à arriver et l'entraînement a commencé. À cette époque, j’étais le seul membre de notre brigade à connaître les plans de l’attaque. À la mi-novembre, j'ai réuni mes trois commandants de groupe et leur ai dit que nous nous attendions à une offensive américaine quelque part dans le secteur d'Aix-la-Chapelle et que notre plan était de laisser les Américains pénétrer dans nos lignes puis de les couper. A cette époque, notre brigade devait créer un désordre considérable dans les lignes arrière et contribuer à l'anéantissement de ces forces. Vers le 1er décembre, tous les officiers de la brigade ont appris cette même esquisse de nos plans, et ce n'est que le 10 décembre que même les commandants de groupe ont eu connaissance des véritables plans d'attaque.
ORGANISATION DES UNITÉS DE SKORZENY
Mon organisation était composée de deux groupes principaux : l'unité Commandos et la 150.Panzer-Brigade. L'unité Commando était composée d'hommes anglophones retirés de diverses unités des forces armées. J'ai reçu environ 600 hommes au départ et parmi ceux-ci, j'en ai choisi 150 parmi les meilleurs. Tous étaient équipés d’uniformes américains et de jeeps. Ils étaient divisés en trois groupes : (1) Groupes d'explosifs , composés de cinq à six hommes dans chaque groupe dont la tâche consistait à faire sauter les ponts, les dépôts de munitions et les dépôts d'essence. (2) Groupes de reconnaissance , ces unités composées de trois à quatre hommes effectuaient une reconnaissance en profondeur à l'est et à l'ouest de la Meuse pour reconnaître les chars ennemis, l'artillerie et d'autres mouvements d'unités. Certains de ces groupes étaient équipés de radios avec lesquelles ils devaient renvoyer des informations sur ces mouvements. Ces groupes ont également reçu pour instruction de donner de faux ordres aux unités qu'ils rencontraient, d'inverser les panneaux routiers, de retirer les panneaux indiquant les champs de mines et de mettre une bande blanche dans les rues sans mines afin que les forces ennemies croient que les routes sont bloquées. (3) Commandos de tête . Ces groupes de trois à quatre hommes devaient principalement perturber les dirigeants ennemis en coupant les fils téléphoniques, en détruisant les stations de radio et en donnant de faux ordres. Ils devaient travailler en étroite collaboration avec les divisions attaquantes.
La 150.Panzer-Brigade était composée de deux chars et d'un groupe de combat d'infanterie, chacun avec son propre petit état-major de combat. Les forces totales de la brigade étaient les suivantes :
1) Mon Etat major et une compagnie de signaux
2) Trois petits Etat major de combat
3) Deux compagnies de signaux provenant de la Wehrmacht (200 hommes)
4) Deux bataillons provenant du Kampfgruppe 200 (Fallschirmjäeger) (Luftwaffe) (800 hommes)
5) Une compagnie du bataillon Jagdverband Mitte (175 hommes)
6) Deux compagnies du bataillon 600 des Fallschirmjaeger (380 hommes)
7) Deux compagnies de panzer de la Wehrmacht (24 hommes)
8) Deux compagnies de Panzer grenadiers (350 hommes)
9) Deux compagnies de mortiers lourds de la Wehrmacht (200 hommes)
10) Deux compagnies Panzer Abwehr de la Wehrmacht (200 hommes)
11) Une compagnie de pionnier (100 hommes)
12) Trois Pelottons de réparation de véhicules (75 hommes)
Toutes ces compagnies un été peu plus faibles qu'une unité ordinaire de la Wehrmacht.Les deux Panzer Compagnies détenaient 12 chars chacune, La moitié d'entre eux était des chars Sherman ou des M-10 et l'autre moitié des Panthers V.Dans les Compagnies de Panzer Grenadier, de deux à trois étaient des Halftrack américains et les dix à douze autres des allemands.
Je continue demain.
st.ex.- Lieutenant-colonel
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Re: La bataille des ardennes 1944 Version Allemandes Planification et 1er ordres
la suite:
C'était comme cela que décrivit Skorzeny lors de son interrogatoire en étant prisonnier de Guerre. Donc ici pendant l'interrogatoire, bien sûr, c'est juste la partie de l'histoire, que Skorzeny a bien sûr souhaita racconté pour "l'opération Greif", donc pas de mentions sur les autres missions qu'il a effectuer au cours de la guerre.
Et il mentionne encore, pour le cas, ou certains on regarder le Film "Ike l'épopée d'un héros" avec Lee Remik, dans le rôle de kate summersby. Et Robert Duvall dans le rôle d'Ike. Oui ici pour la période de Noel 1944, Monty fait bien réfférence a des rummeurs, comme quoi, il y'avait un commando qui souhaita kidnappé Ike.
Oui excusez moi, j'ai trop vite lu les rang SS, dans le récit de Skorzeny, donc SS Sturmbannführer = Commandant pour le rang de Adrien Fölkersam, et Obersturbannführer = le rang de Lieutenant collonel pour celui de Hardieck.
Ci-après un échantillon d'une organisation de l'un des groupes Panzer Combat :
1) Un état major restreint
2) Un peloton de signaux
3) Une Compagnie de panzer
4) Trois compagnies d'infanterie (120-150 hommes)
– a. Deux Compagnie Kampfgruppe 200 Fallschirmjaeger
– b. Une Compagnie Jagdverband Mitte ou Fallschirmjaeger Btl. 600
5) Deux pelotons de mortiers lourds (120-MM)
6) Deux pelotons Panzer Abwehr (Anti-char)
7) Deux pelotons de Panzer grenadiers
8) Un peloton pionnier
9) Un groupe de réparation de véhicules
Les deux groupes de Panzer on été organiser de la même façon, pour le groupe d'infanterie elle est de même, à l'exception du fait qu'ils n'avait pas de chars.
PLAN POUR LE PANZER-BRIGADE 150
La mission de la brigade est de s'emparer de deux ponts sur la Meuse intacte parmi les possibilités suivantes : Amay, Huy ou Andenne. Ce planj est entrer en vigueur lorsque les unités panzer des Panzerdivisions attaquerait la hauteur de Hohe Venn, à peu près plus une ligne allant du Nord-Est et du Sud-Est à partir de Spa.À ce moment-là, mes troupes allait de l'avant dans la nuit et atteindrons notre objectif six heures plus tard.À l'origine, il est prévu que l'attaque de l'attaque la région de Hohe Venn, à peu près sur une ligne allant du Nord-Est et du Sud-Est depuis Spa. En ce temps là, mes troupes devaient aller à l'avant pendant la nuit, et six heures après, avoir atteint leurs objectif. Suivant le plan originale l'attaque de la région Hohe Venn, allait s'effectuer le premier jour et que nous partirions cette nuit-là. Le plan ne pouvait qu'être mis en œuvre que si la zone du Hohe Venn a été atteinte, en raison que nous devions aller de l'avant avec une surprise totale et sans devoir entrer dans des combats. Les trois groupes devaient alors aller en utilisant des routes parallèles depuis ces trois ponts avec une communication radio entre le groupe afin qu'ils puissent se déplacer si une résistance était rencontrée.
EMPLOI DES COMMANDOS
Nous avons envoyer à l'avant pendant les premiers jours de l'attaque, quatre groupes de commandos de reconnaissance et deux groupes de commandos saboteur. De plus, un groupe de commandos en tête accompagnait chacune des divisions suivante 1.SS-Panzer-Division, 12.SS-Panzer-Division et 12.Volksgrenadier-Division. Enfin, une unité accompagnait chacun des groupes de la Panzer-Brigade 150. Au total, 44 hommes on été envoyé pour interagir avec ses unités. Parmi tout ses hommes, huit d'entre eux en sont revenus.
Au cours des deux ou trois premiers jours, alors que nos positions étaient extrêmement désorganisé, on as pu obtenir des informations de ces commandos.Voici quelques-uns des faits que ces unités nous ont-transmit :
1) Une jeep a traversé Malmédy et a découvert que la ville est très peu défendu ;
2) Les mouvements ennemis ont été repérés au sud de Liège, mais pas à grande échelle ;
3) Nous avons découvert que tous tous les aérodrome à l'Est de la Meuse ont été cloué au sol. Cela est très important pour nous, en raison que nous étions au courant que l'armée de l'air ennemie ne pourra pas être employée immédiatement (Skorzeny ne s'est étendu sur ce point, d'après sa vision il pensait que en ce temps là, nous allions devoir battre en retraite et utiliser des terrains d'aviation pour les chasseurs-bombardiers à l'Ouest de la Meuse).
4) Nous avons localisé des dépôts de munitions à Liège et à Huy, et un groupe nous a signalé qu'ils ont fait sauté un petit dépôt de munitions ;
5) Nous avons localisée, un dépôt d'essence qui je pense devait se trouver dans la zone de Vaux-Chavanne. Cet emplacement a été signalé au I.SS-Panzer-Corps;
(6) Un groupe a affirmé a dérouté tout un régiment américain, mais bien entendu, nous ne pouvons pas en être sûrs. Cependant, nous avons écouté certaines émissions américaines qui mentionnaient qu'un régiment était recherché depuis deux ou trois jours. (Un régiment de la 84ème Division d'infanterie a été dirigé sur une mauvaise route par un MP alors que l'unité se déplaçait dans le secteur des Ardennes. Il est très possible qu'il s'agisse de l'unité en question car aucune trace n'a pu être trouvée d'un MP américain qui avait été à cette intersection particulière.)
Nous n'étions pas en mesure de recevoir des rapports radio provenant des commandos de reconnaissance à cause du mauvais temps, du brouillard et du vent, ainsi que la cause des hautes collines entre mon quartier général se trouvant à Schmidtheim et mes unités.
Ces unités de jeeps eurent passés les lignes ennemies par les moyens ci mentionné :
1) Les jeeps suivait à l'arrière d'une colonne de Panzer et lorsque la colonne entamèrent un échange de tirs avec l'ennemi, les jeeps quittèrent la voie principale et contournait la zone de combat sur les chemins parallèle jusqu'à ce qu'ils se son trouvé à l'arrière des troupes américaines. Cela a été très facile au cours des premiers jours de combats qui furent confus.
2) Les Certaines jeeps empruntait de petits sentiers dans les zones boisées jusqu'à se retrouver derrière les lignes ennemies.
3) Et Certaines autres unités sont passées pendant la nuit.
C'était comme cela que décrivit Skorzeny lors de son interrogatoire en étant prisonnier de Guerre. Donc ici pendant l'interrogatoire, bien sûr, c'est juste la partie de l'histoire, que Skorzeny a bien sûr souhaita racconté pour "l'opération Greif", donc pas de mentions sur les autres missions qu'il a effectuer au cours de la guerre.
Et il mentionne encore, pour le cas, ou certains on regarder le Film "Ike l'épopée d'un héros" avec Lee Remik, dans le rôle de kate summersby. Et Robert Duvall dans le rôle d'Ike. Oui ici pour la période de Noel 1944, Monty fait bien réfférence a des rummeurs, comme quoi, il y'avait un commando qui souhaita kidnappé Ike.
COMMENTAIRES SUR LE COMPLOT POUR CAPTURER EISENHOWER
Nous n’avions pas prévu de capturer de hauts responsables américains. Cela n’a jamais fait partie du schéma ou du plan. Mais début novembre, lorsque les unités furent organisées, les militaires commencèrent à répandre des rumeurs sur l'emploi de cette unité spéciale. Naturellement, nous avons censuré tout le courrier et, dans un premier temps, nous avons essayé de supprimer ces rumeurs. À la mi-novembre, j’ai commencé à réaliser qu’il serait impossible d’essayer d’arrêter ses rumeurs, dont beaucoup étaient répandues par les officiers de l’unité. J’ai eu une réunion avec le SS-Sturmbannführer Fölkersam (Capitaine), qui était mon chef d’état-major, et le SS-Obersturmbannführer Hardieck (Commandant)et j’ai finalement décidé que nous laisserions passer les rumeurs mais que nous les dirigerions de manière à ce qu’ils ne se rapprochent pas de la vérité. Dans la mesure où nous étions tous les trois les seuls à connaître les plans de notre déploiement, ce n'était pas une tâche difficile.
Je me souviens particulièrement que certains hommes affirmaient que notre unité devait à elle seule capturer Anvers, et d'autres rapports affirmaient que nous devions utiliser notre brigade pour nous rendre à Dunkerque et libérer les troupes allemandes encerclées dans cette ville. Je suis tout à fait certain que la rumeur sur la capture du général Eisenhower a commencé de cette façon. Naturellement, nous avons finalement commencé à encourager ces rumeurs, estimant qu'elles cacheraient le véritable objectif de la Brigade.
Remarque : Le grade américain le plus élevé que nous avons utilisé était celui de colonel. Nous n’avions pas de général de brigade dans nos commandos.
Oui excusez moi, j'ai trop vite lu les rang SS, dans le récit de Skorzeny, donc SS Sturmbannführer = Commandant pour le rang de Adrien Fölkersam, et Obersturbannführer = le rang de Lieutenant collonel pour celui de Hardieck.
st.ex.- Lieutenant-colonel
- Nombre de messages : 399
Age : 59
Localisation : Husseren-Wesserling france
Date d'inscription : 29/01/2009
Re: La bataille des ardennes 1944 Version Allemandes Planification et 1er ordres
Bonsoir,
Au moment de son décès, Adrian von Fölkersam était SS Hauptstûrmführer (capitaine je crois) et Il à eu le grade de SS Stürmbannführer (donc Major) à titre posthume me semble-t-il. Il avait commencé sa carrière en rejoignant les Brandenbourgeois.
Au moment de son décès, Adrian von Fölkersam était SS Hauptstûrmführer (capitaine je crois) et Il à eu le grade de SS Stürmbannführer (donc Major) à titre posthume me semble-t-il. Il avait commencé sa carrière en rejoignant les Brandenbourgeois.
Re: La bataille des ardennes 1944 Version Allemandes Planification et 1er ordres
st.ex. a écrit:salut bigbasketeur!
https://www.unz.com/book/david_irving__hitlers-war/
Et oui, ici c'est juste une de mes sources principale, en raison que ici on trouve plein d'info direct sur hitler.
st.ex. a écrit:Et puis BigBasketeur, tient pour toi, une autre source en plus, je te laisse découvrir en lisant.Je pense que tu sait déchiffré IPW en anglais?IPW Report #17 (Einheit Stielau) (Billing – Pernass – Schmidt)
https://eucmh.com/2022/02/15/ipw-report-17-billing-pernass-schmidt/
Donc je te laisse lire le reste en Anglais sur le lien que je t'ai donné.
Bonjour St Ex .
Merci pour les liens , que je n'ai pas encore eu le temps de visiter .
Mais pour information , David Irving n'est pas un auteur qui avait été jugé pour négationnisme ?? Ou je me trompe ??
Re: La bataille des ardennes 1944 Version Allemandes Planification et 1er ordres
David Irving avait perdu tout crédibilité en tant qu'auteur-Historien après ses paroles négationnistes.
Re: La bataille des ardennes 1944 Version Allemandes Planification et 1er ordres
Prosper Vandenbroucke a écrit:David Irving avait perdu tout crédibilité en tant qu'auteur-Historien après ses paroles négationnistes.
Bonjour Prosper

Merci de me confirmer , je savais que j'avais bien lue quelques chose de se genre .

» la bataille des ardennes et stratégies allemandes
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