"Rapport Jäger"

greytwo a écrit:C'est ignoble ! Comment en être arrivé la ?? La folie des hommes

Avide d’idéalisme, quitte à ce qu’il s’agisse d’un idéalisme raciste et frelaté, vivement désireux de marquer de son empreinte la résurrection de l’Allemagne, quitte à ce qu’il s’agisse d’une Allemagne criminelle et agressive, il est tombé dans tous les pièges tendus par son idole et l’a fidèlement servie, sans poser trop de questions, sans états d'âmes, jusqu’au bout, sacrifiant sans hésitation ses propres enfants sur l’autel de la «fidélité».

Ils furent nombreux ceux qui, comme Goebbels, se laissèrent prendre au piège du chant des sirènes hitlériennes, crurent jusqu’à la mort au bien-fondé de l’idéologie nazie, en l’infaillibilité du Führer et se laissèrent entraîner à sa suite et sous sa direction vers des abîmes criminels d’une profondeur inouïe, le tout sans murmurer, sans protester, voire même en en rajoutant pour plaire au Chef.

Il y eut certes parmi les cadres du régime des sadiques, des névrosés et autres clients potentiels des psychiatres et des neurologues. Mais ils n’étaient pas cadres de haut niveau. A la tête du Reich se trouvaient des hommes intelligents, cultivés, compétents, réfléchis et efficaces. S’ils avaient été des malades mentaux, ils n’auraient pas pu obtenir les sinistres succès que l’on connaît et continuer, de nos jours, à en mystifier plus d’un.

Qu’il est fascinant, flamboyant, le mensonge nazi ! Capable, comme le soleil, de brûler les yeux et, comme Belzebuth, de poluer les âmes de ceux qui osent le regarder en face.

le serpent mexicain a écrit:Il faut dire aussi que a l'époque (pour les juifs dans mon exemples) ils étaient très méprisés, car ils étaient très riche, alors que leur argent étaient bien gagné !

le serpent mexicain a écrit:Ok, mais dans l'idée général du "peuple", il étaient riches et selon un certain Adolf, responsables de tous les maux !