Albert Speer

Des réactions ? ? ? ? ? ? ? ? ?

T'inquiéte pas si les réactions sont pas immediates ,c'est un peu normal ,faut laisser le temps au temps !

Bien belle petite biographie ...Bon le seul truc c'est que c'est pas la première sur le bonhomme ,tu peux visualiser les autres ici

Mais c'est un bon début ,continue ,mais essaie des personnes un peu moins connues ,aiguiser la curiosité de tes lecteurs avec des faits ou des personnes plus confidentielles peut égalemant être une bonne chose ...

A oui juste encore une autre chose ,évite les textes en gras ,ça fusille un peu les yeux

Ouii tu as raison Mercii Panzeer =D

Par exemple tu pourrais en faire une sur le medecin nazi mort il y a quelque temps, en Egypte je crois, Aribert Heim, et qui s'etait convertit à l'Islam. je suis sur que ça pourrait être interressant.

Merci Survivor j'essayerais de trouver d'autres personnes ;)

Oui bon article, mais quelle est ta source ?

C'est de Wikipedia Reine.

Merci !

La prochaine fois, penses à toujours donner la source de tes articles

Ok pas de probleme !

Après la défaite du Reich , Hitler annonca « si j'avais eu un ami, il aurait été Speer ». Cette phrase personnellement m'intéresse beaucoup car on pouvait dire que Goering , Himmler , Goebbels , Donitz , Keitel , tous ces hommes si fidèles au Führer étaient des amis de Hitler.

Donitz un "ami" de Hitler ? Je ne le pense pas...

Karl Donitz était un militaire extremement qualifié qui fut le promoteur de la tactique de Meute au moment de la bataille de l'Atlantique. Vétéran de la première guerre mondiale comme beaucoup il acceuillit favorablement le nazisme en allemagne. Commandant des Sous-marins, il ne cessa de demander plus de sous marins au Grand Amiral Raeder lors du programme (Plan Z) de construction de la Kriegsmarine... En désaccord avec Goring et Raeder lors de la bataille de l'Atlantique, il devient le sucesseur de ce dernier le 1er Janvier 1943. Il cotoya Hitler et fut faciner par ce dernier. Il resta certe fidèle à son serment, mais ne fut jamais un "ami". Il fut nommé comme son successeur, sur proposition de Speer (Donitz le lui repprochera par la suite, notamment au moment de nuremberg) car il fut l'un des derniers resté à son poste au moment ou tous : Himmler, Keitel, Goring avaient tous quitté le navire...

Pier

Gltpier a écrit:

Après la défaite du Reich , Hitler annonca « si j'avais eu un ami, il aurait été Speer ». Cette phrase personnellement m'intéresse beaucoup car on pouvait dire que Goering , Himmler , Goebbels , Donitz , Keitel , tous ces hommes si fidèles au Führer étaient des amis de Hitler.

Donitz un "ami" de Hitler ? Je ne le pense pas...

Karl Donitz était un militaire extremement qualifié qui fut le promoteur de la tactique de Meute au moment de la bataille de l'Atlantique. Vétéran de la première guerre mondiale comme beaucoup il acceuillit favorablement le nazisme en allemagne. Commandant des Sous-marins, il ne cessa de demander plus de sous marins au Grand Amiral Raeder lors du programme (Plan Z) de construction de la Kriegsmarine... En désaccord avec Goring et Raeder lors de la bataille de l'Atlantique, il devient le sucesseur de ce dernier le 1er Janvier 1943. Il cotoya Hitler et fut faciner par ce dernier. Il resta certe fidèle à son serment, mais ne fut jamais un "ami". Il fut nommé comme son successeur, sur proposition de Speer (Donitz le lui repprochera par la suite, notamment au moment de nuremberg) car il fut l'un des derniers resté à son poste au moment ou tous : Himmler, Keitel, Goring avaient tous quitté le navire...

Pier

Dönitz était admirateur d'Hitler, tactique de meute était échec après mai 1943,
Keitel avait quitté le navire? il a été arrêté à Flensburg le 13. mai 1945. Et à Flensburg on trouvait le "gouvenement" allemand du moment, déjà sans grande responsabilité

Je ne nis pas que Donitz était fasciner par la personne de Hitler. Mais quand même, dela à en voir un ami...

La réponse est dans ton texte, Islaaamm: Hitler le dit lui-même: 'Si j'avais un ami...'!!!

Il n'avait pas d'amis, se méfiait de tous,... et tous l'admiraient ou le craignaient ou le haissaient ou s'en servaient ou les 4 à la fois...

Himmler était son souffre-douleur, Göring accumulait les désaveux de son Führer en raison de ses échecs militaires très fréquents et finit même par le trahir pour son salut, Dönitz, longtemps dans l'ombre de Raeder et surtout non SS, était devenu son dauphin par dépit et non par choix, donc, inconsciemment ou non, son rival devant l'Allemagne. Quant à Keitel, c'était sa tour de contrôle pour surveiller incognito le comportement et l'allégeance de la Wehrmacht, et comme le Generalfekdmarschall l'ignorait, il aurait été politiquement et tactiquement dangereux d'être trop proche de lui.

Son seul semblant d'amitié était peut-être finalement avec Goebbels et surtout avec son épouse Magda...

En tout vas Speer était un grand architecte ca il faut le dire , ses projets étaient très interessantes et il avait l'avantage d'etre l'ami d'Hitler contrairement à certains autres chefs.

Dônitz était aussi nazi que Keitel, il a fait fusiler un jeune marin de 18 ans en Mai 1945 pour désertion, il a aussi déclaré qu'il préférait "manger de la terre" que de voir les juifs "diriger" l' Allemagne.
Il est soupconné d'avoir demandé aux ss de lui fournir des montres prises sur les déportés des camps de concentration, pour les offrir aux équipages de U Boots les plus performants.

Dönitz était nazi, certes, sinon jamais il n'aurait gravité dans l'entourage militaire et politique immédiat de son Führer, mais il n'appartenait pas aux SS: cela a certainement son importance dans le dernier testament de Hitler et le choix de son successeur.

Ceci n'enlève rien à la culpabilité de Dönitz, mais oriente peut-être Islaaamm dans sa réflexion sur les 'amitiés' d'Hitler.
Quant à la punition de mort en cas de désertion du champ de bataille, il est malhereusement très loin d'en avoir l'exclusivité puisque c'est une pratique apparue bien avant l'an 0 et toujours d'actualité dans certains conflits en 2010!

Islaaamm, je te dis encore un mot sur l'homme que j'ai oublié dans ma réponse:
L'architecte Speer, lui, a su séduire Hitler par ses projets à la fois pharaoniques, durables et bien entendu à la gloire du IIIème Reich. Si son côté artistique a plu à son Führer, la mention de son nom dans les listes d'adhérents possibles à la cause de Von Stauffenberg, provoqua certainement un sentiment ambivalent chez Hitler: Speer aurait tout aussi bien pu subir le sort des conjurés...

Tu es en train de dire que Speer fesait ou Hitler croyait qu'il a fait partie de l'opération Walkyrie ? Je n'était pas au courant de cela.

Non pas de l'Opération Walkyrie, mais du nouveau gouvernement post-Hitler!

Speer était fasciné par Hitler mais dans certaines de ses idées seulement: son intelligence lui faisait comprendre également que, sur d'autres points, son Führer divaguait dangereusement.

Ceci ne passa pas inaperçu pour Von Stauffenberg qui inscrivit son nom dans la liste du nouveau gouvernement post-Hitler, au contraire des Himmler, ou autres Göring qu'il considérait comme non fiables et qui devaient de ce fait être éliminés eux aussi.

Cependant, il ajouta au nom de Speer la mention 'si possible', autrement dit 'si l'on peut le convaincre'...

Sans le savoir Von Stauffenberg sauva la vie de Speer avec cette mention car, en lisant cette liste, Hitler en déduisit que Speer n'avait pas été convaincu.
Bonne déduction d'Hitler, mais les doutes sur la fidélité de ses lieutenants, déjà bien présents dans son esprit s'en trouvèrent évidemment renforcés!

J'espère avoir répondu à ta question.

Pour rester dans l'Histoire, on pourrait dire que Speer fut pour Hitler ce que fut, bien auparavant Pétrone pour Néron, à quelques détails près...

Petite anecdote concernant Speer.
J'ignorais que Speer avait eu des relations avec le groupuscule chargé d'assassiner Hitler en juillet 1944. Apparemment, il fréquentait régulièrement Fromm, Olbritch et même Fellgiebel.
Petit résumé :
Le 17 juillet 1944, Stauffenberg prend contact avec Speer pour l'inviter à déjeuner ce jeudi 20 juillet avec Fromm. Speer refuse. Ensuite le général Fromm insiste personnellement mais il essuie un nouveau refus. La raison de ce refus était que Speer avait une importante réunion (de longue date) avec les membres du gouvernement au sujet de l'économie et de la production de l'Armement.
Bref, l'attentat survient le 20 juillet.
Speer est à son bureau lorsque Goebbels le prie de se rendre immédiatement à son palais résidentiel. Le Ministre de la Propagande lui informe qu'un putsch avait eu lieu, qu'on avait essayé d'assassiner le Fuhrer mais qu'il était sain et sauf.. Cette scène se passe vraisemblablement après que Goebbels ait mis Otto Ernst Remmer au garde à vous en lui passant Hitler au téléphone.
Le 21 juillet, Speer -comme la plupart des ministres - se présente devant le Fuhrer, à son QG, pour lui souhaiter un bon rétablissement. Il y passe 3 jours.
Le 24 juillet, à son bureau l'attend un certain Kaltenbrunner. Ce dernier lui présente une liste de noms qui avait été retrouvée dans les locaux des putschistes. Dans cette liste, figure le sien. Plus exactement la mention : "Speer ? -s'il est possible de le ramener à notre cause-." Albert joue le surpris.
Toujours est-il qu'alors l'enquête de la Gestapo avançait, Hitler fit tout pour que Speer ne soit pas vraiment inquiété là où d'autres -pour beaucoup moins- auraient été mis en détention préventive.

je crois que hitler n'a eu qu'un seul ami, rudolf hess. Son premier cercle, himmler, goering, goebels, speer, borman n'etaient que ses complices.

Jules a écrit:Petite anecdote concernant Speer.
J'ignorais que Speer avait eu des relations avec le groupuscule chargé d'assassiner Hitler en juillet 1944.

Moi aussi. Quelles sont vos sources ?

Moi non plus…

Les relations entre Albert Speer et Adolf Hitler semblent s’êtres dégradées à partir du moment où Speer désobéit au ordres du Führer en refusant de procéder à la destruction des installations industrielles nazies dans les territoires proches des avancées Alliées et il affirma, plus tard, qu’il conspira de façon indépendante contre Hitler – envisageant d’injecter du gaz Tabun dans les conduits d’aération du bunker. La plupart de historiens doutent, si cela était vrai, que Speer ait réellement eu l’intention de passer à l’acte… En tous cas, rien ne permet de croire qu’il faisait partie d’un « groupuscule ».

La personne qui semble s’être le plus penché sur la question est le regrettable David Irving qui – malgré ses prises de positions nauséabondes et scandaleuses – possède une banque de sources remarquable, et reconnue comme telle par l’ensemble des chercheurs, du moins dans le monde anglo-saxon :

« In February, 1945, Albert Speer, Hitler’s Armaments Minister, came to the conclusion that his Führer was deliberately committing high treason against his own people. It was then that Speer decided that Hitler must be eliminated. During one of his many walks in the Chancellery gardens he took note of a ventilation shaft leading to Hitler’s bunker. An idea formed in his mind and he discreetly asked the head of munitions production, Dieter Stahl, if he could procure some of the new gas, Tabun, which he intended to conduct into the ventilation shaft of the bunker. Stahl, who was sympathetic to the idea, revealed that Tabun was effective only after an explosion and would not be suitable for the purpose which Speer intended. Another gas had to be found but the whole idea was thwarted when armed SS sentries were placed around the bunker entrances and on the roof. A chimney had also been built around the ventilation shaft to a height of ten feet which put the air-intake of the shaft out of reach. »

Mon sentiment personnel est, qu’à Nuremberg, Albert Speer tenta tout pour sembler plus grand et plus noble qu’autrefois.

Je crois que Jules nous a oubliés.

Il serait pourtant intéressant de savoir qui colporte de telles "informations" sur Speer, ce vantard qui date lui-même sa prétendue "résistance" de 1945.