Le Kliment Voroshilov KV-1 et KV-2 et leurs diff. version.
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Le Kliment Voroshilov KV-1 et KV-2 et leurs diff. version.
Bonjour, actuellement il me fallait vous écrire ce sujet, en raison, que sur la toile, on trouve des dessins Fake:
comme celui ci:
https://i.ytimg.com/vi/XoTgh_C0ZCc/maxresdefault.jpg?7857057827
Et dans toute l'histoire de la conception pour la Variante, je précise bien du KV-2, il y'a eu juste de version produite.
La U-1 et la U-2 soit production de l'année 1940 et production de l'année 1941. Et ici jamais même dans les rêves les plus fous, rien que le poids du canon plus de 2-3 tonnes. et le tout était monté sur la structure du char KV-1.
Déjà que le KV-2 lui en ayant monté le canon M10 de 1938, en terme de vitesse avec celui du KV-1, des 43km/h on arrive avec le KV-2 a atteindre uniquement les 28km/h.
Alors à présent avec une triple tourelle M-10. la cela aurait été le choc en terme de perte de puissance, jusquà 5-10km/h maxi, et là encore il fallait que la structure du KV-1 supporte le poids des triple tourelles.
Donc non-non, n'allez surtout pas vous mettre à croire à ses fake.
Et vous verrez ici, les différences,telle entre le KV-1 U-1 puisque avec le U = numéro de la machine.
Puisque le KV-2 lui as seulement vue le jour décembre 1939-1940. Donc belle est bien une variante. Comme le SMK-100 était lui une variante du SMK. ainsi ses trois premier char, qui n'avait même pas terminer leurs test, eux eurent de suite leurs baptême du feu contre les Finlandais.
Et aussi en 1941, les russes sur leurs territoires du District de l'Ouest, disposait qui lui une fois la guerre débutera, serra renommé Front de l'Ouest. Un total donc de 773 Canons de ce type, et la totalité furent détruit soit pris par l'ennemi, en tant que butin de Guerre.Alors ce fut une des autres raisons, pour laquelle la production du KV-2 a été stoppé, autant trop cher à produire, que le manque de canon.
Moi j'avais lu, un sujet, qui racontait l'histoire d'un Allemand, qui avait combattu un KV-2 dans le Caucase.
Or la majorité des KV-2 sur tous les 150 produits, eux ont été stationné ou basé dans le Kovo, soit le district militaire de Kiev. Et bien sûr sans oublier, l'unité ou furent intégré les KV-1 lors des combats contre les Finlandais.
Mais là je m'arrête juste une fois pour le début, le temps de rassembler les dates chronologiquement.
Et les chiffres en terme de production, si vous avez lu déjà dans un autre sujet, 330 produit, ici c'est pour la quantité de KV-1 pas pour les KV-2... parce que tout les deux, détenait bien la dénomination de Kliment Voroshilov, et le fait que entre le KV-1 et le 2 c'était une variante, ils gardèrent leurs dénominations.
comme celui ci:
https://i.ytimg.com/vi/XoTgh_C0ZCc/maxresdefault.jpg?7857057827
Et dans toute l'histoire de la conception pour la Variante, je précise bien du KV-2, il y'a eu juste de version produite.
La U-1 et la U-2 soit production de l'année 1940 et production de l'année 1941. Et ici jamais même dans les rêves les plus fous, rien que le poids du canon plus de 2-3 tonnes. et le tout était monté sur la structure du char KV-1.
Déjà que le KV-2 lui en ayant monté le canon M10 de 1938, en terme de vitesse avec celui du KV-1, des 43km/h on arrive avec le KV-2 a atteindre uniquement les 28km/h.
Alors à présent avec une triple tourelle M-10. la cela aurait été le choc en terme de perte de puissance, jusquà 5-10km/h maxi, et là encore il fallait que la structure du KV-1 supporte le poids des triple tourelles.
Donc non-non, n'allez surtout pas vous mettre à croire à ses fake.
Et vous verrez ici, les différences,telle entre le KV-1 U-1 puisque avec le U = numéro de la machine.
Puisque le KV-2 lui as seulement vue le jour décembre 1939-1940. Donc belle est bien une variante. Comme le SMK-100 était lui une variante du SMK. ainsi ses trois premier char, qui n'avait même pas terminer leurs test, eux eurent de suite leurs baptême du feu contre les Finlandais.
Et aussi en 1941, les russes sur leurs territoires du District de l'Ouest, disposait qui lui une fois la guerre débutera, serra renommé Front de l'Ouest. Un total donc de 773 Canons de ce type, et la totalité furent détruit soit pris par l'ennemi, en tant que butin de Guerre.Alors ce fut une des autres raisons, pour laquelle la production du KV-2 a été stoppé, autant trop cher à produire, que le manque de canon.
Moi j'avais lu, un sujet, qui racontait l'histoire d'un Allemand, qui avait combattu un KV-2 dans le Caucase.
Or la majorité des KV-2 sur tous les 150 produits, eux ont été stationné ou basé dans le Kovo, soit le district militaire de Kiev. Et bien sûr sans oublier, l'unité ou furent intégré les KV-1 lors des combats contre les Finlandais.
Mais là je m'arrête juste une fois pour le début, le temps de rassembler les dates chronologiquement.
Et les chiffres en terme de production, si vous avez lu déjà dans un autre sujet, 330 produit, ici c'est pour la quantité de KV-1 pas pour les KV-2... parce que tout les deux, détenait bien la dénomination de Kliment Voroshilov, et le fait que entre le KV-1 et le 2 c'était une variante, ils gardèrent leurs dénominations.
st.ex.- Lieutenant-colonel
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Re: Le Kliment Voroshilov KV-1 et KV-2 et leurs diff. version.
Voici, les différentes variante du KV, qui ont servit dans l'Armée Rouge pendant la grande guerre patriotique.
(KV-1, KV-1S, KV-2, KV-8 et KV-85). Et là déjà une variante par des auteurs, qui eux ne souhaite pas retracé l'historique, soit identique à un film sans fin ni commencement, ainsi eux vous parle de suite de la sortie de leurs modèles, ou ils souhaite écrire dessus. Mais là c'est du baragouinage ça, à moins encore, que certain lecteur, sont des amateurs de l'histoire oublié volontairement. Donc jamais mentionné le KV-8 et encore moins tous les projets sur la base du KV, qui eux ne sont jamais aller plus loin, que un dessins sur du papier. Contenant les données, suivant les spécificités du cahier des charges.
Et pour créer un modèle de char, cela ne se créer pas juste en claquant des doigts, mais bien sûr avec de long casse tête, pour respecter les charges, autant pour la puissance du moteur, que le blindage, que le canon, suivant le blindage que il devra percé, et son propre poids et aussi telle la vitesse, et l'autonomie, que devra posséder l'engin.
Telle pour la production des KV, en premier lieu comme vous allez le lire, dans les années 30, l'armée rouge souhaita se débarrassé du T-35 avec 5 tourelles.
Ici la conception du T-35 a été réaliser par l'Usine n°183 de Kharkov soit KB KhPZ, qui eux produisait et améliorait en plus les BT-7. Et ainsi eux non pas su améliorer le T-35, avec 40-60mm de blindage. et avec un poids de 60 Tonnes. (Et si chez vous le nom de l'usine n°183 à aussi bien fait tilt que chez moi même, c'est en raison que eux, ils non pas baissé les bras pour les nouveaux modèles de Char, et deux ingenieurs M.I.Koshkin et Morozov, devant les haut dignitaires (Stalin Voroshilov etc...) leurs on présenté sur papier la version du Char A-20, qui deviendra plus tard le A-32 et une fois accepté par l'armée, il aura sa dénomination de T-34.)
Ce qui fait que l'Armée, ils on lancé le défit au autres constructeur, et c'était l'Usine Kirov de Leningrad qui avait remporter la mise.
Et cela vous ne fait pas encore tilt? avec la mention du nom de l'usine? Aller, aller lisez donc SMK, et si je vous donne le nom complet, vous allez me répondre ah ben oui!!!
Allez zouste"Sergei Mironovich Kirov", c'était cela la dénomination qui se cachait derrière l'abréviation du Char SMK......
et
Ainsi ici je vous présente le KV-1 U-1, soit le premier prototype du char, et qui lui a été envoyer à Moscou en 1939.
Mais j'aime mieux reprendre du début, en vous laissant le soin de lire chaque phrase sur la naissance de ce modèle.
(KV-1, KV-1S, KV-2, KV-8 et KV-85). Et là déjà une variante par des auteurs, qui eux ne souhaite pas retracé l'historique, soit identique à un film sans fin ni commencement, ainsi eux vous parle de suite de la sortie de leurs modèles, ou ils souhaite écrire dessus. Mais là c'est du baragouinage ça, à moins encore, que certain lecteur, sont des amateurs de l'histoire oublié volontairement. Donc jamais mentionné le KV-8 et encore moins tous les projets sur la base du KV, qui eux ne sont jamais aller plus loin, que un dessins sur du papier. Contenant les données, suivant les spécificités du cahier des charges.
Et pour créer un modèle de char, cela ne se créer pas juste en claquant des doigts, mais bien sûr avec de long casse tête, pour respecter les charges, autant pour la puissance du moteur, que le blindage, que le canon, suivant le blindage que il devra percé, et son propre poids et aussi telle la vitesse, et l'autonomie, que devra posséder l'engin.
Telle pour la production des KV, en premier lieu comme vous allez le lire, dans les années 30, l'armée rouge souhaita se débarrassé du T-35 avec 5 tourelles.
Ici la conception du T-35 a été réaliser par l'Usine n°183 de Kharkov soit KB KhPZ, qui eux produisait et améliorait en plus les BT-7. Et ainsi eux non pas su améliorer le T-35, avec 40-60mm de blindage. et avec un poids de 60 Tonnes. (Et si chez vous le nom de l'usine n°183 à aussi bien fait tilt que chez moi même, c'est en raison que eux, ils non pas baissé les bras pour les nouveaux modèles de Char, et deux ingenieurs M.I.Koshkin et Morozov, devant les haut dignitaires (Stalin Voroshilov etc...) leurs on présenté sur papier la version du Char A-20, qui deviendra plus tard le A-32 et une fois accepté par l'armée, il aura sa dénomination de T-34.)
Ce qui fait que l'Armée, ils on lancé le défit au autres constructeur, et c'était l'Usine Kirov de Leningrad qui avait remporter la mise.
Et cela vous ne fait pas encore tilt? avec la mention du nom de l'usine? Aller, aller lisez donc SMK, et si je vous donne le nom complet, vous allez me répondre ah ben oui!!!
Allez zouste"Sergei Mironovich Kirov", c'était cela la dénomination qui se cachait derrière l'abréviation du Char SMK......
et
Ainsi ici je vous présente le KV-1 U-1, soit le premier prototype du char, et qui lui a été envoyer à Moscou en 1939.
Mais j'aime mieux reprendre du début, en vous laissant le soin de lire chaque phrase sur la naissance de ce modèle.
st.ex.- Lieutenant-colonel
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Re: Le Kliment Voroshilov KV-1 et KV-2 et leurs diff. version.
et
Ainsi sur cet dernière photo, on retrouve bien l'usine LKZ pour Leningrad Kirov (sous la photo est mentionné 1939) Mais ici il faut comprendre, que c'était pour le modèle 1939, donc surement la photo comme il n'y a pas encore de neige, mais plein de terre boueuse, surement printemps 1940. et pour sa première production de Char KV 1.
KV. "Klim Vorochilov" - char révolutionnaire
NAISSANCE
KV. "Klim Vorochilov" - char révolutionnaire
VÉRIFICATION DE BATAILLE
NAISSANCE
Dans la seconde moitié des années 1930, il est devenu clair pour le commandement de l'Armée rouge que le char lourd de percée à cinq tourelles T-35, qui était en service dans l'Armée rouge, ne répondait plus à ses exigences, principalement pour son blindage. Par conséquent, en juillet 1937, la direction blindée de l'Armée rouge émet des exigences tactiques et techniques à l'usine n ° 183 de Kharkov pour le développement du char T-35 avec un blindage plus puissant (40-75 mm) et pesant jusqu'à 60 Tonnes. Cependant, lors de la conception, il est devenu clair qu'avec l'épaisseur indiquée des plaques de blindage, il est impossible de respecter la masse de 60 tonnes. Par conséquent, les concepteurs de KhPZ ont commencé à rechercher un autre schéma d'aménagement avec moins de tourelles. Il convient de noter ici que le bureau d'études KhPZ, déjà peu nombreux, était fortement affaibli par les répressions (purge Stalinienne) et pouvait difficilement faire face à assurer la production des chars BT-7, sans parler du nouveau design. Par conséquent, afin d'accélérer la conception d'un nouveau char lourd, en avril 1938, l'usine de Leningrad Kirov, avec sa puissante base de production et son expérience dans la production en série du char T-28 et de l'usine n ° 185 Kirov, dont le personnel, à son tour, avait une riche expérience dans la création de nouveaux types de véhicules de combat. Le premier a développé le char SMK-1 ("Sergey Mironovich Kirov"), le second - "produit 100" (ou T-100). Selon les exigences tactiques et techniques fixées par l'armée, ces chars étaient censés avoir trois tourelles de canon et un blindage de 60 mm. Les 10 et 11 octobre 1938, une commission spéciale présidée par le chef adjoint de l'ABTU de l'Armée rouge, l'ingénieur militaire de 1er rang Korobkov, examina les dessins et modèles en bois (en taille réelle) des chars SMK et T-100. Malgré un certain nombre d'écarts par rapport aux exigences tactiques et techniques précédemment avancées,
Le 9 décembre 1938, les projets SMK et T-100 sont examinés à Moscou, lors d'une réunion du Sovete Narodnyh Komissarov (Comité du Conseil des commissaires du peuple à la défense) (SNK) de SSSR (URSS). Au cours de la discussion, des représentants des usines ont déclaré qu'avec un schéma à trois tourelles et un blindage de 60 mm, il était impossible de respecter la masse spécifiée de tonnes 60 Tonnes. Par conséquent, il a été décidé de réduire le nombre de tourelles à deux et d'augmenter l'épaisseur de blindage. De plus, lors de la même réunion, des représentants de l'usine de Kirov ont proposé de concevoir un char lourd à tourelle unique, "similaire dans ses caractéristiques au char SMK". Ici, il faut revenir un peu en arrière.
Le fait est qu'en octobre 1938, un groupe d'étudiants de cinquième année de Voyennoy akademii motorizatsii i mekhanizatsii (l'Académie militaire de motorisation et de mécanisation abrégé (VAMM RKKA)) est arrivé au bureau d'études SKB-2 de l'usine de Leningrad Kirov pour terminer un projet de fin d'études. Et comme le bureau d'études travaillait à l'époque sur la conception du char SMK, en tant que diplômé, les nouveaux arrivants ont été chargés de développer un projet de conception d'un char révolutionnaire à tourelle unique sur sa base. Les responsabilités étaient réparties comme suit: B. P. Pavlov et V. K. Sinozersky étaient engagés dans la disposition générale et les armes, G. A. Turchaninov - train de roulement, L. N. Pereverzev - servomoteurs et groupe moteur, S. M. Kasavin et Shpuntov - transmission. La direction générale de la conception a été confiée aux ingénieurs du SKB-2 L.E. Sychev et A.S. Ermolaev, les ingénieurs Slutsman (Direction), K.E. Kuzmin (coque de blindage), N.F. Shamshurin (transmission), S. V. Fedorenko (armes). Lors de la conception d'un nouveau char, des matériaux provenant des tests du char tchécoslovaque Sh-2A sur le terrain d'entraînement de Kubinka ont été utilisés (le commandement de l'Armée rouge envisageait d'acheter cet engin). En particulier, la conception des reflex numériques, des dispositifs de visualisation, de divers joints, des supports, ainsi qu'un schéma de transmission a été emprunté. La conception d'un char lourd à tourelle unique, réalisée par des étudiants diplômés du VAMM, a permis au chef du SKB-2 Zh. Lors de la conception d'un nouveau char, des matériaux provenant des tests du char tchécoslovaque Sh-2A sur le terrain d'entraînement de Kubinka ont été utilisés (le commandement de l'Armée rouge envisageait d'acheter ce véhicule).
En février 1939, les représentants de l'abtu de l'armée rouge avaient mis au point des caractéristiques tactiques et techniques pour le développement d'un nouveau char. Le 27 février, il a été approuvé lors d'une réunion du Comité de la Défense, tout en donnant le «feu vert» au début des travaux sur la nouvelle machine, qui a reçu l'indice KV — «Klim Voroshilov». Selon les exigences de l'armée, le nouveau char, comparé au SMK, devait augmenter l'épaisseur de blindage des côtés, de la poupe de la coque et de la tourelle en réduisant la longueur totale de la machine. La centrale a été conçue en deux versions — pour un moteur à carburateur m-17F d'une puissance de 660 ch et un diesel B-2F d'une puissance de 580 ch. Et à l'origine, l'armée a préféré la première option. Cela s'expliquait par le fait que le diesel B-2, qui venait d'entrer en production en série sur l'usine de Kharkov PZ, présentait de nombreux inconvénients et que l'installation du moteur M-17 dans les chars pendant six ans de fonctionnement (à partir de 1933) était bien développée. Il était prévu de développer deux variantes de la boîte de vitesses — l'habituelle, du type de char t-28, et la planétaire. Dans ce cas, l'armée a préféré la planétaire, qui devait permettre un contrôle plus facile de la machine lourde. L'armement du KV, malgré la présence d'une seule tourelle, devait être comme un char SMK: canons 76 et 45-mm, mitrailleuse Dk 12,7-mm et deux mitrailleuses DT 7,62-mm.
L'usine de Kirov de Leningrad a commencé à concevoir le KV à partir du 1 février 1939, sans attendre l'approbation des exigences tactiques et techniques militaires développées. Le concepteur principal du char a été nommé ingénieur N. L. dukhov. Le matériel initial pour la conception était le projet de des étudiants diplômé de l'AMM, dont certains, après la protection du diplôme en mars 1939, ont été envoyés travailler dans le SKB-2. Compte tenu de l'expérience de la création du SMK, les travaux sur le KV ont été assez rapides — déjà le 7 avril, le projet technique et la maquette en bois du char Grandeur nature ont été approuvés par la Commission présidée par le chef adjoint de l'abtu, l'armée rouge korobkov. Depuis le début du mois de mai, les dessins de travail des composants et des pièces du nouveau char ont commencé à entrer en production. Dans le même temps, l'usine d'izhorsk a commencé à tester des plaques de blindage et à fabriquer une coque et une tourelle pour le KV. Au début de juin, l'abtu de l'armée rouge, compte tenu de l'expérience du fonctionnement du moteur diesel B-2 sur les chars BT-7M, a confié à SKB-2 la tâche «d'installer uniquement du diesel B-2 dans le char et d'abandonner l'installation du moteur m-17».
Dans la nuit 31 août au 1er septembre, l'assemblage final du char KV a été terminé et le matin, il a effectué ses premiers essais de marche dans la cour de l'usine. le KV avait emprunté à son» ancêtre le " SMK le schéma de la coque blindée, la suspension, la conception d'instruments optiques, les éléments de transmission, etc. Certes, le char avait quelques écarts par rapport aux char lourds et qui on été approuvés. Ainsi, au lieu de la boîte de vitesses planétaire recommandée par le contrôle automobile (ABTU), une boîte de vitesses conventionnelle a été installée. Il a également fallu abandonner l'utilisation de la mitrailleuse DK, car en raison de l'installation de deux canons dans la tourelle, il n'y avait pas de place pour elle.
Le 5 septembre, après avoir éliminé les petits défauts découverts, un prototype du KV a été envoyé à Moscou pour être montré aux membres du gouvernement de l'URSS et à la direction de l'armée pour la peinture.
Le spectacle s'est déroulé du 23 au 25 septembre sur le terrain d'entraînement de kubinka, près de Moscou. En général, le nouveau char a fait une impression favorable aux hautes autorités, bien que pendant le spectacle, il soit coincé dans un ravin, mais ensuite, il a réussi à le surmonter.
Le 8 octobre 1939, la machine est retournée à Leningrad et le 10 novembre, après avoir éliminé les lacunes identifiées, est allée aux tests d'usine sous la direction de la Commission d'état composée du major N. N. Kovalev, de l'ingénieur militaire de 3è rang P. K. Voroshilov, de l'ingénieur militaire de 3è rang M. S. kaulin Et du capitaine I. I. Kolotushkin. Jusqu'à la fin de novembre, le KV a parcouru 485 km, dont 260 km sur autoroute, 100 km sur les routes de campagne et 125 km sur le terrain accidenté. Au cours des tests, environ 20 défauts différents dans la conception de la transmission et du moteur ont été identifiés.
Ainsi avec le KV-1 U-1 fut tester à kubinka, avec le canon L-11. Canon de 76mm et c'est l'histoire de ce canon. provenant de Wikipedia.
The L-11 was designed in 1938 by IA Makhanov of the SKB-4 design bureau at the Kirov Plant in Leningrad. It was 30.5 calibers long,[3] had a semi-automatic vertical sliding-wedge breech, used fixed quick-fire 76.2 x 385 mm R ammunition and had a hydro-pneumatic recoil mechanism."
It has been claimed that the L-11 was based on the 76 mm air-defense gun M1914/15 designed by VV Tarnovsky and F. F. Lender.[4] What can be said is that both the M1914/15 and L-11 had similar lengths, similar muzzle velocities (592 m/s vs 613 m/s), were built in the same factory and fired the same ammunition
Bien ici une nouvelle photo, montrant le premier prototype du char KV-2. disposant de la mention suivante:
Un prototype du char KV (véhicule U-0) avec le premier prototype de l'affût MT-1 (tourelle avec un obusier de 152 mm) avant d'être envoyé au front. Usine Kirov, février 1940.
Donc pas avant février 1940, l'usine de Kirov n'avait pas de KV-2 à tester sur le front Finlandais-Russe.
st.ex.- Lieutenant-colonel
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Re: Le Kliment Voroshilov KV-1 et KV-2 et leurs diff. version.
Continuons donc...
ici il parle bien du Char KV-1, puisque le 2 lui il faudra attendre jusqu'au mois de Février 1940, pour le voir intégré le bataillon.Test sur champ de bataille
Le 30 novembre 1939 a commencé la guerre soviéto-finlandaise. Par décision du conseil militaire de la région militaire de Leningrad, les chars expérimentale KV, SMK et T-100 ont été retirés des tests pour les tester en situation de combat. L'équipage du KV était composé des militaires de la 20ème brigade de chars lourds, le lieutenant G. Kachekhin (commandant du char), le technicien militaire de 2ème rang, P. golovachev (mécanicien-conducteur), les soldats de l'armée rouge Kuznetsov (artilleur du Canon) et A. Smirnov (opérateur radio), ainsi que des experts-testeurs de l'usine de Kirov, A. Estratov (motoriste, aka chargeur) Et Pour faciliter le travail de l'équipage, le Canon 45-mm de la tourelle a été démonté et remplacé par une mitrailleuse DT.
Le KV, ainsi que le SMK à deux tours et le t-100, formaient une compagnie de chars lourds intégré dans le 91è bataillon de chars de la 20è brigade de chars lourds. Le capitaine I. Kolotushkin a été nommé commandant de la compagnie. La première fois que la compagnie entra dans la bataille ce fut le 18 décembre 1939, soutenant l'offensive de l'infanterie soviétique dans la région de la fortification finlandaise de Khottinensky. Voici ce que le premier combat du premier KV A. I. Estratov ce rappel : "Nous (Govsh, Estratov, Ignatiev, Kunitsyn, Teterev, vasilyev. — note de l'auteur) a appelé le directeur de l'usine, le camarade I. M. Salzman. J. Ya. Kotin, N. L. Dukhov, A. S. Ermolaev Étaient Présents. On nous a proposé sur les chars KV et SMK de faire des tests dans des conditions de combat. Nous avons accepté, et nous n'avons pas été ordonnés à l'armée. La préparation des machines pour la mission de combat a commencé. Il était nécessaire de tout prévoir pour tous les cas, de prendre avec nous les détails nécessaires, qui, selon nos considérations, pourraient être nécessaires. Souvent, le démarreur a été refusé au KV. J'ai mis un cylindre d'air comprimé dans le compartiment moteur pour les 150 ATM atmosphères nécessaire, j'ai attaché un dispositif pour ouvrir et fermer le cylindre du compartiment de combat. Ils ont reçu des uniformes militaires. En fin de soirée, ils se sont réunis dans la salle à manger de l'atelier de location. Assisté Par I. M. Salzman, J. Ya. Kotin, H. L. Dukhov, A. S. Ermolaev, P. K. Voroshilov, A. I. Landsberg, A. Spitanov. Un commandant militaire a été affecté à chaque char. Après le dîner, les instructions déroutantes, les bons voeux ont plongé sur les plates-formes de chemin de fer et se sont déplacés dans la voie de combat. En arrivant à l'avant, nous avons été rejoints par la 20è brigade de chars. P. K. Voroshilov était avec Nous…
st.ex.- Lieutenant-colonel
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Re: Le Kliment Voroshilov KV-1 et KV-2 et leurs diff. version.
Bien ce matin, je n'avait pas grandement de temps, alors la suite.
Et cela juste en quelques jours, pas des mois etc de temps de réflexion, non uniquement quelques jours.
Aha, donc suivant l'ordre du conseil militaire du front, le KV2 à vue le jour.Nos unités avancées se sont approchées de la zone fortifiée de Baboshino. Le soir, le chef de la direction des blindées, le camarade Pavlov, est venu nous voir.
"Maintenant, dit — il, camarades, je vais vous familiariser avec les points de la zone fortifiée de Baboshino. Les T-28 ne peut pas passer-ils brûlent, nous espérons pour vous. Demain matin, nous allons vous laisser au combat, il est urgent de tester les machines."
En arrivant à la position de départ, on nous a expliqué la tâche qui nous était assignée. Après la préparation de l'artillerie, nous allons avec la 20è Brigade de char, passez à l'offensive.
Après avoir passé une petite partie de la forêt, une vaste clairière s'est ouverte devant nous, il y a un combat, à gauche et à droite de nous, les chars brûlent. Le char T-28 qui avance devant nous a pris feu, il nous empêche d'avancer. Nous quittons la route — nous avons peur de frapper les Mines. Il y a un fossé antichar en avant de nous, des barrières, une barrière métallique. Nous avons essayé de nous approcher du Char en feu et de le pousser hors de la route. L'équipage du char T-28 a quitté le char par la trappe du dessous et n'a pas désactivé la transmission de la boîte de vitesses, nous n'avons pas réussi à déplacer le char. La radio a transmit l'ordre de rouler de la route vers la gauche et de se déplacer le long du fossé antichar. L'ennemi frappe avec des projectiles sur le tribord de notre machine coup après coup, comme s'ils frappaient avec un marteau fort sur le bord. On bouge. Certes, le gel ou le tremblement sur la jambe marche. Encore un coup après coup, on bouge. Notre commandant Kachihin a parlé, nerveusement. On nous frappe, on ne voit nulle part l'adversaire. Je me suis souvenu de L'instruction de D. Pavlov. Le commandant du char Kachihin ordonne de regarder tous les instruments d'observation et de chercher des points déguisés. Soudain, bugorok crie: "devant le tubercule. Voyez: un tuyau est sorti de lui et s'est caché.»
Voix de Kachikhin : « C'est probablement une casemate. Visez le tuyau - feu ! J'ai remarqué une bosse. Il y a des poteaux sur le monticule. De la fumée s'en dégage. L'ordre du commandant a suivi - feu sur les poteaux. Je charge le canon, je suis le gardien et le chargeur ; remarqué des points de tir ennemis à plusieurs endroits. Un fort impact d'un projectile sur l'avant du char, le char a été couvert d'étincelles; un autre coup. Notre canon a tremblé, le char a été arrêté. Ce qui s'est passé est inconnu. Nous avons démarré le moteur, essayé de bouger - tout est en ordre.
Je dis à Kachikhin: «Je voudrais manger un morceau, nous ne prenons pas de petit-déjeuner, le déjeuner est passé depuis longtemps. Je suis sûr qu'il ne nous pourrons pas pénétrer dans notre char." Ils ont refusé de manger. À la radio, j'ai reçu un ordre: «À votre gauche se trouve un char T-28 détruit. Inspectez-le et, si possible, remorquez-le vers l'arrière." Nous nous sommes approchés du T-28 de près, malgré les lourds bombardements des adversaires. Je suis sorti de l'engin (étant entre les chars, il était possible d'inspecter le T-28 et de l'attacher au remorquage). Le char a été remorqué par l'arrière. Tôt le matin, Vorochilov P.K. est arrivé chez nous et avec lui cinq commandants en manteaux de fourrure Romanov. Parmi eux se trouvait Pavlov. Après avoir inspecté le véhicule KV, ils ont découvert: le canon du barillet a été traversé, certains rouleaux du train d'atterrissage ont été traversés, certaines chenilles ont été battues, mais pas complètement, le câble de remorquage a été cassé, plusieurs coups à tribord - le char est resté intact et sain et sauf. Maintenant, nous savions pourquoi notre canon tremblait, pourquoi nous étions couverts d'une flamme d'étincelles. La commission militaire était satisfaite. On nous a serré la main, et félicités pour la tâche. Pavlov a ordonné à Voroshilov P.K. de se rendre d'urgence à l'usine et de remettre le char KV sur le front dès que possible. Un canon de 76 mm a été apporté de l'usine. Il n'y avait pas de grue - ils ont ramassé un solide pin avec un bon tissu durable, ont soulevé le canon avec un palan, ont ajusté le char et manuellement, sous la direction de l'artilleur I. A. Boinov, le canon a été monté.
Après la bataille, des traces de neuf coups de projectiles perforants de calibre 37-mm ont été trouvées sur le blindage: dans la feuille frontale de la coque — 1, à tribord — 3, dans le barillet du Canon — 1 (il y avait une grosse bosse dans le Canon), dans le moyeu du quatrième rouleau de support tribord — 1, dans les pistes de la chenille Les résultats de l'utilisation au combat du nouveau char ont immédiatement été rapportés à Moscou. Le soir du même jour — 19 décembre 1939 — le Kremlin a signé le décret du Comité de Défense de l'URSS № 443 SS, selon lequel le char KV a été adopté par l'Armée rouge. Détail curieux: à ce moment-là, le prototype KV n'avait parcouru qu'environ 550 kilomètres! Ridiculement peu pour tester la fiabilité du nouveau char. Certes, on pensait qu'une partie des unités KV (suspension, châssis, éléments de transmission) avait été testée sur la machine SMK. Par l'ordre du commissaire du peuple de l'Ingénierie lourde V. Malyshev du 30 décembre 1939, l'usine de Kirov a été prescrite «"... en application de la décision du Comité de Défense de la SNK de l'Union soviétique № 443 SS de 19.12.1939 sur la production et la réparation de chars et de véhicules blindés dans 1940, j'ordonne:
1. Directeur de l'usine de Kirov Camarade I.M.Salzman organiser à l'usine de Kirov la production des chars KV, après avoir éliminé tous les défauts détectés lors du test.
2. Procéder à la production en série à partir du 1er janvier 1940 et produire en 1940 50 unités».
Le KV expérimenté était en première ligne jusqu'au début de janvier 1940. Certes, le char n'a plus participé aux combats. Sur le front est venu une accalmie. Le 2 janvier, la machine a été retournée à l'usine de Kirov afin de faire un lot de production de vingt chars. À la demande du conseil Militaire du front du Nord-ouest, les quatre premiers véhicules du lot produit devaient être armés d'obusiers 152-mm pour lutter contre les casemate finlandaise et détruire les obstacles antichars. Pour ce travail, les ingénieurs du bureau d'études d'artillerie de l'usine de Kirov ont été recrutés de toute urgence: G. Rybin, K. Ilyin, V. Rodkevich, G. Ksyunin, N. Dubinin, A. Konstantinov, A. Khlyakov, A. Golubev, Y. shaburov, A. zaets, V. evstafiev et d'autres, seulement environ 20 personnes. Le jeune ingénieur N. Kurin a dirigé la conception. Le temps pour le développement a été peu - quelques jours. Par conséquent, les concepteurs qui ont travaillé sur ce projet ont été transférés à la caserne. Travaillant 16-18 heures par jour, sans quitter les locaux du bureau d'études d'artillerie, le groupe Kurin a réussi à accomplir cette tâche en deux semaines. Il était initialement prévu d'installer un obusier de 152 mm du modèle 1909/30 dans la tour KV. Cependant, la préférence a été donnée à l'obusier plus puissant M-10 du modèle 1938 de l'année. Pour installer ce système de grande taille et placer ses munitions dans le char, il a fallu développer et fabriquer une tour de plus grande taille. Selon les dimensions délivrées par les artilleurs, la tour a été conçue chez SKB-2. (Curieusement, la tour avec un obusier de 152 mm avait le même diamètre d'épaulement que la tour avec un Canon de 76 mm). La nouvelle grande tour avec l'obusier m-10 pour KV a reçu la désignation d'usine MT-1. La désignation des chars KV-1 et KV-2 utilisée dans la littérature moderne n'est apparue que à l'année 1941, et avant cela, le KV avec un obusier 152-mm était appelé «chars avec une grande tour» et le KV avec un Canon 76-mm — «chars avec une petite tour».
La première installation du MT-1 a été montée sur un char expérimental KV au lieu d'une tourelle avec un Canon 76-mm. Le 10 février, le premier essai de la nouvelle installation a été effectué dans le tableau de bord de l'usine. Le 17 février, le char expérimental KV, qui a reçu la désignation U-0 (lot d'installation, échantillon nul), et le premier char du lot d'installation U-1 (tous deux équipés de MT-1) sont tombés dans l'armée active sur l'isthme de Carélie. N'ayant pas d'expérience dans l'installation de systèmes d'artillerie de ce calibre sur un char, les concepteurs ont équipé le Canon de l'obusier du char U-1 d'un couvercle spécial pour la protéger des balles et des éclats. Avant le tir, ce couvercle devait s'ouvrir à l'aide d'une traction spéciale, puis se refermer. Cependant, lors des essais au Tir, cette conception s'est avérée inefficace et le couvercle a été démonté avant d'envoyer le char à l'avant. Mais pour protéger le Canon de l'obusier contre les balles et les éclats, des anneaux spéciaux d'un blindage de 10 mm d'épaisseur lui ont été portés (cette solution a ensuite été utilisée sur tous les chars KV-2).
Et cela juste en quelques jours, pas des mois etc de temps de réflexion, non uniquement quelques jours.
st.ex.- Lieutenant-colonel
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Re: Le Kliment Voroshilov KV-1 et KV-2 et leurs diff. version.
Le char U-2 avec la tourelle du véhicule U-0 avec un canon de 76 mm a été envoyé au front le 22 février et le 29 - le char U-3 avec l'installation MT-1. Le char U-4 avec MT-1 était prêt le 13 mars 1940, mais ils n'avaient pas le temps de l'envoyer en position de combat - la guerre soviéto-finlandaise était terminée.
Sur le front, tous les KV et le prototype du char T-100 ont été réduits à une compagnie autonome, rattachée a la 13e brigades de chars légers et 20e de chars lourds. Certes, il n'était pas possible de contrôler le KV en situation de combat en tirant sur des casemates: la principale ligne de défense des Finlandais avait déjà été percée. Par conséquent, les chars ont été testés en tirant sur des casemates et des gouges après la fin des hostilités. En même temps, nous avons obtenu de bons résultats. Rappelant ces événements, le commandant du char KV "avec une grande tourelle", le lieutenant junior Z.F. Glushak de la 20e brigade de chars, a déclaré:
« Les obstacles sur la ligne Mannerheim ont été soigneusement construits. D'énormes gouges de granit se dressaient sur trois rangées. Pour faire un passage de 6 à 8 m de large, nous n'avions besoin que de cinq tirs d'obus perforants. Pendant que nous cassions les gouges, l'ennemi nous tirait dessus en continu. Nous avons rapidement repéré la casemate, puis l'avons complètement détruite en deux coups. Lorsqu'ils ont quitté la bataille, ils ont compté 48 éclat d'obus sur le blindage, mais pas un seul trou.
Pour détruire les gouges, des obusiers de 152 mm ont été utilisés deux fois. Les gouges installées sur l'autoroute sans creuser dans le sol n'ont pas été détruites par des obus de 152 mm, car lorsque le projectile a frappé, la gouge s'est retournée ou s'est brisée en plusieurs morceaux, ce qui n'a pas détruit la pierre. 18 obus tirés sur les gouges n'ont pas pu faire de passage pour les chars, ce qui a obligé à saper quatre pierres par des sapeurs.
st.ex.- Lieutenant-colonel
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Re: Le Kliment Voroshilov KV-1 et KV-2 et leurs diff. version.
Ici pour le mot "objet" que vous allez lire = projet d'un modèle, parfois juste rester sur papier, parfois aussi fabriquer un modèle à l'échelle en Bois, et sans l'avale de la hiérarchie de l'armée, il n'y avait aucune chance que le projet soit fabriquer.
la suite donc plus d'info sur ce char provenant d'une autre source:
Et pour les autres photo ou dessins c'est le site.
https://topwar.ru/141901-tank-elektrotralschik-218.html
Il convient de mentionner deux projets basés sur le char KV, développés pour les besoins du front. Le premier-l'objet 212-était un tracteur 35-t pour l'évacuation des chars abattus. L'ingénieur en chef du projet a été nommé ingénieur NV Halkiopov. À la fin de février 1940, le projet du tracteur et son modèle en bois Grandeur nature ont été examinés par les représentants de l'abtu. Mais malgré le fait que cette machine ait été hautement appréciée par l'armée, l'avale pour sa fabrication en métal n'a jamais été accordé.
L'objet 218 était une installation à distance pour l'explosion de Mines par des courants à haute fréquence(Char démineur. Le générateur de courant et d'autres équipements devaient être montés dans le corps du char KV-2. Les tests sur le terrain du générateur installé sur le châssis du char t-28 ont eu lieu en février 1940 et ont donné de bons résultats. Cependant, il est devenu évident que l'installation devait être affinée.
la suite donc plus d'info sur ce char provenant d'une autre source:
Et pour les autres photo ou dessins c'est le site.
https://topwar.ru/141901-tank-elektrotralschik-218.html
Char démineur électrique "218"
Au milieu des années trente, les constructeurs de chars soviétiques ont abordé le problème des accessoires de lutte contre les mines. Des chaluts montés de type à rouleaux, à poussée et à frappe ont été développés, testés et évalués. En outre, d'autres conceptions ont été proposées, y compris celles utilisant les méthodes les plus inhabituelles pour influencer la cible. Ainsi, dans le projet de la soi-disant. char - dragueur de mines électrique "218" prévu pour la destruction des mines à l'aide d'ondes électromagnétiques agissant sur le détonateur.
En collaboration avec d'autres entreprises, l'usine Kirov de Leningrad a étudié le thème de la lutte contre les mines. En 1940, ses employés A.V. Serdioukov et N.A. Karpinsky a proposé une toute nouvelle façon de surmonter les barrières anti-mines. Il a été proposé d'équiper un char en série de type KV-2 d'un équipement électrique spécial et d'émetteurs d'ondes électromagnétiques de grande puissance. Ces derniers étaient censés agir sur les détonateurs électriques des mines ennemies et les faire fonctionner à une distance de sécurité du véhicule blindé.
Le concept, qui a reçu la désignation de travail "char-dragueur de mines électrique", a intéressé les concepteurs et, au début de 1940, un autre projet a été lancé. Le développement d'un modèle prometteur a été repris par SKB-2 LKZ, dirigé par Zh.Ya. Kotine. L'usine de Kirov elle-même a joué le rôle principal dans le projet, tandis que certains composants et assemblages ont dû être commandés auprès de sous-traitants. La partie électrique du projet a été confiée à l'usine n ° 211 de Leningrad et à l'entreprise Elektrosila.
Avant de développer un projet à part entière, il a été décidé de fabriquer et de tester un échantillon expérimental sur un châssis abordable. Au printemps 1940, l'usine kirov de Leningrad, en collaboration avec Electrosila et l'usine n ° 211, a commencé à rééquiper le char de série T-28, au cours duquel elle a reçu de nouveaux types d'équipements spéciaux. Lors de la restructuration, le char a perdu sa tourelle principale, au lieu de laquelle une boîte blindée avec équipement électrique a été montée. Un générateur de rayonnement UHF a été installé à l'intérieur de la voiture. Une simple antenne de 1,5 m de haut apparaît sur le front de la coque.
Un prototype basé sur le T-28 a réussi les tests sur le terrain et a montré des performances acceptables. Le nouvel équipement a entièrement résolu les tâches. Une paire de dynamos et un générateur de rayonnement ont créé le champ électromagnétique requis, ce qui a provoqué l'explosion de mines à une certaine distance d'elles-mêmes. Dans le même temps, un char de dragueur de mines électrique pourrait faire exploser les mines d'un faux ennemi en mouvement aux vitesses requises.
Selon les résultats des tests d'un char expérimental basé sur le T-28 lourd, l'idée a été approuvée et acceptée pour une mise en œuvre complète. Le nouveau projet SKB-2 a reçu la désignation de travail "218". De plus, dans certaines sources, il existe une orthographe différente - "Object 218". Curieusement, la conception du char principal, maintenant connu sous le nom de T-80, a reçu la même désignation quelques décennies plus tard. Cependant, il est extrêmement difficile de confondre des véhicules blindés "homonymes" d'époques différentes.
Le char lourd KV-2 a maintenant été choisi comme base pour un dragueur de mines électrique à part entière, adapté à la production de masse et à la fourniture aux troupes. Il se distinguait par ses grandes dimensions et son volume intérieur important, qui permettaient de l'équiper du matériel électrique nécessaire. De plus, cette machine avait une puissante protection blindée, ce qui lui permettait de travailler sans problème au premier plan et de faire des passes dans les champs de mines. Conformément au projet "218", le char fini devait perdre certaines caractéristiques, ainsi que recevoir un ensemble d'appareils entièrement nouveaux. La composition de l'équipement spécial de la nouvelle machine correspondait en général à la configuration du T-28 expérimental.
"Object 218" a conservé la coque blindée standard de la série du KV-2, mais ses volumes internes étaient désormais utilisés différemment. La coque a été soudée à partir de plaques de blindage jusqu'à 75 mm d'épaisseur avec une protection anti-balistique sous tous les angles. La partie frontale de la coque était constituée de plusieurs feuilles inclinées placées avec des angles d'inclinaison rationnels. Des parois verticales et une alimentation de forme relativement complexe ont été prévues. Le niveau de protection le plus bas était assuré par un toit et un fond horizontaux d'une épaisseur allant jusqu'à 40 mm.
Dans le nouveau projet, le KV-2 était censé conserver la caractéristique tourelle de grande taille avec une protection équivalente au blindage de la coque. Tous les principaux détails de la tour selon le projet avaient une épaisseur de 75 mm, le manteau du canon - 110 mm. Le char dragueur de mines électrique devait recevoir une tourelle de série, dont l'équipement a cependant changé.
La disposition des volumes internes de la coque a été modifiée conformément aux nouvelles tâches. Devant la coque, le compartiment de contrôle avec le poste de travail du conducteur a été conservé. Au centre, sous la bandoulière de la tour, il a été proposé de placer un boîtier supplémentaire avec un groupe électrogène. Le compartiment arrière était toujours consacré à la centrale électrique et à la transmission. Le traitement cardinal des volumes internes de la tour n'était pas nécessaire. Dans le même temps, le placement de certains appareils a changé.
A l'arrière de "l'Object 218", comme auparavant, il aurait dû y avoir un moteur diesel V-2K d'une puissance de 500 ch, associé à une transmission mécanique. Le traitement de ces unités dans le nouveau projet n'a pas été fourni. Grâce à l'embrayage principal multidisque, à la boîte de vitesses à cinq rapports, aux embrayages latéraux et aux boîtes de vitesses, le couple était transmis aux roues motrices arrière.
Le train de roulement régulier avec six roues de route de chaque côté a également été conservé. Les galets devaient recevoir une suspension individuelle à barre de torsion avec équilibreurs limiteurs de débattement. Devant la coque, il y avait des roues de guidage, dans les roues motrices arrière. La branche supérieure de la chenille devait reposer sur les rouleaux de support.
Dans le compartiment de combat du corps du char "218", il était prévu d'installer de nouveaux appareils électriques. Un moteur et une paire de générateurs ont été placés à l'intérieur d'un boîtier assez grand. Il a été décidé d'utiliser un moteur à carburateur automobile ZIS. A l'aide d'une transmission mécanique, il réalise l'entraînement de deux dynamos à courant continu. Le générateur haute tension a montré une puissance de 28 kW, basse tension - 7,5 kW. Des installations de refroidissement ont été prévues dans le boîtier de l'équipement électrique. Les gaz d'échappement du moteur étaient évacués par un tuyau séparé dans le collecteur du moteur principal.
Devant le boîtier était placé un tube générateur d'ultra-haute fréquence. Recevant de l'électricité de deux dynamos, il devait émettre un rayonnement avec les paramètres requis, capable de déclencher la détonation des mines. Pour transmettre de tels signaux radio, il a été proposé d'utiliser des antennes montées à l'avant de la coque. L'équipage disposait également d'un tableau de commande des équipements électriques et d'un générateur de rayonnement.
Le nouveau char de dragueur de mines électrique appartenait à la catégorie des équipements d'ingénierie et a donc reçu une autre opportunité caractéristique. À l'arrière des côtés et des ailes, il a été proposé d'installer des supports pour les charges explosives déchargées. Des munitions pesant jusqu'à 1 tonne pourraient être livrées à la cible, larguées, puis - après s'être retirées à une distance de sécurité - pour faire une détonation à distance.
La présence de grandes unités spéciales à l'intérieur de la coque blindée ne permettait pas de conserver l'armement standard, qui comprenait un obusier de 152 mm. Un "Object 218" spécial pour l'autodéfense était censé transporter un canon de char 45-mm 20-K. Dans le même temps, il a été proposé de conserver le masque caractéristique du canon, ainsi que d'utiliser un boîtier de camouflage spécial imitant le canon d'obusier d'un char lourd en série. Dans les volumes disponibles, il était possible de placer une charge de munitions de 80 obus.
Le char "218" pourrait garder deux des trois mitrailleuses DT utilisées sur la base KV-2. L'un d'eux a été placé sur le support du barillet, le second - dans la feuille arrière de la tour. La mitrailleuse de cours dans le corps a dû être abandonnée. La charge totale de munitions de deux mitrailleuses est de plus de 2000 cartouches dans plusieurs dizaines de chargeurs.
Il y a des informations sur le développement de la deuxième version du compartiment de combat. Dans ce cas, il a été proposé d'utiliser un dôme aussi similaire que possible à la tourelle du char KV-1. Il pouvait accueillir un canon de 45 mm et des mitrailleuses, ainsi qu'une partie de leurs munitions.
L'équipage du véhicule spécial a été réduit à quatre personnes. Devant la coque se trouvait un pilote, et trois autres places étaient situées dans le compartiment de combat, au niveau de la bandoulière ou au-dessus de celle-ci. Les écoutilles et les moyens d'observation pourraient rester les mêmes. L'équipage disposait de la station radio KRSTB et de l'interphone TPU-4.
Malgré l'apparition de nouveaux dispositifs et unités, le char dragueur de mines électrique ne devrait pas différer en taille et en poids du véhicule de base. Sa longueur, selon les calculs, ne dépassait pas 7 m, largeur - 3,3 m, hauteur - 3,25 m.Poids au combat - les 52 tonnes précédentes.Les caractéristiques de conduite devraient également rester au même niveau.
L'utilisation au combat du dragueur de mines électrique n'était pas particulièrement difficile et était considérée comme suit. La voiture était censée entrer dans le champ de mines, allumer un équipement électrique avec un générateur de rayonnement et commencer à se déplacer à une vitesse ne dépassant pas 10-15 km / h. Le champ électromagnétique généré par les équipements embarqués était censé agir sur les détonateurs électriques des mines et provoquer leur fonctionnement. L'affaiblissement des munitions, selon les calculs, pourrait se produire à une distance de 4 à 6 m du char. Le travail de l'émetteur a permis de dégager une bande de plusieurs mètres de large des mines avec des détonateurs électriques, suffisants pour le passage des véhicules blindés et de l'infanterie.
En fonction de la situation actuelle et des tâches assignées, "l'Object 218" pourrait utiliser des armes plus familières.. Pour combattre les véhicules blindés et l'infanterie, il disposait d'un canon et de mitrailleuses, et les fortifications et autres cibles pouvaient être détruites à l'aide de charges de démolition abandonnées. Pour saper ces munitions, des télécommandes ont été utilisées, ce qui a réduit les risques pour les tankistes.
De plus, le char démineur électrique 218 pourrait trouver une application en dehors du champ de bataille. A l'aide d'un rayonnement électromagnétique de puissance réduite, il a été proposé de chauffer le personnel situé à côté de la machine. Cela ne pouvait prendre que quelques minutes pour atteindre des conditions confortables dans les airs.
Au printemps 1941, l'usine de Kirov de Leningrad a achevé le développement d'un nouveau projet. En avril, dans l'un des ateliers de l'entreprise, l'assemblage d'un modèle en bois du futur char "218" a commencé. On sait que ce produit a été construit et probablement montré à un client potentiel.
Après cette histoire d'un projet intéressant touche à sa fin. Selon des données connues, au plus tard à la fin du printemps 1941, les travaux sur le projet de char de dragage de mines électrique 218 ont été arrêtés. À cette époque, les seuls résultats réels des travaux étaient un prototype basé sur le T-28 de série et un modèle en bois du KV-2 reconstruit. L'assemblage d'un prototype à part entière basé sur le KV-2, pour autant que l'on sache, n'a pas commencé.
Les raisons exactes du rejet de "l'Objet 218" sont inconnues, mais les informations disponibles nous permettent de faire quelques hypothèses. Il est facile de voir que le char de dragage de mines électrique proposé - malgré ses capacités uniques à l'époque - avait un certain nombre de problèmes de production et de fonctionnement. De plus, ses capacités réelles sur le champ de bataille pourraient entraîner des problèmes spécifiques.
Tout d'abord, le char 218 était trop complexe. Le KV-2, déjà pas le plus simple et le moins cher, a dû être équipé d'équipements électriques et électroniques supplémentaires, ce qui a entraîné une complication notable et une augmentation du coût de l'équipement. La production de masse de dragueurs de mines électriques, qui pourrait affecter positivement l'état des forces terrestres, s'est avérée trop coûteuse et a frappé la production de chars standard.
Des tests ont montré qu'un char en mouvement doté d'un équipement électronique est capable de faire exploser à distance des mines avec un détonateur électrique. Cependant, en 1940-41, les munitions de ce type n'étaient pas beaucoup distribuées. Les mines plus courantes avec des détonateur basés sur divers mécanismes ou compositions pyrotechniques n'avaient en fait pas peur des ondes électromagnétiques. Par conséquent, ils devaient travailler non pas devant le dragueur de mines électrique, mais en dessous. Ce problème pourrait cependant être résolu en équipant un char spécial d'un chalut de la conception existante.
Le projet du char d'ingénierie prometteur "218" présentait un certain intérêt d'un point de vue technique et a également permis de mettre au point une manière inhabituelle de traiter les champs de mines. Dans le même temps, une telle machine à cette époque aurait difficilement pu trouver une place dans les forces terrestres. Le char dragueur de mines électrique proposé, tout en ayant des avantages limités, n'était pas sans inconvénients les plus graves. À cet égard, au printemps 1941, les travaux sur le projet ont été interrompus. L'idée de combattre les mines à l'aide de rayonnement électromagnétique n'est revenue que quelques décennies plus tard - après l'apparition de mines massives avec des détonateurs électriques et électroniques.
st.ex.- Lieutenant-colonel
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Re: Le Kliment Voroshilov KV-1 et KV-2 et leurs diff. version.
DE L'ÉCHANTILLON PROTOTYPE À LA PRODUCTION EN SÉRIE
En avril-mai 1940, l'usine de Kirov a continué à fabriquer des Chars KV du suivant la construction du prototype. Cependant, fin mai, par décision du gouvernement, dupliquée par les ordres du commissaire du peuple à l'ingénierie lourde Efremov, le programme de production du KV pour 1940 a été considérablement augmenté. À partir de juillet et jusqu'à la fin de l'année, l'usine devait produire des chars de 230 KV, dont "130 avec une petite tourelle et un canon de 76 mm et 100 avec une grande tourelle et un obusier de 152 mm". Une augmentation aussi importante de la production de chars a obligé SKB-2 à introduire un certain nombre de simplifications dans la conception du chars. Ainsi, en juin, à partir du U-18, la soi-disant «petite tourelle à facettes pour le canon de 76 mm» est entrée en production. Par rapport à la "petite tour ronde" produite précédemment, dont la production nécessitait l'utilisation d'un grand nombre de matrices différentes et d'équipements de pressage puissants, la nouvelle tour était plus facile à fabriquer. De plus, dans le même temps, les ailes dites "de type aviation", qui se sont avérées peu pratiques à opérer (production), ont été abandonnées; des modifications ont été apportées à d'autres composants et assemblages du chars. À l'usine de Kirov, l'atelier expérimental OP-2 se développe considérablement et, afin de tester de nouvelles unités lorsqu'elles travaillent dans un char, la direction blindée de l'Armée rouge transfère le char U-1 du lot prototype à l'OP-2 atelier.
Cependant, craignant que le char n'ait pas subi de tests complets sur le terrain (uniquement sur un champ de bataille), l'ABTU de l'Armée rouge a exigé des tests à grande échelle du KV. Début juin, deux chars sont arrivés à Kubinka près de Moscou. Cependant, pour des raisons inconnues, par décision du comité de défense n ° 885-330 ss, le directeur de l'usine de Kirov a été chargé de "tester le char KV pour identifier tous les défauts".
Le 10 juin 1940, les essais en usine du char U-1 (avec un obusier de 152 mm) ont commencé dans la région de Leningrad, du 14 au 30 juillet, le véhicule U-21 (avec un obusier de 152 mm) a été testé, et du 13-31 août le char U-7 (avec canon de 76 mm). Le président de la commission de test était un ingénieur militaire du 1er rang(colonel) Korobkov. Mais même en dépit du fait que l'usine (et non l'armée, peu familière avec le nouveau char, comme ce serait le cas lors des tests à Kubinka) était assise derrière les leviers KV, de nombreuses lacunes graves ont été révélées dans la conception du KV.
Le char U-1 a parcouru 2648 km (dont 1025 en cross-country (les chars prototype en Finlande une centaines de kilomètres), deux moteurs V-2 y ont été remplacés. Les kilométrages U-21 et U-7 s'élevaient respectivement à 1631 et 2050 km.
En conséquence, une conception infructueuse du filtre à air du moteur, un fonctionnement insatisfaisant du système de refroidissement et de la transmission, une résistance insuffisante des pistes et des disques des roues, une conception inconfortable des sièges pour l'équipage, ainsi qu'un grand nombre de des défauts mineurs ont été découverts.
Par exemple, le type de filtre à air utilisé, construit sur le principe du filtre pour le T-28, ne répondait pas aux exigences d'un fonctionnement à long terme. Lors de la conduite sur une route de campagne poussiéreuse, il était nécessaire de nettoyer le filtre après 1 à 1,5 heure. Il s'est rapidement bouché, la résistance à l'admission d'air a augmenté, la poussière a pénétré dans le moteur.
En particulier, de nombreuses lacunes se sont révélées dans la conception de la transmission, en particulier dans la boîte de vitesses, dont la fiabilité laissait beaucoup à désirer. Lors des tests, il y a eu une panne des dents des engrenages et leur usure accrue, il y a eu des difficultés à changer de vitesse pendant le mouvement. De plus, il s'est avéré que lors d'un long mouvement du char en quatrième vitesse, celui-ci et le deuxième rapport qui lui était associé tombaient en panne. Pour éliminer cet inconvénient, à partir de la 31e voiture (KV n ° 3611), un verrou spécial a été introduit dans la conception de la boîte de vitesses.
Lors des tests d'été des chars, il s'est avéré que lors d'un mouvement prolongé dans des vitesses supérieures à une température ambiante de +20 degrés, la température de l'huile et de l'eau augmente considérablement et dépasse la limite autorisée. Cela a obligé pendant le mouvement à passer à des vitesses inférieures et à réduire la vitesse de la voiture. Ainsi, lors de la conduite sur l'autoroute, le chars U-7 a atteint une vitesse maximale de 24,3 km / h, et «la capacité d'obtenir des vitesses plus élevées et d'utiliser pleinement la puissance du moteur était limitée par les températures de l'eau et de l'huile dans le système de refroidissement, atteignant 107 et 112 degrés, respectivement. ".
De plus, le manque de fiabilité du mécanisme de pivotement de la tourelle a été noté, dont la conception a été largement empruntée au mécanisme de pivotement de la grande tourelle du char T-28 pesant environ 3 tonnes. Et puisque la masse de la tourelle KV-1 était de 7 tonnes, le KV-2 - 12 tonnes (! ), et en plus, les tours sont devenues plus déséquilibrées, il y avait des problèmes liés aux gros efforts sur les poignées des mécanismes de ramassage manuel, la puissance des moteurs électriques pour faire tourner les tours, ainsi que des problèmes de vitesse et de douceur de visée des canons. Ainsi, lorsque les chars KV se déplaçaient le long des pentes, tourner la tourelle du KV-1 sur le côté (-90 ou +90°)était un gros problème, sans parler de la tourelle du KV-2.
Les conclusions sur les tests du char U-7 indiquaient ce qui suit: «En général, la machine KV est opérationnelle, mais elle comporte un certain nombre de composants qui nécessitent un réglage urgent. Ces composants comprennent la boîte de vitesses et les embrayages embarqués ...
Les tests ont été effectués uniquement en cours d'exécution, il n'y avait pas de conditions particulières, telles que: zones marécageuses et boisées, barrières d'eau, obstacles artificiels, poussière. De plus, une certaine nuance sur les épreuves impose une courte durée du temps total. Ainsi, ces tests ne couvrent pas toutes les positions de fonctionnement possibles de la machine dans les conditions militaires de son fonctionnement. De ce fait, il faut supposer que ces tests n'ont pas révélé toutes les faiblesses de la machine. Des conclusions similaires figuraient dans les rapports d'essai des chars U-1 et U-21.
Mais ici rien n'est mentionné de l'attaque vers les pays Baltes en 1940. Ou un nombre de KV, et de T-34 on été intégré.
st.ex.- Lieutenant-colonel
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Date d'inscription : 29/01/2009
Re: Le Kliment Voroshilov KV-1 et KV-2 et leurs diff. version.
Les russes et leurs chars, une histoire d'amour...blindée
merci pour ces détails.
merci pour ces détails.
riderdigeste- Général de Brigade
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Date d'inscription : 31/05/2008
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