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Re: humour 2
Petite équation...
Jules- Général de Division
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Date d'inscription : 04/01/2009
Re: humour 2
Amateurs de l'Europe de l'Est, c'est pour vous.
Quelle différence y a-t-il entre un film muet et la démocratie socialiste?
Dans un film muet, on peut voir le film, mais on ne peut pas entendre parler. Dans une démocratie socialiste, on ne peut pas ne pas entendre parler de démocratie, mais on ne peut pas la voir.
Dans une université de Russie, le professeur donne un cours de sciences économiques. Avant de commencer la leçon, il décide de vérifier le niveau de connaissances de ses élèves. Pour ce faire, il procède à l'interrogation orale du jeune Vassiliev :
- Dis-moi, Vassiliev, que sais-tu des États-Unis ?
- Les Etats-Unis, - répond Vassiliev en se levant, - sont un pays impérialiste où les minorités sont opprimées et où sévissent sur une grande échelle le crime et la corruption.
- Et d'un point de vue économique ?
- L'Amérique du Nord est le pays de la crise, du chômage et de la misère.
- Parfait, Vassiliev. Dis-nous maintenant ce que tu sais de notre plan économique.
- L'objectif premier et principal est de rattraper puis de dépasser les États-Unis.
Un Américain et un Russe discutent dans un bar.
-Chez nous, - dit un Américain à un Soviétique, - la liberté est totale; la preuve en est que je peux aller tous les jours sous les murs de la Maison-Blanche et crier « A bas Nixon » autant qu'il me plaît.
-Le Russe répond : "Moi aussi je peux aller tous les jours sous les murs du Kremlin et crier « A bas Nixon », autant qu'il me plaît et je ne crains rien.
Dans le cours de la conversation, lors d'une réception donnée par un secrétaire régional du parti communiste bulgare, un invité s'écrie : « Dieu merci... » Son hôte le reprend aussitôt d'un ton sec :
- On ne dit pas Dieu merci, on dit merci Dimitrov.
- Mais que dira-t-on quand Dimitrov sera mort? - demande l'invité.
- Alors tu pourras dire Dieu merci, - répond une voix anonyme.
A Moscou, un homme monte dans l'autobus en bousculant les autres voyageurs :
- Pardon, messieurs, pardon, s'excuse-t-il.
- On ne dit pas messieurs, on dit camarades, corrige le contrôleur.
- Mais non, les camarades ne prennent pas l'autobus, ils ont de grosses voitures noires.
Un matin, Boris Nikolaievitch reçoit une lettre le convoquant au poste de milice « pour affaire le concernant ». A peine arrivé, il est traîné manu militari devant le chef de poste qui, sitôt l'interrogatoire d'identité effectué, se met à hurler :
- Traître, tu es accusé de menées subversives antisocialistes et d'activités anti-parti. Tu vas en prendre pour vingt ans. Mais je te laisse une chance : j'ai un oeil de verre, si tu devines lequel, je te remets en liberté.
Surpris par tant d'indulgence, Boris réfléchit, se concentre et répond :
- Le gauche.
- Bravo ! Tu as deviné. Mais, dis-moi, comment as-tu fait ?
- Eh bien, camarade, c'était assez facile : j'ai cru y voir une lueur d'intelligence.
- Comment est mort Maïakovski ?
- Maïakovski s'est suicidé. Il a mal pris le tournant de 1927 et n'a pas compris les changements nécessaires.
- Et quelles furent ses dernières paroles ?
- Ne tirez pas, camarades.
Dubcek signifie en russe petit chêne. Après l'invasion de la Tchécoslovaquie, un Polonais demande à un Russe :
- Qu'est-ce que vous faites dans ce pays ?
- Nous ramassons des glands.
Sous Staline, il est décidé de fêter solennellement le centenaire de Pouchkine. Le Praesidium lance un grand concours pour élever une statue à la gloire de l'illustre écrivain. De toutes les régions de l'Union Soviétique, les projets affluent, des plus modestes aux plus grandioses :
Pouchkine marchant, Pouchkine écrivant, Pouchkine lisant, Pouchkine haranguant le peuple, le peuple rendant hommage à Pouchkine, etc. Le Praesidium se retire alors pour élire le meilleur projet. Après une courte délibération, le verdict est rendu : la statue représentera Staline lisant Pouchkine.
Venant du fin fond de la campagne de Podlachie, Zygmunt, paysan polonais qui a combattu les Allemands, arrive à Varsovie, où il revient pour la première fois depuis la fin de la guerre. Reconstruit à l'identique, le centre de la ville semble n'avoir jamais connu aucun bouleversement. Seuls les noms des rues ont changé. Zygmunt va de la rue Karl-Marx à la rue Lénine en passant par l'avenue du Maréchal-Joukov et la place Joseph-Staline, pour arriver sur les bords de la Vistule, quai Anastase-Mikoyan. Là, notre homme s'abîme dans la contemplation du fleuve et reste assis sur un banc pendant tellement longtemps qu'un milicien s'approche de lui, le secoue et lui demande ce qu'il fait là.
- Moi, dit le paysan, rien. Je regarde couler la Volga...
A l'automne 1968, dans un café de Prague, des ouvriers discutent attablés devant leurs bières. Petit à petit le ton monte et l'un d'eux s'écrie :
- Non, je ne suis pas d'accord. Moi, j'aimerais mieux travailler vingt-quatre heures sur vingt-quatre en Union Soviétique pour le plaisir de travailler, que de bosser une heure par jour aux États-Unis, même si l'on me payait 100 dollars par jour.
Dans le silence qui suivit cette tonitruante profession de foi, un soldat russe qui buvait au comptoir se retourne, lève son verre en signe de salut et s'adresse au Tchèque :
- Bien dit, camarade, et que fais-tu comme métier ?
- Croque-mort, camarade, croque-mort.
Voilà....
Quelle différence y a-t-il entre un film muet et la démocratie socialiste?
Dans un film muet, on peut voir le film, mais on ne peut pas entendre parler. Dans une démocratie socialiste, on ne peut pas ne pas entendre parler de démocratie, mais on ne peut pas la voir.
Dans une université de Russie, le professeur donne un cours de sciences économiques. Avant de commencer la leçon, il décide de vérifier le niveau de connaissances de ses élèves. Pour ce faire, il procède à l'interrogation orale du jeune Vassiliev :
- Dis-moi, Vassiliev, que sais-tu des États-Unis ?
- Les Etats-Unis, - répond Vassiliev en se levant, - sont un pays impérialiste où les minorités sont opprimées et où sévissent sur une grande échelle le crime et la corruption.
- Et d'un point de vue économique ?
- L'Amérique du Nord est le pays de la crise, du chômage et de la misère.
- Parfait, Vassiliev. Dis-nous maintenant ce que tu sais de notre plan économique.
- L'objectif premier et principal est de rattraper puis de dépasser les États-Unis.
Un Américain et un Russe discutent dans un bar.
-Chez nous, - dit un Américain à un Soviétique, - la liberté est totale; la preuve en est que je peux aller tous les jours sous les murs de la Maison-Blanche et crier « A bas Nixon » autant qu'il me plaît.
-Le Russe répond : "Moi aussi je peux aller tous les jours sous les murs du Kremlin et crier « A bas Nixon », autant qu'il me plaît et je ne crains rien.
Dans le cours de la conversation, lors d'une réception donnée par un secrétaire régional du parti communiste bulgare, un invité s'écrie : « Dieu merci... » Son hôte le reprend aussitôt d'un ton sec :
- On ne dit pas Dieu merci, on dit merci Dimitrov.
- Mais que dira-t-on quand Dimitrov sera mort? - demande l'invité.
- Alors tu pourras dire Dieu merci, - répond une voix anonyme.
A Moscou, un homme monte dans l'autobus en bousculant les autres voyageurs :
- Pardon, messieurs, pardon, s'excuse-t-il.
- On ne dit pas messieurs, on dit camarades, corrige le contrôleur.
- Mais non, les camarades ne prennent pas l'autobus, ils ont de grosses voitures noires.
Un matin, Boris Nikolaievitch reçoit une lettre le convoquant au poste de milice « pour affaire le concernant ». A peine arrivé, il est traîné manu militari devant le chef de poste qui, sitôt l'interrogatoire d'identité effectué, se met à hurler :
- Traître, tu es accusé de menées subversives antisocialistes et d'activités anti-parti. Tu vas en prendre pour vingt ans. Mais je te laisse une chance : j'ai un oeil de verre, si tu devines lequel, je te remets en liberté.
Surpris par tant d'indulgence, Boris réfléchit, se concentre et répond :
- Le gauche.
- Bravo ! Tu as deviné. Mais, dis-moi, comment as-tu fait ?
- Eh bien, camarade, c'était assez facile : j'ai cru y voir une lueur d'intelligence.
- Comment est mort Maïakovski ?
- Maïakovski s'est suicidé. Il a mal pris le tournant de 1927 et n'a pas compris les changements nécessaires.
- Et quelles furent ses dernières paroles ?
- Ne tirez pas, camarades.
Dubcek signifie en russe petit chêne. Après l'invasion de la Tchécoslovaquie, un Polonais demande à un Russe :
- Qu'est-ce que vous faites dans ce pays ?
- Nous ramassons des glands.
Sous Staline, il est décidé de fêter solennellement le centenaire de Pouchkine. Le Praesidium lance un grand concours pour élever une statue à la gloire de l'illustre écrivain. De toutes les régions de l'Union Soviétique, les projets affluent, des plus modestes aux plus grandioses :
Pouchkine marchant, Pouchkine écrivant, Pouchkine lisant, Pouchkine haranguant le peuple, le peuple rendant hommage à Pouchkine, etc. Le Praesidium se retire alors pour élire le meilleur projet. Après une courte délibération, le verdict est rendu : la statue représentera Staline lisant Pouchkine.
Venant du fin fond de la campagne de Podlachie, Zygmunt, paysan polonais qui a combattu les Allemands, arrive à Varsovie, où il revient pour la première fois depuis la fin de la guerre. Reconstruit à l'identique, le centre de la ville semble n'avoir jamais connu aucun bouleversement. Seuls les noms des rues ont changé. Zygmunt va de la rue Karl-Marx à la rue Lénine en passant par l'avenue du Maréchal-Joukov et la place Joseph-Staline, pour arriver sur les bords de la Vistule, quai Anastase-Mikoyan. Là, notre homme s'abîme dans la contemplation du fleuve et reste assis sur un banc pendant tellement longtemps qu'un milicien s'approche de lui, le secoue et lui demande ce qu'il fait là.
- Moi, dit le paysan, rien. Je regarde couler la Volga...
A l'automne 1968, dans un café de Prague, des ouvriers discutent attablés devant leurs bières. Petit à petit le ton monte et l'un d'eux s'écrie :
- Non, je ne suis pas d'accord. Moi, j'aimerais mieux travailler vingt-quatre heures sur vingt-quatre en Union Soviétique pour le plaisir de travailler, que de bosser une heure par jour aux États-Unis, même si l'on me payait 100 dollars par jour.
Dans le silence qui suivit cette tonitruante profession de foi, un soldat russe qui buvait au comptoir se retourne, lève son verre en signe de salut et s'adresse au Tchèque :
- Bien dit, camarade, et que fais-tu comme métier ?
- Croque-mort, camarade, croque-mort.
Voilà....
Yeoman 35- Membre d'honneur
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Re: humour 2
- Comment est mort Maïakovski ?
- Maïakovski s'est suicidé. Il a mal pris le tournant de 1927 et n'a pas compris les changements nécessaires.
- Et quelles furent ses dernières paroles ?
- Ne tirez pas, camarades.
Amicalement Victor.
L axe- Général de Brigade
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Re: humour 2
Combien d'effort coûte une petite balade en 4 x 4 le dimanche après-midi en Russie?
http://www.yapfiles.ru/static/play.swf?st=vMDAwOTQ3MTAt21a9
http://www.yapfiles.ru/static/play.swf?st=vMDAwOTQ3MTAt21a9
Phil642- Général (Administrateur)
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Re: humour 2
Ah la bonne blague ! Merci Phil, je viens de visionner.
Si seulement ils avaient eu un bon vieux T-34, ils n'auraient pas eu tous ces soucis.
Yeoman 35- Membre d'honneur
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Re: humour 2
ou simplement des rondins sous les roues
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Re: humour 2
http://odieuxconnard.files.wordpress.com/2010/08/finalfbhr.jpg
un peu d'humour SGM sur facebook !
un peu d'humour SGM sur facebook !
Re: humour 2
Goliath a écrit:http://odieuxconnard.files.wordpress.com/2010/08/finalfbhr.jpg
un peu d'humour SGM sur facebook !
Déjà posté ici mais toujours aussi drôle...
Jules- Général de Division
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Gaët- Major
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Re: humour 2
Ah oui, j'adore cette série tirée du film "la chute".
Hitler apprent que swkotor 3 sera un mmorpg
Hitler apprend que son compte tweeter a été piraté
etc etc...
Assez hilarant de voir le fuhrer brailler sur des problèmes de geeks ^^
Hitler apprent que swkotor 3 sera un mmorpg
Hitler apprend que son compte tweeter a été piraté
etc etc...
Assez hilarant de voir le fuhrer brailler sur des problèmes de geeks ^^
Panther- Sergent-chef
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Re: humour 2
La femme parfaite
https://youtu.be/-gEDDpTmE2U
dracir- Général de Division
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Re: humour 2
C'est 2 copains commerciaux qui ne s'étaient pas vus depuis bien longtemps.
Ils viennent de fêter leurs retrouvailles dans un bar et, déjà bien atteints par l'alcool, ils décident d'aller prendre le dernier verre chez celui qui habite le plus près.
Il est déjà plus d'une heure du matin, lorsqu'ils se présentent à la porte de la maison et madame doit dormir, ils essaient alors de ne pas faire de bruit.
Pendant que l'un va à la cuisine chercher des bières, l'autre part à la recherche les toilettes...
Mais, au détour d'un virage de couloir mal négocié, il confond toilettes et chambre à coucher et ouvre la mauvaise porte. Il referme aussitôt mais a le temps de remarquer que la femme de son ami n'est pas seule dans le lit...
Sur la pointe des pieds, il rejoint la cuisine et dit à son pote :
-"Dis-donc, il y a un type dans ton lit avec ta femme !"
et son pote de lui répondre :
-"Chuuuut, ne le réveille pas, il ne reste plus que deux bières dans le frigo".
dracir- Général de Division
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Re: humour 2
Toujours un commercial, qui arrive le soir à un hôtel . Il demande au patron :
- Je pourrais avoir une chambre pour la nuit ? - Bien sûr répond le patron, et pour une somme modique elle peut être "garnie" si vous voyez ce que je veux dire .
Le commercial voulant joindre l'utile à l'agréable, opte pour la chambre "garnie" .
En arrivant dans sa chambre, il constate qu'il y a une femme couchée dans le lit, pour ne pas la réveiller, il laisse la chambre dans la pénombre, et se glisse à ses côtés.
Le lendemain, le patron de l'hôtel demande Alors, bien passé ? - Le commercial de répondre :
- Ne m'en parlez pas, mais la dame devait être malade, elle a vomit toute la nuit -
Le patron appelle le garçon de chambre Jules! Jules! on a encore oubliés de changer la morte!
Amicalement.
Le ronin.
_________________
....La véritable personnalité d'un homme ne se dévoile qu'au feu, tout le reste n'est que littérature.....
Semper fidelis .
le ronin- Police militaire (Modérateur)
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Re: humour 2
excellent
dracir- Général de Division
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Re: humour 2
Pov rat !
Gaët- Major
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Re: humour 2
Un gars arrive chez un copain à l’improviste, et veut passer la nuit chez lui. Son copain est désolé de lui annoncer qu’il ne peut lui offrir une chambre pour lui tout seul et lui dit :
- Tu peux dormir dans le salon ou dans la même chambre que Bébé.
- Bébé ? Ca pleure toute la nuit. C’est bon je vais dormir au salon…
Le lendemain matin il va à la salle de bains et y rencontre une superbe jeune fille.
- Bonjour, qui êtes vous ?
- Je suis Béatrice mais vous pouvez m’appeler Bébé. Et vous qui êtes vous ?
- Le roi des cons !
dracir- Général de Division
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Re: humour 2
- Guerre de 39/40: les Allemands avaient une armée d'acier, les Français une armée en tôle (cherchez le jeu de mots).
- Un Allemand est dans un compartiment avec une vieille, une jeune et un Français. Le train passe par un tunnel. On entend un baiser et une claque. A la sortie du tunnel, le Boche a un oeil au beurre noir. La vieille se dit: Il a voulu embrasser la jeune et elle lui a foutu une tarte. La jeune se dit: Il a voulu embrasser la vieille et elle lui a donné une claque. L'Allemand se dit: Je n'ai rien fait et je reçois un coup sur la figure! Le Français rigole intérieurement en se disant: Je me suis embrassé la main et je lui ai foutu mon poing sur la gueule!
Yeoman 35- Membre d'honneur
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Re: humour 2
dracir a écrit:
C'est 2 copains commerciaux qui ne s'étaient pas vus depuis bien longtemps.
Ils viennent de fêter leurs retrouvailles dans un bar et, déjà bien atteints par l'alcool, ils décident d'aller prendre le dernier verre chez celui qui habite le plus près.
Il est déjà plus d'une heure du matin, lorsqu'ils se présentent à la porte de la maison et madame doit dormir, ils essaient alors de ne pas faire de bruit.
Pendant que l'un va à la cuisine chercher des bières, l'autre part à la recherche les toilettes...
Mais, au détour d'un virage de couloir mal négocié, il confond toilettes et chambre à coucher et ouvre la mauvaise porte. Il referme aussitôt mais a le temps de remarquer que la femme de son ami n'est pas seule dans le lit...
Sur la pointe des pieds, il rejoint la cuisine et dit à son pote :
-"Dis-donc, il y a un type dans ton lit avec ta femme !"
et son pote de lui répondre :
-"Chuuuut, ne le réveille pas, il ne reste plus que deux bières dans le frigo".
Merci Dracir, tu m'as bien fait marrer et grace a toi j'ai bien fait marrer mes potesdracir a écrit:
Un gars arrive chez un copain à l’improviste, et veut passer la nuit chez lui. Son copain est désolé de lui annoncer qu’il ne peut lui offrir une chambre pour lui tout seul et lui dit :
- Tu peux dormir dans le salon ou dans la même chambre que Bébé.
- Bébé ? Ca pleure toute la nuit. C’est bon je vais dormir au salon…
Le lendemain matin il va à la salle de bains et y rencontre une superbe jeune fille.
- Bonjour, qui êtes vous ?
- Je suis Béatrice mais vous pouvez m’appeler Bébé. Et vous qui êtes vous ?
- Le roi des cons !
Sturmovik- Police militaire (Modérateur)
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Re: humour 2
Avec grand plaisirs
dracir- Général de Division
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Re: humour 2
Dans un autre registre:
Dans un commerce de spiritueux, la personne qui goûtait habituellement les boissons vint à mourir et le patron ouvrit un recrutement pour le remplacer.
Il vit arriver un type complètement bourré, avec un look pas possible, qui postulait pour la place.
Le directeur se demandait comment s'en débarrasser mais malgré tout, il le soumit à des tests.
Il lui présenta un verre.
Le type goûta et dit : " C'est un vin blanc, un muscat, trois ans d'âge, cultivé sur un versant nord, mûri en conteneur acier."
- Correct! répond le patron.
Un autre verre.
- C'est un vin rouge, cépage cabernet, cultivé sur un versant ouest, mûri en fût de chêne.
- Correct, répond le directeur.
Un troisième verre.
- C'est un champagne de grande classe, répond calmement l'ivrogne.
Le directeur est sur le cul.
Il demande en douce à sa secrétaire de lui trouver un moyen de se débarrasser du type en le prenant en défaut.
Elle quitte la pièce et revient avec un verre plein d'urine.
Le soulard goûte, fait claquer sa langue contre son palais :
" C''est une blonde, 26 ans d'âge, enceinte de trois mois... Et si j'obtiens pas ce putain de job, je révèle le nom du père !
Dans un commerce de spiritueux, la personne qui goûtait habituellement les boissons vint à mourir et le patron ouvrit un recrutement pour le remplacer.
Il vit arriver un type complètement bourré, avec un look pas possible, qui postulait pour la place.
Le directeur se demandait comment s'en débarrasser mais malgré tout, il le soumit à des tests.
Il lui présenta un verre.
Le type goûta et dit : " C'est un vin blanc, un muscat, trois ans d'âge, cultivé sur un versant nord, mûri en conteneur acier."
- Correct! répond le patron.
Un autre verre.
- C'est un vin rouge, cépage cabernet, cultivé sur un versant ouest, mûri en fût de chêne.
- Correct, répond le directeur.
Un troisième verre.
- C'est un champagne de grande classe, répond calmement l'ivrogne.
Le directeur est sur le cul.
Il demande en douce à sa secrétaire de lui trouver un moyen de se débarrasser du type en le prenant en défaut.
Elle quitte la pièce et revient avec un verre plein d'urine.
Le soulard goûte, fait claquer sa langue contre son palais :
" C''est une blonde, 26 ans d'âge, enceinte de trois mois... Et si j'obtiens pas ce putain de job, je révèle le nom du père !
Re: humour 2
J'aime bien aussi tes blagues Tec, mais elles sont souvent trop longues pour que j'arrive a les retenir... Celle là va rester un peu dans ma caboche, je sais a qui la raconter...
Sturmovik- Police militaire (Modérateur)
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Re: humour 2
Tec', mais où vas-tu donc chercher tout ça !
Yeoman 35- Membre d'honneur
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Re: humour 2
Sturmovik a écrit: J'aime bien aussi tes blagues Tec, mais elles sont souvent trop longues pour que j'arrive a les retenir... Celle là va rester un peu dans ma caboche, je sais a qui la raconter...
Sturm, c’est vrai que c’est meilleur quand c’est court, mais vu qu’il y’en a de longues qui ne sont pas mal…(Je parle de blagues, bien sûr )
Celle-ci m’a été racontée par un ami canadien, assistant technique dans un projet local :
une vieille dame se présente un matin à la banque du Canada avec un gros sac d’argent. Elle insiste pour parler au président car, di-t-elle, elle veut ouvrir un compte d’épargne.
Après discussions, un employé consent à la conduire au bureau du président de la banque. Celui-ci lui demande combien elle veut déposer : « 150 000 dollars », lui répond la vieille dame, tout en vidant le contenu de son gros sac sur le bureau du Boss.
Curieux , celui-ci lui demande : « comment avez-vous réussi à avoir une telle somme ? »
« En faisant des paris », répond la vieille dame.
Eberlué, le président de la banque lui demande : « mais quel type de pari ??? »
La vieille dame lui répond calmement: « dans le genre je vous parie 25 000 dollars que vos testicules sont carrés ».
Le Président de la banque éclate de rire et lui fait remarquer que ce genre de pari est impossible à gagner !
la vieille dame lui dit alors : « dans ce cas, aimerez-vous le relever ? je vous parie 25 000 dollars que vos testicules sont carrés»…
« Certainement, » répond le président, « je vous gage 25 000 dollars que mes testicules ne sont pas carrés » !
« D’accord », répond la vieille dame, « mais étant donné l’importance de l’enjeu, je vais venir demain à 10 heures avec mon avocat comme témoin, si vous n’y voyez pas d’inconvénient ».
« Aucun problème », répond le président.
Cette nuit-là, pourtant, le président de la banque examine pendant de longues heures ses testicules sous tous les angles, afin de s’assurer que rien dans ces derniers ne pouvait prêter à équivoque quant-à leur forme puis, rasséréné, il s’endormit.
Le lendemain, la vieille dame se présenta à son bureau à 10 heures comme prévu, accompagné de son avocat. Elle demanda au président de la banque de tomber son pantalon et le reste, afin qu’elle puisse vérifier les choses, ce que président fit avec complaisance. La vieille dame s’approcha de plus près pour examiner l’objet du pari et demanda la permission de le toucher.
« Bien sûr, avec tout l’argent que vous allez perdre, il est normal que vous soyez sûre à 100% que j’ai bien gagné le pari !!! »
Pendant que la vieille dame palpait l’objet, le président remarqua que l’avocat se cognait la tête au mur avec rage. Il en demanda la raison à la vieille dame. « Ho c’est simple, j’ai parié avec ce gentleman 150 000 dollars qu’aujourd’hui, aux environs de 10 heures, je tiendrais dans ma main les testicules du président de la banque du Canada… »
Promis, la prochaine sera plus courte (suffira de tailler dans le vif )
Amitiés,
Tec’
Re: humour 2
je l'a connassait deja , raconter par un ami ... francais!(juste pas la meme banque)
LeSieur- Général de Division
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